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Photographie, Îles, Manche (mer), Mont-Saint-Michel (France), Baie du, Espaces protégés, Sites historiques, Le Mont-Saint-Michel (Manche. - région), Mont-Saint-Michel (France. - région), Baie du, Sites naturels, Aire protégée d'Ille-et-Vilaine, Cancale (Ille-et-Vilaine. - région), Île d'Ille-et-Vilaine, Site naturel classé d'Ille-et-Vilaine, Île de la Manche, Ile des Rimains, Site naturel d'Ille-et-Vilaine, Aires protégées, Sites naturels protégés
L'île des Rimains est une petite île au large de Cancale. Elle est située à environ 700 m à l'est de la pointe de la Chaîne, à l'extrémité de la Grande Rade de Cancale qui termine à l'ouest la Baie du mont Saint-Michel. Au sud-ouest, à mi-distance de la côte se trouvent deux autres îlots, le Châtellier et le Rocher de Cancale. Un fort maritime y a été construit à la fin du XVIIIe siècle sur des plans de Vauban pour défendre la passe de Cancale et assurer la sécurité de la baie du Mont Saint-Michel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_des_Rimains
Photographie, Phares -- France, Signaux et signalisation, Géographie, Navigation -- Mesures de sécurité, Île-de-Sein (Finistère)
Phare de Goulenez, Île-de-Sein : mis en service en 1951, sur les ruines de l’ancien phare détruit en 1944.
Liberté, Gravure, Caricatures et dessins humoristiques, Histoire, Artistes anglais, Caricaturistes, Révolution française dans l'art, Thomas Rowlandson (1756-1827)
Caricature par Thomas Rowlandson (1756-1827) d'après un dessin de Lord George Murray : "Le Contraste en 1792, Que vaut-il mieux ? (The Contrast 1792 / Which Is Best)" mettant en parallèle la liberté à l'anglaise (à gauche) et à la française (à droite). Légende à gauche : "religion, moralité, loyauté, obéissance aux lois, indépendance, sécurité personnelle, justice, héritage, protection, propriété, industrie (= activité), proepérité nationale, BONHEUR." Légende à droite : "athéisme, parjure, rébellion, trahison, anarchie, meurtre, égalité, folie, cruauté, injustice, trahison, ingratitude, indolence, famine, ruine privée et nationale, MALHEUR". Dans l'écusson de gauche "Britannia" assise sous un arbre, un casque d'Athéna sur la tête, un lion à ses pieds, tenant une "Magna Carta" dans la main droite posée sur le globe et tenant au lieu du trident habituel un bâton avec un bonnet phrygien ; une balance dans la main gauche, et un navire partant en mer. Dans l'écusson de droite une mégère mal vêtue à la tête de Méduse, foulant aux pieds un cadavre décapité, brandissant une tête au bout de son trident et une pique à la main gauche, et, à l'arrière-plan, un pendu à une lanterne.
Logo représentant un décollage de parapente (ou de vol libre en général) avec une manche à air dans une pente.
Selon la puissance et la longueur d'onde d'émission du laser, celui-ci peut représenter un réel danger pour la vue et provoquer des brûlures irréparables de la rétine. Pour des questions de sécurité, la législation française interdit l'utilisation de lasers de classe supérieure à 2 en dehors d'un cadre professionnel.
Dessins et plans, Mali, Cartes géographiques, Afrique de l'Ouest, Coopération intergouvernementale, Intervention militaire, Mali -- Politique et gouvernement (1991-....)
Pays membres de la Mission internationale de soutien au Mali sous conduite africaine (MISMA), mission militaire conduite par la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) pour porter assistance à l'un de ses membres, le Mali, dont le Nord du pays est en proie à une rébellion islamiste depuis le déclenchement du conflit malien de 2012-2013. Cette mission est autorisée par la Résolution 2085 du Conseil de sécurité des Nations unies en date du 20 décembre 2012 qui « autorise le déploiement sous conduite africaine d’une Mission internationale de soutien au Mali pour une période initiale d'une année ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mission_internationale_de_soutien_au_Mali_sous_conduite_africaine.
