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Armes de guerre | Photographie | Gravure | Collections de costumes | Quinzième siècle | Histoire | Dix-septième siècle | Lances | Armes à feu | Mobilier | Clip art | Armoiries | Dessins et plans | Armes antiques | Armes médiévales | Napoléon Ier (empereur des Français, 1769-1821) | Mitraillettes | Évolution des êtres vivants | Armoriaux | Peinture | ...
Catapulte. Source : http://data.abuledu.org/URI/504a69c3-catapulte

Catapulte

Dessin de Grose, Francis: “The Antiquities of England and Wales” (1783), représentant une catapulte.

Costumes allemands de la fin du quinzième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5307dc96-costumes-allemands-de-la-fin-du-quinzieme-siecle

Costumes allemands de la fin du quinzième siècle

Planche 52, costumes allemands de la fin du quinzième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, bouffon ; 2, chevalier ; 3, huissier ; 4, citoyen ; 5, charpentier ; 6-7, paysans ; 8, chanoine ; 9, recteur de l'université ; 10, évêque ; 11-12, chevaliers ; 13, arbalétrier ; 14, archer ; 15-16, électeurs.

l'épée de "Grutte Pier". Source : http://data.abuledu.org/URI/50293edc-l-epee-de-grutte-pier-

l'épée de "Grutte Pier"

Photo de la statue de Pier Gerlofs Donia à Kimswerd : héros frison populaire du début du XVIème siècle "solide comme une tour, fort comme un bœuf, de teint sombre, large d'épaules, il portait une longue barbe noire".

Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309f24e-mobilier-du-dix-septieme-et-du-dix-huitieme-siecle

Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle

Planche 92, Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach. Objets du dix-septième siècle : 1-4, 9-10, épées ; 5-7, casques ; 8, 11, 15, pointes de lances (pertuisanes) ; 12, hausse-col (gorgerin) ; 13, carabine ; 14, pistolet ; 16, vase ; 17, guitare ; 18-21, meubles et secrétaire ; 22-25, chaises et tabouret ; 26, 28, tables ; 27, commode ; 29, porte-buste ; 30, lit. Objets du dix-huitième siècle : 31, lit ; 32, table de toilette ; 33-34, 40, 43, 45-47, chaises ; 35-37, tables ; 38, sofa ; 39, miroir ; 41-42, 62, réveils ; 44, 45, sofas ; 47, 63, sirènes d'incendie ; 62a, tasse et sous-tasse ; 51, 53, 57-58, tables ; 52, 55, sièges ; 56, piano forte ; 54, chandelier ; 59, commode ; 60, étagères d'angle ; 61, armoire ; 64-72, sofas ; 65, 67-70, chaises ; 66, étagère ; 71, table.

Mobilier et armes du quinzième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5307b0cd-mobilier-et-armes-du-quinzieme-siecle

Mobilier et armes du quinzième siècle

Planche 61, mobilier du quinzième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-7, casques ; 8-15, armes ; 16, arbalète ; 17-19, épées ; 20-22, boucliers ; 23, éperon ; 24-29, instruments de musique ; 30, Ordre de la Toison d'Or en 1430, 31, vases à boire ; 32, berceau ; 33, lit ; 34-35, chaises ; 36, table ; 37, trône ; 38, coffre en bois.

Tourelle anti-aérienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/504a2866-tourelle-anti-aerienne

Tourelle anti-aérienne

Dessin de tourelle anti-aérienne.

Armoiries de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc1dc9-armoiries-de-dunkerque

Armoiries de Dunkerque

Grandes Armes de la ville de Dunkerque : Coupé, en chef d'or au lion passant de sable, en pointe d'argent à un dauphin couché d'azur crété et oreillé de gueules. La citation "Dunkerque a bien mérité de la Patrie" fut donnée par le Comité de Salut Public après l'héroïque conduite des habitants lors du siège de Dunkerque en 1793. La citation "Ville héroïque, sert d'exemple à toute la Nation" fut attribuée en 1917. Les médailles sont : La Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, 1919 ; Les Croix de Guerre avec Palmes, 1917 et 1945 ; La Distinguished Service Cross, 1919.

