Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Pollinisation par les insectes | Plantes -- Pollinisation | Botanique | Plantes | Peinture | Insectes | Pollinisation | Plantes -- Fécondation | Papillons | Vanessa cardui | Belle-dame (animaux) | Biologie animale | Salicacées | Syrphes | Biologie | Tourisme de jardins | Pollinisation par les animaux | Jaune | Echinacea | ...
Abeille butinant un tournesol. Source : http://data.abuledu.org/URI/59097b17-abeille-butinant-un-tournesol

Abeille butinant un tournesol

Abeille butinant un tournesol, 12-08-2010.

Belle-dame butinant. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b289d-belle-dame-butinant

Belle-dame butinant

Vanesse du chardon ou Belle-dame (Vanessa cardui) butinant une fleur d’échinacée pourpre (Echinacea purpurea).

Belle-dame butinant un chardon. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b2c81-belle-dame-butinant-un-chardon

Belle-dame butinant un chardon

Belle-dame (Vanessa cardui) butinant une fleur de chardon.

Butinage par un coléoptère. Source : http://data.abuledu.org/URI/565cf9e6-butinage-par-un-coleoptere

Butinage par un coléoptère

Fleur de lis martagon (Lilium martagon) butinée par un lepture tacheté (Rutpela maculata) de la famille des cérambycidés (longicornes).

Fleurs de jonc diffus. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f28a03-fleurs-de-jonc-diffus

Fleurs de jonc diffus

Fleurs de jonc diffus (juncus effusus). Les fleurs sont petites (2 mm), à 3 sépales et trois pétales beiges verdâtres, 3 étamines et un ovaire à trois lobes. La floraison se produit de mai à septembre. La pollinisation se fait par les insectes (entomogamie). Le fruit sec (follicule) forme une petite capsule. Les graines sont dispersées par les mouvements de l’eau (hydrochorie) ou transportées accrochées aux poils, pattes ou plumes d'un animal (épizoochorie). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Juncus_effusus.

Insecte posé sur une pâquerette. Source : http://data.abuledu.org/URI/5398e707-insecte-pose-sur-une-paquerette

Insecte posé sur une pâquerette

Le Syrphe ceinturé ou Syrphe à ceinture(s) (Episyrphus balteatus) est un insecte volant de l'ordre des diptères. On le confond souvent avec les guêpes, mais le syrphe est inoffensif. Son seul moyen de défense, est son extraordinaire rapidité, qui lui permet de s'éclipser en moins d'une seconde. On le retrouve près des conifères, tels que les pins et les sapins, il est commun dans les jardins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syrphe_ceintur%C3%A9

Pollinisation de fleurs de carottes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329db62-pollinisation-de-fleurs-de-carottes

Pollinisation de fleurs de carottes

Pollinisation de fleurs de carottes (Daucus carota) par la piéride du navet (Pieris napi).

Syrphe ceinturé sur une pâquerette. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adab9a-syrphe-ceinture-sur-une-paquerette

Syrphe ceinturé sur une pâquerette

Syrphe ceinturé (Episyrphus balteatus) sur une pâquerette. Ses œufs sont pondus dans des colonies de pucerons. Les larves qui en émergent se nourrissent alors uniquement de ces insectes. Les adultes, quant à eux se nourrissent de nectar et de miellat. On le confond souvent avec les guêpes, mais le syrphe est inoffensif. Son seul moyen de défense, est son extraordinaire rapidité, qui lui permet de s'éclipser en moins d'une seconde. On le retrouve près des conifères, tels que les pins et les sapins, il est commun dans les jardins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syrphe_ceintur%C3%A9

Belle-dame butinant. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b291f-belle-dame-butinant

Belle-dame butinant

Vanesse du chardon ou Belle-dame (Vanessa cardui) butinant une fleur d’échinacée pourpre (Echinacea purpurea).

Bourdon. Source : http://data.abuledu.org/URI/54db75bb-bourdon

Bourdon

Bourdon (Bombus terrestris) sur un oeillet d'Inde jaune (Tagetes patula), au jardin botanique de Tallin en Estonie, 12 août 2012.

