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Photographie | Phares -- France | Phares | Architecture | Géographie | Maçonnerie | Aides à la navigation | Gravure | Phare du XXe siècle en France | Architecture domestique | Dessins et plans | Viaducs -- France | Paul Séjourné (1851-1939) | Ponts en maçonnerie | Architecture civile | Signalisation maritime | Mer du Nord | Balises | Outils | Cartes postales | ...
Bétonnière. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b0a121-betonniere

Bétonnière

Une bétonnière est une machine servant à malaxer les différents constituants du mortier (ciment ou chaux, sable, eau) ou du béton.

Fil à plomb. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c45f11-fil-a-plomb

Fil à plomb

Le fil à plomb est un outil constitué d'un fil lesté utilisé pour obtenir des verticales (ou du moins la direction de la pesanteur à un endroit précis).

Lézardes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bf07bf-lezardes

Lézardes

Mur lézardé de partout, "Wallstones Breaking" 2008, encre sur papier, par Dimitry Borshch. Légende en français : Il n'est le marbre ne le prophyre, qui n'ayt sa vieillesse & décadence, François Rabelais, Tiers Livre, ch. XXVIII.

Mur de moellons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b648bc-mur-de-moellons

Mur de moellons

Maçonnerie (mur mitoyen) en moellons de calcaire smillés partiellement jointoyés au mortier de chaux (joints tirés au fer).

Truelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51793a91-truelle

Truelle

Outil dont les maçons et plâtriers se servent pour manipuler le plâtre ou le mortier et qui est formé d’une lame triangulaire de métal au bout arrondi ou carré et dont le manche recourbé est garni d’une poignée généralement en bois.

Viaduc ferroviaire de Roizonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/564591d2-viaduc-ferroviaire-de-roizonne

Viaduc ferroviaire de Roizonne

Le Viaduc ferroviaire de la Roizonne, vue d'ensemble depuis le nord (rive droite, côté aval), un des derniers viaducs en maçonnerie ; oeuvre de Paul Séjourné.

Ancien château d'eau de Forges en Seine-et-Marne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53dfa0a5-ancien-chateau-d-eau-de-forges-en-seine-et-marne

Ancien château d'eau de Forges en Seine-et-Marne

Tour en maçonnerie de l'ancien château d'eau de Forges. (département de la Seine-et-Marne, région Île-de-France).

Ancien phare de Richard sur l'estuaire de la Gironde. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a988da-phare-de-richard-

Ancien phare de Richard sur l'estuaire de la Gironde

Le phare de Richard se trouve à Jau-Dignac-et-Loirac. Comme tous les phares de l'estuaire de la Gironde, il n'est plus en activité. Dans la commune de Jau-Dignac-et-Loirac, en bordure des « polders de Hollande » aménagés au XVIIe siècle sur la rive gauche, un arbre guidait la navigation sur l'estuaire de la Gironde, l'arbre de Richard. Au début du XIXe siècle, l'arbre est abattu par la tempête. Un phare en maçonnerie est construit en 1843, haut de 18 mètres. Ce lieu devient le rendez-vous communal et des bals populaires sont organisés. En 1993 est créée l'Association communale du phare de Richard. Elle est animée par une équipe de bénévoles qui gère ce patrimoine culturel. Du phare de Richard se dessine un superbe panorama sur l'estuaire de la Gironde, les côtes charentaises et les "polders de Hollande". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Richard

Caponnière de la tour médiévale Dex à Metz. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468d74b-caponniere-de-la-tour-medievale-dex-a-metz

Caponnière de la tour médiévale Dex à Metz

Caponnière de la tour médiévale Dex des remparts de Metz (Moselle). Les caponnières sont des petits ouvrages bas, implantés en fond de fossé et recouverts d'une épaisse et massive toiture en maçonnerie posée sur voûtes et faisant office de blindage supérieur. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Caponni%C3%A8re

Cheminée de l'abbaye du Mont Saint-Michel. Source : http://data.abuledu.org/URI/532e9fdb-cheminee-de-l-abbaye-du-mont-saint-michel

Cheminée de l'abbaye du Mont Saint-Michel

Cheminée de l'abbaye du Mont Saint-Michel : âtre du scriptorium.

