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Photographie | Musique | Instruments de musique | Instruments à cordes | Instruments à cordes pincées | Instruments à vent | Cordes (musique) | Instruments à percussion | Cordes (instruments de musique) | Cordes pincées (instruments de musique) | Luth | Instrument à vent, Musique d' | Instruments de musique -- Japon | Instruments de musique -- Chine | Bois (instruments de musique) | Flûte | Cithare | Instruments de musique anciens | Cuivre (instrument de musique), Musique de | Instruments à cordes frottées | ...
Harmonium. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed8a42-harmonium

Harmonium

L’harmonium est un instrument de musique à vent, à anches libres, à clavier et à soufflerie. Le musicien qui en joue est un harmoniumiste.

Hélicon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f02f93-helicon

Hélicon

L’hélicon est un instrument de musique à vent en cuivre, de la famille des tubas.

Hudukka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533980cd-hudukka

Hudukka indien

L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2

Instrument à vent électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53009a0b-instrument-a-vent-electronique

Instrument à vent électronique

Un EWI 4000S, instrument à vent électronique, (Akai, 2006).

Instrument à vent électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300996d-instrument-a-vent-electronique

Instrument à vent électronique

Instrument à vent électronique (EWI) permettant de piloter un synthétiseur. L'EWI possède un bec équipé de capteurs de pression d'air (contrôle du volume) et de pression des lèvres (vibrato). Les clefs ne se déplacent pas, la détection des doigtés se fait par conductivité (détection de la position des doigts par courant électrique), ce qui permet de jouer très rapidement. L'octave est choisie parmi sept en positionnant le pouce gauche sur un ensemble de rouleaux. Le capteur de pression d'air permet une grande étendue dynamique, en particulier en combinaison avec un synthétiseur analogique. Le contrôleur à vent indique les notes à jouer à un synthétiseur intégré ou externe, il est possible de le connecter à une station de travail numérique afin de produire une plus grande variété de sons. Cet instrument a été utilisé tout particulièrement par les musiciens smooth jazz. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Electronic_Wind_Instrument

Instruments de musique en trompe-l'oeil. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024af6-instruments-de-musique-en-trompe-l-oeil

Instruments de musique en trompe-l'oeil

Trompe-l'oeil de Sebastiano Lazzari (Vérone, fin du XVIIIème siècle) représentant trois intruments de musiques à cordes et un archet ainsi que des partitions.

Jazzophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396a39-jazzophone

Jazzophone

Le jazzophone est un instrument de musique de la famille des cuivres dont l'embouchure et les pistons sont similaires à ceux d'une trompette mais dont le corps rappelle la forme du saxophone. Il possède deux pavillons, l'un étant ouvert et l'autre à clapet. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jazzophone

Joueur d'orgue de barbarie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffcbb1-joueur-d-orgue-de-barbarie

Joueur d'orgue de barbarie

Joueur d'orgue de Barbarie à Dinant en Belgique. L'orgue de Barbarie est un instrument de musique mécanique à vent classé dans les orgues. Il fait partie des « automatophones », terme qui englobe tous les instruments destinés à produire de la musique par des procédés mécaniques.

Joueur de kendang indonésien lors d'un concert. Source : http://data.abuledu.org/URI/53514164-sambasunda-quintett-in-cologne-0203-jpg

Joueur de kendang indonésien lors d'un concert

Concert du groupe soundanais SambaSunda quintett de Java (Indonésie) à Cologne. Le kendang est un tambour à deux faces d'Indonésie, de Malaisie et du sud des Philippines. On dit que les bons kendang sont fait en bois de jacquier, en tronc de cocotier ou en cempedak (Artocarpus integer). Pour la partie inférieure, appelée bam, qui donne un son grave, on utilise de la peau de buffle, alors que pour la partie supérieure, appelée cang, qui donne un son aigu, on utilise de la peau de chèvre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kendang

Kacapi indonésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53342e73-kacapi

Kacapi indonésien

Le kacapi est un instrument de musique à cordes pincées du pays Sunda en Indonésie et existe aussi à java centre sous le nom de siter. C'est une petite cithare de 75 cm de long, en forme de bateau, taillé dans du bois monoxyle, avec une cavité dans le dos. Il a deux chevilles à friction. Le manche a cinq ou six frettes excavées et ciselées du bois massif. Le chevalet consiste en un reste du bois de la caisse de résonance, laissé sur la table d'harmonie qui possède plusieurs ouïes. Il est souvent très décoré et poli, rendant parfois impossible son jeu, n'étant alors qu'une pièce décorative. C'est un instrument joué avec un grand plectre, mais dont peu de musiciens subsistent. On en joue soit en solo soit en accompagnement.

