Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Gravure, Instruments de musique, Luth, Dix-huitième siècle, Peintres italiens, Pietro Longhi (1702–1785)
Joueur de luth au XVIIIème siècle, par Pietro Longhi (1702–1785), peintre vénitien.
Dessins et plans, Canards, Dix-huitième siècle, Savants français, Automates, Jacques de Vaucanson (1709-1782), Modèles mécaniques
L'automate du canard mécanique de Jaques de Vaucanson (1738, France). Il commence par réparer les horloges et les montres de son quartier à Grenoble. Il tente de reproduire mécaniquement les principales fonctions de l’organisme humain, encouragé par les chirurgiens Claude-Nicolas Le Cat et François Quesnay qui souhaitent de cette façon mieux comprendre ces fonctions. À partir de 1733 ou 1735 et jusqu’en 1737 ou 1738, il construit son premier automate, le flûteur automate, qui joue de la flûte traversière. Il semblait être grandeur nature, habillé en sauvage et jouant assis sur un rocher. Son deuxième automate est lui aussi un joueur de flûte et de tambourin, de taille humaine, habillé en berger provençal. Mais son instrument, un galoubet, est plus complexe à utiliser. Il construit ensuite son automate le plus sophistiqué : un canard digérateur, exposé en 1744 au Palais-Royal, qui peut manger et digérer, cancaner et simuler la nage.
Dessin du mécanisme de l'automate du joueur d'échecs de Von Kempelen (savant hongrois) par Karl Gottlieb von Windisch, 1783. les différentes parties étaient actionnées par un opérateur humain via un mécanisme. Cette illustration est inexacte, basée sur les calculs de Racknitz, et montre un agencement impossible au vu des dimensions réelles de l'automate.
Kempelen a l'idée de construire son automate de joueur d'échecs, dit le "Turc mécanique" après avoir assisté à un spectacle de magie de François Pelletier à la cour de l'Impératrice d'Autriche Marie-Thérèse, au château de Schönbrunn. Après le spectacle, Kempelen promet à Pelletier de revenir au château avec une invention dépassant sa magie. Le résultat de ce défi fut l'« Automate joueur d'échecs » connu par la suite sous le nom de « Turc mécanique » ou plus simplement « Turc ». La machine contient un mannequin à taille humaine constitué d'une tête et d'un torse, avec des yeux gris et une barbe noire, portant une robe à la turque et un turban, ce qui constitue selon le journaliste et auteur Tom Standage « le costume traditionnel d'un magicien ou d'un sorcier oriental ». Son bras gauche tient une longue pipe, le droit repose sur le haut d'un large meuble mesurant environ 110 cm de long, 60 cm de large et 75 cm de haut. Sur le meuble était placé un échiquier d'environ 50 cm de côté. L'avant du meuble comportait trois portes, une ouverture, et un tiroir qui pouvait être ouvert pour révéler un jeu d'échecs rouge et blanc en ivoire. Illustration du fonctionnement du Turc : les différentes parties étaient actionnées par un opérateur humain via un mécanisme. Cette illustration est inexacte, basée sur les calculs de Racknitz, et montre un agencement impossible au vu des dimensions réelles de l'automate. L'intérieur de la machine était très complexe, et conçu pour tromper ceux qui voulaient l'observer. Une fois ouvertes sur la gauche, les portes du meuble révélaient de nombreux engrenages similaires au mécanisme d'une horloge. Cette partie était conçue de telle manière qu'en ouvrant aussi les portes arrière du meuble, on pouvait voir à travers la machine.
Peinture, Peintres français, Dix-huitième siècle, Pesanteur, Balançoires, Peintres de genre, Escarpolettes, Honoré Fragonard (1732-1806)
Les hasards heureux de l'escarpolette, 1767-68, par Jean-Honoré Fragonard (1732–1806). Wallace Collection à Londres.