Fer, Photographie, Architecture industrielle, Jean Prouvé (1901-1984), Jarville-la-Malgrange (Meurthe-et-Moselle)
Au centre, Auvent, Sécurité sociale du Mans, 1953, ateliers Jean Prouvé constructeurs en tôle d'acier pliée 278x370x597 cm. Exposition permanente Jean Prouvé au musée de l'histoire du fer à Jarville.
Dessins et plans, Parachutisme, Parachutistes, Parapente, Vol libre, Aéronautique -- Mesures de sécurité, Saut en parachute, Sports aériens
Effet miroir entre un parachute de secours et une aile de parapente : les deux voiles s'alignent horizontalement à l'opposé l'une de l'autre, et par conséquent le taux de chute augmente beaucoup. Pour cette raison, l'aile principale doit être neutralisée lorsque le parachute est deployé.
Dessins et plans, Parachutisme, Parachutistes, Parapente, Vol libre, Aéronautique -- Mesures de sécurité, Saut en parachute, Sports aériens
Neutralisation du parapente en tirant sur les suspentes B pour éviter l'effet miroir.
Un parachute sportif avec : sur chacune des bretelles, un système trois anneaux ; au milieu, le déclencheur de sécurité en rouge ; à gauche, la poignée de libération de la voile principale ; à droite, la poignée métallique d'ouverture du parachute de secours ; tout en bas, l'extracteur (souvent appelé hand-deploy) qui va ouvrir le parachute principal.
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Le suspentage du parachute doit être plus court que celui de la voile de parapente, sinon les turbulences générées par le parapente peuvent empêcher le parachute de s'ouvrir.
Photographie, Parachutisme, Sports -- Matériel, Saut en parachute, Articles de sport, Sécurité -- Dispositifs, Sécurité -- Mesures
La libération est la première étape de la procédure de secours (PDS). Elle consiste à désolidariser les élévateurs de la voile principale du sac-harnais via le système trois anneaux. A gauche en orange, la voile principale qui a été libérée. En blanc la voile de secours, toujours attachée au sac harnais qui est en noir. Le sac blanc qui dépasse de la voile principale est l'extracteur de la voile principale qui permet d'ouvrir cette dernière. On le tire à la main. D'où son nom : hand-deploy.
Photographie, Parachutisme, Sports -- Matériel, Saut en parachute, Articles de sport, Sécurité -- Dispositifs, Sécurité -- Mesures
Les élévateurs après une libération. La libération est la première étape de la procédure de secours (PDS). Elle consiste à désolidariser les élévateurs de la voile principale du sac-harnais via le système trois anneaux. Les élévateurs (à droite en bleu), les suspentes (blanches), le glisseur de la voile principale (en bleu au niveau des suspentes) et les commandes de la voile principale (en jaune, au niveau des élévateurs). La corde noire sur l'élévateur à droite de l'image est le LOR qui ouvre la voile de secours dès que la voile principale est libérée. Mais il faut tout de même tirer sur la poignée d'ouverture du secours car le LOR est désactivable.
Photographie, Parachutisme, Sports -- Matériel, Saut en parachute, Articles de sport, Sécurité -- Dispositifs, Sécurité -- Mesures
Le POD d'une voile de secours. La libération est la première étape de la procédure de secours (PDS). Elle consiste à désolidariser les élévateurs de la voile principale du sac-harnais via le système trois anneaux. En haut, le POD de la voile de secours n'est pas solidaire de la voile de secours. L'extracteur de la voile de secours contient un ressort pour que l'ouverture se fasse le plus vite possible, mais aussi pour éloigner le POD le plus possible du parachutiste afin qu'il soit dans le vent relatif et que la voile de secours s'ouvre avec le moins d'interférence possible.
