Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Système de l'appareil photographique SLR moyen format Mamiya 645 Super/ Schéma montrant la flexibilité de ce type d'appareil. Date de commercialisation : Décembre 1985 à 1993. 1) Corps de l'appareil, 2) Objectifs, 3) Verres de visée, 4) Poignée moteur, 5) Levier d'armement, 6) Viseur à prisme avec photomètre, 7) Viseur à prisme, 8) Viseur de poitrine, 9) Dos pour bobine 120 chargé avec un film X, 10) Dos pour bobine 120 chargé avec un film Y, 11) Dos pour bobine 220, dos pour film 35mm, dos pour film Polaroid, dos digital (seulement pour des modèles plus récents), etc. 12) Adaptateur pour déclencheur souple.
Photographie, Musique, Instruments à percussion, Bois (instruments de musique), Bois (instrument de musique), Musique de, Instruments de musique -- Japon, Instruments de musique anciens, Binzasara
Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à percussion, Musique japonaise, Musique -- Japon, Musique traditionnelle
Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara
La brouette se compose de cinq sous-ensembles : 1) le châssis : constitué de deux brancards solidarisés, fonction support de l’ensemble ; 2) les poignées : fonction préhension, commande et transmission de l’énergie : c’est l’interface utilisateur ; 3) le porte-charge : contenant du transportable, c’est la fonction outil (on appelle fonction outil la fonction du sous-ensemble qui en dernière analyse assure la fonction de l’ensemble), réalisée par un simple plateau plus ou moins équipé de parois, une benne (nommée caisse, cuve, coffre, etc.) ou un équipement spécifique ; 4) le système roulant : permet le déplacement par roulement (frottements minimum) en supportant une partie de la charge ; 5) le pied (paire ou barre) : assure avec la roue, une base polygonale d’appui stable, pour les périodes d’utilisations statiques (chargement, par exemple).
Photographie, Antiquités, Musique, Instruments à vent, Serpents -- Mythologie, Cuivres (instruments de musique), Serpents -- Culte, Instruments de musique anciens, Buccin, Instruments de musique Etrusques, Stuttgart (Allemagne. - région)
Buccin du musée du Wurtemberg (Fruchtkasten, Stuttgart). Le buccin (du latin buccina ou būcina) est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres, d’origine étrusque et en usage dans l’armée romaine antique. Le corps du buccin avait une forme semi-circulaire (la forme de la lettre « G »). Il possédait parfois un raidisseur (ou poignée) transversal. La perce était conique (comme celle du cor d’harmonie) et l’embouchure était tronconique. Le joueur de buccin est appelé « buccinateur ». Les Étrusques avaient l’habitude de conduire les troupeaux de porcs grâce à cette sorte de clairon. En dehors de la musique il était aussi utilisé pour des signaux à caractère guerrier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Buccin_%28instrument%29
Photographie, Musique, Parapluies, Montréal (Canada), Concerts, Loisirs de plein air, Art contemporain, Concerts -- Production et mise en scène, Mohawks (Indiens), Musique -- Publics
"Scène verte 2012" au festival Osheaga de Montréal sous la pluie. Le Festival musique et arts Osheaga est un festival de musique rock et de musique électronique qui a lieu annuellement à Montréal au Québec (Canada) depuis 2006. Selon les organisateurs, "Osheaga" est un mot que Jacques Cartier aurait entendu lorsqu'il a fait la rencontre des Mohawks pour la première fois, dans les environs des Rapides de Lachine, sur le territoire qui allait devenir Montréal. Les Européens agitaient leurs mains rapidement, pour désigner les rapides ou pour échanger des poignées de mains, des gestes auxquels les Mohawks n'étaient pas habitués. Le terme "O she ha ga" veut dire "les gens aux mains très agitées", mais Cartier l'interpréta comme voulant dire "gros remous", croyant que les Amérindiens désignaient le fleuve par ce mot. Toutefois rien de tel n'est relaté dans le court passage de Jacques Cartier lors de sa visite sur l'île de Montréal à l'automne 1535, et cette origine n'est en fait qu'un autre mythe attribué à Cartier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Osheaga
Diagramme d'une épée et de son fourreau. Légende du fourreau : I. Poignée, II. Lame, III. Fourreau. Légende de l'épée : 1. Pommeau, 2. Fusée, 3. Garde (Quillons), 4. Chappe (Protège-pluie), 5. Fort, 6. Gouttière; 7. Tranchant, 8. Faible, 9. Arête centrale, 10. Pointe, 11. Chappe, 12. Bouterolle.
Sorte de ferrure à poignée tournante servant à fermer et à ouvrir les châssis d’une fenêtre.
La faux ou faulx est un outil manuel utilisé en agriculture et en jardinage pour faucher l'herbe et les céréales. La faux est formée d'une longue lame effilée (60 à 90 cm) et arquée, fixée perpendiculairement sur un manche relativement long (140 à 200 cm) muni de deux poignées, l'une à mi-hauteur et l'autre à l'extrémité opposée à la lame.
Frigidaire rouge surmonté d'un congélateur, s'ouvrant sur la droite ; longues poignées verticales.
Frigidaire jaune surmonté d'un petit congélateur, ouvertures avec longues poignées verticales à gauche.
Photographie, Orfèvrerie, Histoire, Charlemagne (empereur d'Occident, 0742-0814), Épées, Épées médiévales, Armes blanches, Chanson de Roland, Épées -- Gardes
L'épée du sacre des rois de France, dite "Joyeuse" ou "épée de Charlemagne". Longeur 1,05 m. - Trésor de la Basilique de Saint-Denis, puis Musée du Louvre. Inv. n° MS 84. L'épée utilisée lors du sacre des rois de France, probablement depuis Philippe Auguste en 1179, de manière documentée depuis Philippe III le Hardi en 1271, s'appelait aussi Joyeuse, et l'on prétendait qu'il s'agissait de la même. En fait, elle avait été fabriquée plus tardivement, à partir d'éléments d'époques diverses : le pommeau date de la fin de l'époque carolingienne (Xe siècle) ; les quillons en forme de dragons opposés composant la garde datent du XIIe siècle ; la poignée date du XIIIe ou du XIVe siècle ; la plaque du fourreau ornée de pierreries a été exécutée au XIIIe siècle. Cette épée, conservée dans Le Trésor de la Basilique de Saint-Denis jusqu'en 1793, est alors entrée dans les collections du musée du Louvre. L'épée a de nouveau été utilisée pour le sacre sous la Restauration. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Joyeuse_%28%C3%A9p%C3%A9e%29.
Lorgnettes d'argent, 1909. Une lorgnette est une paire de lunettes avec une poignée, utilisée pour les maintenir en place, plutôt que montées avec des branches sur les oreilles. Le mot est dérivé du français « lorgner » (jeter un regard oblique sur) et du moyen français « lorgne » (plisser les yeux). Elles ont été inventées par l'Anglais George Adams. La lorgnette est généralement utilisée comme une pièce de joaillerie, plutôt que pour améliorer la vision. Les dames à la mode les préféraient en général aux lunettes. Elles étaient très populaires aux bals masqués et utilisées souvent à l'opéra (devenant le modèle des jumelles d'opéra actuelles). Elles étaient populaires au XIXe siècle.
Photographie, Forgeage, Sécateurs, Histoire, Forges, Matériel agricole, Métaux -- Matriçage, Antoine François Bertrand de Molleville (1744-1818), Forgeage -- Appareils et matériel, Pesmes (Haute-Saône)
Forges de Pesmes, empreintes d'outillages pour forgeage - Pesmes - Haute-Sâone. Le forgeage est l'ensemble des techniques permettant d'obtenir une pièce mécanique en appliquant une force importante sur une barre de métal, à froid ou à chaud, afin de la contraindre à épouser la forme voulue. Le forgeage implique un dispositif de frappe (marteau, masse, martinet ou marteau-pilon) et un support (enclume ou matrice). Un sécateur est un outil d' agriculteur pour les opérations de taille. C'est une sorte de paire de ciseaux robuste qui permet de couper de petites branches pour tailler les arbustes par l'action d'une seule main. Il fut inventé par Antoine François Bertrand de Molleville (1744-1818), ancien ministre de Louis XVI, exilé par la Révolution. Lors du retour des Bourbons, il revint en France en 1815 avec son invention. Les sécateurs sont formés de deux poignées mobiles reliées entre elles par un axe et prolongées l'une par une lame et l'autre par une contre-lame. Le ressort du sécateur permet d'écarter la mâchoire de la lame coupante lorsqu'on n'appuie pas sur les poignées.
Mémorial de John Snow, Broadwick Street à Londres sous forme d'une pompe sans poignée : Le docteur Snow est célèbre pour avoir étudié la propagation de l'épidémie de choléra de 1854 et avoir émis l'hypothèse d'une dissémination par l'intermédiaire de la distribution d'eau. Pour rechercher la source de l’épidémie il a utilisé une carte de Londres avec la densité des cas sur plusieurs périodes. Cette méthode lui a permis de remarquer que les cas se concentraient autour d'une pompe à eau de la Broad Street, dans le district de Soho.
Un parachute sportif avec : sur chacune des bretelles, un système trois anneaux ; au milieu, le déclencheur de sécurité en rouge ; à gauche, la poignée de libération de la voile principale ; à droite, la poignée métallique d'ouverture du parachute de secours ; tout en bas, l'extracteur (souvent appelé hand-deploy) qui va ouvrir le parachute principal.
Photographie, Parachutisme, Sports -- Matériel, Saut en parachute, Articles de sport, Sécurité -- Dispositifs, Sécurité -- Mesures
Les élévateurs après une libération. La libération est la première étape de la procédure de secours (PDS). Elle consiste à désolidariser les élévateurs de la voile principale du sac-harnais via le système trois anneaux. Les élévateurs (à droite en bleu), les suspentes (blanches), le glisseur de la voile principale (en bleu au niveau des suspentes) et les commandes de la voile principale (en jaune, au niveau des élévateurs). La corde noire sur l'élévateur à droite de l'image est le LOR qui ouvre la voile de secours dès que la voile principale est libérée. Mais il faut tout de même tirer sur la poignée d'ouverture du secours car le LOR est désactivable.
Photographie, Parachutisme, Sports -- Matériel, Saut en parachute, Harnais, Articles de sport, Sécurité -- Dispositifs, Sécurité -- Mesures
Sac harnais de parachute après une libération. La libération et la première étape de la procédure de secours (PDS). Elle consiste à désolidariser les élévateurs de la voile principale du sac-harnais via le système trois anneaux. Le sac harnais avec les élévateurs de la voile de secours en bleu et ses commandes en rouge. La voile de secours se trouve en haut du sac harnais et la voile principale en bas. La poignée rouge et noir avec l'anneau en jaune c'est la poignée de libération qui sépare la voile principale. Le seul élément qui manque c'est la poignée d'ouverture du secours qui est tombée on ne sait où. La PDS voulant que l'on la lâche après avoir tiré dessus.
La plane ou couteau à deux manches est un outil pour le travail du bois. Elle est composée d'une lame semblable à celle d'un couteau, munie de deux poignées, à chaque extrémité de la lame. Elle permet le dégrossissage et le creusage de formes courbes, galbées et même droites. On s'en sert essentiellement pour enlever l'écorce d'un morceau de bois que l'on veut travailler. On manie la plane en la tirant vers soi.
Poignée de porte en forme de souris, Restaurant Hippendorf, Lindengrabenstraße à Gevelsberg, en Allemagne.
