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Nuage de mots clés

Photographie | Musique | Instruments à cordes | Instruments à cordes pincées | Instruments de musique | Instruments à cordes frottées | Luth | Cordes (musique) | Cordes pincées (instruments de musique) | Instruments à cordes frottées -- Archet | Cordes (instruments de musique) | Instruments à cordes frappées | Instruments à clavier | Violon | Cithare | Musiciens | Guitare | Violonistes | Bois (instruments de musique) | Musique celtique | ...
Kacapi indonésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53342e73-kacapi

Kacapi indonésien

Le kacapi est un instrument de musique à cordes pincées du pays Sunda en Indonésie et existe aussi à java centre sous le nom de siter. C'est une petite cithare de 75 cm de long, en forme de bateau, taillé dans du bois monoxyle, avec une cavité dans le dos. Il a deux chevilles à friction. Le manche a cinq ou six frettes excavées et ciselées du bois massif. Le chevalet consiste en un reste du bois de la caisse de résonance, laissé sur la table d'harmonie qui possède plusieurs ouïes. Il est souvent très décoré et poli, rendant parfois impossible son jeu, n'étant alors qu'une pièce décorative. C'est un instrument joué avec un grand plectre, mais dont peu de musiciens subsistent. On en joue soit en solo soit en accompagnement.

Kantele Finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a7c5-kantele-finlandais

Kantele Finlandais

Le kantele (prononcé [ˈkɑntele] en finnois) est le principal instrument de musique traditionnel finlandais. Instrument à cordes pincées, il est également appelé cithare finlandaise, ou parfois psaltérion finlandais. Il est en bois et comporte traditionnellement 5 cordes. Les modèles plus récents (du XXe siècle principalement) peuvent comporter un nombre variable de cordes, de 5 à 40. Le joueur de kantele pose son instrument à plat sur ses genoux ou sur une table. Pour les petits kantele de 5 à 15 cordes, on positionne l'instrument de façon à ce que les cordes graves soit les plus éloignées de soi, à l'inverse des kantele de concert à plus de 30 cordes. Les cordes sont pincées avec les doigts pour jouer des arpèges ou des mélodies, ou bien grattées à l'aide d'un plectre pour jouer des accords, les doigts de la main libre bloquant les cordes ne faisant pas partie de l'accord désiré.

Kayagum coréen. Source : http://data.abuledu.org/URI/53393797-kayagum-coreen

Kayagum coréen

Le kayagum est un instrument de musique traditionnel de Corée de la famille des cithares, avec douze cordes de soie. Il remonte au VIe siècle et est probablement le plus connu des instruments de musique coréen. Son usage a été développé par Ureuk, musicien à la cour de Gaya. C'est un proche cousin du koto japonais et du guzhen chinois. La caisse de résonance en paulownia mesure 160cm de long, 30cm de large et 10cm de hauteur. Les éclisses sont parfois en noyer. Il dispose de 12 cordes de soie, mais les instruments récents peuvent avoir jusqu'à 25 cordes en nylon, passant sur des hauts chevalets amovibles. Il se joue assis par terre, l'instrument posé sur soi ; on pince les cordes avec les doigts d'une main et avec les doigts de l'autre, on appuie sur les cordes afin d'obtenir la hauteur de son voulue (ou on déplace le chevalet). On en joue en solo, duo ou trio. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kayagum

Komuz du Kirghizistan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a7df-komuz

Komuz du Kirghizistan

Le komuz (kirghiz : комуз) est un luth à manche long d'Asie centrale, principalement utilisé dans la musique kirghize. C'est le seul luth de cette région à avoir trois cordes et non deux. La caisse de résonance de 90 cm est taillée dans un seul bloc de bois, parfois avec le manche, qui ne comporte pas de frettes. Une ouverture est pratiquée à l'arrière. Les 3 cordes en boyaux (non métalliques) sont accordées de différentes façons, la plus aigüe étant généralement celle du milieu. On en joue plutôt assis, l'instrument tenu horizontalement, mais les virtuoses peuvent en jouer dans toutes les positions. Il peut être un instrument soit d'accompagnement, soit soliste. On peut pincer ou gratter les cordes.

