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Peinture | Gravure | Paris (France) -- Palais du Champ de Mars | Photographie | Architecture | Dix-neuvième siècle | Cirques | Montgolfières | Paris (France) -- Champ-de-Mars | Chromolithographie | Aérostats | Manuscrits à enluminures | Art médiéval | Très riches heures du duc de Berry | France -- Moeurs et coutumes (1328-1600) | Mois | Travaux des champs | Dessins et plans | Façons culturales | Dix-huitième siècle | ...
Boule de démolition. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb1d31-boule-de-demolition

Boule de démolition

Boule de démolition : diagramme pour le calcul de l'énergie potentielle de gravité. L'énergie potentielle gravitationnelle est, comme toutes les formes d'énergies potentielles, définie à une constante additive arbitraire près. Néanmoins, il est d'usage de fixer la valeur de la constante en prenant la valeur de l'énergie potentielle nulle lorsque la masse est infiniment éloignée du centre de gravité du champ auquel elle est soumise. Dans ce cas-là, l'énergie potentielle gravitationnelle est négative. Cela signifie qu'il faut fournir un travail positif (c'est-à-dire dépenser de l'énergie) pour extraire une masse d'un champ gravitationnel. Ceci est une conséquence directe du fait que, dans la nature, les masses sont des quantités positives, qui s'attirent toujours. Ainsi, éloigner une masse d'une distribution arbitraire de masses nécessite de dépenser de l'énergie pour s'opposer à la force attractive entre les différentes masses. Source : Bac pro Bâtiment-métal-alu-verre-matériaux de synthèse en 2006, épreuve Mathématiques et sciences physiques. Copié d'un sujet d'examen national français, considéré dans le domaine public par la jurisprudence (Tribunal de grande instance de Paris, 9 novembre 1988, et Cour d’appel de Paris, 13 juin 1991).

Champ de Mars. Source : http://data.abuledu.org/URI/54da81d3-champ-de-mars

Champ de Mars

Le Champ de Mars depuis la Tour Eiffel.

Champs-Élysées illuminés en 1853. Source : http://data.abuledu.org/URI/58704438-champs-elysees-illumines-en-1853

Champs-Élysées illuminés en 1853

Champs-Élysées illuminés en 1853 pour le 15 août.

Cirque d'été, aux Champs-Elysées. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ead48-cirque-d-ete-aux-champs-elysees

Cirque d'été, aux Champs-Elysées

Gravure représentant un des quatre cirques sédentaires en activité à Paris à la fin du XIXème siècle : le Cirque des Champs-Élysées (1841-1898), connu sous les noms de Cirque de l'Impératrice ou de Cirque d'été, qui pouvait contenir jusqu'à 3 500 places. Source : "Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre", d'Arthur Pougin (1885). page 209. Cette salle parisienne fut édifiée en 1841 au carré Marigny par l'architecte Jacques Hittorff, elle est aujourd’hui disparue. Pendant du Cirque d’hiver, construit par Hittorf pour Dejean boulevard du Temple en 1852, il fonctionnait du 1er mai au 1er septembre. L’acoustique y était si bonne qu'Hector Berlioz y donna une série de concerts en 1845. En 1847, les spectateurs payaient 2 francs au pourtour et 1 franc à l’amphithéâtre. Devenu un temps Cirque-National, il connut son apogée sous le Second Empire sous le nom de Cirque de l’Impératrice à partir de 1853 (le Cirque d’hiver devenant quant à lui le Cirque Napoléon). Sa grande attraction fut longtemps le clown Jean-Baptiste Auriol. Caroline Otero et Émilienne d'Alençon y firent leurs débuts. Son succès se prolongea jusque dans les années 1880. Le Tout-Paris s'y précipitait le samedi, jour réputé chic. Petit à petit délaissé par le public après l’exposition universelle de Paris de 1889, il fut démoli vers 1900, laissant son nom à la rue du Cirque.