Photographie, Parachutisme, Sports -- Matériel, Saut en parachute, Harnais, Articles de sport, Sécurité -- Dispositifs, Sécurité -- Mesures
Sac harnais de parachute après une libération. La libération et la première étape de la procédure de secours (PDS). Elle consiste à désolidariser les élévateurs de la voile principale du sac-harnais via le système trois anneaux. Le sac harnais avec les élévateurs de la voile de secours en bleu et ses commandes en rouge. La voile de secours se trouve en haut du sac harnais et la voile principale en bas. La poignée rouge et noir avec l'anneau en jaune c'est la poignée de libération qui sépare la voile principale. Le seul élément qui manque c'est la poignée d'ouverture du secours qui est tombée on ne sait où. La PDS voulant que l'on la lâche après avoir tiré dessus.
Photographie, Phares, Phares -- France, Géographie, Phare du XIXe siècle en France, Phare de la Seine-Maritime, Phare à Saint Valery en Caux, Haute-Normandie (France), Navigation -- Mesures de sécurité, Candélabres (éclairage public), Jetées, Saint-Valery-en-Caux (Seine-Maritime), Saint-Valery-en-Caux (Seine-Maritime) -- Phare
Le phare de Saint-Valery-en-Caux (Seine-Maritime, France) est une tour blanche avec haut vert sur la jetée-Ouest. Il a été construit en 1872 puis modifié en 1914. Sa portée varie de 5 à 15 milles selon le temps. Il est alimenté électriquement depuis 1958. Le feu rouge de la jetée est un candélabre en fonte datant de 1857. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Saint-Valery-en-Caux
Photographie, Ouvrages d'art, Phares, Phares -- France, Géographie, Monuments historiques, Dieppe (Seine-Maritime. - région), Sécurité maritime, Architecture contemporaine, Falaises -- France, Phare du XXe siècle, Maison-phare, Monument historique de la Seine-Maritime, Phare de Ailly, Phare de la Seine-Maritime, Haute-Normandie (France), Navigation -- Mesures de sécurité
Le phare moderne d'Ailly a été construit sur la pointe d'Ailly, au sud-ouest de Dieppe, sur une falaise soumise à érosion. Les travaux débutent en 1951. On place cinquante deux pieux de huit mètres en béton dont la tête est coulée sous un radier de 1,60 mètre d'épaisseur. Ils sont destinés à recevoir les 1 000 tonnes du phare. La tour carrée en pierres de Mignac est revêtue, à l'intérieur, d'un parement de béton de porphyre rouge bouchardé. Le porche de la tour est en granit. L'ensemble est sobre et ses lignes pures. La lanterne à coupole est peinte en vert. Elle s'élève à 16,53 mètres du sol et à 94,58 mètres de la mer. Le vieux phare de 1775 reste en service jusqu'au 22 avril 1958, date à laquelle le phare actuel est allumé. Depuis 2001, le phare est équipé de capteurs atmosphériques destinés à mesurer la qualité de l'air. Il faut gravir 91 marches pour admirer un panorama exceptionnel : depuis les falaises de Saint-Valery-en-Caux jusqu’à la baie de Somme. Depuis le 24 novembre 2010 le phare est en totalité inscrit monument historique, à savoir : la tour, le bâtiment technique, la maison du gardien, le portail d’entrée ainsi que le tronc de la Société nationale de sauvetage en mer. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ailly
Photographie, Phares, Phares -- France, Géographie, Sécurité maritime, Pays de Caux (Seine-Maritime), Phare du XIXe siècle en France, Phare de la Seine-Maritime, Phare de Fécamp, Jetées, Fécamp (Seine-Maritime), Fécamp (Seine-Maritime) -- Phare, Fécamp (Seine-Maritime) -- Port
Le phare de Fécamp se situe à l'extrémité de la jetée nord, dite pointe Fagnet, de l'entrée du port de Fécamp, à 40 km environ au nord du Havre en Seine-Maritime, sur le littoral du pays de Caux. C'est un feu de port, couplé avec celui de la jetée sud, sur l'ancien sémaphore. hauteur 14.50 m - Elévation : 21 m - feux : fixe - automatisation : oui. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_F%C3%A9camp