Commanderie des Vieux-joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8e24-commanderie-des-vieux-joncs

Commanderie des Vieux-joncs

Commanderie des vieux-Joncs à Oude Biesen (Belgique). Source : Bibliotheca regia Monacensis. Une description précise accompagne cette gravure : Entre les villes de Tongres, Bilsen et Maestricht on trouve un terrain inégal et varié, qui ne tient ni de l'aridité de la Campine, ni de l'uniformité de la Hesbaye. Dans cet agréable lieu, les bois n'ont rien de sauvage, et les collines, loin de ressembler aux rochers de la Meuse, ne sont composées que d'une terre douce et fertile, qui, sans attendre les soins de l'habitant, se couvre partout d'une riante verdure dont ce paysage tire son plus grand agrément. Le sommet d'une de ces collines, creusé par les mains de la nature, forme un vaste bassin, au fond duquel est bâti un grand et magnifique château, environné d'un parc fermé de murailles, qui sert de retraite à plusieurs espèces de bêtes fauves. Une longue avenue de haute futaie le traverse de part en part, et mène à une porte d'une belle architecture par où on entre dans une vaste cour, plantée de sapins d'une hauteur étonnante. On y voit à gauche une galerie en portiques, qui communique à une grande chapelle d'une architecture noble et bien entendue; le côté gauche est borné par divers bâtiments qui lui sont communs avec une seconde cour très-vaste, destinée aux usages rustiques. En face on trouve l'accès d'une troisième cour, qui borde un large fossé revêtu de maçonnerie et plein d'eau. Un semblable fossé fait l'enceinte du donjon, qui est carré et flanqué de quatre grosses tours rondes. Ce grand édifice renferme une quatrième cour carrée, belle et spacieuse, où l'on entre par deux ponts-levis, dont l'un regarde les cours et l'autre un parterre et d'autres jardins très agréables situés à l'occident. Les appartements y sont en grand nombre et remarquables, tant par la grandeur et l'élégance qui y brille, que par la richesse des meubles et la commodité des dégagements.

Coupe du barrage d'Alfeld dans le Haut-Rhin. Source : http://data.abuledu.org/URI/51cbf952-coupe-du-barrage-d-alfeld-dans-le-haut-rhin

Coupe du barrage d'Alfeld dans le Haut-Rhin

Plan de coupe du Barrage d'Alfeld, France. Le grand mur (23 m de hauteur, 255 m de longueur à la crête) est composé d'un morceau courbe de rayon de 180 m environ, posé sur deux morceaux rectiligne, ceci permettant de faire travailler le barrage en voûte. À l'origine, le barrage était constitué seulement d'un mur en maçonnerie, mais le poids de ce dernier était insuffisant pour retenir toute la poussée de l'eau. Par la suite, un remblai a été mis en place pour soutenir le mur d'origine. La fonctionnalité de ce barrage est de limiter les crues en hiver et apporte un débit minimum en été et il a été bâti pendant la période d'occupation allemande de l'Alsace-Lorraine (1870-1914). Il est géré par le département.

Double caponnière du fort de France à Colmars. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468d81b-double-caponniere-du-fort-de-france-a-colmars

Double caponnière du fort de France à Colmars

Double caponnière allant de la place au fort de France à Colmars en Alpes-de-Haute-Provence. C'est un passage de trois mètres de largeur en moyenne, semi-enterré mais non recouvert, situé au fond du fossé et permettant, à partir d'une poterne débouchant au pied de la courtine, de joindre le corps de place à un ouvrage extérieur, une demi-lune ou une lunette par exemple. Sur toute sa longueur, la caponnière est bordée à droite et à gauche, d'un parapet (en terre ou en maçonnerie) permettant de fournir des feux d'infanterie de part et d'autre de ce passage et, partant, d'interdire à l'assiégeant de circuler librement au fond du fossé dans le cas où celui-ci serait parvenu à y descendre. Par extension, le terme caponnière fut attribué à tout passage protégé assurant une liaison entre deux ouvrages, fut-il semi-enterré en fond de fossé ou pas. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Caponni%C3%A8re

Fenêtre traditionnelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ae8e0-fenetre-traditionnelle-