Ciste de Montpellier en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/554f2f0b-ciste-de-montpellier-en-fleurs

Ciste de Montpellier en fleurs

Ciste de Montpellier en fleurs au gouffre de l'Oeil Doux (Massif de La Clape, Fleury, Aude) en mai 2015. Le Ciste de Montpellier (Cistus monspeliensis) est un arbuste de la garrigue, supportant bien une période d'aridité et appréciant les sols calcaires. Son feuillage persistant vert et tomenteux est composé de feuilles lancéolées, rugueuses, réticulées, simples, trinervées, et sans pétiole net. Les fleurs très parfumées et pollénifères attirent papillons et insectes qui permettent ainsi une bonne pollinisation. Les fruits sont des capsules ovales déhiscentes à 5 valves contenant de nombreuses graines. La dissémination des fruits est favorisée par les oiseaux et les petits mammifères. C'est une plante dont l'utilisation est fondamentale pour coloniser les terrains dégradés et arides car elle s'adapte parfaitement aux conditions difficiles des sols pauvres de la garrigue ainsi que des sols pauvres proches des zones côtières méditerranéennes. En freinant l'érosion de ceux-ci, elle ralentit leur désertification. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cistus_monspeliensis

Cycle de vie des Angiospermes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6199-cycle-de-vie-des-angiospermes

Cycle de vie des Angiospermes

Cycle de vie d'une Angiosperme. La division Magnoliophyta, ou angiospermes, regroupe les plantes à fleurs, et donc les végétaux qui portent des fruits. Angiosperme signifie « graine dans un récipient » en grec par opposition aux gymnospermes (graine nue). Ils représentent la plus grande partie des espèces végétales terrestres, avec de 250 000 à 300 000 espèces. Les angiospermes diffèrent cependant des autres plantes à graines par la présence des caractères suivants : 1) la condensation des organes reproducteurs en une fleur ; 2) la présence d'un ovaire enveloppant les ovules, et qui se développera pour donner un fruit ; 3) la double fécondation de l'ovule, qui donnera l'embryon et son tissu nourricier, l'albumen. La fleur et le fruit, qui sont propres à ce groupe, entraînent, pour de nombreuses espèces, une interaction avec les animaux dans la reproduction (pollinisation par les insectes, zoochorie...). Les angiospermes dominent les paysages naturels terrestres tropicaux et tempérés, comme la savane ou la forêt. Ils laissent la place aux résineux (Pinophytes) et aux lichens dans les biotopes les plus froids. Ils sont aussi présents dans les milieux aquatiques (Zoostère...).

Giroflée des murailles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50970cbc-giroflee-des-murailles

Giroflée des murailles

Planche N°30 de l'Atlas des Plantes de France : Giroflée des murailles (Cheiranthus cheiri). Plante de la famille des Brassicacées assez commune en France, qui pousse sur les murs et dans les rocailles. Elle doit son nom de giroflée au fait que ses fleurs ont une odeur ressemblant à celle du clou de girofle. La giroflée fleurit très tôt au printemps, ce qui attire les abeilles et facilite ainsi la pollinisation des arbres fruitiers comme le pommier.

Grande aulnée. Source : http://data.abuledu.org/URI/5057863d-grande-aulnee

Grande aulnée

Photographie de fleur de grande aulnée (Inula Helenium).

Insecte posé sur une fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5398e7a5-hoverfly-april-2008-1-jpg

Insecte posé sur une fleur

Syrphe femelle (Episyrphus balteatus) se nourrissant de fleur d'Hebe.

Néottie nid d'oiseau. Source : http://data.abuledu.org/URI/506402b0-neottie-nid-d-oiseau

Néottie nid d'oiseau

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La Néottie nid d'oiseau (Neottia nidus-avis) est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae. C'est un géophyte à rhizomes dépourvu de chlorophylle. Elle de couleur brun jaunâtre. Ses fleurs, roussâtres, sont disposées en épi. Les feuilles sont brunes et transformées en écailles engainantes le long de la tige. La tige desséchée avec les capsules vides persiste d'une année sur l'autre. Sur l'appareil végétatif, en partie souterrain, la disposition et l'enchevêtrement des rhizomes et racines font penser aux brindilles d'un nid d'oiseau. La comparaison est attribuée au médecin et botaniste Jacques Daléchamps en 1586. La floraison s'étale de mai à juillet. Elle peut se faire sous terre. La pollinisation est assurée par les insectes, en particulier des coléoptères et des thysanoures. L'autofécondation peut avoir lieu à défaut de visite d'insecte: les pollinies enflent, puis s'effritent et le pollen se dépose sur le stigmate. La Néottie s'associe à un champignon qui vit en symbiose avec les racines d'un feuillu. L'énergie de l'arbre lui est transmise par le champignon. C'est une espèce d'ombre. Elle est mésophile et apprécie des sols riches au pH basique à neutre. Ses biotopes préférés sont les hêtraies, chênaies ou pineraies.