Dessins et plans, Chaînes, Dix-huitième siècle, Savants français, Inventions, Jacques de Vaucanson (1709-1782)
Une chaîne sans fin de Vaucanson (1709-1782). Le cardinal de Fleury lui confie le poste d’inspecteur général des manufactures de soie en 1741, le roi souhaitant réorganiser cette industrie, ce qui entraînera l’arrêt de ses travaux sur les automates. De mai à octobre 1742, Jacques Vaucanson, accompagné d’un spécialiste lyonnais de la soie, le sieur Montessuy, inspecte les manufactures de France, mais aussi d’Italie. S’ensuivent des perfectionnements sur les diverses machines, dont le moulin à organiser, qui fonctionne à l’aide d’une chaîne sans fin appelée « chaîne Vaucanson », pour laquelle il invente une machine de fabrication. Il meurt le 21 novembre 1782, à Paris, en léguant ses machines au roi, legs qui sera une des bases de la collection du Conservatoire national des arts et métiers.
Canards, Peinture, Étangs, Dix-huitième siècle, Peintres italiens, Scènes de genre, Pietro Longhi (1702–1785), Chasse au fusil, Chasse au petit gibier
Série "La chasse dans la vallée" ; scène 2 : La chasse au canard. Pietro Longhi (1702–1785), peintre vénitien.
Gravure, Alimentation, Pommes de terre, Cuisine (pommes de terre), Dix-huitième siècle, Femmes écrivains françaises, Livres de cuisine
Couverture du livre de Mme Mérigot, "La Cuisinière républicaine", paru en 1794 à Paris. La Cuisinière républicaine (titre complet : "La Cuisinière républicaine, qui enseigne la manière simple d’accomoder les pommes de terre, avec quelques avis sur les soins nécessaires pour les conserver") est un livre de cuisine entièrement consacré à la pomme de terre, paru en l'an III du calendrier républicain (1794-1795) à Paris, chez Mérigot jeune. Son auteur est une femme, veuve d'un libraire, Madame Mérigot, dont la biographie est mal connue.Cet ouvrage de 42 pages est le premier livre de recettes culinaires en langue française écrit par une femme, et le premier consacré exclusivement à la pomme de terre. Il compte au total 31 recettes à base de pomme de terre dont cinq sucrées, parmi lesqelles la première recette publiée de gâteau aux pommes de terre, dénommé « Gâteau économique ».
Photographie, Dix-huitième siècle, Peintres italiens, Pietro Longhi (1702–1785), Chiromancie, Prédictions d'après les lignes de la main
La diseuse de bonne aventure, Pietro Longhi (1702–1785), peintre vénitien.
Photographie, Statues, Familles, Dix-huitième siècle, Artistes allemands, Femmes, Art rococo, Sculpture rococo, Maîtresses de maison
Statue en bois d'Ignaz Günther : La maîtresse de maison. Franz Ignaz Günther (1725-1775) est l'un des maîtres du rococo de l'Allemagne méridionale.
Peinture, Dix-huitième siècle, Cuisine (semoule), Peintres italiens, Pietro Longhi (1702–1785), Millas (Pyrénées-Orientales), Polenta (cuisine)
La polenta, Pietro Longhi (1702–1785), peintre vénitien. La polenta (ou polente) est une farine de maïs, originaire du nord de l'Italie ; elle se présente sous forme de galette ou de bouillie à base de semoule ou de farine de maïs. La polenta est connue sous d'autres noms notamment en Languedoc sous le nom de milhàs, en Gascogne sous le nom de cruchade, en Roumanie et Moldavie sous le nom de mamaliga, ou encore à l'île de la Réunion sous le nom de sosso maïs. Nature ou crémeuse, elle peut être servie chaude, cuite au bouillon ou au lait ou encore en galettes revenues à la poêle.
Peinture, Dix-huitième siècle, Peintres italiens, Scènes de genre, Pietro Longhi (1702–1785), Fusils de chasse
Série "La chasse dans la vallée" scène 2 : La préparation des fusils. Pietro Longhi (1702–1785), peintre vénitien.
La rade de Lorient vue de la citadelle de Port-Louis. Plume et lavis d'encre noire par Nicolas Ozanne, 1792 (Lorient, Musée de la Compagnie des Indes)
Photographie, Femmes -- Livres et lecture, Dix-huitième siècle, Lampes à huile, Arts décoratifs, Jeunesse -- Livres et lecture, Louis-Simon Boizot (1743-1809), Porcelaine de Sèvres
Lampe à huile en porcelaine de Sèvres, "L'étude", 1786, de Louis-Simon Boizot (1743–1809), Directeur pendant plus de trente ans de la Manufacture royale de porcelaine de Sèvres ; dorée par André-Joseph Foinet.
