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Treizième siècle | Photographie | Gravure | Histoire | Histoire médiévale | Collections de vêtements | Dessins et plans | Peinture | Albret (France), Pays d' | Eysines (Gironde) | Bornes | Aragon (Espagne) | Catalogne (Espagne) | Muret (1213), Bataille de | Géants | Lièvres | Garluche | Bordeaux (Gironde. - banlieue) | Landes (France) | Occitanie | ...
Aiguière à tête de coq. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ef068d-aiguiere-a-tete-de-coq

Aiguière à tête de coq

Aiguière à tête de coq, lieu de fabrication : Kashan (Iran) au XIIIe siècle, céramique siliceuse (fritware), décor gravé, glaçure transparente sur peinture, hauteur : 40 cm. diamètre : 65 cm. Source : Arabesques et jardins de paradis, cat. exp. Paris, musée du Louvre, 1989-1990, n°211 p. 277-278.

Borne de juridiction du Thil à Eysines. Source : http://data.abuledu.org/URI/5599a9d8-borne-de-juridiction-du-thil-a-eysines

Borne de juridiction du Thil à Eysines

Borne de juridiction du Thil à Eysines, parc du château de Lescombes.

Brouettes médiévales. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de587e-brouettes-medievales

Brouettes médiévales

Représentation de modèles de brouettes du XIIIe siècle. Source : Bertrand Gille, « Petites questions et grands problèmes : la brouette, » La Recherche en histoire des sciences, 1983.

Charte de 1271 du château de Vischering. Source : http://data.abuledu.org/URI/566e5df0-charte-de-1271-du-chateau-de-vischering

Charte de 1271 du château de Vischering

Charte de 1271 du château de Vischering en Allemagne.

Château de Castelnau-de-Lévis (81)                     . Source : http://data.abuledu.org/URI/556a274c--chateau-de-castelnau-de-levis-81-

Château de Castelnau-de-Lévis (81)

Construit sur un piton rocheux face à Albi, sur la rive droite du Tarn, il reste du château une magnifique tour de 40 mètres de hauteur. Castelnau-de-Lévis, anciennement Castelnau-de-Bonnafous, fut fondé en 1234 par Sicard Alaman, puissant vassal du comte de Toulouse Raymond VII. Lévis est le nom d’une famille descendant de Gui de Lévis qui combattit les Albigeois aux côtés de Simon de Montfort.

Commanderie des Vieux-joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8e24-commanderie-des-vieux-joncs

Commanderie des Vieux-joncs

Commanderie des vieux-Joncs à Oude Biesen (Belgique). Source : Bibliotheca regia Monacensis. Une description précise accompagne cette gravure : Entre les villes de Tongres, Bilsen et Maestricht on trouve un terrain inégal et varié, qui ne tient ni de l'aridité de la Campine, ni de l'uniformité de la Hesbaye. Dans cet agréable lieu, les bois n'ont rien de sauvage, et les collines, loin de ressembler aux rochers de la Meuse, ne sont composées que d'une terre douce et fertile, qui, sans attendre les soins de l'habitant, se couvre partout d'une riante verdure dont ce paysage tire son plus grand agrément. Le sommet d'une de ces collines, creusé par les mains de la nature, forme un vaste bassin, au fond duquel est bâti un grand et magnifique château, environné d'un parc fermé de murailles, qui sert de retraite à plusieurs espèces de bêtes fauves. Une longue avenue de haute futaie le traverse de part en part, et mène à une porte d'une belle architecture par où on entre dans une vaste cour, plantée de sapins d'une hauteur étonnante. On y voit à gauche une galerie en portiques, qui communique à une grande chapelle d'une architecture noble et bien entendue; le côté gauche est borné par divers bâtiments qui lui sont communs avec une seconde cour très-vaste, destinée aux usages rustiques. En face on trouve l'accès d'une troisième cour, qui borde un large fossé revêtu de maçonnerie et plein d'eau. Un semblable fossé fait l'enceinte du donjon, qui est carré et flanqué de quatre grosses tours rondes. Ce grand édifice renferme une quatrième cour carrée, belle et spacieuse, où l'on entre par deux ponts-levis, dont l'un regarde les cours et l'autre un parterre et d'autres jardins très agréables situés à l'occident. Les appartements y sont en grand nombre et remarquables, tant par la grandeur et l'élégance qui y brille, que par la richesse des meubles et la commodité des dégagements.