Kantele Finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a7c5-kantele-finlandais

Kantele Finlandais

Le kantele (prononcé [ˈkɑntele] en finnois) est le principal instrument de musique traditionnel finlandais. Instrument à cordes pincées, il est également appelé cithare finlandaise, ou parfois psaltérion finlandais. Il est en bois et comporte traditionnellement 5 cordes. Les modèles plus récents (du XXe siècle principalement) peuvent comporter un nombre variable de cordes, de 5 à 40. Le joueur de kantele pose son instrument à plat sur ses genoux ou sur une table. Pour les petits kantele de 5 à 15 cordes, on positionne l'instrument de façon à ce que les cordes graves soit les plus éloignées de soi, à l'inverse des kantele de concert à plus de 30 cordes. Les cordes sont pincées avec les doigts pour jouer des arpèges ou des mélodies, ou bien grattées à l'aide d'un plectre pour jouer des accords, les doigts de la main libre bloquant les cordes ne faisant pas partie de l'accord désiré.

Kayagum coréen. Source : http://data.abuledu.org/URI/53393797-kayagum-coreen

Kayagum coréen

Le kayagum est un instrument de musique traditionnel de Corée de la famille des cithares, avec douze cordes de soie. Il remonte au VIe siècle et est probablement le plus connu des instruments de musique coréen. Son usage a été développé par Ureuk, musicien à la cour de Gaya. C'est un proche cousin du koto japonais et du guzhen chinois. La caisse de résonance en paulownia mesure 160cm de long, 30cm de large et 10cm de hauteur. Les éclisses sont parfois en noyer. Il dispose de 12 cordes de soie, mais les instruments récents peuvent avoir jusqu'à 25 cordes en nylon, passant sur des hauts chevalets amovibles. Il se joue assis par terre, l'instrument posé sur soi ; on pince les cordes avec les doigts d'une main et avec les doigts de l'autre, on appuie sur les cordes afin d'obtenir la hauteur de son voulue (ou on déplace le chevalet). On en joue en solo, duo ou trio. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kayagum

Komuz du Kirghizistan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a7df-komuz

Komuz du Kirghizistan

Le komuz (kirghiz : комуз) est un luth à manche long d'Asie centrale, principalement utilisé dans la musique kirghize. C'est le seul luth de cette région à avoir trois cordes et non deux. La caisse de résonance de 90 cm est taillée dans un seul bloc de bois, parfois avec le manche, qui ne comporte pas de frettes. Une ouverture est pratiquée à l'arrière. Les 3 cordes en boyaux (non métalliques) sont accordées de différentes façons, la plus aigüe étant généralement celle du milieu. On en joue plutôt assis, l'instrument tenu horizontalement, mais les virtuoses peuvent en jouer dans toutes les positions. Il peut être un instrument soit d'accompagnement, soit soliste. On peut pincer ou gratter les cordes.

Koto japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c617d-koto-japonais

Koto japonais

Le koto (箏 en japonais, ou 琴 en japonais classique) est un instrument de musique à cordes pincées utilisé en musique japonaise traditionnelle, notamment dans le kabuki et le bunraku. Originaire de Chine (gŭzhēng), il fut introduit au Japon entre le VIIe siècle et le VIIIe siècle et était joué principalement à la Cour impériale ; l'usage s'en est ensuite démocratisé. Le koto est une longue cithare (en forme de dragon tapi), mesurant environ 1,80 m de long et comptant 13 cordes. La caisse est traditionnellement fabriquée en bois de paulownia évidé, et les hauts chevalets amovibles, en ivoire. Ses cordes sont en fil de soie que l'on pince avec des grattoirs en ivoire. Le koto produit un son lyrique, comparable à celui d'une harpe, ce qui peut expliquer le terme souvent rencontré de « harpe japonaise ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koto.