Koto japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c617d-koto-japonais

Koto japonais

Le koto (箏 en japonais, ou 琴 en japonais classique) est un instrument de musique à cordes pincées utilisé en musique japonaise traditionnelle, notamment dans le kabuki et le bunraku. Originaire de Chine (gŭzhēng), il fut introduit au Japon entre le VIIe siècle et le VIIIe siècle et était joué principalement à la Cour impériale ; l'usage s'en est ensuite démocratisé. Le koto est une longue cithare (en forme de dragon tapi), mesurant environ 1,80 m de long et comptant 13 cordes. La caisse est traditionnellement fabriquée en bois de paulownia évidé, et les hauts chevalets amovibles, en ivoire. Ses cordes sont en fil de soie que l'on pince avec des grattoirs en ivoire. Le koto produit un son lyrique, comparable à celui d'une harpe, ce qui peut expliquer le terme souvent rencontré de « harpe japonaise ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koto.

Krar éthiopien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a943-krar

Krar éthiopien

Le krar est un instrument de musique à cordes, proche de la lyre, que l'on trouve en Érythrée et en Éthiopie. Il est généralement décoré de bois, de tissus et de perles. Ses cinq ou six cordes déterminent les hauteurs musicales disponibles. La table d'harmonie est en membrane animale. Le krar est souvent joué par des musiciens que l'on appelle azmaris et il accompagne en principe des chansons d'amour et des chansons populaires de la musique éthiopienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Krar

Le violoniste polonais Adam Romański en concert. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1ac63-le-violoniste-polonais-adam-roma-ski-en-concert

Le violoniste polonais Adam Romański en concert

Adam Romański, le violoniste du groupe polonais celtique Beltaine, en concert.

Le violoniste polonais Adam Romański en concert. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1acf8-le-violoniste-polonais-adam-roma-ski-en-concert

Le violoniste polonais Adam Romański en concert

Le violoniste polonais Adam Romański en concert.

Lyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/515d755e-lyre

Lyre

La lyre est l'un des instruments à cordes pincées dont les cordes sont parallèles à la table d'harmonie et dont la caisse de résonance ne se prolonge pas par un manche ; une structure similaire à celle de la harpe accueille la fixation des cordes. C'est sa position (parallèle à la caisse de résonance) qui la différencie de la harpe.

Mandoline Banjo turque. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c69cc-mandoline-banjo-turcque

Mandoline Banjo turque

Le cümbüş (djumbuch) est un instrument à cordes pincées turc. C'est un luth à manche long similaire au banjo inventé en 1930 par Zeynel Abidin Cümbüş et présenté à Atatürk par son inventeur, ancien forgeron reconverti dans la lutherie. Il est conçu pour pouvoir permettre en théorie d'adapter différents manches à une même caisse. Cümbüş : à douze cordes, manche court, sans frette, accordé comme le oud. On en joue avec un mediator ou mezrab. Il est essentiellement utilisé dans la musique turque populaire ou folklorique et surtout par les Tziganes, mais le banjo lui fait concurrence.

Mandoluth du Maghreb. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343731-mandoluth

Mandoluth du Maghreb

Un mandoluth est un instrument à cordes du Maghreb. Il est un peu plus grand que la mandole. Le mot mandolute était utilisé aussi par un fabricant américain pour ses mandolines. Dérivé du oud, il a dix cordes, mais est fretté et poossède une caisse de résonance à fond plat de forme mandoline. Il se joue au plectre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mandoluth.

Mécanisme d'un piano droit. Source : http://data.abuledu.org/URI/51029608-mecanisme-d-un-piano-droit

Mécanisme d'un piano droit

Mécanisme d'un piano droit (à cordes verticales) : 1) sommier de chevilles ; 2) cheville de sommier ; 3) agrafe ; 4) vis du support de mécanique ; 5) corde ; 6) garniture d'étouffoir ; 7) lame d'étouffoir ; 8) noix de marteau ; 9) rail central ou sommier de mécanique ; 10) levier de soulèvement (pédale forte) ; 11) cuillère d'étouffoir.