Costumes médiévaux allemands du XIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53074670-costumes-medievaux-allemands-du-xiiieme-siecle

Costumes médiévaux allemands du XIIIème siècle

Planche 36, Treizième siècle allemand, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, 4, chevaliers ; 2, médecin ; 3, fauconnier ; 5-6, juifs ; 7, chevalier de l'Ordre des Teutons ; 8-11, dames de haut rang ; 12, Impératrice Anne (morte en 1281) ; 13, Duc Henri de Breslaw ; 14-16, comtes ; 17, Empereur Frédéric II (mort en 1250).

Costumes médiévaux anglais du treizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530740a8-costumes-medievaux-anglais-du-treizieme-siecle

Costumes médiévaux anglais du treizième siècle

Planche 38, Treizième siècle en Angleterre, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-4, soldats ; 5, chasseur ; 6, fou du roi ; 7-9, 13 : dames de haut rang ; 10, le roi Jean (mort en 1216) ; 11, chevalier templier ; 12, chevalier ; 13, évêque.

Costumes médiévaux français du XIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5307426e-costumes-medievaux-francais-du-xiiieme-siecle

Costumes médiévaux français du XIIIème siècle

Planche 39, Treizième siècle en France, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-7, citoyens ; 8, 12-13, 15, 17, dames de haut rang et princesses ; 9, moine chartreux ; 10, prêtre de l'ordre de La Trappe ; 11, 14, 16, hommes de haut rang ; 18-19, chevaliers.

Costumes médiévaux italiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/53075234-costumes-medievaux-italiens

Costumes médiévaux italiens

Planche 37, Treizième siècle en Italie, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-6, personnages ecclésiastiques ; 7-9, 15, 17, personnages de haut rang ; 10, costume du peuple ; 11, soldat ; 12-14, papes ; 15, Doge de Venise.

Douves de la motte féodale de Labrit. Source : http://data.abuledu.org/URI/506b2ae0-douves-de-la-motte-feodale-de-labrit

Douves de la motte féodale de Labrit

Photo des vestiges du château de Labrit : douves autour de la motte féodale. Les vestiges du château de Labrit, dit château d'Albret, se situent sur la commune de Labrit, dans le département français des Landes. Construit en terre et en bois dans les années 1225-12303, il constitue le berceau des seigneurs d'Albret, noble famille gasconne qui, à partir de là, étendra son influence au cours des siècles, jusqu'à l'accession au trône de France de l'un des siens, le roi Henri IV. Le site est classé par les Monuments historiques le 27 décembre 19902.

Empire mongol. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d3ed53-empire-mongol

Empire mongol

Carte de l'empire mongol au XIIIème siècle : Genhis Khan.

Foire au moyen âge. Source : http://data.abuledu.org/URI/506881b5-foire-au-moyen-age

Foire au moyen âge

Représentation d'une foire au XIIIème siècle (Miniature du "Chevalier errant" de Th. de Saluces, BNF, 1403)

Inscription en latin à la cathédrale de Bitonto. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a8dfa4-inscription-en-latin-a-la-cathedrale-de-bitonto

Inscription en latin à la cathédrale de Bitonto

Inscription en latin sur l'ambon de la cathédrale de Bitonto en Italie : "Hoc opus fecit Nicolaus sacerdos et magister anno millesismo ducentesimo vicesimo nono in dictionis secunde" qui indique le nom de l’artisan (le Prêtre Nicolas lui-même qui signa sur la fondation du campanile de la cathédrale de Trani) et la date de l’exécution (1229).

Joueurs de luth au XIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5302a0a0-joueurs-de-luth-au-xiiieme-siecle

Joueurs de luth au XIIIème siècle

Joueurs de luth, Cantigas de Santa Maria, manuscrits écrits en Galicien-Portugais, avec notations musicales, pendant le règne d'Alfonso X El Sabio (1221-1284).