Krar éthiopien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a943-krar

Krar éthiopien

Le krar est un instrument de musique à cordes, proche de la lyre, que l'on trouve en Érythrée et en Éthiopie. Il est généralement décoré de bois, de tissus et de perles. Ses cinq ou six cordes déterminent les hauteurs musicales disponibles. La table d'harmonie est en membrane animale. Le krar est souvent joué par des musiciens que l'on appelle azmaris et il accompagne en principe des chansons d'amour et des chansons populaires de la musique éthiopienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Krar

Mandoline Banjo turque. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c69cc-mandoline-banjo-turcque

Mandoline Banjo turque

Le cümbüş (djumbuch) est un instrument à cordes pincées turc. C'est un luth à manche long similaire au banjo inventé en 1930 par Zeynel Abidin Cümbüş et présenté à Atatürk par son inventeur, ancien forgeron reconverti dans la lutherie. Il est conçu pour pouvoir permettre en théorie d'adapter différents manches à une même caisse. Cümbüş : à douze cordes, manche court, sans frette, accordé comme le oud. On en joue avec un mediator ou mezrab. Il est essentiellement utilisé dans la musique turque populaire ou folklorique et surtout par les Tziganes, mais le banjo lui fait concurrence.

Mandoluth du Maghreb. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343731-mandoluth

Mandoluth du Maghreb

Un mandoluth est un instrument à cordes du Maghreb. Il est un peu plus grand que la mandole. Le mot mandolute était utilisé aussi par un fabricant américain pour ses mandolines. Dérivé du oud, il a dix cordes, mais est fretté et poossède une caisse de résonance à fond plat de forme mandoline. Il se joue au plectre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mandoluth.

Morin khuur mongol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330416d-morin-khuur

Morin khuur mongol

Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.

Nyckelharpa verticale suédoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53345232-nyckelharpa-vertical

Nyckelharpa verticale suédoise

La nyckelharpa est un instrument de musique traditionnel à cordes frottées d'origine suédoise, plus précisément de la région d'Uppland, au nord de Stockholm. Il appartient à la même famille que la vielle à roue et la vièle. Il existe depuis le Moyen Âge (les premières représentations de l'instrument datent du XVIe siècle) sous différentes formes et connaît aujourd'hui un regain d'intérêt depuis les années 1970 en Suède et ailleurs. La nyckelharpa moderne date des années 1940 et est le fruit des travaux d'Eric Sahlström, musicien et luthier novateur, qui a ainsi remis au goût du jour l'instrument tombant peu à peu dans l'oubli. Traditionnellement, l'instrument se tient horizontalement, soutenu par une bandoulière, posé sur la cuisse droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nyckelharpa

Ocarina. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f038c9-ocarina

Ocarina

L’ocarina est un instrument de musique à vent ovoïde, ressemblant à une tête d’oie ; d’où son nom : en italien, oca signifie « oie », et ocarina, « petite oie ». C’est un instrument traditionnel, en Afrique, il est conçu dans l’écorce de certains fruits, en terre cuite en Amérique et en porcelaine en Chine. Il aurait à peu près 12 000 ans d'existence.

Otsuzumi, tambour japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53315e15-otsuzumi

Otsuzumi, tambour japonais

L'Ōtsuzumi, aussi appelé ōkawa, est un tambour japonais en forme de sablier. Il s'agit d'une version plus grande du tsuzumi, ou kotsuzumi. Il est utilisé dans le théâtre japonais traditionnel et la musique folk. Son apparence et le son qu'il produit sont légèrement différents de ceux du tsuzumi. Alors que le tsuzumi est plus petit et a une peau de tambour plus ornée, l'ōtsuzumi est plus grand et sa tête prend un aspect cuir plus clair. Le son est également plus élevé et plus net en hauteur, ressemblant plus à un « pop » qu'au « pon » du tsuzumi. La structure en forme de sablier est légèrement plus grande et les têtes du tambour sont nouées très serré. L'ōtsuzumi se joue sur le côté du joueur, peut-être en raison de sa taille plus grande et de son poids plus lourd, alors que le tsuzumi se joue sur l'épaule. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C5%8Ctsuzumi

Pandeiro. Source : http://data.abuledu.org/URI/511284da-pandeiro-

Pandeiro

Le pandeiro est un instrument de percussion du Brésil. Le pandeiro est un tambourin recouvert d'une peau fine. De petites cymbalettes sont disposées sur le bord de l'instrument. La sonorité idéale se traduit par un ton chaud ainsi que par un son sec et cristallin pour les cymbales. Un bon pandeiro reproduit tous les sons de la section instrumentale. Il se différencie du tambourin classique par son unique rangée de cymbalettes.

Piano droit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee91a7-piano-droit

Piano droit

Le piano est un instrument de musique polyphonique à clavier de la famille des instruments à cordes frappées. Un piano droit (ou piano vertical) est un piano dont les cordes sont disposées verticalement.

Piccolo flûte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea532-piccolo-flute

Piccolo flûte

Le piccolo est un instrument de musique à vent, plus précisément un bois appartenant à la famille de la flûte traversière. Il est également appelé "petite flûte".

Qanûn. Source : http://data.abuledu.org/URI/53282c1a-kanun-

Qanûn

Le qanûn (en arabe ou persan : قاﻧﻮﻥ ; aussi transcrit kanoun, kanun, kanon, kanonaki, qanoun, quanoun, kalong) est un instrument à cordes pincées de la famille des cithares sur table, très répandu dans les pays du Moyen-Orient ainsi qu'en Grèce, en Iran, en Azerbaïdjan, en Arménie et au Turkestan chinois. Il ne faut pas le confondre avec le santour qui est un instrument à cordes frappées.

Qraqebs maghrébins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331af54-krakeb

Qraqebs maghrébins

Les qraqeb sont des instruments de percussions idiophones maghrébins. C'est un genre de castagnettes utilisé par les Gnaouas, assez similaires aux anciens crotales. Généralement en fer battu, mais des variétés en bois existent, les qraqeb sont des castagnettes montées sur un manche, ayant la forme d'une cuillère à double embout, de 20 à 30 cm de long. Chaque exécutant utilise deux paires, et les entrechoque par des mouvements d'ouverture-fermeture. Ces quatre qraqeb sont très sonores et rythment la musique gnaoui jouée sur le luth guembri. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Qraqeb

Rouleur réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/534806b1-rouleur-

Rouleur réunionnais

Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui : ce qui permet de modifier la tension et donc le timbre en se servant d’un de ses pieds. Les différentes graphies du nom sont quant à elles le reflet de différentes prononciations suivant les locuteurs considérés ou l’époque : rouleur, houleur, ouleur, oulèr, oulère, rouler. Le rouleur ou houler doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. En outre l’instrumentaliste fait des roulements et donc fait rouler ses mains sur la peau du tambour. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Cet instrument se retrouve à l'île de la Réunion (et Rodrigues où on le nomme simplement tambour). Traditionnellement fabriqué dans un tronc évidé au bois variable d'au moins 70 cm de long et 50 cm de diamètre, il est souvent conçu aujourd'hui avec une barrique ou un tonneau dont on a détruit les deux extrémités. Le plus souvent, la peau est de bœuf ou de cabri collée sur un cercle de bois comportant des cymbalettes. Le rouleur se joue maintenu au sol en position horizontale, le musicien accroupi à cheval dessus. Le talon est parfois utilisé pour percuter l'instrument en plus des mains. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouleur

Ruan chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330462e-ruan-chinois

Ruan chinois

Le ruan chinois est un luth à manche long appelé aussi guitare-lune. C'est un instrument que l'on retrouve dans toute l'Asie du Sud-Est. La caisse de résonance est ronde et plate, percée en général de deux ouïes près du long manche qui se prolonge sur la table d'harmonie en bois. Il est prolongé par un grand chevillier courbe avec quatre grandes chevilles. Il y a quatre cordes en soie ou métal, fixées non au chevalet, mais au bas de la caisse. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ruan_%28instrument%29

Sarod indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323250c-sarod-

Sarod indien

Le sarod (ou sarode) est un instrument de musique à cordes pincées apparu au XIXe siècle au nord de l'Inde et utilisé en musique indienne classique. C'est un luth hybride issu du dhrupad rabâb, un instrument indien ancien et du rabâb afghan. Le nom dérive peut-être du persan sarûd (chanter) car nombre de chanteurs s'accompagnaient ainsi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarod.