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Peuplier tremble. Source : http://data.abuledu.org/URI/50982c9e-peuplier-tremble

Peuplier tremble

Planche N°304 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, Peuplier tremble (Populus tremula). Il doit son nom au fait que ses feuilles s'agitent au moindre souffle de vent, le pétiole aplati transversalement étant souple et flexible. Arbre au port étalé à croissance vigoureuse, de taille moyenne, de 20 à 30 m de haut. Le système racinaire est traçant. Feuilles petites, glabres, alternes, arrondies, crénelées, cordées et acuminées, à couleur variable (rouge bronze, puis vert foncé, enfin jaune en automne), à pétiole allongé et aplati, très souple. Fleurs groupées en chatons pendants mâles (gris argentés à rouges) et femelles (verts) sur des pieds séparés (espèce dioïque). Pollinisation par le vent. Écorce lisse, parsemée de lenticelles en losange, se crevassant avec l'âge. Bois blanc crème, très homogène, de bonne résistance mécanique, mais de faible durabilité. Floraison vers mars-avril (avant l'apparition des feuilles). Arbre de croissance rapide, à longévité limitée de 70 à 80 ans. C'est une essence de pleine lumière, qui se trouve disséminé dans les espaces libres : coupes, clairières, lisières des bois. Ne forme pas de peuplements denses, mais des bouquets, car il drageonne beaucoup. C'est une espèce pionnière, pouvant pousser sur des terres brûlées.

Pistacia vera en 1702. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a6fbf-pistacia-vera-en-1702

Pistacia vera en 1702

Plaque concernant le pistachier du Jardin des Plantes (Pistacia vera) en 1702. Le pistachier permit à Sébastien Vaillant d’étudier et de démontrer scientifiquement la sexualité des végétaux en 1716. En 1702, Joseph Pitton de Tournefort rapporta quelques pistaches de Chine et les sema au jardin des semis du Jardin royal des plantes médicinales. Un pistachier mâle poussa. Arbre historique, il se trouve au jardin alpin du Jardin des plantes de Paris. Sébastien Vaillant remarqua que ce pistachier esseulé fleurissait tous les ans sans fructifier comme un autre spécimen aux fleurs différentes situé dans un autre quartier de Paris. Vaillant apporta une branche fleurie du Jardin du roi et la secoua près de l'autre pistachier en fleurs. Des fruits apparurent pour la première fois. Cette expérience démontra la sexualité des plantes et la pollinisation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pistacia_vera

Sarrasin ou Blé noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f2ed1-sarrasin-ou-ble-noir

Sarrasin ou Blé noir

Planche botanique N° 280 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Blé noir (Polygonum fagopyrum). Malgré son appellation courante de blé noir, le sarrasin n'est pas une graminée, et n'est pas une espèce du genre Triticum (genre regroupant les variétés de blé). Il est dépourvu de gluten, ce qui le rend difficile à utiliser en panification ou pour la confection des pâtes. Il est utilisable dans la confection de produits destinés aux personnes intolérantes au gluten. Les fruits sont des akènes à trois angles, qui contiennent une seule graine. Leur maturation est très échelonnée, ce qui rend la récolte plutôt délicate. Riches en protéines, elles contiennent tous les acides aminés essentiels, en outre elles posséderaient de nombreuses propriétés pour l'alimentation. C’est un grain hautement nutritif, de surcroît riche en fibres solubles et en composés antioxydants. En France la culture a failli disparaître (le blé noir couvrait 700 000 hectares en France au XIXe siècle et 160 000 hectares en Bretagne au milieu des années 1960), remplacée par l'orge, le blé et le maïs, plus rentables. La FAO indique que 30 000 ha sont cultivés en France. Plante mellifère : dans le cadre de l'année internationale de la biodiversité 2010, un projet pilote est en cours en Franche-Comté qui vise à cultiver des surfaces de sarrasin pour permettre aux abeilles d'utiliser le pollen produit par ces plantes comme élément nutritif.