La suite de Fibonacci. Source : http://data.abuledu.org/URI/5183e10c-la-suite-de-fibonacci

La suite de Fibonacci

Triangle de Pascal et suite de Fibonacci : La somme des diagonales ascendantes du triangle de Pascal forme la suite de Fibonacci. Leonardo Fibonacci (v. 1175-1250). Elle doit son nom à Leonardo Fibonacci, dit Leonardo Pisano, un mathématicien italien du XIIIe siècle qui, dans un problème récréatif posé dans un de ses ouvrages, le Liber Abaci, décrit la croissance d'une population de lapins : « Un homme met un couple de lapins dans un lieu isolé de tous les côtés par un mur. Combien de couples obtient-on en un an si chaque couple engendre tous les mois un nouveau couple à compter du troisième mois de son existence ? » Cette suite est fortement liée au nombre d'or, φ (phi). Ce nombre intervient dans l'expression du terme général de la suite. Inversement, la suite de Fibonacci intervient dans l'écriture des réduites de l'expression de φ (phi) en fraction continue : les quotients de deux termes consécutifs de la suite de Fibonacci sont les meilleures approximations du nombre d'or.

Le joueur de fifre de Hamelin et les rats. Source : http://data.abuledu.org/URI/507942f8-le-joueur-de-fifre-de-hamelin-et-les-rats

Le joueur de fifre de Hamelin et les rats

Représentation médiévale (entre 1300 et 1633) des épisodes du conte du "Joueur de fifre de Hamelin" : vitrail de l'église du marché de Hamelin en Allemagne. Légende allemande, transcrite notamment par les frères Grimm et arrivée jusqu'à notre époque sous le titre original "Der Rattenfänger von Hameln" (L'Attrapeur de rats de Hamelin). Elle évoque un désastre censé être intervenu le 26 juin 1284 dans la ville de Hamelin en Allemagne.

Les trois croissants disjoints de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5599a8d5-les-trois-croissants-disjoints-de-bordeaux

Les trois croissants disjoints de Bordeaux

Les trois croissants disjoints de Bordeaux, sur la borne qui délimitait jadis la juridiction de Bordeaux, décidée en1297 par le roi de France Philippe Le Bel. Elle était jadis placée au bord de la route de Bordeaux à Saint-Médard-en-Jalles, à la limite de la juridiction de Bordeaux et de la seigneurie du Thil. Le mot est écrit de bas en haut en lettres majuscules. Elle ne dépassait le sol que de 80 cm environ. Elle est actuellement dans le Parc Lescombes à Eysines.

Occitanie et Aragon en 1213. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d0a361-occitanie-et-aragon-en-1213

Occitanie et Aragon en 1213

Carte de l'espace occitano-catalano-aragonais à la veille de la Bataille de Muret en 1213. Source : Michel Roquebert, "Histoire des Cathares", 2002, Ed. Perrin, ISBN 2262018944.

Porte des anglais à Sore. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074afc6-porte-des-anglais-a-sore

Porte des anglais à Sore

Porte de ville dite des anglais à Sore, dans le département français des Landes : remplissages en garluche. Datée de la 2e moitié du XIIIe siècle, elle est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 7 octobre 1992. Il existait deux autres portes de ce type à Sore qui ont aujourd'hui disparu, l'une à l'est du plateau, l'autre en face de l'hospice. Celle-ci est en face du moulin à eau. Sur sa clef de voûte est sculpté un chrisme. Notice de la base Mérimée : "Témoin de la ville médiévale qui fut une des forteresses des Seigneurs d'Albret. Vers 1270-1280, Amanieu VII d'Albret semble avoir entrepris une vaste campagne de rénovation de plusieurs forteresses, dont celle de Sore. Cette porte est le dernier vestige encore debout de ces fortifications. L'ouvrage possédait peut-être des éléments défensifs couronnant son sommet. Du côté sud vers le nord, en pénétrant dans la ville, la porte présente un grand arc en anse de panier puis un arc brisé surbaissé, plus étroit et plus bas, en avant duquel subsiste l'emplacement de la herse qui renforçait l'entrée. Sur le côté nord se remarquent les traces d'une tourelle qui renfermait un escalier à vis. Sur le côté sud, deux trous d'assommoir sont percés dans la voûte de l'arc, en avant de la herse. L'enceinte elle-même était en terre, faute de pierres à proximité."

Roland d'Hazebrouck. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc49b5-roland-d-hazebrouck

Roland d'Hazebrouck

Roland d'Hazebrouck fut un seigneur du XIIIe siècle, qui disposait d'un château à Hazebrouck, une commune située actuellement dans le département du Nord (59). En compagnie du comte de Flandre, Baudouin VII de Flandre, il participa à la quatrième croisade en 1202 et se distingua à la prise de Zara et au siège de Constantinople. En 1931, il fut érigé en géant pour le folklore de Hazebrouck : il symbolise un chevalier protecteur de la ville. Sur son bouclier figure un lièvre rappelant l'étymologie de la ville d' Hazebrouck (marais du lièvre).