Saung Birman. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316918-saung-birman

Saung Birman

La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung

Shakuhachi, flûte chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316008-shakuhachi

Shakuhachi, flûte chinoise

Le shakuhachi est une flûte chinoise, également utilisée en musique japonaise droite à embouchure libre en bambou. Évoquant la nature, elle est utilisée en musique traditionnelle. C'est au VIe siècle qu'on retrouve des traces écrites de la flûte de bambou prouvant son utilisation au Japon. Au VIIe siècle, la flûte de bambou faisait partie des instruments utilisés pendant les représentations données à la cour, musique connue sous le nom de Gagaku. Le musicien est généralement agenouillé, assis sur ses talons. Contrairement au joueur de flûte à bec, qui souffle dans un bec rigide conduisant ainsi l’air dans un sifflet, le joueur de shakuhachi souffle dans son instrument comme on soufflerait dans le goulot d’une bouteille vide. L’embouchure du shakuhachi présente également un bord biseauté, permettant au joueur de contrôler très finement la hauteur du son, en un mouvement d’abaissement ou de montée de l’instrument, par rapport à l’axe des lèvres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shakuhachi

Shamisen japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316199-shamisen

Shamisen japonais

Le shamisen, "trois cordes parfumées", est un instrument de musique traditionnel à cordes pincées utilisé en musique japonaise. C'est un luth à long manche à la touche lisse mesurant de 110 à 140 cm, dont la caisse de résonance carrée est traditionnellement construite en bois de santal et recouverte de peau de chat ou de chien. À l'exception du shamisen de l'île d'Okinawa qui est traditionnellement recouvert de peau de serpent et est appelé sanshin ou jabisen. La table en peau fait qu'on donne parfois au shamisen le nom de "banjo japonais". Le manche est long et fin, sans frettes. Il est muni de trois cordes (d'où le nom de l’instrument, qui signifie littéralement « trois cordes du goût ») de soie ou de nylon. On joue du shamisen agenouillé sur un zabuton en pinçant les cordes à l'aide d'un large plectre en ivoire (bâshô ou bachi). La musique traditionnelle au shamisen intercale au milieu de la mélodie de longs silences qui donnent d'autant plus de force aux notes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shamisen

Sheng asiatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53303f43-sheng-

Sheng asiatique

Le sheng est un instrument de musique à vent à anche libre. Orgue à bouche chinois, il date de 2000 avant JC puisqu'il est mentionné dans le Che-king (Livre des Odes ou de la Poésie). Le sheng a un réservoir en métal et entre 17 et 30 tuyaux en bois d'ébène ou en métal chromé, muni chacun d'un petit orifice à couvrir avec les doigts (comme une flûte) et une anche libre, permettant ainsi une polyphonie tant à l'inspiration qu'à l'expiration. On pense souvent que ce sont Johann Wilde et le Père Amiot (respectivement en 1740 et 1777) qui ont ramené les premiers shengs en Europe à la suite de leur voyage en Chine. C'est seulement au début du XIXe siècle que le sheng d'Amiot inspira l'invention de l'harmonium, de l'harmonica puis de l'accordéon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sheng

Sho japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/533166da-sho

Sho japonais

Le shō est le nom japonais de l'orgue à bouche d'origine chinoise, où il est appelé sheng. Il accompagne la musique gagaku. C'est un instrument à vent qui fonctionne sur le principe de l'anche libre, celle-ci étant très fine donc très sensible. Les tuyaux qui le composent sont perpendiculaires à l'embouchure. Le musicien souffle dans l'embouchure en bas à droite de l'instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sh%C5%8D

Sousaphone. Source : http://data.abuledu.org/URI/511281dd-sousaphone

Sousaphone

Le soubassophone ou sousaphone (souvent abrégé en « sousa », «souba») est un instrument de musique de la famille des cuivres, apparenté au tuba-contrebasse. Les dénominations « soubassophone » et « sousaphone » désignent toutes deux le même instrument. Il est souvent confondu - à tort - avec l'hélicon.