Photographie, Phares, Phares -- France, Records, Monuments historiques, Gatteville-le-Phare (Manche), Gatteville (Manche), Phare de, Sécurité maritime, Phare du XIXe siècle en France, Navigation -- Mesures de sécurité, Monument historique de la Manche, Phare de Gatteville, Phare de la Manche, Barfleur (Manche. - région), Charles-Félix Morice de la Rue (1800-1880)
Le phare de Gatteville, ou phare de Gatteville-Barfleur, est situé sur la pointe de Barfleur (commune de Gatteville-le-Phare), dans la Manche. Il signale les forts courants du raz de Barfleur. L'architecte Charles-Félix Morice de la Rue (1800-1880), sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828 et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril 1835 qu'il fut allumé pour la première fois. Il comporte autant de marches que de jours dans l'année, autant de fenêtres que de semaines et autant de niveaux (représentés par le nombre de fenêtres en façade) que de mois. Il est électrifié en 1893. Hauteur 74,75 m - Elévation 78,85 m - Portée : 29 milles (53 km) ; Feux : 2 éclats blancs 10 secondes - Optique : 2 lentilles de Fresnel à 4 panneaux 1/4 jumelés, focale 0.30 m ; Lanterne : lampes au xénon 1600 w 1 par temps clair, 2 si brume. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gatteville
Photographie, Phares, Phares -- France, Géographie, Seine (France. - cours d'eau), Sécurité maritime, Estuaires -- France, Phare du XXe siècle en France, Phare du XIXe siècle en France, Navigation -- Mesures de sécurité, Phare de Honfleur, Phare du Calvados, Honfleur (Calvados), Honfleur (Calvados) -- Phare
Le phare de Honfleur, appelé aussi phare de la Falaise des Fonds ou phare du Butin, se situe sur la commune de Honfleur, département du Calvados, sur la rive sud de l'estuaire de la Seine en aval du pont de Normandie. En 1908, ce phare fut réalisé à l'extinction du phare de Fatouville pour signaler l'entrée ouest du port de Honfleur. Il fut équipé d'un feu à 2 occultations/8 secondes (3 secteurs blancs, 2 secteurs rouges et un secteur vert). En 1933, il est électrifié et modifié en feu à 2 occultations/12 secondes (secteurs colorés : 3 blancs, 2 rouges, 1 vert). Il est éteint durant la guerre et rallumé en 1951. Le phare de Honfleur a été légèrement modifié après la guerre, lors de la construction de la route. C'est une tour carrée blanche en maçonnerie de pierres apparentes, corniche et chaînage d'angle en pierre de taille de granit de Cherbourg. Elle est rehaussée de la lanterne verte et l'appareillage provenant de l'ancien phare de l'Hôpital. Elle est équipée d'un feu à 3 éclats/12 secondes (secteurs colorés blancs, rouges, verts). Un feu rouge, présent sur la jetée, complète la signalisation. Hauteur : 14.50 m - Elévation : 17.50 m ; feux : 3 éclats/12 secondes (secteurs blancs, rouges et verts) ; Optique : tambour 360°/0.50 m de focal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Honfleur
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Le phare de la Hève est un phare moderne s'élevant sur les hautes falaises crayeuses du nord de l'estuaire de la Seine, sur le cap de la Hève, dans la commune de Sainte-Adresse. Il a été mis en service en 1951 ; un escalier de 161 marches mène à sa lanterne. Après un effondrement de falaise, deux phares identiques de 17 mètres de hauteur furent construits en 1775 à une centaine de mètres de la falaise. Ils furent les premiers phares électrifiés de France en 1863. Ils furent détruits pendant la Seconde Guerre mondiale en 1944. Hauteur : 32 m - élévation : 102.5 m - portée : 27 milles marins (50 kms) Feux : 1 éclat blanc 5 secondes - Optique : tournante à 4 panneaux focale 0.30m ; lanterne : halogènes 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_H%C3%A8ve
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Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham
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Le phare de Ver-sur-Mer se trouve en baie de Seine, sur la commune de Ver-sur-Mer, dans le département du Calvados. Il a été mis en service au début des années 1900, endommagé en 1944 et remis en état après la guerre. C'est aussi un radiophare (indicatif éR-fréquence 310 kHZ - portée 20 miles). Hauteur : 13 m - Elévation : 42 m ; Portée : 26 milles (48 km) ; Feux : 3 éclats blancs 15 s - Optique : lentille à 6 panneaux focale 0.50 m -Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ver-sur-Mer