Mécanisme du piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/51029226-mecanisme-du-piano-a-queue

Mécanisme du piano à queue

Mécanisme d'un piano à queue : 1) touche, 2) pilote de touche, 3) chevalet, 4) pilote d'échappement (bouton-butoir de l'échappement), 5) levier d'échappement, 6) vis de kupa, 7) vis de répétition (ou vis de rechute), 8) manche de marteau, 9) levier de répétition, 10) tête de marteau, 11) attrape-marteau, 12) fourche de lame d'étouffoir, 13) barre de départ collectif des étouffoirs (chevalet d'étouffoir), 14) cuillère d'étouffoir, 15) tête d'étouffoir, 16) corde, 17) cadre métallique (plaque d'accroche), 20) sommier de cheville. Le piano à queue est un piano à cordes horizontales ; c'est le type original du piano, dérivé du tympanon ou du cymbalum, des instruments à cordes frappées. Il s'oppose au piano droit, dont les cordes sont disposées verticalement.

Moonlander de Lee Ranaldo de 2007. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343c58-moonlander

Moonlander de Lee Ranaldo de 2007

La guitare Moonlander est un instrument de musique fabriqué par Yuri Landman pour Lee Ranaldo du groupe Sonic Youth en 2007. Il s'agit d'une guitare électrique comportant 12 cordes sympathiques. Le modèle de Ranaldo possède 6 cordes de jeu, l'autre modèle deux chœurs de trois cordes chacun. Il n'existe que deux exemplaires de la Moonlander, celui de Lee Ranaldo et celui de Landman. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Moonlander

Morin khuur mongol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330416d-morin-khuur

Morin khuur mongol

Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.

Nagara indiennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331ae35-nagara

Nagara indiennes

Les nagara (monde arabe) ou tyanko (Népal) sont une paire de timbales indiennes rencontrée jusqu'au Tadjikistan. Le tasha en est une version sur trépied à une seule timbale, dont le tas iranien est sans doute l'origine, mais qui est joué avec des petits fouets. Parfois construites en terre cuite, les plus grandes, jusqu'à un mètre de diamètre, sont en cuivre, avec des peaux de chèvre liées à l'aide de cordes ou de lanières de cuir, tout autour. On en joue assis ou debout (avec une lanière), avec deux grosses et solides baguettes, les timbales étant soit côte à côte, soit l'une horizontale et l'autre verticale (les peaux perpendiculaires). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nagara_%28instrument%29

Nyckelharpa verticale suédoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53345232-nyckelharpa-vertical

Nyckelharpa verticale suédoise

La nyckelharpa est un instrument de musique traditionnel à cordes frottées d'origine suédoise, plus précisément de la région d'Uppland, au nord de Stockholm. Il appartient à la même famille que la vielle à roue et la vièle. Il existe depuis le Moyen Âge (les premières représentations de l'instrument datent du XVIe siècle) sous différentes formes et connaît aujourd'hui un regain d'intérêt depuis les années 1970 en Suède et ailleurs. La nyckelharpa moderne date des années 1940 et est le fruit des travaux d'Eric Sahlström, musicien et luthier novateur, qui a ainsi remis au goût du jour l'instrument tombant peu à peu dans l'oubli. Traditionnellement, l'instrument se tient horizontalement, soutenu par une bandoulière, posé sur la cuisse droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nyckelharpa

Piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee92e1-piano-a-queue

Piano à queue

Le piano à queue est un piano à cordes horizontales.

Piano droit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee91a7-piano-droit

Piano droit

Le piano est un instrument de musique polyphonique à clavier de la famille des instruments à cordes frappées. Un piano droit (ou piano vertical) est un piano dont les cordes sont disposées verticalement.

Plectre en noix de coco fait à la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/53344e16-plectre

Plectre en noix de coco fait à la main

Plectre traditionnel fabriqué à la main à partir d'une coquille de noix de coco. Un plectre est un dispositif permettant de pincer ou gratter les cordes d'un instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Plectre.

Pluriarc anthropomorphe gabonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/54beb76b-pluriarc-anthropomorphe-gabonais

Pluriarc anthropomorphe gabonais

Pluriarc anthropomorphe. Bois. Afrique équatoriale et centrale (Gabon, Congo). Musée barrois. Un pluriarc ou "luth à archet" est un instrument à cordes africain. Évoqué dès le XVIe siècle dans des récits de voyage, il est décrit au XVIIe siècle par Michael Praetorius dans son Syntagma musicum. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pluriarc

Qanûn. Source : http://data.abuledu.org/URI/53282c1a-kanun-

Qanûn

Le qanûn (en arabe ou persan : قاﻧﻮﻥ ; aussi transcrit kanoun, kanun, kanon, kanonaki, qanoun, quanoun, kalong) est un instrument à cordes pincées de la famille des cithares sur table, très répandu dans les pays du Moyen-Orient ainsi qu'en Grèce, en Iran, en Azerbaïdjan, en Arménie et au Turkestan chinois. Il ne faut pas le confondre avec le santour qui est un instrument à cordes frappées.