Photographie, Potages, Dix-huitième siècle, Récipients, Lapins, Récipients -- Couvercles, Art anglais, Animaux -- Dans l'art, Porcelaine de Chelsea
Soupière en forme de lapin, 1752-1756, porcelaine de Chelsea, Angleterre.
Gravure, Squelette, Dix-huitième siècle, Artistes allemands, Lapins, Johann Daniel Meyer (1713–1752)
Lapin et son squelette, 1748, miniature par Johann Daniel Meyer (1713–1752), graveur allemand.
Photographie, Étoiles, Dix-huitième siècle, Polygones, Architecture, Pentagones, Ancône (Italie), Lazarets, Léproseries
Lazaret pentagonal d'Ancône en Italie. Le Lazaret (Lazzaretto or Mole Vanvitelliana) a été conçu par Luigi Vanvitelli en 1732 ; c'est un bâtiment pentagonal formant une île entourée de fossés de plus de 2 000 m2 de superficie. Il a servi de quarantaine pour protéger la défense militaire de maladies contagieuses qui arriveraient depuis la mer. Plus tard, il a été aussi servi d’hôpital militaire et sert actuellement lors de manifestations culturelles et d'un festival du cinéma d'été.
Dessins et plans, Cuivre, Dix-huitième siècle, Dictionnaires illustrés, Arts décoratifs, Arts du métal, Denis Diderot (1713-1784), Encyclopédie Diderot et d'Alembert, Encyclopédies illustrées, Gravure au burin
Planche extraite de l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, 1760 par Diderot. En haut (Figure 4) : manière de tenir le burin ; en bas (Figure 5) : la même main dans l'action de graver.
Le chocolat du matin chez les aristocrates (1775-1780), par Pietro Longhi (1701–1785), peintre vénitien.
Textes, Peinture, Trésors, Pirates, Main, Benjamin Franklin (1706-1790), Humour, Dix-huitième siècle, Grèves (plages), Littérature de jeunesse, Autobiographie, Pétitions, Illustrateurs américains
"Qui sera le capitaine ? (Who Shall be Captain), illustration d'un duel entre pirates, 1911, par Howard Pyle (1853-1911).
Photographie, Dix-huitième siècle, La Réunion, Piton de la Fournaise (Réunion. - volcan), Vocanisme, Philibert Commerson (1727-1773)
Le cratère Commerson est un cratère volcanique des Hauts de l'île de La Réunion. Inscription : Philibert COMMERSON est né dans l'Ain en 1727. C'est en tant que médecin et naturaliste du roi qu'il partit en 1766, pour une expédition autour du monde, qui le conduisit par hasard à l'île Bourbon (La Réunion) en 1771 ; son séjour d'un an sur cette île l'amena à découvrir et décrire le volcan, ce qui lui valut l'honneur de voir son nom attribué à ce cratère. Avec ses 200 m de diamètre et ses 235 m de profondeur, ce cratère d'explosion est le plus impressionnant de l'île. Il fait partie d'un ensemble réuptif formé de trois cratères contigus apparus il y a environ 2000 ans, lors d'un phénomène volcanique d'une intensité exceptionnelle, de type phréato-magmatique. L'hypothèse actuelle (1991) expliquant cette éruption est illustrée par le scénario suivant (d'après Ph. Mairine et P. Bachèlery) : 1) une éruption classique débute ; 2) des explosions apparaissent ; 3) une coulée fluide s'épanche dans la vallée. Source : Bachèlery, P., et Ph. Mairine, Evolution volcano-structurale du Piton de la Fournaise... in "Le Volcanisme de la Réunion, Monographie", J.F Lénat Ed., publié par le Centre de Recherches Volcanologiques, Clermont-Ferrand, France, 213 - 242,1990.
Peinture, Caricatures et dessins humoristiques, Histoire, Dix-huitième siècle, Chiens, Politique et gouvernement -- Caricatures et dessins humoristiques, Accords commerciaux, Traités commerciaux
Le destin d'un traité commercial (Anticipation, or the approaching fate of the French Commercial Treaty), 1787, par James Gillray (1756-1816).
