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Photographie | Peinture | Pêche | Dessins et plans | Anagallis | Art médiéval | Catalan (langue) | Lapins | Animaux disparus | Bateaux de pêche | Mammifères | Animaux préhistoriques | Pêche au filet | Barcelone (Espagne) | Muscles | Vétérinaires | Animaux -- Identification | Anatomie | Équidés | Chirurgie vétérinaire | ...
Joug de cornes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e62916-joug-de-cornes

Joug de cornes

Boeufs liés par un joug de cornes, en bois, au Chili. (Yunta de bueyes, sector rural de Carahue, fotografía facilitada por la concejala de Carahue, la señorita Paola Retamal ; Fuente: www.carahue.blogspot.com). L'utilisation d'animaux de trait nécessite généralement la création d'un équipement d'attache, l'attelage, permettant à l'animal de tracter une charge, sans se blesser. Le plus ancien système serait le joug à cornes, où dans l'Égypte antique, une barre en bois était placée entre les cornes d'un bovidé. Avec le temps, la barre en bois est sculptée pour mieux s'adapter à la morphologie de l'animal et des trous sont réalisés pour y faire passer les liens en cuir permettant la traction de la charge. Les jougs s'utilisent exclusivement avec des animaux ayant le cou dans le même alignement que celui de la colonne vertébrale.

Alvéole hexagonale. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e03d03-alveole-hexagonale

Alvéole hexagonale

Illustration pour alvéole d'abeille. La forme hexagonale des alvéoles fut repérée par Aristote dès le IVe siècle av. J.-C.(Histoire des animaux) puis traitée géométriquement huit siècles plus tard par Pappus, mathématicien grec ; mais ce n’est qu’au XVIIIe siècle que cette forme rhomboïdale fut remarquée. Ainsi, Maraldi, astronome à l’Observatoire de Paris, détermina expérimentalement en 1712 la valeur des angles de ces rhombes, égale à 109° 28′ et 70° 32′.

Carrés alimentaires de Krill. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e465f1-carres-alimentaires-de-krill

Carrés alimentaires de Krill

Carrés de "viande" de krill dans l'antarctique. Cent mille tonnes de Krills antarctiques sont pêchées chaque année. Cette pêche s’est développée à partir des années 1970, avant de connaître un pic au tout début des années 1980, avant de ralentir légèrement. Le contenu riche en protéines et vitamines du krill, qui le rend utilisable pour l'alimentation humaine comme pour l'industrie d'aliments pour animaux, ainsi que sa grande concentration et son abondance ont tout d’abord intéressé la Russie, une des premières nations à pratiquer cette pêche. Actuellement, les principales nations pêcheuses sont la Corée du Sud, la Norvège, le Japon, la Russie, l’Ukraine et la Pologne. La biologie particulière du krill pose d'autres problèmes pour son utilisation dans l'alimentation. En effet, rapidement après sa sortie de l'eau, les enzymes puissantes contenues dans le krill commencent à dégrader ses protéines, ce qui oblige à un traitement rapide du crustacé fraîchement pêché. La transformation consiste à séparer la partie arrière de la tête et à enlever la carapace de chitine, dans l'optique de produire des produits congelés et des poudres concentrées. Avant sa commercialisation, il est nécessaire d'ôter sa carapace chitineuse riche en fluorures qui sont des composés toxiques pour l'homme. Cette opération est assez délicate à cause de la taille de l'animal et de sa fragilité. Toutes ces difficultés ont fortement augmenté le coût de la pêche du Krill antarctique, et cette activité ne s’est pas autant développée que certains le laissaient présager.

Crane fossile de Sclerocephalus. Source : http://data.abuledu.org/URI/563b2d0b-crane-fossile-de-sclerocephalus

Crane fossile de Sclerocephalus

Crane fossile de Sclerocephalus : Les échancrures otiques sont des invaginations situées sur le bord postérieur du sommet du crâne, à l'arrière des orbites. Ces échancrures se retrouvent chez les labyrinthodontes et certains de leurs ancêtres immédiats mais pas chez leurs descendants reptiliens. L'absence ou la présence de ces échancrures est l'un des traits utilisés pour distinguer les amniotes des amphibiens. Ces échancrures sont parfois considérées comme faisant partie de la structure auditive et semblent avoir souvent tenu un rôle similaire à celui des tympans des anoures actuels. L'étude de la columelle (l'équivalent de l'étrier chez les amphibiens et les reptiles) des labyrinthodontes montre qu'elle ne pouvait pas être fonctionnelle dans la transmission des vibrations de basse énergie, ce qui les rendait inefficaces dans la transmission sonore aérienne. Les échancrures otiques devaient servir de stigmates, du moins dans leurs formes primitives.