Quatre types d'archets. Source : http://data.abuledu.org/URI/53023d85-quatre-types-d-archets

Quatre types d'archets

Quatre types d'archets, retraçant son évolution : alto, contrebasse (modèle allemand), gadoulka, kamânche.

Rabab et son archet, du XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024343-rabab-et-son-archet-du-xixeme-siecle

Rabab et son archet, du XIXème siècle

Rebab et son archet, du XIXème siècle, Musée de la Musique de Barcelone.

Rabab libanais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024493-rabab-libanais

Rabab libanais

Rabab libanais, instrument à cordes dont la table d'harmonie est une peau.

Ravanhatta indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533454a2-ravanhatta

Ravanhatta indien

Le ravanhatta est une vièle rustique indienne considérée comme l'ancêtre le plus primitif du violon et du rabâb. Selon la légende, il aurait été inventé en 3 000 avant notre ère par Ravana, roi de Ceylan. Il est constitué de deux cordes en boyau de gazelle accordées à la quinte, un chevalet, une caisse de résonance en noix de coco, un manche en bois, des chevilles et un archet en bambou ; celui-ci est percé au talon d'un trou dans lequel passe la mèche arrêtée par un nœud et à la pointe, c'est dans une fente que vient se fixer, par un nœud également, l'autre bout de la mèche. Il est ainsi courbé comme un arc (à la différence de l'archet moderne). On note la position particulière de l'archet : celui-ci est bloqué par la mèche entre les deux cordes, et l'on frotte l'une ou l'autre de celles-ci selon que l'on met l'archet vers l'avant ou vers l'arrière. Cet instrument est très joué dans le folklore du Rajasthan et par les musiciens itinérants. Il se joue souvent debout, tenu contre la poitrine, en même temps que le musicien chante. Il est parfois accompagné des castagnettes indiennes kartal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ravanhatta

Ruan chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330462e-ruan-chinois

Ruan chinois

Le ruan chinois est un luth à manche long appelé aussi guitare-lune. C'est un instrument que l'on retrouve dans toute l'Asie du Sud-Est. La caisse de résonance est ronde et plate, percée en général de deux ouïes près du long manche qui se prolonge sur la table d'harmonie en bois. Il est prolongé par un grand chevillier courbe avec quatre grandes chevilles. Il y a quatre cordes en soie ou métal, fixées non au chevalet, mais au bas de la caisse. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ruan_%28instrument%29

Santouri grec. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2a10-sandouri-grec

Santouri grec

Santouri grec datant de 1940-1960. Le santouri est un instrument de musique iranien, diffusé par tout le Moyen-Orient appartenant à la famille des cithares sur table. On en joue à l'aide de deux petits marteaux placés entre les doigts. Il est imposant par sa taille (100 cm × 60 cm × 10 cm avec angle à 70°) et par la disposition des cordes offrant six sections de jeu. La caisse de résonance est en érable, en hêtre ou en bois de rose laminé ; les côtés sont coupés en deux et recollés en inversant le fil du bois afin d'assurer une meilleure stabilité. La table d'harmonie en épicéa ou en sapin est percée de deux grosses ouïes hexagonales avec sept trous ronds (ou deux grosses rosaces rondes) placées au centre et à gauche de la série de chevalets médians. Il a environ 115 cordes (en acier, en bronze et en cuivre fileté) disposées en chœurs de 2, 3, 4 ou 5 sur cinq séries de chevalets (non amovibles, reliés par des sillets en métal) composés de barres de soutien creusées pour permettre leurs passages. L'accord est complexe et rend le jeu difficile du fait des croisements lors des changements de série de chevalets. Les chevilles filetées sont placées sur le dessus, à droite, à côté de la table d'harmonie, et non pas sur le côté de la caisse de résonance. Là aussi il faut des calibres de cordes différents pour assurer le rendu correct des harmoniques de l'échelle chromatique. Les mailloches sont imposantes (25 cm), lourdes, toujours entourées d'étoupe à l'extrémité, afin de feutrer le son, et jouées avec les poignets, bien que tenues penchées, entre deux ou trois doigts (autrefois on en jouait aussi avec les avant-bras, d'un peu plus loin, avec les baguettes tenues droites, dans lesquelles étaient creusés des trous pour les index). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Santour