Photographie, Phares, Phares -- France, Géographie, Sécurité maritime, Vieux norrois (langue), Phare du XXe siècle, Navigation -- Mesures de sécurité, Monument historique de la Manche, Phare de la Manche, Phare du Cap Lévi, Contribution à l'étymologie, Fermanville (Manche, France), Fermanville (Manche, France) -- Phare
Le phare du cap Lévi est situé au cap Lévi, sur la commune de Fermanville, dans la Manche. Il sert de relais entre le phare de la Hague et le phare de Gatteville. La tour est édifiée en 1947 sur les dessins des architectes Levasseur et Chauliat qui ont gardé le type de construction du phare détruit en 1944. La nouvelle tour est plus petite (28 mètres contre 31), mais a été construite à 2 mètres de plus au-dessus de la mer. Hauteur : 28 m - Elévation : 36 m - Portée 20 milles ; Feux : rouge à éclats, 5 secondes - Optique : type STPB en verre moulé à 4 panneaux, focale 0.375 m monture en aluminium Lanterne : lampe halogène 650 W. Kapelwic "l'anse de la chapelle" au Moyen Âge est le nom primitif d'un hameau dans une anse (vik en norrois) à proximité ; le nom est d'abord devenu "Caplevy" par métathèse de L et amuïssement du C. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Cap_L%C3%A9vi
Vue d'ensemble de l'Ecoduc dit « écureuilloduc » ici dénommé de la ville de Longview. C'est d'une sorte de pont aérien spécialement adapté aux écureuils, pour leur permettre de traverser en sécurité une grande voie de circulation où ils se faisaient antérieurement facilement écraser : Pont pour le mangeur de noisette (Nutty Narrows Bridge) à Longview, Washington ; 19 mars 1963.
Schéma résumant les règles de vol à vue en France (visibilité minimum, distance aux nuages) selon l'altitude par rapport au niveau moyen de la mer (AMSL) ou par rapport au sol (ASFC). Les règles spécifiques qui s'appliquent sous la surface S (vol à proximité des nuages, visibilité réduite à 1.5 km) ne concernent que les espaces aériens non controlés. Dans un espace de classe E la règle de distances aux nuages (1500 m hor. et 300 m vert.) et de visibilité minimale de 5 km s'applique jusqu'au sol.
Photographie, Ports, Transport, Transports maritimes, Remorqueurs, Transports maritimes côtiers, Sécurité maritime
Les remorqueurs sont des bateaux relativement petits, très puissants et très manœuvrables, servant à guider, tirer, pousser les gros bateaux entrant et sortant des ports ; ils les aident aussi lors des manœuvres d'accostage.
Photographie, Canards, Signalisation routière, Anglais (langue), Panneaux à message variable, Signalisation, Canetons, Ralentisseurs (sécurité routière), Louisiane (États-Unis), Signalisation routière -- Appareils et matériel
Panneau signalant un risque de traversée de canards en Louisiane, Lakeview Hospital, Covington, Louisiane, USA. SLOW = Ralentir.
Dessins et plans, Rouge, Extincteurs d'incendie, Incendies -- Agents d'extinction, Services des incendies -- Appareils et matériel
Schéma d'un extincteur à eau : A : Percuteur, B : Poignée de percussion et de transport, C : Emplacement de la goupille de sécurité, D : Corps de robinet, E : Sparklet (Cartouche de gaz propulseur), F : Tube d'injection du gaz propulseur, G : Tube plongeur, H : Corps d'extincteur, a : Douchette, b : Tube métallique, c : Gâchette, d : Tuyau souple.
Dessins et plans, Rouge, Extincteurs d'incendie, Incendies -- Agents d'extinction, Services des incendies -- Appareils et matériel
Schéma d'un extincteur à poudre. A : Percuteur, B : Poignée de percussion et de transport, C : Emplacement de la goupille de sécurité, D : Corps de robinet, E : Sparklet (Cartouche de gaz propulseur), F : Tube de détassement, G : Tube plongeur, H : Corps d'extincteur, a : Buse, b : Gâchette, c : Tuyau souple.