Fabre d'Eglantine à Turgot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afdd19-fabre-d-eglantine-a-turgot

Fabre d'Eglantine à Turgot

Épître de Fabre d'Églantine à Anne Robert Jacques Turgot, Baron de Laune Turgot. Source : Augustin Challamel, "Histoire-musée de la république Française, depuis l'assemblée des notables", Paris, Delloye, 1842. J'ai vu sur nos chemins l'indigent villageois Accablé sous le faix d'un travail sans salaire, De ses propres secours privé dans sa misère Et mourir de fatigue et de faim à la fois : J'ai vu ce manheureux, honteux d'un esclavage Que par un choix injuste on â fait rdonner Arrosant de ses pleurs un insipide ouvrage, Au sombre désespoir prêt à s'abandonner ; Je l'ai vu frémissant de douleur et de rage À l'aspect des soldats, qui loin de son ménage, À ce travail ingrat accouraient le trainer. Pour punir un instant de désobéissance J'ai vu des hommes durs, dont l'affreuse équité, Au mépris de l'honneur et de l'humanité Vendaient le seul grabât qui fût en sa puissance Et lui ravissaient tout... jusqu'à sa liberté. Oui, tel était le sort de ces hommes utiles, Dont les pénibles soins, dignes d'un meilleur prix, Nourrissent tous les jours, et l'habitant des Villes, Et les Grands...dont peut-être il n'a que les mépris. L'homme sensible et fin, l'homme équitable et sage Gémissaient de ces maux, dans nos champs répandus, Mais contre des conseils, injustes, absolus, Dont le vernis du bien a coloré l'ouvrage, LOUIS de la sagesse a-t'il quelque avantage ? Pour les faire arrêter, pour les voir abbattus, Il fallait de TURGOT, le cœur et le courage Il fallait de LOUIS, les mœurs et les vertus. Par son très humble et très obéissant serviteur, Fabre d'Églantine. Philippe-François-Nazaire Fabre, dit Fabre d’Églantine né et baptisé le 28 juillet 1750 à Carcassonne et guillotiné le 5 avril 1794 à Paris, est un acteur, dramaturge, poète et homme politique français.

Guignol sur les Champs-Élysées. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e98b6b-guignol-sur-les-champs-elysees

Guignol sur les Champs-Élysées

Guignol sur les Champs-Élysées.

L'aquarium d'eau douce dans le jardin réservé en 1867. Source : http://data.abuledu.org/URI/58704969-l-aquarium-d-eau-douce-dans-le-jardin-reserve-en-1867

L'aquarium d'eau douce dans le jardin réservé en 1867

Aquarium d'eau douce dans le jardin du Champ-de-Mars pendant l'exposition universelle de 1867 à Paris, Rioud et G. Maurand.

Le Champ de Mars et la Tour Rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/53447438-le-champ-de-mars-et-la-tour-rouge

Le Champ de Mars et la Tour Rouge

Le Champ de Mars et La Tour Rouge, 1911-1923, par Robert Delaunay (1885-1941). (The Art Institute of Chicago).

Le Cirque d'été aux Champs-Élysées. Source : http://data.abuledu.org/URI/514eb38f-le-cirque-d-ete-aux-champs-elysees

Le Cirque d'été aux Champs-Élysées

Le cirque d'été (Jacques Hittorff, 1841), sur un détail d'une carte de Paris de 1869, "Plan géométral de Paris et de ses agrandissements à l'échelle d'un millimètre pour 10 m". Sous le second empire, Jacques Hittorff collabore aux grands travaux du baron Haussmann. Il est à l'origine de plusieurs réalisations à Paris : le réaménagement du bois de Boulogne, l'actuel théâtre du Rond-point des Champs-Élysées, le Cirque d'hiver, des immeubles rue de Rivoli, la mairie du 1er arrondissement de Paris. En outre, il est l'architecte de la gare du Nord.

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c59bb-le-mois-d-octobre-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : la scène paysanne du premier plan représente les semailles. À droite, un homme sème à la volée. Des pies et des corneilles picorent les graines qui viennent d'être semées, à proximité d'un sac blanc et d'une gibecière. Derrière, un épouvantail en forme d'archer et des fils tendus, sur lesquels sont accrochés des plumes, sont destinés à éloigner les oiseaux. À gauche, un paysan à cheval passe la herse sur laquelle est posée une pierre qui permet aux dents de pénétrer plus profondément dans la terre. Il recouvre ainsi les grains qui viennent d'être semés. À l'arrière-plan, le peintre a représenté le Palais du Louvre. Du château au centre, on distingue, outre le donjon central qui accueillait alors le trésor royal, la façade orientale à droite, encadrée par la tour de la Taillerie et la tour de la Chapelle, et à gauche la façade méridionale, avec ses deux tours jumelées au centre. L'ensemble est entouré d'une enceinte ponctuée de trois tours et de deux bretèches, visibles ici. Sur la rive, des personnages conversent ou se promènent.