Sarod indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323250c-sarod-

Sarod indien

Le sarod (ou sarode) est un instrument de musique à cordes pincées apparu au XIXe siècle au nord de l'Inde et utilisé en musique indienne classique. C'est un luth hybride issu du dhrupad rabâb, un instrument indien ancien et du rabâb afghan. Le nom dérive peut-être du persan sarûd (chanter) car nombre de chanteurs s'accompagnaient ainsi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarod.

Saung Birman. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316918-saung-birman

Saung Birman

La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung

Saz d'Azerbaïdjan. Source : http://data.abuledu.org/URI/532af4a9-saz-d-azerbaidjan

Saz d'Azerbaïdjan

Le saz est un luth à manche long, rencontré en Turquie, en Albanie, Bosnie-Herzégovine, en Grèce, en Arménie et en Azerbaïdjan. Pendant le jeu avec le plectre sur les cordes, le joueur peut aussi marquer le rythme à l'aide de coups mats donnés par le majeur droit sur la table d'harmonie, ce qui en fait un instrument de percussion aussi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saz.

Shamisen japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316199-shamisen

Shamisen japonais

Le shamisen, "trois cordes parfumées", est un instrument de musique traditionnel à cordes pincées utilisé en musique japonaise. C'est un luth à long manche à la touche lisse mesurant de 110 à 140 cm, dont la caisse de résonance carrée est traditionnellement construite en bois de santal et recouverte de peau de chat ou de chien. À l'exception du shamisen de l'île d'Okinawa qui est traditionnellement recouvert de peau de serpent et est appelé sanshin ou jabisen. La table en peau fait qu'on donne parfois au shamisen le nom de "banjo japonais". Le manche est long et fin, sans frettes. Il est muni de trois cordes (d'où le nom de l’instrument, qui signifie littéralement « trois cordes du goût ») de soie ou de nylon. On joue du shamisen agenouillé sur un zabuton en pinçant les cordes à l'aide d'un large plectre en ivoire (bâshô ou bachi). La musique traditionnelle au shamisen intercale au milieu de la mélodie de longs silences qui donnent d'autant plus de force aux notes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shamisen

Statues de Charles Stratos à Arcachon-33 sur le front de mer, 21 juin 2015.. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bc013e-statues-de-charles-stratos-a-arcachon-33-sur-le-front-de-mer-21-juin-2015-

Statues de Charles Stratos à Arcachon-33 sur le front de mer, 21 juin 2015.

Statues de Charles Stratos à Arcachon-33 sur le front de mer, 21 juin 2015.

Surbahar indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53344a15-surbahar

Surbahar indien

Le surbahar (en ourdou سربہار; en hindi सुर बहार) est un instrument de musique du nord de l'Inde. Utilisé dans la musique hindoustanie, c'est un sitar basse en quelque sorte, rarement joué. Le surbahar est un vieil instrument dérivé de la vînâ et du tambûr. Il ressemble au sitar, mais est encore plus grand. Son manche est beaucoup plus large. Sa tête se termine par une sculpture de cygne ou de paon. Et sa caisse de résonance est une calebasse aplatie, et non sphérique. Les cordes sont plus grosses et le son plus grave. On en joue assis en tailleur par terre, exclusivement les râgas dans le style dhrupad, accompagné par le pakhâwaj. On se sert de deux mezrabs (à l'index et au majeur) qui vont et viennent alternativement sur les cordes (comme dans la basse). Vu le manche spécialement étudié, on peut tirer une corde afin d'infléchir une note non plus seulement sur une quinte, mais sur une octave entière. Cette opération demande toutefois de la pratique du fait de la résistance de la corde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surbahar

Târ iranien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53304328-tar-iranien

Târ iranien

Le târ est un instrument à cordes pincées trouvé en Iran, en Azerbaïdjan, en Géorgie, en Arménie, en Turquie, en Ouzbékistan et au Tadjikistan. C'est un luth à long manche avec un corps en forme de double cœur. Les interprètes sont appelés tarzen. Le tar est le principal symbole de la culture azerbaïdjanaise. La facture et la pratique musicale du tar ont été inscrites en 2012 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A2r_%28luth%29

Théorbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a287-theorbe

Théorbe

Le théorbe ou téorbe (ou encore tüorbe), est un instrument à cordes pincées — une sorte de grand luth — créé en Italie à la fin du XVIe siècle. Les joueurs de théorbe se nomment théorbistes. Le théorbe était utilisé à la fois pour la basse continue et comme instrument soliste. Il servait aussi pour l'accompagnement du chant. Au XVIIIe siècle, en France, on utilisait surtout le théorbe d'accompagnement, instrument très imposant. Les théorbes ont disparu au cours du XVIIIe siècle, avant de réapparaître au XXe siècle avec le renouveau de l'interprétation de la musique ancienne sur instruments d'époque.

Tiple colombien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5334416e-tiple-colombien

Tiple colombien

Le tiple (terme signifiant "soprano" en espagnol) est une petite guitare qu'on trouve dans toute l'Amérique latine, sachant que les versions des Caraïbes (Porto Rico, République dominicaine, etc.) diffèrent beaucoup de celles du continent (Colombie, Pérou, Venezuela). Il dérive sans doute de l'ancien timple des îles Canaries, lui-même hérité des colons espagnols. Il ressemble de loin à une petite guitare ancienne, à la caisse de résonance très resserrée et très ornementée. Il est monté de trois à six cordes en métal. Il a un accordage aux intervalles similaires à ceux de la guitare et est de ce fait propice à la formation d’accords et à l’accompagnement tant des services religieux que des danses de salon, dans des orchestres composés aussi de cuatro (instrument) et de bordunua. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiple

Ukulélé hawaiien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533184f4-ukulele

Ukulélé hawaiien

L'ukulélé est un instrument à cordes pincées traditionnel des îles Hawaï, proche du cavaquinho portugais dont il est une adaptation. Souvent bon marché et à la mode dans la première moitié du XXe siècle, ce petit instrument polyvalent composante indispensable d’un orchestre hawaïen fut rapidement adopté par divers courants musicaux – de la chanson populaire au jazz – parfois parce qu’il apportait une dimension humoristique ou exotique à un ensemble. C'est à bord du Ravenscraga que la braguinha fut importée à Hawaï (à l'époque l'archipel était encore appelé îles Sandwich). À bord du bateau se trouvaient les trois hommes que l'histoire a retenus comme responsables de l'introduction et de la transformation d'une certaine tradition de lutherie portugaise : il s'agissait de Manuel Nunes, José do Espírito Santo et Augusto Diasa, trois ébénistes de Madère qui avaient des connaissances en lutherie et qui transportaient apparemment leurs cavaquinhos. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ukul%C3%A9l%C3%A9

Ukulele ténor. Source : http://data.abuledu.org/URI/584dcde2-ukulele-tenor

Ukulele ténor

Ukulele ténor, instrument acoustique à cordes pincées d'origine hawaïenne. Ce modèle ténor possède un diapason de 16 pouces à 18 pouces (environ 40,5 cm à 45,5 cm), qui correspond à la longueur de la corde vibrante, entre les deux sillets.

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4c1b-hurdy-gurdy

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy

Hurdy Gurdy, 1700 (Germanic National Museum, Nuremberg). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l'action des touches appelées sautereaux. Le sautereau est un élément du clavier de la vielle à roue qui comprend des tiges coulissantes pour chaque note. Les sautereaux sont fixés sur chaque tige par groupe de deux (deux cordes en chanterelles) et permettent, comme le doigt du violoniste, de déterminer la partie de corde vibrante. Après appui sur la tige du clavier, celle-ci est rejetée par la vibration des cordes, faisant ainsi reculer la paire de sautereaux. Un nombre variable de cordes, passant hors du clavier, émettent chacune un son, formant ainsi un accord continu : ce sont les bourdons (gros bourdon, petit bourdon, mouche et corde de chien ou trompette). Au-dessous des bourdons se trouvent parfois des cordes sympathiques qui donnent au ton un caractère plus doux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vielle_%C3%A0_roue. Parmi les bourdons, une corde particulière donne cette caractéristique originale de la vielle qui est de pouvoir rythmer une mélodie. Cette corde ne passe pas sur un chevalet fixe, mais repose sur une petite pièce de bois appelée le « chien », elle-même maintenue sur la table d'harmonie par la pression de la corde. Lorsque cette corde vibre suffisamment, la pièce de bois vibre alors sur la table, et génère un son comparable à un grésillement. L'instrumentiste produit cette vibration par une frappe de la manivelle, que l'on appelle détaché ou « coup de poignet ».