Dessins et plans, Cyclones, Cartes météorologiques, France -- Départements d'outre-mer, Tempêtes cycloniques
Carte des sept zones des alertes cycloniques : les différents bassins et les centres responsables. Une alerte cyclonique est un dispositif de sécurité civile visant à protéger les personnes et les biens menacés par un cyclone tropical en les prévenant de l'imminence de l'irruption des phénomènes les plus violents puis en les informant sur la réalité de leur passage au-dessus des zones concernées. Ces bulletins permettent aux autorités civiles de prendre les mesures nécessaires dont l'évacuation des zones côtières, l'ouverture d'abris, la mise en alerte des services médicaux, etc. Chaque pays pouvant être affecté par de tels systèmes a développé son propre code pour les alertes cycloniques. Par exemple, dans les départements outre-mer de France, le niveau d'alerte est relié à un code de couleurs (orange et rouge) alors qu'en Amérique du Nord on a des veilles et des alertes météorologiques.
Photographie, Plongée sous-marine, Bases sous-marines, Calypso (navire), Écologie sous-marine, Exploration sous-marine, Habitat sous-marin, Jacques-Yves Cousteau (1910-1997), Soucoupes volantes, Véhicules sous-marins, Véhicules sous-marins télécommandés
La soucoupe plongeante de Cousteau : Lancement et récupération par la Calypso. Le SP-350 Denise est un petit sous-marin conçu pour abriter deux personnes et capable d'explorer des profondeurs allant jusqu'à 400 mètres pendant 4 heures. Il a été inventé par Jacques-Yves Cousteau et l'ingénieur Jean Mollard à l'Office français de recherches sous-marines (OFRS). Sa propulsion consiste en des jets d'eau dirigeables actionnés par des moteurs électriques, qui lui permettent de naviguer dans toutes les directions et de tourner autour de son axe vertical. Les membres d'équipage entrent dans le vaisseau par une écoutille située au-dessus de la coque et le dirigent allongés côte à côte sur des matelas, observant les alentours à travers des hublots inclinés qui leur permettent de s'approcher à quelques centimètres de leur objectif. Des lampes électriques sont prévues pour la plongée de nuit et pour fournir la lumière nécessaire à la photographie dans des profondeurs de travail extrêmes. Un bras manipulateur dirigé électriquement peut être installé à l'avant du vaisseau pour rendre des objets et les examiner à travers les hublots. La coque d'acier pressurisée, presque circulaire dans le plan horizontal, a deux mètres de diamètre et 1,43 mètre de haut. Elle peut résister à une pression de plus de 90 kg par centimètre carré, équivalente à une profondeur de presque 900 mètres, bien que les plongées n'excèdent jamais 300 mètres pour des raisons de sécurité. Bien que disposant d'une flottabilité positive, le SP-350 est lesté avec des ballasts qui lui confèrent une flottabilité négative, ballasts qui peuvent être éjectés en cas d'urgence. Pour corriger l'attitude de la coque, le pilote peut déplacer un ballast constitué d'une masse de mercure liquide. Si le vaisseau se trouve à moins de 100 mètres de la surface, l'équipage peut l'abandonner par l'écoutille supérieure, à condition d'être équipé d'un dispositif respiratoire d'urgence.