Fenêtre traditionnelle

Fenêtre traditionnelle aux volets ouverts, vue de l'extérieur. La partie scellée au mur de manière étanche est le fixe, le bâti, le dormant de la fenêtre. La partie mobile est l'ouvrant qui refermé doit assurer en façade l'étanchéité aux intempéries et au bruit. Les fenêtres font partie avec les portes de ce qui constitue l'huisserie placée sur les tableaux de maçonnerie dès le XIIIe siècle. La totalité de la fenêtre a été, dès lors, traditionnellement réalisée en menuiserie de bois pour son bâti, ses cadres fermant avec l'emboîtement de gueule-de-loup et leurs traverses, croisillons et parecloses tenant les carreaux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fen%C3%AAtre

Jean Macé franc-maçon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f42dee-jean-mace-franc-macon

Jean Macé franc-maçon

Tablier brodé et cordon de maître franc-maçon de Jean Macé (exposition temporaire au Musée historique de Strasbourg, prêt de la mairie de Beblenheim). Fils d’ouvriers, Jean Macé a reçu une grande éducation au collège Stanislas de Paris et travaille entre autres pour le journal "La République". Il quitte la capitale après le coup d’État du 2 décembre 1851 de Louis-Napoléon Bonaparte. Enseignant, il a l’idée d’écrire pour les enfants des ouvrages de vulgarisation scientifique comme "L’Histoire d’une bouchée de pain, lettres à une petite fille sur nos organes et nos fonctions", publié en 1861 et qui connaît un grand succès. Il écrit alors des articles dans "L'Économiste français", hebdomadaire économique fondé en 1862 par Jules Duval (1813-1870). Il œuvre pour l’instruction des masses en fondant "Le Magasin d'éducation et de récréation" en 1864 avec l'éditeur Pierre-Jules Hetzel, puis en créant "la Ligue de l'enseignement" en 1866 qui se bat pour l’instauration d’une école gratuite, obligatoire et laïque. C'est à cette époque qu'il se lie d'amitié avec l'officier Louis-Nathaniel Rossel (futur délégué à la guerre de la Commune de Paris), partisan de l'éducation des classes ouvrières, puis Maurice Berteaux, député de Seine-et-Oise. Il est élu sénateur inamovible en 1883. Jean Macé était franc-maçon. Il fut actif aux loges de la Parfaite Harmonie de Mulhouse et de la Fidélité de Colmar et membre des Frères Réunis à Strasbourg. Suite à la défaite de 1870, il influença le Grand Orient de France en un sens patriote et chauvin.

Maçons. Source : http://data.abuledu.org/URI/51acb435-macons

Maçons

Le maçon est un professionnel du bâtiment qui pratique la maçonnerie. Cette discipline consiste à créer, choisir et utiliser des éléments de construction composés de divers matériaux (briques, pierres, paille, torchis, terre, bois, métaux, béton...) pour édifier, parfois de manière artistique, une habitation, un monument, une cheminée ou tout autre ouvrage ou œuvre de construction.

Panneau sur Les Thermes de l'Ouest à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b59626-panneau-sur-les-thermes-de-l-ouest-a-jerash

Panneau sur Les Thermes de l'Ouest à Jerash

Description en Français présente sur un panneau d'information : Les thermes de l'ouest à Jerash en Jordanie. II° siècle après J.C. - 749 après J.C. Les thermes dits de l'Ouest correspondent au plus ancien des sept établissements de bains publics actuellement connus sur le site. Ils n’ont pas été fouillés mais leur phase ancienne peut-être datée du tout début du II° siècle, voire même de la fin du Ier siècle. De plan typiquement romain, ils comprennent un bâtiment consacré aux bains construit au centre d'une cour entourée de portiques. Cette vaste cour, appelée palestre, permettait aux baigneurs de se détendre et/ou de pratiquer des exercices sportifs après et avant de rejoindre les salles froides, tièdes et chaudes du bâtiment thermal. Primitivement limité à trois grandes salles, le bâtiment thermal fut considérablement agrandi au IIIe siècle suivant un plan symétrique, dit "impérial". Les thermes romains sont bien connus pour leurs extraordinaires voûtes en maçonnerie. Le monument de Gerasa est particulièrement remarquable par les voûtes en pierre, beaucoup plus exceptionnelles et difficiles à construire, couvrant les différentes salles froides et chaudes du secteur thermal, en particulier les coupoles sur pendentifs. L'une d'elles a traversé les siècles et est parfaitement conservée. C'est la plus ancienne structure de ce type encore in situ connue au monde. Source : IFPO, tapuscrit Erics

Petit ramoneur de cheminée en Savoie en 1910. Source : http://data.abuledu.org/URI/58c87d9f-petit-ramoneur-de-cheminee-en-savoie-en-1910

Petit ramoneur de cheminée en Savoie en 1910

Carte postale ancienne - Petit ramoneur savoyard - D. Grimal, Chambéry, n°810 - Tampon postal au dos : 1910.