Viola de cocho brésilienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343e38-viola-de-cocho

Viola de cocho brésilienne

La violão et la viola sont les termes portugais (dérivés de la vihuela espagnole) désignant des variétés de guitares répandues dans le monde lusophone, au sein de la musique portugaise, capverdienne et brésilienne. Violão désigne la guitare classique et viola désigne la guitare folklorique. Elle se rencontre au Mato Grosso (Cuiabá) et Mato Grosso do Sul (Corumbá), et a des caractéristiques uniques, qui la rattachent plus aux instruments du Moyen Âge (guiterne). Le corps, le manche (très court) et le chevillier sont excavés d'un bloc de bois léger monoxyle. De fines plaques de bois sont ensuite collées sur la touche, sur la table d'harmonie et le chevillier légèrement courbé. Il n'y a aucun vernis et l'instrument semble rudimentaire. Il n'y a que deux ou trois frettes en boyaux. Elle est montée avec cinq cordes en nylon ou boyaux, fixées sur cinq chevilles à l'ancienne. L'accord est Sol - Ré - Mi - La - ré ou Sol - Do - Mi - La - ré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol%C3%A3o

Violon créé en 1770. Source : http://data.abuledu.org/URI/59516227-violon-cree-en-1770

Violon créé en 1770

Violon créé en 1770, légende en français de SuperManu : 1-Mentonnière. 2-Cordier. 3-Chevalet. 4-Corde. 5-Touche. 6-Tendeur. 7-Ouïe. 8-Onglet de l'échancrure. 9-Double filet. 10-Table d'harmonie. 11-Éclisse. 12-Bouton.

Violon de Hardanger. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ad70e-fiddle-

Violon de Hardanger

Violon Hardanger dit fiddle fabriqué par Knut Gunnarsson Helland. Propriété de Monica Skaro, héritage de son grand-père Knut Skaro originaire de Geilo, Norvège. Le violon Hardanger (en norvégien : Hardingfela) est une variante norvégienne du violon. En plus des 4 cordes traditionnelles, il y a 4 ou 5 cordes sous-jacentes pour la résonance. Isaac Nilssen Botnen (1669-1759) est considéré comme l'inventeur ou le constructeur du violon Hardanger moderne. Il est né dans la région de Hardanger. Il a fait des violons avec un nombre variable de cordes, généralement 2, mais aussi jusqu'à 6. Il existe encore environ 15 violons qu'il a construits. Au XXe siècle, le violon Hardanger a inspiré la musique actuelle et des compositeurs comme Geirr Tveitt ou Kirsten Bråten Berg. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Violon_Hardanger

Violon peint sur émail cru en 1876. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d55a40-violon-peint-sur-email-cru-en-1876

Violon peint sur émail cru en 1876

Violon peint sur émail cru, par H. Guibénat, 1876, Musée de la faïence de Quimper.

Violoncelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6ffe3-violoncelle

Violoncelle

Le violoncelle est un instrument à cordes frottées (mises en vibration par l'action de l'archet) ou pincées (le pizzicato) de la famille des violons, qui compte aussi l'alto et la contrebasse. Il se joue assis et tenu entre les jambes ; il repose maintenant sur une pique escamotable, mais fut longtemps joué posé entre les jambes, sur les mollets.

Violoncelliste de rue à Buenos Aires. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1c185-violoncelliste-de-rue-a-buenos-aires

Violoncelliste de rue à Buenos Aires

Violoncelliste de rue jouant un tango à Buenos Aires, Argentine.

Violoniste du groupe Dornenreich. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1aedb-violoniste-du-groupe-dornenreich

Violoniste du groupe Dornenreich

Violoniste du groupe autricien (dark metal) Dornenreich en concert au Glazart, à Paris, le 25/03/2009.

Violoniste folk polonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1ab9b-violoniste-folk-polonais

Violoniste folk polonais

Adam Romański, le violoniste du groupe polonais celtique Beltaine.

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin