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Dessins et plans | Photographie | Physique | Gravité | Temps, Mesure du | Gravitation | Euler, Cercle d' | Brouettes | Dix-huitième siècle | Géométrie | Georges-Louis Le Sage (1724-1803) | Galilée (1564-1642) | Peinture | Parapente | Vol libre | Transports de marchandises | Centre de gravité | Outils | Effets de la gravité | Jouets -- Fabrication | ...
Boule de démolition. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb1d31-boule-de-demolition

Boule de démolition

Boule de démolition : diagramme pour le calcul de l'énergie potentielle de gravité. L'énergie potentielle gravitationnelle est, comme toutes les formes d'énergies potentielles, définie à une constante additive arbitraire près. Néanmoins, il est d'usage de fixer la valeur de la constante en prenant la valeur de l'énergie potentielle nulle lorsque la masse est infiniment éloignée du centre de gravité du champ auquel elle est soumise. Dans ce cas-là, l'énergie potentielle gravitationnelle est négative. Cela signifie qu'il faut fournir un travail positif (c'est-à-dire dépenser de l'énergie) pour extraire une masse d'un champ gravitationnel. Ceci est une conséquence directe du fait que, dans la nature, les masses sont des quantités positives, qui s'attirent toujours. Ainsi, éloigner une masse d'une distribution arbitraire de masses nécessite de dépenser de l'énergie pour s'opposer à la force attractive entre les différentes masses. Source : Bac pro Bâtiment-métal-alu-verre-matériaux de synthèse en 2006, épreuve Mathématiques et sciences physiques. Copié d'un sujet d'examen national français, considéré dans le domaine public par la jurisprudence (Tribunal de grande instance de Paris, 9 novembre 1988, et Cour d’appel de Paris, 13 juin 1991).

Le canon de Newton. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ade225-le-canon-de-newton

Le canon de Newton

Illustration du principe du "canon de Newton" : au-delà d'une certaine vitesse le boulet ne retombe plus au sol.

Sablier plein. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d3618e-sablier-plein

Sablier plein

Icone de sablier plein : Le bulbe rempli de sable fin, ou d'un corps similaire, est placé en haut et par l'effet de la gravité, le sable s'écoule lentement et régulièrement dans l'autre.

Brouette. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de57c7-brouette

Brouette

Brouette. C’est l’outil ergonomique pour le transport de matériaux ou d’outils sur des terrains qui peuvent être accidentés mais nécessairement peu inclinés. Indispensable sur les chantiers, dans les fermes, ou dans les jardins, elle facilite le déplacement de charges qui peuvent être lourdes ou simplement encombrantes. Le principe du levier associé à la position du centre de gravité vers l’aplomb du point d’appui (la roue), lui confère une grande efficacité.

Concorde : transfert de carburant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5d8f7-concorde-transfert-de-carburant

Concorde : transfert de carburant

Le transfert de carburant : A : décollage, B : croisière, C : retour en subsonique. En plus de l’alimentation des réacteurs, le carburant remplit une autre fonction : il est utilisé pour le centrage. Après le passage du mur du son, l’équilibre aérodynamique est modifié, le centre de poussée recule. Pour compenser cet effet, le centre de gravité de l’appareil est déplacé vers l'arrière. Sur Concorde, la seule masse déplaçable est le carburant. Le transfert du carburant se fait de l’avant vers l’arrière pour le vol supersonique et le contraire pour le retour en subsonique comme sur le Dassault Mirage IV. Trois réservoirs situés dans le fuselage, deux à l’avant et un à l’arrière servaient principalement à cette fonction. Le transfert s’effectue par deux conduits dits « main gallery » entre les trois réservoirs. Pendant ces transferts, le déplacement du carburant est entendu en cabine. À Mach 0,93, transfert vers l’arrière du carburant, aux environs de Mach 1,2, début du transfert vers l’avant. Pendant l'avitaillement, la séquence de chargement du carburant permet de ne pas « poser » l’avion sur la roulette de queue. Une table des volumes des réservoirs permet de connaître la répartition du carburant. Sur cet avion, le carburant est également utilisé pour le refroidissement de l’air de conditionnement de la cabine.

Coulommiers au lait cru. Source : http://data.abuledu.org/URI/501cf9bf-coulommiers-au-lait-cru

Coulommiers au lait cru

La commune de Coulommiers, située dans le département de Seine-et-Marne (région Île-de-France), est connue depuis le Moyen Âge pour sa production de fromages à pâte molle et à croûte fleurie fabriqués à partir de lait cru de vache1. Toutefois, si son nom reste associé à quelques fromages du terroir local singuliers de la famille des fromages de Brie, plus aucune fromagerie n'existe encore à l'heure actuelle sur le territoire même de Coulommiers ni même dans son canton2. Le nom de Coulommiers reste cependant indissociablement lié à l'un des fleurons du patrimoine fromager français, le coulommiers, parfois appelé aussi « petit brie de Coulommiers ». Représentante emblématique de l'authentique terroir gastronomique français, la production fromagère columérienne est de ce fait devenue le centre de gravité tout autant d'importants intérêts économiques - notamment locaux - que de la lutte pour la sauvegarde de ce patrimoine3.

Deux types d'écoulement microfluidique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5dd8d-deux-types-d-ecoulement-microfluidique

Deux types d'écoulement microfluidique

Flux laminaire (a) et turbulent (b), selon le nombre de Reynolds : la nature de l'écoulement dépend du nombre de Reynolds, et donc de la taille caractéristique d. Aux petites dimensions, les phénomènes physiques macroscopiques ne subissent pas seulement un diminution linéaire de leurs effets. Certains phénomènes négligeables deviennent prépondérants, comme la capillarité ; inversement, d'autres forces telles que la gravité deviennent négligeables. Afin d'appréhender plus facilement les caractéristiques d'un système microfluidique, plusieurs grandeurs sans dimension ont été introduites. La plus répandue est probablement le nombre de Reynolds Re, proposé en 1883, qui caractérise le rapport entre les forces d'inertie et les forces de viscosité. Les systèmes microfluidiques sont généralement caractérisés par un petit nombre de Reynolds : les forces de viscosité sont prépondérantes.

Droite d'Euler. Source : http://data.abuledu.org/URI/518452dd-droite-d-euler

Droite d'Euler

En géométrie euclidienne, dans un triangle non équilatéral, l'orthocentre H, le centre de gravité ou isobarycentre G et le centre du cercle circonscrit \Omega sont alignés et ne sont pas confondus. On appelle droite d'Euler la droite passant par ces trois points. Traduction en français Christophe Catarina.

Droite d'Euler dans un triangle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51843031-droite-d-euler-dans-un-triangle

Droite d'Euler dans un triangle

En bleu : les hauteurs ; en orange : les médianes ; en vert : les médiatrices ; en rouge : la droite d'Euler. En géométrie euclidienne, dans un triangle non équilatéral, l'orthocentre H, le centre de gravité ou isobarycentre G et le centre du cercle circonscrit Omega sont alignés et ne sont pas confondus. On appelle droite d'Euler la droite passant par ces trois points.

Équilibre d'une brouette dans une pente. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de632d-equilibre-d-une-brouette-dans-une-pente

Équilibre d'une brouette dans une pente

Etude statique de la brouette. Les longueurs des forces sont en proportion en rapport avec ce quelles représentent vraiment, illustration de la complexité du solide par rapport au point matériel. De manière générale, le centre de poussée est distinct du centre de gravité. Lorsque la droite reliant le centre de poussée au centre de gravité n'est pas confondue avec la droite portant la résultante de la poussée, il en résulte un couple donc un basculement de l'objet.

Fusée-sonde canadienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/534bd103-fusee-sonde-canadienne

Fusée-sonde canadienne

Une fusée-sonde, dans le domaine de l'astronautique, est une fusée décrivant une trajectoire sub-orbitale permettant d'effectuer des mesures et des expériences. Lancée verticalement, une fusée-sonde peut emporter des centaines de kilogrammes d’instruments ou d’expériences scientifiques à une altitude comprise entre une centaine et un millier de kilomètres selon les modèles. Sa charge utile, abritée dans la pointe de l’engin, est récupérée avec un parachute. Cette possibilité a donné lieu à deux catégories d’applications : les explorations de la haute atmosphère et la recherche en micro-gravité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fus%C3%A9e-sonde

Glacier Schlatenkees en Autriche. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bf2283-glacier-schlatenkees-en-autriche

Glacier Schlatenkees en Autriche

Extrémité du glacier Schlatenkees (près de Innergschlöß et de Alte Prager Hütte), en Autriche. Le domaine de plasticité de la glace étant particulièrement étendu, un glacier s'écoule lentement sous l'effet de la gravité le long d'une pente ou par fluage. (source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Glacier).

Gravitation d'après Le Sage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c3c4ec-gravitation-d-apres-le-sage

Gravitation d'après Le Sage

Lignes de champ de gravité d'une masse ponctuelle, d'après Le Sage. Article "Gravité" de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. La force de la gravité est le résultat du déplacement de particules minuscules (corpuscules) à grande vitesse dans toutes les directions dans tout l'univers. L'intensité du flux des particules est la même dans toutes les directions, et donc un objet isolé A est bombardé avec la même intensité de tous côtés.

La douve de Chine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6a594-la-douve-de-chine

La douve de Chine

Cycle de vie du ver, la douve de Chine (Clonorchis sinensis), parasite du porc, du chat et du chien ; transmissible à l'homme et responsable de la distomatose hépatique d'Extrême-Orient : parasitose hépatique la plus fréquente du monde. Elle est endémique en Extrême-Orient. Son importance tient autant de la forte proportion des atteintes (40 % de la population en moyenne, 100 % dans certains foyers) qu'à leur gravité habituelle en zones d'endémie où les réinfestations sont constantes.

La moitié du monde à Quito. Source : http://data.abuledu.org/URI/57378ca0-la-moitie-du-monde-a-quito

La moitié du monde à Quito

La moitié du monde à Quito (Équateur) : la ligne exacte où la latitude est de 0-0′-0 », là où la gravité se fait le moins sentir. Un œuf posé tient debout tout seul.

La visée au billard. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d94f9f-la-visee-au-billard

La visée au billard

Billard, bille de choc et bille de visée : Considérons la bille blanche comme bille de choc. Le schéma représente ce que l’on peut voir en plaçant l'œil (directeur) sur l’axe de visée, qui passe par le centre de gravité de la blanche selon un vecteur parallèle à la table. La quantité de bille exprime intrinséquement le rapport du transfert d’énergie lors du choc entre les deux billes. 1) Viser « pleine bille » revient à aligner l’axe sur les 2 centres de gravité. Le transfert de masse lors du choc est entier, la bille de visée héritant de toute la force ; 2) Viser « 3/4 de bille » revient à aligner le centre de la bille de choc avec un point situé à la moitié du rayon de la bille de visée. Elle hérite des 3/4 de la force, 1/4 restant à la blanche ; 3) Viser « 1/2 de bille » aligne l’axe de visée sur la tangente de la bille visée. Le transfert est équivalent ; Viser « 1/4 de bille » revient à aligner le centre de la bille de choc avec un point situé à l’extérieur de la bille de visée, à distance d’un demi rayon. Le rapport est cette fois 1/4 pour la visée, 3/4 pour la bille de choc ; 4) Viser « Finesse » aligne le centre de la bille de choc avec un point à l’extérieur de la bille de visée à distance d’un rayon (en pratique un peu moins afin de garantir le contact). Seule une petite quantité de force est transmise à la bille de visée. Conséquence évidente : Appliquons une force à la bille de choc, lui permettant théoriquement de parcourir un mètre. Pour autant qu'on ne mette aucun effet, en visant pleine bille, la bille de choc s’arrête, et la bille de visée parcourt un mètre. En visant demi bille, les deux billes devraient parcourir chacune 50 centimètres, etc.

Le lièvre bondissant. Source : http://data.abuledu.org/URI/535b6893-le-lievre-bondissant

Le lièvre bondissant

Le lièvre bondissant, au bout d'un croissant de lune calé contre une cloche renversée, 1988, montage en bronze défiant les lois de la gravité, par Barry Flanagan (1941-2009).

Le pendule du lustre de Pise. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b008c7-le-pendule-du-lustre-de-pise

Le pendule du lustre de Pise

Plafond et lustre de Pise, Vincenzo Possenti, 1586. Galilée commence par démontrer plusieurs théorèmes sur le centre de gravité de certains solides dans son "Theoremata circa centrum gravitatis solidum" et entreprend en 1586 de reconstituer la balance hydrostatique d'Archimède ou Bilancetta. En même temps, il poursuit ses études sur les oscillations du pendule pesant et invente le pulsomètre. Cet appareil permettait d'aider à la mesure du pouls et fournissait un étalon de temps, qui n'existait pas à l'époque. Il débute aussi ses études sur la chute des corps.