Peinture, Dix-huitième siècle, Islande, Mythologie celtique, Islande -- Civilisation, Islande -- Histoire, Manuscrits islandais et vieux-norrois
Représentation du dieu Odin et de ses corbeaux, manuscrit islandais du XVIIIème siècle "SÁM 66", conservé à l'Institut Árni Magnússon en Islande.
Gravure, Ustensiles de cuisine, Anglais (langue), Latin (langue), Dix-huitième siècle, Winchester (GB), Éducation civique, Éducation des jeunes, Éducation et humour
Hircocervus, le fidèle serviteur de Winchester, reproduction d'un tableau représentant les vertus ménagères qui sont aussi celles d'un bon étudiant anglais près de la cuisine du collège St Mary (The Trusty Servant, from the original painting on the wall adjacent to the kitchen of St Mary's College), 1749 ; avec poème en vers en latin.
Papillons, Gravure, Parachutisme, Marionnettes, Parapluies, Humour, Dix-huitième siècle, Estampes en couleurs, Estampes françaises, Farces, Toussaint-Gaspard Taconet (1730-1774)
"Le Gascon envolé" : Collection de Vinck. "Un siècle d'histoire de France par l'estampe, 1770-1870." Vol. 6 (pièces 880-1045), Ancien Régime et Révolution. Dialogue chanté entre "la vieille" à sa fenêtre qui essaie de retenir un "abbé" voleur. Plusieurs personnages s'envolent grâce à un parapluie et un papillon. "Platignac le gascon" est un personnage du ballet pantomime orné de chants et de danses intitulé "La mariée de la courtille ou Arlequin Ramponneau" de Toussaint-Gaspard Taconet (1730-1774) en 1760.
Gravure, Histoire, Dix-huitième siècle, Artistes anglais, Manière noire, Mezzotinte, Maréchaux-ferrants, Métiers, Métiers du cheval
Dans l'atelier du maréchal ferrant, par William Pether (1738-1821), d'après Joseph Wright of Derby (1734-1797). 50 x 35 cm. Gravure "manière noire" dite Mezzotinte.
Peinture, Dix-huitième siècle, Estampes en couleurs japonaises, Nouvel an, Maruyama Okyo (1733-1795), Scènes de rues
"Le Nouvel An" est une œuvre, couleurs sur soie, du peintre japonais Maruyama Ōkyo (1733-1795) du XVIIIe siècle. (Hauteur du rouleau: 28 centimètres). Cette peinture est conservée au Tokugawa Reimeikai de Tokyo.
Photographie, Enfants, Figurines de porcelaine, Dix-huitième siècle, Chinois, Porcelaine -- Allemagne, Porcelaine de Nymphenburg
Statuette de porcelaine blanche d'enfant chinois : Franz Anton BUstelli, Nymphenburg, circa 1757.
Peinture, Montgolfières, Dix-huitième siècle, Physiciens français, Ballons dirigeables, Jacques Charles (1746-1823), Aérostats, Chromolithographie, Émeutes, Gonesse (Val-d'Oise), Paris (France) -- Palais du Champ de Mars
Le physicien Jacques Charles (1746-1823) et les débuts de l'aérostat : Émeute à Gonesse, Charles lance au Champ de Mars à Paris le premier aérostat à gaz hydrogène, 27 août 1783, Portrait de Charles.
Gravure, Montgolfières, Parachutisme, Dix-huitième siècle, Saut en parachute, Montgolfières -- Pilotage, Ballons -- Pilotage, André Jacques Garnerin (1769-1823)
Le premier parachute de Jacques Garnerin en 1797, calendrier révolutionnaire de l'an 7, légendé en français : 1) Calotte du parachute ; 2) Parachute ployé, à l'instant du départ ; 3) Parachute déployé, à l'instant de la séparation d'avec le ballon.
Gravure, Renards, Raisins, Sculpture sur bois, Ésope (0620?-0560? av. J.-C.), Dix-huitième siècle, Fables antiques
D'après la fable d'Ésope, "Le renard et les raisins", médaillon de bois d'un coffre sculpté par Martin Jugiez c.1765-75.
Le tailleur de plume dans sa bibliothèque, par Philip van Dijk (1683–1753), peintre néerlandais.