Armoiries de la Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379056e-armoiries-de-la-bolivie

Armoiries de la Bolivie

Armoiries de la Bolivie : c'est durant la présidence de Manuel Isidoro Belzu Humerez que le congrès détermine la dernière modification par le décret de loi du 5 novembre 1851. La forme et les couleurs sont réglementées par décret suprême du 14 juillet 1888. Le condor des Andes est l'oiseau national de la Bolivie. Situé sur le dessus du blason, il symbolise l'horizon sans limite de la Bolivie. la couronne de laurier et d'olivier est donc composée de deux arbres différents qui sont le laurier et l'olivier. Elle est située derrière le condor. Le laurier symbolise le triomphe et la gloire après la guerre. L'olivier est symbole de la paix et de la gloire des peuples. Les pavillons sont placés sur chacune des lances, il y en a donc six au total. Ces pavillons ont les mêmes couleurs que le drapeau, c'est-à-dire trois bandes de couleur, rouge, jaune et verte. Ils symbolisent donc la Bolivie. La hache représente l'autorité et le commandement de la Bolivie. Elle est située au-dessus à droite, derrière le canon. Les canons du XVIIIe et XIXe siècle ainsi que les fusils et les lances symbolisent les armes de la Bolivie. Il y a deux canons disposés en croix, quatre fusils avec baïonnette disposés également en croix par paire et alors 6 lances, deux fois trois lances, disposées en croix également. La casquette de la liberté est de couleur rouge et située sur l'extrémité de l'un des deux canons. Elle est le symbole de liberté. L'ovale est une ellipse de couleur bleu-ciel. Dans sa partie inférieure se trouvent 10 étoiles dorées et dans sa partie supérieurs on peut lire l'inscription "BOLIVIA" en lettres dorées et majuscules. À l'intérieur de cet ovale se trouve une ligne dorée. La couleur bleu-ciel représente le littoral perdu durant la guerre du Pacifique (1879-1884). La ligne dorée est utilisée comme décoration. Le Cerro Rico : au centre de l'image sont dessinées deux montagnes, une petite devant une grande. Celle-ci est appelée le Cerro Rico, une montagne située à Potosí. Elle est appelée la montagne riche car elle contient une énorme quantité de minerai d'argent. Elle fut découverte par Diego Huallpa et est encore exploitée de nos jours. La représentation de cette montagne symbolise donc la richesse des ressources naturelles de Bolivie. Le Cerro Menor constitue en quelque sorte un autel pour le Cerro Rico. La chapelle située sur le Cerro Menor, juste devant le Cerro Rico est une chapelle avec l'image du sacré-cœur de Jésus avec les bras ouverts. C'est une construction faite en granite et l'image du sacré-cœur de Jésus est en bronze. La botte de blé : céréale appelée kutmu en quechua. Il fut introduit en Amérique du Sud par les Espagnols et a atteint très vite la Bolivie. Il symbolise l'abondance des ressources alimentaires en Bolivie. Le palmier que l'on peut voir au premier plan de l'image du centre dont le nom scientifique est Parajubæa représente la richesse végétale de la Bolivie. Le soleil situé sur la gauche, derrière le Cerro Rico, c'est un soleil qui se lève. Il symbolise la naissance et la splendeur de la Bolivie. Le ciel possède les couleurs du lever du jour. Il symbolise la naissance et la splendeur de la République. Le lama situé au premier plan symbolise la richesse de la faune de la Bolivie. Les étoiles au nombre de 10 sont situées dans la partie inférieure de l'ovale bleu. Elles sont considérées comme un symbole de chance, de destin, de conquête. Ce sont des étoiles à 5 points et chacune d'elles représente un département de la Bolivie. Les voici dans l'ordre de gauche vers la droite : Chuquisaca, La Paz, Potosí, Cochabamba, Santa Cruz, Oruro, Littoral (perdu durant la guerre du Pacifique de 1879-1884), Tarija, Beni, Pando. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_la_Bolivie