Surbahar indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53344a15-surbahar

Surbahar indien

Le surbahar (en ourdou سربہار; en hindi सुर बहार) est un instrument de musique du nord de l'Inde. Utilisé dans la musique hindoustanie, c'est un sitar basse en quelque sorte, rarement joué. Le surbahar est un vieil instrument dérivé de la vînâ et du tambûr. Il ressemble au sitar, mais est encore plus grand. Son manche est beaucoup plus large. Sa tête se termine par une sculpture de cygne ou de paon. Et sa caisse de résonance est une calebasse aplatie, et non sphérique. Les cordes sont plus grosses et le son plus grave. On en joue assis en tailleur par terre, exclusivement les râgas dans le style dhrupad, accompagné par le pakhâwaj. On se sert de deux mezrabs (à l'index et au majeur) qui vont et viennent alternativement sur les cordes (comme dans la basse). Vu le manche spécialement étudié, on peut tirer une corde afin d'infléchir une note non plus seulement sur une quinte, mais sur une octave entière. Cette opération demande toutefois de la pratique du fait de la résistance de la corde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surbahar

Tabla indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396120-tabla

Tabla indien

Le tabla est un instrument de musique à percussion indien certainement dérivé des nagaras ou des « tablas » arabes. La légende en attribue l'invention à Amir Khusrau, fondateur de la Delhi gharana, au XIVe siècle. On dit aussi qu'il serait né de la colère d'un musicien qui aurait jeté son mridangam par terre et l'aurait brisé en deux : l'instrument fonctionnait toujours et donna naissance au tabla. On en joue assis par terre, les instruments reposant sur des petits coussins afin de les orienter proprement. Avec le mridang, c'est le membranophone le plus complexe qui soit. Le tabla est composé de deux fûts, un petit tambour mâle, le dayan ou dahina (droite), et une timbale femelle, le bayan ou baya (gauche), accordée généralement à la quinte grave (en fonction de la tonalité et du raga, ce peut être à la quarte ou à l'octave). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tabla

Târ iranien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53304328-tar-iranien

Târ iranien

Le târ est un instrument à cordes pincées trouvé en Iran, en Azerbaïdjan, en Géorgie, en Arménie, en Turquie, en Ouzbékistan et au Tadjikistan. C'est un luth à long manche avec un corps en forme de double cœur. Les interprètes sont appelés tarzen. Le tar est le principal symbole de la culture azerbaïdjanaise. La facture et la pratique musicale du tar ont été inscrites en 2012 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A2r_%28luth%29

Tarogato hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4317-tarogato

Tarogato hongrois

Le tárogató, taragot ou torogoata (en français: taragote) est un instrument de musique à vent d'origine hongroise répandu en Ukraine et en Roumanie aussi. Le terme désigne deux instruments différents, tous deux d'origine hongroise : 1) du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle environ, le tárogató — appelé aussi töröksíp, « flûte turque » — était un type de hautbois avec une anche double, une perce conique, et aucune clef. 2) dès 1890, c'est un bois à anche simple, inventé par le facteur d'instruments Vencel József Schunda. En raison de sa sonorité extrêmement forte et rauque, l'ancien tárogató a été employé comme instrument de signalisation pendant les batailles et les soulèvements nationaux (comme le bugle et la cornemuse). Le tárogató moderne est accordé en Si bémol. Son étendue chromatique est de plus de 2 octaves. Son doigté est proche de celui du saxophone. La forme de sa perce fait que le tárogató est un instrument octaviant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1rogat%C3%B3.

Théorbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a287-theorbe

Théorbe

Le théorbe ou téorbe (ou encore tüorbe), est un instrument à cordes pincées — une sorte de grand luth — créé en Italie à la fin du XVIe siècle. Les joueurs de théorbe se nomment théorbistes. Le théorbe était utilisé à la fois pour la basse continue et comme instrument soliste. Il servait aussi pour l'accompagnement du chant. Au XVIIIe siècle, en France, on utilisait surtout le théorbe d'accompagnement, instrument très imposant. Les théorbes ont disparu au cours du XVIIIe siècle, avant de réapparaître au XXe siècle avec le renouveau de l'interprétation de la musique ancienne sur instruments d'époque.