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5470-le-mois-de-juin-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : illustration des travaux paysans avec une scène de fenaison. Tandis qu'au premier plan une femme râtelle du foin et qu'une autre le met en tas à l'aide d'une fourche, trois faucheurs forment des sillons au second plan à droite. D'autres personnages minuscules sont représentés dans une barque sur le fleuve, dans l'escalier menant à la poterne et dans l'escalier couvert à l'intérieur du palais. La scène se déroule en bordure de Seine, dans un champ situé à l'emplacement de l'hôtel de Nesle, résidence parisienne du duc de Berry. De l'autre côté du fleuve s'étend dans toute sa longueur le palais de la Cité, avec successivement les jardins du roi, la Salle sur l'eau, les trois tours Bonbec, d'Argent et César, puis la tour de l'Horloge. Derrière la galerie Saint-Louis au centre, les deux pignons de la Grande Salle, le Logis du roi et la tour Montgomery. À droite, la Sainte-Chapelle.

Le physicien Charles et les débuts de l'aérostat. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b040cb-le-physicien-charles-et-les-debuts-de-l-aerostat

Le physicien Charles et les débuts de l'aérostat

Le physicien Jacques Charles (1746-1823) et les débuts de l'aérostat : Émeute à Gonesse, Charles lance au Champ de Mars à Paris le premier aérostat à gaz hydrogène, 27 août 1783, Portrait de Charles.

Les élégantes au Champ de Mars en 1889. Source : http://data.abuledu.org/URI/539ff27e-les-elegantes-au-champ-de-mars-en-1889

Les élégantes au Champ de Mars en 1889

"Au Champ-de-Mars - entre quatre et cinq, promenade en fauteuil roulant", par Paul Despretz : pendant l'exposition universelle d'octobre 1889, les élégantes se faisaient promener en fauteuil roulant pour la visite.

Monument aux morts de la station Richelieu-Drouot. Source : http://data.abuledu.org/URI/543f2733-monument-aux-morts-de-la-station-richelieu-drouot

Monument aux morts de la station Richelieu-Drouot

Monument aux morts à la station Richelieu - Drouot du métro de Paris, par Carlo Sarrabezolles (1888-1971). Dans la salle de correspondances se trouve le monument aux morts de la CMP, dû au ciseau de Carlo Sarrabezolles, inauguré en 1931. Le monument aux morts des agents du métropolitain. Ce monument en marbre noir est dédié à la mémoire des agents du chemin de fer métropolitain morts pour la France. La sculpture centrale est ornée d'une cariatide, qui soutient de ses bras levés la torsade de pierre qui l'entoure. Elle sépare en deux parties le demi-cercle à l'intérieur duquel sont inscrits les noms des agents du métropolitain disparus durant la Première Guerre mondiale. La base du monument porte les noms des champs de bataille de la Grande Guerre. Le mot « Libération » a été ajouté en bas à droite après la Seconde Guerre mondiale, afin de marquer la participation des agents du réseau à la Résistance. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Richelieu_-_Drouot_%28m%C3%A9tro_de_Paris%29

Salle à manger improvisée au Champ-de-Mars en 1878. Source : http://data.abuledu.org/URI/58704ad8-salle-a-manger-improvisee-au-champ-de-mars-en-1878

Salle à manger improvisée au Champ-de-Mars en 1878

La salle à manger improvisée au Champ-de-Mars en 1878 pour les visiteurs de l'exposition internationale de 1878.

Traversée du Pas-de-Calais en ballon en 1785. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b04cd2-traversee-du-pas-de-calais-en-ballon-en-1785

Traversée du Pas-de-Calais en ballon en 1785

Traversée en ballon du Pas-de-Calais par Blanchard et Jefferies (1785). Jean-Pierre François Blanchard (1753-1809) est un aéronaute français qui s’illustra dans la conquête des airs en ballon. Le 2 mars 1784, la foule rassemblée sur le Champ de Mars à Paris assiste à l’ascension d’un aérostat habité de 27 pieds de diamètre. Le ballon, poussé par le vent, franchit la Seine et revient pour se poser rue de Sèvres. Au moment où le ballon était sur le point de décoller, un jeune homme du nom de Dupont de Chambon sauta dans la nacelle et, tirant son épée, déclara sa volonté de procéder à l’ascension en compagnie de Blanchard. On dut l’en retirer par la force. Le 7 janvier 1785, Blanchard et son ami et mécène américain John Jeffries (en) traversent la Manche de Douvres à Guînes en 2 heures 25 minutes, à bord d’un ballon gonflé à l’hydrogène.