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Photographie | Architecture médiévale | Tours -- France | Gravure | Dessins et plans | Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768) | Peinture | Architecture militaire | France -- Moeurs et coutumes (1328-1600) | Architecture | Manuscrits à enluminures | Tours | Art médiéval | Architecture -- Dessins et plans | Très riches heures du duc de Berry | La Rochelle (Charente-Maritime) -- Vieux-Port | Mois | Barbaste (Lot-et-Garonne) -- Moulin des Tours | Cartes topographiques | Nérac (Lot-et-Garonne) | ...
Beffroi de Saint-Riquier, Somme, Picardie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5565cf8b-beffroi-de-saint-riquier-somme-picardie

Beffroi de Saint-Riquier, Somme, Picardie

Beffroi de Saint-Riquier, Somme, Picardie. Il est le symbole de l’indépendance municipale car Saint-Riquier a obtenu en 1126 une des premières chartes communales de France. Il fut reconstruit et terminé en 1528. Imposante tour carrée de pierres blanches haute de 18 mètres, large de 9,4 mètres et posée sur un soubassement de grès, le beffroi est flanqué de 4 tourelles d’angle à clocheton pour le guet. Depuis juillet 2005, il est classé au Patrimoine mondial de l’Unesco. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Riquier

Échafaudages médiévaux au château de Guédelon. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f3118-echafaudages-medievaux-au-chateau-de-guedelon

Échafaudages médiévaux au château de Guédelon

Échafaudages à la tour principale de Guédelon, Bourgogne.

Fort du Hâ à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5547b55f-fort-du-ha-a-bordeaux

Fort du Hâ à Bordeaux

Le Fort du Hâ à Bordeaux. Il a été construit par décision du roi Charles VII, immédiatement après la reprise définitive de Bordeaux aux Anglais en 1453. Ses deux tours, la Tour dite des Anglais et la Tour des Minimes, sont inscrites au titre des monuments historiques le 12 avril 1965. Jean des Vignes est considéré par beaucoup comme l'architecte du château du Hâ. Toutefois, en se fondant sur des similitudes dans les caractéristiques architecturales, le nom de Mathieu de Fortune, constructeur du château Neuf de Bayonne, a pu être avancé, Jean des Vignes n'aurait été alors que le maître d'œuvre.

La tour de Fourc à Cestas. Source : http://data.abuledu.org/URI/566f0b1d-la-tour-de-fourc-a-cestas-

La tour de Fourc à Cestas

La tour de Fourc à la limite de Cestas et Canéjan (Gironde). Tableau de J. Barthélémy, 1905. La tour a été démolie au début du XX° siècle. Le chemin de Fourc longe la rive droite de l'Eau Bourde, direction nord-sud et traverse le bourg de Cestas. Source : Cestas en Graves et Landes girondines, AVC.

Les trois tours de La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/582621d2-les-trois-tours-de-la-rochelle

Les trois tours de La Rochelle

Tour Saint-Nicolas à La Rochelle-17.

Remparts et tour Névet à Quimper. Source : http://data.abuledu.org/URI/58588c0c-remparts-et-tour-nevet-a-quimper

Remparts et tour Névet à Quimper

Quimper : la tour Névet et le rempart.

Tour carrée de Salies-de-Béarn. Source : http://data.abuledu.org/URI/5865e193-tour-carree-de-salies-de-bearn

Tour carrée de Salies-de-Béarn

Tour carrée à Salies-de-Béarn, 64 : ancien temple protestant.

Tour de Dieppe. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fa0210-tour-de-dieppe

Tour de Dieppe

Tour de Dieppe, graphite et aquarelle, par George Hayter (1792–1871), 213 mm x 144 mm. Source : British Museum, Londres.

Tour de Sauveterre-de-Béarn. Source : http://data.abuledu.org/URI/58669879-tour-de-sauveterre-de-bearn

Tour de Sauveterre-de-Béarn

Tour de Sauveterre-de-Béarn, décembre 2016.

Tour de Sauveterre-de-Béarn. Source : http://data.abuledu.org/URI/586698a4-tour-de-sauveterre-de-bearn

Tour de Sauveterre-de-Béarn

Tour de Sauveterre-de-Béarn, décembre 2016.

Tour Saint-Nicolas à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/58262159-tour-saint-nicolas-a-la-rochelle

Tour Saint-Nicolas à La Rochelle

Tour Saint-Nicolas à La Rochelle-17.