Élan européen. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d68ca-elan-europeen

Élan européen

Alces est un genre de mammifères appelés orignaux ou élans au sein de la francophonie. Ces animaux sont les plus grands des cervidés actuels. L’origine du nom « orignal » vient du mot basque oreinak, pluriel d’orein, qui signifie « les cervidés » ou « les rennes » ou « les caribous ». Samuel de Champlain le nommait orignac car aux premières années des colonies, les premiers colons français l’auraient appris des Basques qui venaient régulièrement pêcher la morue et la baleine sur les côtes du Labrador et les abords du fleuve Saint-Laurent. Le mot « élan » dériverait du lituanien. La domestication d'élans semble ancienne. Les Iakoutes de Sibérie l’ont utilisé comme animal de trait et comme monture. Cet usage a plus tard été interdit en Russie, car des malfaiteurs montant des élans distançaient les chevaux de la police. L’élan a aussi servi à tirer de lourdes charges sur des terrains difficiles où le cheval s’enfonçait. Il a été domestiqué, mais non élevé en troupeau. Ses bois sont larges et en partie plats. Au mois de novembre, le cervidé perd sa parure. De longues pattes et un long cou lui permettent de brouter les ligneux, qui composent 50 % de son alimentation en été et 80 % en hiver, ainsi que de se déplacer facilement dans l’eau et dans les mégaphorbiaies en enjambant troncs renversés et ronciers.

Langue de chien officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505d980d-langue-de-chien-officinale

Langue de chien officinale

Planche botanique de la cynoglosse officinale apppelée "langue de chien" (Cynoglossum officinale), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante herbacée vivace de 3 à 60 cm de hauteur. Les feuilles sont âpres et dégagent une forte odeur de souris quand elles sont frottées énergiquement. La floraison se situe de mai. Ses fruits sont à maturité à partir de juillet. Les graines possèdent de petits crochets qui se fixent sur la peau des animaux et ainsi permettent leur diffusion. Cette plante, anciennement considérée officinale, est seulement utilisée aujourd'hui en homéopathie pour le traitement de la toux et contre la diarrhée, également utilisée pour le traitement des hémorroïdes. Elle est toxique pour les animaux à sang froid et non pour les mammifères.

Loirs au printemps. Source : http://data.abuledu.org/URI/5133b949-loirs-au-printemps

Loirs au printemps

Couple de loirs, Gliridés, au printemps. Les Gliridés sont une famille de rongeurs de tailles moyennes appelés loirs, lérots, lérotins, muscardins voire souris. Les loirs sont nocturnes et ne mesurent que 10 à 30 cm queue comprise. Les loirs gris sont réputés pour leur période de sommeil hivernal. Toutes les espèces de Gliridae qui vivent dans les climats tempérés partagent en fait ce trait. Les expressions « paresseux comme un loir » pour désigner un paresseux et « dormir comme un loir » pour qualifier un sommeil profond ont bien sûr été construites à partir de l'observation du loir gris. Aquarelle de Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des animaux et de leur environnement naturel.

Mouron des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a0c9b-mouron-des-champs

Mouron des champs

Planche botanique du mouron des champs ou mouron rouge (Anagallis arvensis), Atlas des Plantes de France, 1891. Le nom latin du genre de cette plante (Anagallis) vient du grec anagelaô, « je ris », en raison de son utilisation ancienne dans le traitement de l'hypochondrie. Petites fleurs rouges ou bleues. La plante présente une certaine toxicité — en particulier pour les petits herbivores. Il était recommandé de ne pas en donner aux animaux d'élevage, en particulier aux lapins.