Costumes allemands du dix-septième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530921e7-costumes-allemands-du-dix-septieme-siecle

Costumes allemands du dix-septième siècle

Planche 83, Costumes allemands du dix-septième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, mercenaire ; 2, 10-12, mousquets ; 3, artillerie ; 4, arquebusier ; 5, capitaine ; 6, 9, porteurs d'étendards ; 7-8, dragons ; 13-14, cuirasses ; 15, Wallenstein, généralissime ; 16, Octavius Piccolomini.

Garde de rapière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5341aacd-garde-de-rapiere

Garde de rapière

Garde de rapière. La rapière était une épée longue et fine, à la garde élaborée, à la lame flexible, destinée essentiellement aux coups d'estoc. La rapière, même si elle n'est pas faite pour trancher un homme en deux, est affûtée, et peut causer de sérieuses entailles si un coup à la volée atteint l'adversaire. La rapière était une arme particulière, puisqu'elle rassemblait les trois fonctions de l'épée : l'apparat, le duel et la guerre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rapi%C3%A8re

Graffiti de l'évolution de 28 à 30. Source : http://data.abuledu.org/URI/537e6383-graffiti-de-l-evolution-de-28-a-30

Graffiti de l'évolution de 28 à 30

Graffiti de l'évolution de 28 à 30, Prato en Toscane.

Grandes Armes Impériales de 1804 à 1815. Source : http://data.abuledu.org/URI/5522ddcf-grandes-armes-imperiales-de-1804-a-1815

Grandes Armes Impériales de 1804 à 1815

Grandes Armes Impériales de 1804 à 1815.

Janvier dans Les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c3c83-janvier-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Janvier dans Les Très Riches Heures du Duc de Berry

Janvier dans "Les Très Riches Heures du duc de Berry", par les Frères de Limbourg (1385-1416) : Le duc de Berry, assis en bas à droite, dos au feu, est habillé de bleu et coiffé d'un bonnet de fourrure. Il invite ses gens et ses proches à se présenter à lui. Derrière lui figure l'inscription : Approche Approche. Plusieurs familiers du duc s'approchent de lui pendant que des serviteurs s'affairent : les échansons servent à boire, deux écuyers tranchants au centre sont vus de dos ; au bout de la table officie un panetier. Au-dessus de la cheminée figurent les armes du duc, "d'azur semé de fleurs de lys d'or, à la bordure engrêlée de gueules", avec de petits ours et des cygnes blessés. Plusieurs animaux de compagnie sont représentés : petits chiens sur la table, lévrier au sol. La tapisserie du fond de la salle semble représenter des épisodes de la guerre de Troie.

Phalange macédonienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/50773e03-phalange-macedonienne

Phalange macédonienne

Croquis d'un dispositif guerrier macédonien, la phalange (F. Mitchell, Department of History, United States Military Academy).

Portrait d'Ambroise Paré. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ebdec-portrait-d-ambroise-pare

Portrait d'Ambroise Paré

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : AMBROISE PARÉ est un chirurgien et anatomiste français du XVIème siècle. Ambroise Paré est le chirurgien des champs de bataille, le père de la chirurgie moderne. Il est l'inventeur de nombreux instruments. La généralisation alors relativement récente de l’usage des armes à feu rend les chirurgiens familiers avec des plaies d'une sorte nouvelle, que l’on cautérise au fer rouge ou à l’huile bouillante au risque de tuer le blessé. Paré met au point la ligature des artères, qu'il substitue à la cautérisation, dans les amputations.