Chemins de Saint Jacques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50636dcc-chemins-de-saint-jacques

Chemins de Saint Jacques

Cartographie des quatre principaux chemins de pélerinages de Saint-Jacques en France ; d'ouest en est, les noms latins des quatre voies : Via Turonensis, Via Lemovicensis, Via Podensis, Via Tolosana. La première part de la tour Saint-Jacques à Paris, puis traverse Orléans ou Chartres, Tours, Poitiers, Bordeaux. Les quatre voies se rejoignent à leur arrivée en Espagne et prennent le nom de "Camino francés" qui conduit jusqu'à Saint-Jacques-de-Compostelle en Galice.

Chevaux de cirque. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ea96c-chevaux-de-cirque

Chevaux de cirque

Croquis de chevaux de cirque, 1899, par Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901). Dans son acception moderne, un cirque est une troupe d'artistes, traditionnellement itinérante, qui comporte le plus souvent des acrobates, des numéros de dressage et de domptage d’animaux, des spectacles de clowns, des tours de magie. La première représentation d’un cirque moderne date du 9 janvier 1768 et a été présentée par Philip Astley à Londres. Vétéran de retour d’Amérique, il décide de représenter surtout des spectacles équestres égayés par des bateleurs. Le mariage du monde équestre militaire et du monde forain autour du cercle est établi. Cette nouvelle forme de spectacle, fondée essentiellement sur des exercices équestres, fut ensuite introduite en France par Astley en 1774, puis reprise par Antonio Franconi et ses descendants. C'est seulement au XIXe siècle lors des vagues de colonisation que furent introduits en France et en Allemagne les premiers animaux sauvages.

Contreforts en pierre de Notre Dame. Source : http://data.abuledu.org/URI/51439cae-contreforts-en-pierre-de-notre-dame

Contreforts en pierre de Notre Dame

Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".

Descartes à Tours. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ec0b0-descartes-a-tours

Descartes à Tours

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.243 : manuel scolaire, édition de 1904 : LA STATUE DE DESCARTES ET LE PONT SUR LA LOIRE A TOURS. - Le savant Descartes (1596-1650) naquit à la Haye, près de Tours (Indre-et-Loire), en 1596, et mourut à Stockholm en 1650.

Descriptif du château de Rigny Ussé. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1aa96-descriptif-du-chateau-de-rigny-usse

Descriptif du château de Rigny Ussé

Descriptif bilingue du château de Rigny-Ussé : "Dominant l'Indre, le château de Rigny-Ussé est une forteresse de pierre blanche, imposante par ses tours, ses clochetons, ses cheminées. Charles Perrault s'en serait inspiré pour décrire le château de la "Belle au bois dormant". Très ancienne, cette forteresse appartint à la grande famille tourangelle, les du Bueil, qui s'illustrèrent pendant la guerre de Cent Ans. Antoine du Bueil épousa une des filles d'Agnès Sorel et de Charles VII. Vendu en 1485 aux Espinay, famille bretonne au service de Charles VIII et Anne de Bretagne, le château fut la propriété du gendre de Vauban ; aujourd'hui le château appartient au marquis de Blacas."

Descriptif du château de Sarzay. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1963c-descriptif-du-chateau-de-sarzay

Descriptif du château de Sarzay

Descriptif bilingue du château de Sarzay : "Ce château construit au XVI° siècle fut une imposante forteresse comprenant 38 tours et 3 ponts-levis, elle sortit intacte de la Guerre de Cent ans, des guerres de religion, de la Fronde et de la Révolution. Les armoiries : trois têtes de léopard et trois têtes d'anglais tranchées. Il est aujourd'hui un des monuments les plus photographiés. George Sand y situe son roman "Le meunier d'Angibault".

Haut-fourneau au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d954e-haut-fourneau-au-xixeme-siecle

Haut-fourneau au XIXème siècle

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.112 ; manuel scolaire, édition de 1904 : UN HAUT FOURNEAU. - Les hauts fourneaux sont des espèces de tours solides qu'on remplit par en haut de minerai de fer. Une fois que le haut fourneau est allumé, on le remplit jour et nuit sans interruption pour avoir la plus grande chaleur possible jusqu'à ce que les murs usés se fendent et éclatent. A mesure que le fer se fond, il tombe en dessous, dans un réservoir.

La cité de Carcassonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dd0cc-la-cite-de-carcassonne

La cité de Carcassonne

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.209 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LA CITÉ DE CARCASSONNE - La vieille cité de Carcassonne est encore à peu près telle qu'elle était au moyen-âge. Elle se dresse au sommet d'une colline avec ses hautes murailles, ses tours aux formes les plus variées et ses portes fortifiées. - La nouvelle ville, très régulièrement bâtie, s'étend au pied de la colline, au bord de l'Aude.