Siège d'un château en 1590. Source : http://data.abuledu.org/URI/532e92d2-siege-d-un-chateau-en-1590

Siège d'un château en 1590

Siège du château de Horst à Rhode-Saint-Pierre dans le Brabant flamand en Belgique (3220 Holsbeek) par Frans Hogenberg (1540–1590) : "La partie la plus ancienne est bien certainement cette grande tour dorée par le lichen… C'était la tour de refuge, le donjon. À ses barbacanes étroites et longues, à ses quatre gargouilles sculptées en forme de guivre, comme celles d'une cathédrale, aux traces de créneaux que vous apercevez sous le rebord du toit, vous reconnaissez le caractère purement militaire et féodal du XIIIe siècle. La vigie qui la surmonte, en forme de poivrière, est d'une époque postérieure. Là-bas, près de la porte d'entrée, les ruines de ces deux tours rondes qu'on nommait douves, parce qu'elles ressemblaient à des futailles, sont vraisemblablement contemporaines du donjon. Elles défendaient le pont-levis. Les autres bâtiments qui se replient en pentagone sont beaucoup moins anciens. Source : Eugène Gens, Ruines et Paysages de Belgique Bruxelles, A. Jamar, 1848.

Tour de l'Or à Séville. Source : http://data.abuledu.org/URI/518007e1-tour-de-l-or-a-seville

Tour de l'Or à Séville

Tour à douze côtés dite "de l'or" à Séville en Espagne. La Tour de l'or (Torre del Oro en espagnol) est une tour d'observation militaire construite au XIIIe siècle à Séville en Espagne durant la dynastie des Almohades afin de contrôler l'accès à la ville depuis le fleuve Guadalquivir. La tour a été construite comme un élément défensif de l'ensemble allant de l'Alcázar au fleuve. Le nom de la tour proviendrait des tuiles dorées qui couvraient le toit et ornaient le reste du bâtiment. Construite au début du XIIIe siècle, la tour possède douze côtés et de sa base, il était possible de tendre une chaîne en travers de la rivière pour empêcher les navires ennemis de remonter jusqu'au port de Séville. Lorsque ces chaînes se sont brisées, l'armée chrétienne de Ferdinand III de Castille, commandée par l'amiral Ramón de Bonifaz, a pu s'emparer de la ville en 1248.

Tourelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51881c68-tourelle

Tourelle

Tourelle à l'angle d'une maison, à Sainte-Foy-la-Grande (Gironde), bastide fondée en 1255 sur les bords de la Dordogne par Alphonse de Poitiers, frère de Saint-Louis.

Tuc de Houns à St Paul en Born. Source : http://data.abuledu.org/URI/506b28e0-tuc-de-houns-a-st-paul-en-born

Tuc de Houns à St Paul en Born

Vestiges de la motte castrale du Tuc de Houns, dans le département français des Landes. Le tuc de Houns est l'une des sept mottes castrales dont on a retrouvé les vestiges dans le pays de Born. Aux XIe et XIIe siècles, il se situait à quelques centaines de mètres de l'ancien village de Saint-Paul (Ségosa?). Son nom vient de tuc, mot gascon pour butte. Une maison forte y fut édifiée sur ordre de Pierre de Homs (Pedro de Hon), en 1255, par concession du roi Henri III d'Angleterre pour défendre le confluent de deux rivières, le ruisseau des Forges et le ruisseau d'Escource, près de l'étang d'Aureilhan.

Mobilier médiéval. Source : http://data.abuledu.org/URI/530759ab-mobilier-medieval

Mobilier médiéval

Planche 40, Mobilier du Treizième et quatorzième siècles, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach. XIIIème siècle : 1, oriflamme ; 2-4, étendards ; 5-16, casques ; 17, couronne ; 18, crosse ; 19, encensoir ; 20, arc, flêche et carquois ; 21, harpe ; 43, anneau d'évêque ; 49, trône. XIXème siècle : 22-23, trompettes ; 24-27, coupes et ciboires ; 28-31, 34, épées ; 32, harpe ; 33, tabours ; 34, timbales (instruments de musique), 35, 38-40, 42, casques ; 36, bannière ; 37, dague ; 41, tiare de pape ; 44, éperon ; 45, capuchon de faucon ; 46, 48, sièges ; 47, table ; 50, écritoire ; 51, croix.