Dessins et plans, Physique, Vaporisation, Autocuiseurs, Cuisson sous pression, Soupapes de sûreté, Cuisson à la cocotte minute, Chaleur de formation, Enthalpie, Entropie, Frederick Thomas Trouton (1863-1922)
Principe du fonctionnement de la soupape d'un autocuiseur : Règle de Trouton. Le point d'ébullition de l'eau dépendant de la pression atmosphérique, l'augmentation de pression permet de faire monter la température de cuisson plus haut que 100 °C (122 °C). Une soupape de sécurité relâche la vapeur quand la pression dépasse 1,8 bar. Il faut alors diminuer l'intensité du feu et commencer le décompte du temps de cuisson. Frederick Thomas Trouton (1863-1922) en 1884 a constaté la croissance régulière de l'enthalpie de vaporisation des liquides purs en fonction de leur température d'ébullition. L'entropie de vaporisation qui s'en déduit est à peu près constante et, sauf exception, égale à 10,5 R ou 87 J.K-1.mol-1. Ce résultat empirique constitue la règle de Trouton, simplification de la formule de Clapeyron. On relève de nombreux accidents causés par l'ouverture d'anciens modèles d'autocuiseur restés sous pression. Ceci peut se produire après obstruction de la soupape et provoquer de graves brûlures. Les autocuiseurs modernes sont pourvus d'un mécanisme de sécurité qui empêche l'ouverture du couvercle tant que le récipient est sous pression. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autocuiseur.
Bidonville à Soweto en Afrique du Sud. Un bidonville, comme défini par le Programme des Nations unies pour les établissements humains, est la partie défavorisée d'une ville caractérisée par des logements très insalubres, une grande pauvreté et sans aucun droit ou sécurité foncière. D'après les Nations unies, le pourcentage de citadins qui vit dans des bidonvilles est passé de 47 à 37% dans les pays en voie de développement entre 1990 et 2005. Cependant, à cause de l'accroissement de la population mondiale et surtout de la population urbaine, le nombre d'habitants des bidonvilles est en augmentation. Un milliard de personnes sur la planète vivaient dans des bidonvilles en 2008 et les prévisions sont de deux milliards pour 2030. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bidonville
Photographie, Signalisation routière, Lisbonne (Portugal), Humour, Portugais (langue), Panneaux routiers, Pavés en roche, Sécurité routière, Art dans la rue, Street art, Accidents -- Prévention, Bicyclettes -- Accidents, Victimes d'accidents de la route
Street-art à Lisbonne, Portugal : Attention, risque de collision entre voiture et bicyclette.
Photographie, Clés (serrurerie), Architecture médiévale, Mesures de sécurité, Cadenas, Katmandou (Népal), Protection contre le vol avec effraction, Technique de sécurité, Temples hindous -- Népal
Système de fermeture médiéval avec cadenas et clé dans un temple hindou, à Katmandou, au Népal.
Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.
Photographie, Manganèse -- Minerais, Mines (sites d'extraction) -- France, Mines (sites d'extraction) -- Mesures de sécurité, Mines (sites d'extraction) -- Ressources, Vielle-Aure (Hautes-Pyrénées)
Visite d'une mine de manganèse à Vielle-Aure. Cliché Mme Gomez, directrice de l'école Montesquieu de Pessac-33, dans le cadre de la semaine rousse de ses élèves de CE1-CE2 à Saint-Lary, octobre 2014.
Photographie, Verriers, Vitraux, Fusion (chimie physique), Arts décoratifs, Travail du verre, Verre fondu, Art contemporain, Carlo Roccella (né en 1956), Art abstrait, Verre -- Art, Verre ornemental
Vitrail bas-relief en fusing, une création de Carlo Roccella (né en 1956). Le fusing est une technique de verrerie qui consiste à assembler par superposition des morceaux de verre collés à froid, puis à porter l'ensemble dans un four à son point de fusion pour former une seule pièce homogène. Les applications du fusing sont diverses. Elles se retrouvent surtout dans la décoration : verre plan, bombé, thermoformé… Un panneau décoré par fusing peut être transformé en verre feuilleté, par dépôt d'un intercalaire en résine, ou laminé sur un verre de sécurité trempé. Le fusing permet de réaliser des panneaux pour l'ameublement ou pour la décoration intérieure (éclairage au plafond et mural) et des objets décoratifs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fusing.
Photographie, Webcams, Caméras -- Systèmes de stabilisation, Télévision dans les systèmes de sécurité, Vidéosurveillance
Webcam sur un balcon à Helsinki, Finlande. Son usage pratique relève souvent de la communication ainsi que de la vidéosurveillance, en particulier de la détection de mouvement assurée par un programme analysant les différences entre les images successives. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Webcam.