La fosse des ours au Jardin des Plantes à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f15eb-la-fosse-des-ours-au-jardin-des-plantes-a-paris

La fosse des ours au Jardin des Plantes à Paris

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.291 : manuel scolaire, édition de 1904. LA FOSSE DES OURS AU JARDIN DES PLANTES. - L'ours se trouve dans toutes les parties du monde. Il recherche les montagnes et les forêts solitaires, où il trouve un abri contre les chasseurs. - Il y en a encore dans les Alpes et les Pyrénées. L'ours marche lourdement, mais nage et grimpe aux arbres avec agilité. Il est assez intelligent, et, comme il peut facilement se tenir sur ses pieds de derrière, les bateleurs lui apprennent à danser et à exécuter divers tours.

Le département d'Indre-et-Loire en 1847. Source : http://data.abuledu.org/URI/531ca04d-le-departement-d-indre-et-loire-en-1847

Le département d'Indre-et-Loire en 1847

Le département d'Indre-et-Loire en 1847, par Victor Levasseur (1800–1870) : Tours, richesses naturelles et produits régionaux. Portrait de Descartes.

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c59bb-le-mois-d-octobre-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : la scène paysanne du premier plan représente les semailles. À droite, un homme sème à la volée. Des pies et des corneilles picorent les graines qui viennent d'être semées, à proximité d'un sac blanc et d'une gibecière. Derrière, un épouvantail en forme d'archer et des fils tendus, sur lesquels sont accrochés des plumes, sont destinés à éloigner les oiseaux. À gauche, un paysan à cheval passe la herse sur laquelle est posée une pierre qui permet aux dents de pénétrer plus profondément dans la terre. Il recouvre ainsi les grains qui viennent d'être semés. À l'arrière-plan, le peintre a représenté le Palais du Louvre. Du château au centre, on distingue, outre le donjon central qui accueillait alors le trésor royal, la façade orientale à droite, encadrée par la tour de la Taillerie et la tour de la Chapelle, et à gauche la façade méridionale, avec ses deux tours jumelées au centre. L'ensemble est entouré d'une enceinte ponctuée de trois tours et de deux bretèches, visibles ici. Sur la rive, des personnages conversent ou se promènent.

Le mois de décembre des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5bde-le-mois-de-decembre-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de décembre des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de décembre des Très Riches Heures du Duc de Berry. Pour le dernier mois de l'année, le peintre n'a pas retenu l'iconographie traditionnelle de la tuerie de cochon pour Noël pour préférer une scène de vénerie. Il s'agit plus précisément de la curée, au moment où l'un des chasseurs, à droite, achève de sonner l'hallali. Les chiens dépècent le sanglier. La scène se déroule au centre d'une forêt dont les arbres sont encore en feuilles. À l'horizon se dresse le château de Vincennes, achevé par Charles V, avec son donjon central et ses tours.

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5470-le-mois-de-juin-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : illustration des travaux paysans avec une scène de fenaison. Tandis qu'au premier plan une femme râtelle du foin et qu'une autre le met en tas à l'aide d'une fourche, trois faucheurs forment des sillons au second plan à droite. D'autres personnages minuscules sont représentés dans une barque sur le fleuve, dans l'escalier menant à la poterne et dans l'escalier couvert à l'intérieur du palais. La scène se déroule en bordure de Seine, dans un champ situé à l'emplacement de l'hôtel de Nesle, résidence parisienne du duc de Berry. De l'autre côté du fleuve s'étend dans toute sa longueur le palais de la Cité, avec successivement les jardins du roi, la Salle sur l'eau, les trois tours Bonbec, d'Argent et César, puis la tour de l'Horloge. Derrière la galerie Saint-Louis au centre, les deux pignons de la Grande Salle, le Logis du roi et la tour Montgomery. À droite, la Sainte-Chapelle.

Les tours de La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/582111bc-les-tours-de-la-rochelle

Les tours de La Rochelle

Les tours de La Rochelle-17.

Les tours Saint-Jacques en Haute-Savoie. Source : http://data.abuledu.org/URI/56e5c1b4-les-tours-saint-jacques-en-haute-savoie

Les tours Saint-Jacques en Haute-Savoie

"Aux Gorges du Chéran" et vue ouest des tours Saint-Jacques sur le Semnoz en arrière-plan, depuis le pont de l'Abîme à Cusy, France.

Mariage de Sigebert Ier et Brunehaut. Source : http://data.abuledu.org/URI/522a594d-mariage-de-sigebert-ier-et-brunehaut

Mariage de Sigebert Ier et Brunehaut

Mariage de Sigebert et de Brunehaut. Manuscrit du XVème siècle, grandes chroniques. Bibliothèque Nationale de France, Paris. Au printemps 566, ayant abjuré l'arianisme, Brunehaut épouse à Metz Sigebert Ier, roi de Metz. Le mariage de Brunehaut est évoqué dans le livre de Grégoire de Tours et dans un poème de Fortunat. La princesse est alors présentée sous un jour favorable. De ce mariage, naissent : 1) Ingonde, qui épousera le prince wisigoth Herménégild, fils aîné du roi arien Léovigild ; 2) Clodosinde, qui aurait épousé le roi des Wisigoths d'Espagne Récarède Ier (frère cadet d'Herménégild) ; elle serait la mère du roi wisigoth Swinthila ; 3) Childebert en 570.

Mini-Château de Loches. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f14969-mini-chateau-de-loches

Mini-Château de Loches

Maquette du château de Loches, Val de Loire. Ce château a été bâti au début du XIe siècle. Édifié environ 500 mètres au-dessus de l'Indre, le château, connu principalement pour son imposant donjon carré, domine la ville de Loches. Le donjon fut réalisé par Foulques Nerra 4ème comte d'Anjou entre 987 et 1040, il mesure 36 mètres de haut. Il fut utilisé comme prison à partir du XVe siècle siècle et ce jusqu'en 1926. La caponnière est une casemate située juste à l'est du donjon elle fut construite vers 1539 pendant les guerres de religions, pour moderniser le château et défendre les fossés. La partie sud des remparts constituée de trois tours en amande a été construite par Henri II d'Angleterre et son fils, Richard Cœur-de-Lion. C'est dans ces tours que furent enfermés certains Templiers. Le château fut repris aux Anglais par Philippe II de France en 1205.

Moulin fortifié de Barbaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/5827de11-moulin-fortifie-de-barbaste

Moulin fortifié de Barbaste

Moulin des tours de Barbaste-47, moulin à blé de la fin du XIIIe. Il permettait de contrôler les passages sur le pont de Barbaste (Gélise, affluent de la Baïse).

Moulin fortifié et pont de Barbaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/5827ddbb-moulin-fortifie-et-pont-de-barbaste

Moulin fortifié et pont de Barbaste

Moulin des tours de Barbaste-47, moulin à blé de la fin du XIIIe. Il permettait de contrôler les passages sur le pont de Barbaste (Gélise, affluent de la Baïse).

Phare nord d'Hourtin en Médoc. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98224-phare-d-hourtin

Phare nord d'Hourtin en Médoc

Les phares d'Hourtin sont des tours carrées de 27 m de haut, en maçonnerie de briques apparentes sur soubassement de pierres. Ils sont distants de 200 mètres sur un axe orienté nord/sud. Les phares d'Hourtin furent construits en 1860, pour signaler l’intervalle d’ombre entre la pointe de Grave et le Cap Ferret, où l’on ne voyait aucun feu. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Hourtin

Plan de Lutèce en 508. Source : http://data.abuledu.org/URI/50734303-plan-de-lutece-en-508

Plan de Lutèce en 508

Jean-Baptiste Bourguignon d'Anville (1697-17--), 1705 : "Lutèce conquise par les François sur les Romains ou second plan de la ville de Paris : Tiré du misopogone de l'empereur Julien, d'Amian Marcellin, de Grégoire de Tours, de Boète, de l'Abbé Suger, des Anciens titres, du Trésor des Chartres, des archives de St Magloire, de St Eloy, du Temple et des Vestiges de cette ancienne enceinte qui subsiste encore aujourd'huy ou que l'on a vu de nos jours."

Plan du château de Brie-Comte-Robert. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b0f5bf-plan-du-chateau-de-brie-comte-robert

Plan du château de Brie-Comte-Robert

Plan annoté du château de Brie-Comte-Robert, en France. 1 : Tour Saint-Jean, 2 : Tours rondes, 3 : Tour Sud-Est, 4 : Tour Nord-Ouest, 5 : Tour de Brie, 6 : Cour du château, 7 : Bâtiments des communs, 8-10-11-12 : Logis seigneurial, 9 : Grande salle. Le château est construit à la fin du XIIe siècle, alors que Robert Ier de Dreux, frère du roi Louis VII, est seigneur de Brie. Le château est situé sur l'ancien domaine de Braia, propriété des évêques de Paris ; le roi Louis VI achète une partie du domaine, en 1137, pour son fils Robert Ier, qui devient ainsi le premier seigneur de Brie-Comte-Robert.