Phare de Berck en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535925f6-phare-de-berck

Phare de Berck en mer du Nord

Situé à l'embouchure de la baie d'Authie, sur la pointe du Haut-Banc, dans les dunes, l'actuel phare de Berck (Pas-de-Calais) a été construit en béton précontraint. C'est une tour cylindrique en maçonnerie de béton qui est accolée à un bâtiment en forme de L dans un grand jardin. Il est situé à proximité de l'hôpital maritime de Berck. Le phare précédent, bâti en 1836, a été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale en 1944. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 44.50 m - Elévation : 57 m - Porté : 24 milles marins. Feux : 1 éclat blanc régulier 5 s. Optique : verre taillé à 4 panneaux focale 0.30 m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Berck

Phare de Bodic . Source : http://data.abuledu.org/URI/53a9809d-phare-de-bodic-

Phare de Bodic

Le phare de Bodic est situé le long de l'estuaire du Trieux sur la commune française de Lézardrieux. Construit sur le plateau en plein champ, la lanterne se trouve perchée à 48,90 mètres au-dessus de la mer. La tour cylindrique en maçonnerie est constituée de pierres lisses, elle est accolée à un mur de façade trapézoïdal en maçonnerie lisse avec chaînes d'angle en maçonnerie de pierres apparentes. L'édifice actuel est un projet présenté par l'architecte et les ingénieurs Condemine et Grattesat, approuvé par décret du 24 mars 1947. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Bodic

Phare de Boulogne-sur-mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591809-phare-carnot-boulogne-sur-mer

Phare de Boulogne-sur-mer

Le phare de Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, est un phare classé "phare en mer" (le seul de la région) se trouvant en bout de la jetée Carnot sur des anciennes fortifications. La tour cylindrique est en maçonnerie lisse blanche, et verte en son sommet. Il existait un phare antique, la Turris Ardens. Cette tour fut érigée sur ordre de l'empereur romain Caligula en l'an 39 ap. J.-C., après qu'il eut renoncé à envahir l'Angleterre. Ses feux devaient briller toutes les nuits comme à Alexandrie. À partir de 39 ap. J.-C., la côte de Boulogne-sur-Mer est donc éclairée par l'un des premiers phares au monde avec la Tour de Pharos à Alexandrie. La tour ne se trouvait pas à la place du phare actuel, mais sur la falaise, à l'emplacement de l'actuel Calvaire des Marins. Haute de 60 mètres, hauteur remarquable pour l'époque, elle était de forme pyramidale sur plan octogonal et comportait 13 niveaux. Elle était faite de rangs alternés de pierres et de briques. Le phare actuel est construit en 1968. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Boulogne

Phare de Cayeux en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535927d6-phare-de-cayeux-sur-mer

Phare de Cayeux en Mer du Nord

Le phare de Cayeux est situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, au sud de la baie de Somme. Le phare est détruit le 31 août 1944 par les troupes allemandes. Un feu provisoire est mis en service le 25 avril 1947 en attendant la construction du phare actuel. En septembre 1951, le nouveau phare est mis en service. C'est une tour cylindrique en maçonnerie lisse, peinte en rouge et blanc. Un pavillon attenant sert de logement pour le gardien. Il est automatisé depuis 1999. Le contrôle s'effectue du bureau de Saint-Valery-sur-Somme où il y a toujours un membre du personnel d'astreinte. Hauteur : 28 m - Elévation : 35 m - Portée : 19 milles. Feux : 1 éclat rouge régulier, 5 secondes. Optique : éclats tournants, 4 lentilles de Fresnel, focale 0.375m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Cayeux

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e60fd-phare-de-honfleur

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Honfleur, appelé aussi phare de la Falaise des Fonds ou phare du Butin, se situe sur la commune de Honfleur, département du Calvados, sur la rive sud de l'estuaire de la Seine en aval du pont de Normandie. En 1908, ce phare fut réalisé à l'extinction du phare de Fatouville pour signaler l'entrée ouest du port de Honfleur. Il fut équipé d'un feu à 2 occultations/8 secondes (3 secteurs blancs, 2 secteurs rouges et un secteur vert). En 1933, il est électrifié et modifié en feu à 2 occultations/12 secondes (secteurs colorés : 3 blancs, 2 rouges, 1 vert). Il est éteint durant la guerre et rallumé en 1951. Le phare de Honfleur a été légèrement modifié après la guerre, lors de la construction de la route. C'est une tour carrée blanche en maçonnerie de pierres apparentes, corniche et chaînage d'angle en pierre de taille de granit de Cherbourg. Elle est rehaussée de la lanterne verte et l'appareillage provenant de l'ancien phare de l'Hôpital. Elle est équipée d'un feu à 3 éclats/12 secondes (secteurs colorés blancs, rouges, verts). Un feu rouge, présent sur la jetée, complète la signalisation. Hauteur : 14.50 m - Elévation : 17.50 m ; feux : 3 éclats/12 secondes (secteurs blancs, rouges et verts) ; Optique : tambour 360°/0.50 m de focal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Honfleur

Phare de Lège-Cap-Ferret sur le Bassin d'Arcachon. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a9872c-phare-de-lege-cap-ferret-

Phare de Lège-Cap-Ferret sur le Bassin d'Arcachon

Le phare du Cap-Ferret est constitué d'une tour tronconique en maçonnerie lisse blanche et partie supérieure peinte en rouge, jouxtant un bâtiment rectangulaire abritant la salle des machines, l'ascenseur et les logements.

Phare nord d'Hourtin en Médoc. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98224-phare-d-hourtin

Phare nord d'Hourtin en Médoc

Les phares d'Hourtin sont des tours carrées de 27 m de haut, en maçonnerie de briques apparentes sur soubassement de pierres. Ils sont distants de 200 mètres sur un axe orienté nord/sud. Les phares d'Hourtin furent construits en 1860, pour signaler l’intervalle d’ombre entre la pointe de Grave et le Cap Ferret, où l’on ne voyait aucun feu. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Hourtin

Porte et fenêtre à imposte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b646ec-porte-et-fenetre-a-imposte

Porte et fenêtre à imposte

Porte et fenêtre à imposte. Une imposte est, par extension au vocaburaire de maçonnerie, la partie supérieure indépendante fixe ou ouvrante d'une porte (extérieure tout comme intérieure) ou d'une fenêtre. Elle permet de laisser passer de la lumière. Quand elle est ouvrante et vitrée, elle est souvent appelée « vasistas ».

Récupération de conteneurs pour l'habitat. Source : http://data.abuledu.org/URI/51168906-recuperation-de-conteneurs-pour-l-habitat

Récupération de conteneurs pour l'habitat

Récupération de deux conteneurs pour l'habitat. Depuis 2006, en Hollande, des artistes ont eu l'idée d'utiliser des conteneurs pour aménager d'abord des ateliers, puis des logements d'étudiants. Leur caractère empilable a permis à des architectes de développer le projet en les empilant sur plusieurs étages pour créer de véritables immeubles de cités universitaires. L'avantage est certainement moins le coût de revient, puisque, à confort égal, les aménagements de second œuvre sont identiques à ceux d'une construction en maçonnerie, que la rapidité d'une installation préfabriquée et autoporteuse, ainsi que le caractère rapidement démontable qui permet aux promoteurs de se dispenser de demander une autorisation de construire normale, comme s'il s'agissait d'un habitat de cantonnement.

Répartition mondiale des francs-maçons en 2000. Source : http://data.abuledu.org/URI/507d8a56-repartition-mondiale-des-francs-macons-en-2000

Répartition mondiale des francs-maçons en 2000

Carte du nombre de francs-maçons dans le monde en l'an 2000. Source : informations publiées dans la revue "l'histoire", n°256, juillet août 2001. Le nombre de francs-maçons en France serait erroné : selon le reportage d'"Enquêtes et révélations" diffusé sur TF1 le mardi 2 novembre 2010 à 0h20, ce nombre serait en constante augmentation, mais ne dépasserait pas les 150 000 adeptes. Logo de l'équerre et du compas : leur association symbolise une conjonction d’opposés (masculin et féminin, terrestre et céleste, matériel et spirituel), un équilibre à construire ou à maintenir. Le compas représente le ciel, alors que l’équerre représente la terre ; quand les deux symboles sont entrecroisés, microcosme et macrocosme sont imbriqués.

Théatre antique restauré de Sabratha . Source : http://data.abuledu.org/URI/552e3e2d-theatre-de-sabratha-

Théatre antique restauré de Sabratha

Le monument le plus important du site de Sabratha est le théâtre romain localisé dans la partie Est. La date de construction non connue de façon certaine peut être située entre les II et le IIIe siècle après J.-C. Les archéologues ont calculé qu'il pouvait accueillir 5 000 spectateurs. Quand les Italiens entreprirent les fouilles, ce n'était qu'un monticule de sable et de maçonnerie. Il doit sa stature monumentale actuelle à un minutieux travail de restauration qui se fonda sur une patiente étude des vestiges retrouvés. Extérieurement, l'auditorium semi-circulaire, comportait trois étages ; la restauration n'en a partiellement révélé que deux. Faute d'une pente naturelle pour le construire, les gradins reposent sur une voûte en blocage. Derrière les ruines reconstituées on voit les colonnades complexes du mur de scène qui avait à l'origine la même hauteur que l'auditorium et formait avec lui un demi-cercle entièrement clos. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sabratha

Trace d'une perpendiculaire avec la méthode du 3 4 5. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ac8562-trace-d-une-perpendiculaire-avec-la-methode-du-3-4-5

Trace d'une perpendiculaire avec la méthode du 3 4 5

Tracé d'une perpendiculaire en maçonnerie, méthode du 3-4-5 : le triangle est rectangle (théorème de Pythagore).

Triangle maçonnique du bicentenaire de la Révolution Française. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e334ff-triangle-maconnique-du-bicentenaire-de-la-revolution-francaise

Triangle maçonnique du bicentenaire de la Révolution Française

Commémoration du bicentenaire de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, avec un trois points, un triangle, et un niveau gravé. On distingue également un "clou" portant un insigne avec un bonnet phrygien. Monument maçonnique du Champ-de-Mars à Paris.

Viaduc ferroviaire de la Roizonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/564592b0-viaduc-de-la-roizonne

Viaduc ferroviaire de la Roizonne

Carte postale ancienne, sans mention d'éditeur, n° 74 : "DAUPHINÉ - Environs de La Mure - Pont de la Roizonne (hauteur 120 m, arche centrale de 90 m. de portée)."

Viaduc ferroviaire Séjourné à Fontpédrouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/564590a5-viaduc-sejourne-a-fontpedrouse

Viaduc ferroviaire Séjourné à Fontpédrouse

Le train jaune pour la Cerdagne sur le Pont Séjourné, viaduc de la ligne de Cerdagne, sur la commune de Fontpédrouse (Pyrénées-Orientales, Languedoc-Roussillon, France) : pont à deux étages d'une longueur de 236,70 m séparés par un tablier intermédiaire. La partie centrale, qui enjambe le torrent, est encadrée par deux piles carrées ornées en leur sommet de créneaux. À l'étage inférieur, elle présente un grand arc ogival, d'une ouverture de 30 m pour une hauteur par rapport au torrent de 35 m. Cet arc, dont la clé de voûte touche le tablier de séparation des deux étages, porte, de part et d'autre de sa clef de voûte, deux arcs secondaires soutenant eux-aussi ce tablier intermédiaire. Sur ce premier étage se dressent quatre arcs, soutenant le tablier de la voie ferrée, prenant appui sur les deux grosses piles carrées encadrant la travée principale, ainsi que sur trois piles s'élevant par dessus l'arc ogival de l'étage inférieur. Enfin, deux viaducs d'approche avec arcs en plein cintre en maçonnerie encadrent cette partie centrale. Il a été conçu par Paul Séjourné, ingénieur français. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_S%C3%A9journ%C3%A9