Tiple colombien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5334416e-tiple-colombien

Tiple colombien

Le tiple (terme signifiant "soprano" en espagnol) est une petite guitare qu'on trouve dans toute l'Amérique latine, sachant que les versions des Caraïbes (Porto Rico, République dominicaine, etc.) diffèrent beaucoup de celles du continent (Colombie, Pérou, Venezuela). Il dérive sans doute de l'ancien timple des îles Canaries, lui-même hérité des colons espagnols. Il ressemble de loin à une petite guitare ancienne, à la caisse de résonance très resserrée et très ornementée. Il est monté de trois à six cordes en métal. Il a un accordage aux intervalles similaires à ceux de la guitare et est de ce fait propice à la formation d’accords et à l’accompagnement tant des services religieux que des danses de salon, dans des orchestres composés aussi de cuatro (instrument) et de bordunua. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiple

Trompe de chasse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec4af4-trompe-de-chasse

Trompe de chasse

Trompe de chasse. La trompe de chasse est un instrument de musique français en cuivre ou laiton, utilisé pour la vénerie. Issu des instruments de communication cynégétiques venant de la nuit des temps signalant par des sons lents ou courts, aigus ou graves, les différentes situations pendant la chasse. Ces instruments étaient faits de cornes d'animaux, de bois puis de cuivre. Les langages exploités par ces instruments s'appelaient les cornures. On chassait alors "A cor et à cris".

Tuba. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec4c6b-tuba

Tuba

Le tuba est un instrument de musique appartenant à la famille des cuivres. Par la variété de ses tailles et formes différentes, il constitue une sous-famille1 des cuivres. Le mot « tuba » provient du latin et désignait à l'époque romaine une grande trompette incurvée (tuba curva) utilisée dans le contexte militaire.

Vibraphone. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f01160-vibraphone

Vibraphone

Le vibraphone est un instrument de musique, de la famille des instruments de percussion et plus précisément de la branche claviers. Il a été inventé en 1916 par Hermannn Winterhoff, s'inspirant du marimba mexicain, autre instrument de percussion à clavier proche du xylophone, du balafon africain et des orchestres de Gamelan de Java (appelé aussi métallophone). Si le premier vibraphoniste de talent fut le jazzman Lionel Hampton, il a vite trouvé sa place dans le jazz, mais aussi dans la musique classique du XXe siècle grâce à des compositeurs comme Edgard Varèse, Pierre Boulez ou Steve Reich. Le vibraphone a, au fil des années, été utilisé dans des styles musicaux très différents, même s'il ne joue véritablement un rôle central que dans certaines formations de jazz.

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin

Xun chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53398641-xun

Xun chinois

Le xun (prononcer "chun") est un instrument chinois très ancien, dont l'origine remonterait à 7 000 ans. Il s'agit d'une flûte globulaire en terre cuite, dont le musicien joue en soufflant sur un trou ouvert (embouchure), au contraire de l'ocarina européen où le jeu se fait en soufflant dans un conduit, comme pour la flûte à bec. En général percé de neuf trous, le xun possède un son très doux et peu puissant, favorisant un jeu intimiste en général soliste. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Xun

Zourna d'Azerbaïdjan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347e5c1-zourna-azerbaidjan

Zourna d'Azerbaïdjan

Zourna, instrument de musique à vent d'Azerbaïdjan (Exposition Azerbaïdjan musée de Cognac novembre 2012). Elle est fabriquée en bois de mûrier, de buis ou d'abricotier ; elle se joue debout, souvent avec la technique du souffle continu. Elle a un registre d'une octave et demie, et l'accord est diatonique ; la justesse du jeu, d’autant plus problématique que la musique orientale utilise des quarts de ton, dépend beaucoup de la compétence du musicien. Celui-ci doit adapter constamment la hauteur des sons en faisant varier la pression du souffle et des lèvres sur les anches. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Azerbaijani_folk_instrument_Zurna.JPG

Zurna anatolienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53395baa-zurna

Zurna anatolienne

La zurna est un instrument à vent à anche double de la grande famille des hautbois dont les origines sont anatoliennes. Elle tire son nom du persan زورنه (zur : fête, corne ou force et ney : roseau). Elle est fabriquée en bois de mûrier, de buis ou d'abricotier. La perce est cylindrique pour la partie supérieure, conique pour le pavillon et rappelle son ancêtre, la corne. Elle a huit trous (dont un pour le pouce et un d'accord). Un petit tuyau de bois fendu est inséré dans le conduit principal afin de guider l'air et afin d'en obturer certains trous éventuellement. L’anche double amovible en roseau plié est fixée à un support de métal, qui lui-même est fixé sur une rondelle protectrice en bronze. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zurna