Plan du château médiéval de Guédelon. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f3276-plan-du-chateau-medieval-de-guedelon

Plan du château médiéval de Guédelon

Plan du chantier médiéval du château de Guédelon à Treigny, Yonne en Bourgogne : le châtelet entre les deux tours d'angle ; le logis du seigneur entre la tour de la chapelle et la tour maîtresse.

Semailles d'octobre des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5f96-semailles-d-octobre-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Semailles d'octobre des Très Riches Heures du Duc de Berry

Semailles d'octobre des Très Riches Heures du Duc de Berry. À droite, un homme sème à la volée. Des pies et des corneilles picorent les graines qui viennent d'être semées, à proximité d'un sac blanc et d'une gibecière. Derrière, un épouvantail en forme d'archer et des fils tendus, sur lesquels sont accrochés des plumes, sont destinés à éloigner les oiseaux. À gauche, un paysan à cheval passe la herse sur laquelle est posée une pierre qui permet aux dents de pénétrer plus profondément dans la terre. Il recouvre ainsi les grains qui viennent d'être semés. À l'arrière-plan, le peintre a représenté le Palais du Louvre. Du château au centre, on distingue, outre le donjon central qui accueillait alors le trésor royal, la façade orientale à droite, encadrée par la tour de la Taillerie et la tour de la Chapelle, et à gauche la façade méridionale, avec ses deux tours jumelées au centre. L'ensemble est entouré d'une enceinte ponctuée de trois tours et de deux bretèches, visibles ici. Sur la rive, des personnages conversent ou se promènent.

Système de fortification de Vauban 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309bbff-systeme-de-fortification-de-vauban-3

Système de fortification de Vauban 3

Ce dernier système est l'aboutissement de plusieurs décennies d'expérience militaire. Ce type d'ouvrage ne fut construit qu'une fois, ce fut Neuf-Brisach, en Alsace, destiné à remplacer la place de Vieux-Brisach (Alt-Breisach en rive droite du Rhin, perdue par la France). Il reprend les évolutions du deuxième système qui augmentait encore la défense en profondeur notamment par l'implantation de « tours-bastions » renforçant les bastions. Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fortifications_et_constructions_de_Vauban.

Tour génoise Castellucio en Corse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ca98b9-tour-genoise-castellucio-en-corse

Tour génoise Castellucio en Corse

Tour génoise Castellucio sur la Grande Île des Sanguinaires (Corse).

Tour génoise de la Parata à Ajaccio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa47f-tour-genoise-de-la-parata-a-ajaccio

Tour génoise de la Parata à Ajaccio

Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.

Tour génoise de la Parata, 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa3c2-tour-genoise-de-la-parata-1550

Tour génoise de la Parata, 1550

Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.

Tour Santa Maria. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa65a-tour-santa-maria

Tour Santa Maria

Tour génoise Santa Maria, Cap Corse : 1) guardiola, 2) terrasse, 3) salle de garde, 4) salle de repos, 5) réserves. Les tours génoises sont des édifices en pierre de 12 à 17 m de haut sur 8 à 10 m de diamètre. Parfois carrées, le plus souvent circulaires, elles sont toujours construites sur quatre niveaux : 5) la réserve : au sous-sol de la tour ; une niche servait à ranger les vivres ; on y stockait également les munitions ; et l'eau y était conservée dans une citerne, alimentée depuis la terrasse par une conduite directe ; 4) la salle de repos : au premier étage ; parfois séparée de la salle de garde par un simple plancher sommaire et formant avec elle un espace de vie unique ; 3) la salle de garde : au deuxième étage ; percée de meurtrières pour permettre aux torregiani de guetter ; 2) la terrasse : au sommet de la tour ; pour la surveillance ; percée de mâchicoulis ou munie de bretèches, était flanquée d'une guardiola. On passait d'un niveau à l'autre par des trappes et des échelles. L'accès à la porte d'entrée se faisait par une longue échelle mobile, directement au premier étage. Les gardes habitaient à tour de rôle la pièce unique pourvue de niches et d'une cheminée, et située sous la salle de guet.

Tours génoises en Corse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ca9aa4-tours-genoises-en-corse

Tours génoises en Corse

Carte des tours génoises de Corse.