Muscles de la tête d'un cheval. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e135d4-muscles-de-la-tete-d-un-cheval

Muscles de la tête d'un cheval

Les muscles superficiels de la tête du cheval (Equus caballus). -1. orbiculaire des lèvres -2. houppe du menton -3. releveur commun -4. releveur de la lèvre supérieure -5. canin -7. zygomato-labial — (Extrait de Chauveau Auguste, Arloing Saturnin, Traité d'anatomie comparée des animaux domestiques, 1 064 p., page 279, 1890, Paris, Lib. J.B. Baillière et Fils)

Pachyrukhos Moyanoi préhistorique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bac5a9-pachyrukhos-moyanoi-prehistorique

Pachyrukhos Moyanoi préhistorique

Représentation d'un "Pachyrukhos Moyanoi", mammifère disparu, à partir des informations scientifiques de Alistair Ian Spearing Ortiz. Les Pachyrukhos devaient faire environ 30 centimètres de long et ressemblaient fortement à des lapins actuels, possédant une courte queue et de longues pattes arrière. Les Pachyrukhos étaient aussi probablement capables de sauter et avaient des crânes comme les lapins avec des dents adaptées pour manger des noix et des plantes résistantes. La complexité de leur appareil auditif dans le crâne suggère que leur sens de l’audition était très bon et qu’ils avaient surement de grandes oreilles. Ils auraient aussi eu de grands yeux, ce qui suggère qu’ils étaient peut-être nocturnes. Ces similitudes sont le résultat de l’évolution convergente car, tandis qu’on peut apercevoir les traits de lapins modernes, les Pachyrukhos remplissaient la même niche écologique. Illustration scientifique sous la direction de Alistair Ian Spearing Ortiz, image versée par l'Art&Design School, grâce à une collaboration entre la Llotja de Barcelone et Amical Viquipèdia pour le projet catalan des mammifères. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pachyrukhos

Pêche en rivière au Moyen Age. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c9b315-peche-en-riviere-au-moyen-age

Pêche en rivière au Moyen Age

Pêche en rivière au Moyen Age : deux pêcheurs remontent leur filet dans une barque ; une cuve attend leur prise sur la rive, près d'une cabane. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.

Statue du roi Glélé mi homme, mi lion. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bee07d-statue-du-roi-glele-mi-homme-mi-lion

Statue du roi Glélé mi homme, mi lion

Statue "bochio" du roi Glele, population Fon, Bénin, Abomey. Entre 1858 et 1889. Bois, pigments, cuir. Musée du quai Branly. Badohoun qui prit le nom de Glélé, est traditionnellement le dixième roi d'Abomey. Il succéda à son père, Ghézo, et régna entre 1858 et 1889. Glélé poursuivit la politique d'expéditions militaires, en partie pour venger la mort de son père, et aussi dans le but de capturer des esclaves. Glélé, par un traité signé le 19 mai 1868, céda Cotonou aux Français. Il mourut le 29 décembre 1889 et fut remplacé par son fils Kondo qui prit le nom de Behanzin. Il avait adopté le lion comme symbole de son règne. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Da-Da_Gl%C3%A9l%C3%A9_Kini-Kini

Tapis de mouron des champs rouge en fleurs en mai. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ed3bab-tapis-de-mouron-des-champs-rouge-en-fleurs-en-mai

Tapis de mouron des champs rouge en fleurs en mai

Tapis de Mouron des champs rouge (Anagallis arvensis) à Saint-Fuscien (Somme) le 19/05/2007. C'est une plante rampante à fleurs rouges, ou parfois bleues, qui pousse dans les cultures, les jardins... Les fruits sont des Pyxides produisant de nombreuses graines. Le nom latin du genre de cette plante Anagallis vient du grec anagelaô, « je ris », en raison de son utilisation ancienne dans le traitement de l'hypochondrie. Cette utilisation n'a plus cours aujourd'hui mais le mouron rouge est encore parfois utilisé comme expectorante pour le traitement de certaines maladies respiratoires. La plante présente aussi une certaine toxicité — en particulier pour les petits herbivores. Il était recommandé de ne pas en donner aux animaux d'élevage, en particulier aux lapins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mouron_rouge_%28plante%29

Urubu noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/52779f73-urubu-noir

Urubu noir

Urubu noir à Farallon, Panama. L’Urubu noir (Coragyps atratus), aussi appelé Vautour urubu, est l'une des espèces d'urubus charognards vivant sur le continent américain. Il appartient à la famille des Cathartidae. L'Urubu noir joue un rôle écologique majeur en éliminant rapidement les cadavres mais, comme les autres charognards, ils peuvent être empoisonnés par les polluants (pesticides, métaux lourds et résidus d'antibiotiques ou de traitements hormonaux) qui s'accumulent dans leur nourriture.