Les environs de Paris, 1757, carte de Robert de Vaugondy père et fils : Gilles Robert de Vaugondy (1688–1766) et Didier Robert de Vaugondy (1723–1786). Source : "Atlas Universel", Paris 1757 (1ère édition)
Peinture, Histoire, Dix-huitième siècle, Amérique, Indiens d'Amérique du Nord, Indiens d'Amérique -- Guerres
Rencontre du Col. George Rogers Clark et des Indiens at Cahokia. Source : NARA - 518213 (National Archives and Records Administration). George Rogers Clark, né le 19 novembre 1752 et mort le 13 février 1818, est un militaire américain officier sur la frontière Nord-Ouest lors de la Guerre d'indépendance des États-Unis.
Dessins et plans, Dix-huitième siècle, Charles Augustin de Coulomb (1736-1806), Coulomb, Fonctions de, Électromagnétisme, Physiciens français
Dans les deux cas, la force est proportionnelle au produit des charges et varie en carré inverse de la distance entre les charges. La loi de Coulomb exprime, en électrostatique, la force de l'interaction électrique entre deux particules chargées électriquement. Elle est nommée d'après le physicien français Charles-Augustin Coulomb qui l'a énoncée en 1785 et elle forme la base de l'électrostatique. Elle peut s'énoncer ainsi : « L'intensité de la force électrostatique entre deux charges électriques est proportionnelle au produit des deux charges et est inversement proportionnelle au carré de la distance entre les deux charges. La force est portée par la droite passant par les deux charges.
Dessins et plans, Histoire, Dix-huitième siècle, Cartes anciennes, Lorient (Morbihan), Lorient (Morbihan) -- Histoire, Lorient (Morbihan. - Siège) (1746)
Carte de Lorient et de sa rade réalisée en 1750 par Georges-Louis Le Rouge pour le Ministre et Secrétaire d’État de la Guerre.
Dessins et plans, Énergie mécanique -- Transmission, Dix-huitième siècle, Isaac Newton (1642-1727), Galilée (1564-1642), Chute libre, Génie mécanique, Machines -- Modèles réduits
Machine d'Atwood (surcharge à gauche, masse à droite) : Atwood (1746-1807) est surtout célèbre chez les élèves de terminales math. élém. des années 1945-1972, par sa « machine » hautement didactique qui permettait de s'entraîner sur la bonne application de la « relation fondamentale de la dynamique » (deuxième loi de Newton) et/ou la conservation de l'énergie mécanique. Tous les grands lycées de France possèdent sans doute encore, dans leurs placards, une machine d'Atwood. Du point de vue expérimental, l'appareil fut l'objet d'un travail soutenu durant au moins un siècle, ce qui permit de tenir compte de beaucoup de correctifs. Néanmoins, pouvoir placer l'appareil dans un grand tube de Newton est resté l'apanage des très grands lycées. La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Galilée est le premier à chercher comment la ralentir, sans la « dénaturer » : il pensa au plan incliné d'angle α (où intervient seulement g⋅sinα), puis à la succession de plans inclinés. La difficulté pour Galilée restait la mesure du temps… Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses.
Gravure, Histoire, Dix-huitième siècle, Émile Bayard (1837–1891), Siècle des Lumières, Malesherbes (C.G. de Lamoignon de, 1721-1794)
Portrait de Malesherbes (C.G. de Lamoignon de, 1721-1794), gravure de Émile Bayard (1837–1891). Source : Augustin Challamel et Desire Lacroix, Album du centenaire, Grands hommes et grands faits de la Révolution française (1789-1804), Magasin Pittoresque (E.Best), Paris
Gravure, Dix-huitième siècle, Plumes à écrire, Auteurs anglais, Femmes astronomes, Samuel Shelley (1750–1808), William Nutter (1754–1802)
Portrait de Margaret Bryan avec ses deux filles, frontispice de son ouvrage "Compendious System of Astronomy", 1797, par William Nutter (1754–1802) d'après Samuel Shelley (1750–1808). Elle publia par la suite ses cours d'optique et d'acoustique dans "Lectures on Natural Philosophy (thirteen lectures on hydrostatics, optics, pneumatics, and acoustics)" en 1806.
Photographie, Benjamin Franklin (1706-1790), Dix-huitième siècle, Art anglais, Médaillons (portraits), Faïence de Wedgwood
Portrait de Benjamin Franklin (1706-1790), Wedgwood. Source : New-York Historical Society, 1925.45.