Photographie, Lorraine (France), Guerre mondiale (1914-1918), Ruines, Églises -- France, Première guerre mondiale, Photographies en noir et blanc, Georg Diancourt (1887-1969), Ornes (Meuse, France)
Ruines de l'église d'Ornes pendant la première guerre mondiale, par Georg Diancourt, soldat allemand qui a photographié les zones de combats durant la première guerre mondiale. Bien qu'il comporte encore quelques maisons et garde une poignée d'habitants permanents, le village est classé comme « mort pour la France ». Il fait partie des villages français détruits durant la Première Guerre mondiale, de même que les localités voisines de Bezonvaux, Douaumont et Vaux-devant-Damloup. Comme elles, il continue à bénéficier d'une existence officielle en tant que commune, mais avec à sa tête un maire nommé par le préfet de la Meuse. Le 21 février 1916, le tonnerre des canons marque le début de la bataille de Verdun. Situé sur le secteur de Verdun, le village, pris par les troupes allemandes le 24 février 1916, sera repris par les Français le 23 août 1917. Entre-temps il aura été totalement ruiné sous l'acharnement des échanges d'artillerie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ornes
Dessins et plans, Rouge, Extincteurs d'incendie, Incendies -- Agents d'extinction, Services des incendies -- Appareils et matériel
Schéma d'un extincteur à eau : A : Percuteur, B : Poignée de percussion et de transport, C : Emplacement de la goupille de sécurité, D : Corps de robinet, E : Sparklet (Cartouche de gaz propulseur), F : Tube d'injection du gaz propulseur, G : Tube plongeur, H : Corps d'extincteur, a : Douchette, b : Tube métallique, c : Gâchette, d : Tuyau souple.
Dessins et plans, Rouge, Extincteurs d'incendie, Incendies -- Agents d'extinction, Services des incendies -- Appareils et matériel
Schéma d'un extincteur à poudre. A : Percuteur, B : Poignée de percussion et de transport, C : Emplacement de la goupille de sécurité, D : Corps de robinet, E : Sparklet (Cartouche de gaz propulseur), F : Tube de détassement, G : Tube plongeur, H : Corps d'extincteur, a : Buse, b : Gâchette, c : Tuyau souple.
Textes, Journalisme, Confettis, Année 1895, Enquête sur le terrain (journalisme), Journalisme de divertissement, Journalistes, Mi-Carême
Reportage sur la soirée de la Mi-Carême à Paris, 22 mars 1895, in "Le petit journal" : "La soirée a été on ne peut plus gaie sur les boulevards. Impossible d'évaluer le nombre de Parisiens qui ont circulé entre la Madeleine et la Place de la République de neuf heures à minuit. Vers sept heures et demie une pluie fine est tombée mais elle n'a pas été de longue durée. Un service d'ordre avait été organisé place de l'Opéra en vue du bal qui s'y donnait. La circulation sur ce point était devenue presque impossible. Il n'y a pas eu d'accident tant la foule était docile et de bonne humeur. On ne songeait qu'à se lancer des confetti par poignées ; le sol en était jonché à ce point qu'on enfonçait dedans jusqu'aux chevilles. Ce n'était pas moins gai au quartier Latin, et boulevard Saint-Michel les étudiants, qui semblaient infatigables, se sont amusés comme des fous."
Vibraslap vu de face : instrument de percussion, composé d'une poignée en métal en forme de « U » avec d'un côté une boule de bois et de l'autre, une caisse de résonance, en bois également. Celle-ci est pourvue de parties mobiles (les petites tiges métalliques visibles sur la photo) qui viennent toucher les parois de la caisse lorsqu'on utilise l'instrument. Le vibraslap se tient fermement par la poignée ou se fixe sur un support. Le fait de frapper la boule, ou d'appuyer dessus pour la relâcher brusquement, provoque une vibration le long de la poignée, qui se transmet ensuite à la caisse de résonance et provoque une stridulation plus ou moins forte.