Niveau risque ISO 13849-1. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c25c24-niveau-risque-iso-13849-1

Niveau risque ISO 13849-1

Analyse du risque selon la norme ISO 13849-1:2008. Cette norme propose une évaluation arborescente, selon les paramètres de la situation dangereuse. Facteurs : S : gravité de la blessure ; S1 : blessure légère (normalement réversible) ; S2 : blessure grave (normalement irréversible, y compris le décès) ; F : fréquence et/ou durée d'exposition au phénomène dangereux ; F1 : rare à assez fréquente et/ou courte durée d'exposition ; F2 : fréquente à continue et/ou longue durée d'exposition ; P : possibilité d'éviter le phénomène dangereux ou de limiter le dommage ; P1 : possible sous certaines conditions ; P2 : rarement possible ; PL : niveau de performance. Cela détermine un niveau de performance PL ("performance level") coté de a à e. Dans le domaine de la cyndinique, l'évaluation des risques est l'ensemble des méthodes consistant à calculer la criticité (pertinence et gravité) des dangers. Elle vise outre à quantifier et qualifier les dangers. Dans ce domaine, on se restreint à l'étude du risque aryétique, c'est-à-dire en ne considérant que les événements à conséquences négatives. On s'attache à obtenir des valeurs chiffrées, afin de pouvoir effectuer des classements, de mettre des priorités sur les mesures à prendre pour réduire les risques et combattre leurs conséquences. On parle d'évaluation chiffrée du risque, ou en anglais "quantitative risk assesment" (QRA). La criticité est donc cette valeur chiffrée. Habituellement, elle est décomposée en plusieurs paramètres : fréquence ; effectif exposé ; gravité ; niveau de maîtrise. La criticité est alors le produit des valeurs de ces paramètres.

Parapente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b1075e-parapente

Parapente

Schéma d'un parapente : 1 Extrados, 2 Intrados, 3 Nervure, 4 Cloison diagonale interne, 5 Suspente haute, 6 Suspente intermédiaire, 7 Suspente basse, 8 Élévateur. L'aile est fabriquée à partir d'un tissu résistant et léger. Elle est composée de « caissons » dans lesquels l'air s'engouffre afin de lui donner sa forme. L'aile est profilée comme une aile d'avion, ce qui génère la portance du parapente. Cette force, qui s'oppose à la gravité, permet au parapentiste de ralentir sa chute (verticale) à environ 1 mètre par seconde alors que dans le même temps le parapente s'est déplacé horizontalement de 8 mètres pour un parapente d'initiation, à plus de 12 mètres pour les engins de compétition (soit une finesse de 8 à plus de 12). L'avant de l'aile est appelé le bord d'attaque et l'arrière le bord de fuite. Le bord d'attaque est le côté par lequel l'air entre dans les alvéoles de l'aile. On dit « caisson » entre deux points d'attache de suspentes et « alvéole » entre deux cloisons internes. La partie supérieure est appelée l'extrados et la partie inférieure l'intrados.

Portrait de Galilée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0072e-portrait-de-galilee

Portrait de Galilée

Portrait de Galilée aux alentours de 1605 par Domenico Tintoretto, Le Tintoret en français (1560–1635). À l'âge de dix-neuf ans il découvre, en les chronométrant à l'aide de son pouls, la régularité des oscillations des lustres de la cathédrale de Pise. De retour chez lui, il compare les oscillations de deux pendules et travaille à la loi de l'isochronisme des pendules, dont le néerlandais Christian Huygens découvre la vraie loi de l'isochronisme rigoureux (nécessitant l'invention d'un autre mouvement isochrone : le pendule cycloïdal alors que le pendule simple de Galilée n'est pas parfaitement isochrone) en décembre 1659, étape de la découverte d'une nouvelle science : la mécanique galiléenne. Galilée trouve ainsi cette formule sur les lois du pendule simple (l étant la longueur du pendule, g la gravité et T la période) : T=2pileft( sqrtfrac{l}{g} ight) . Toutefois, ce ne fut qu'à la fin de sa vie, dans un ouvrage publié en 1638, qu'il exposa cette découverte.

Portrait de Ptolémée. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f69d1-portrait-de-ptolemee

Portrait de Ptolémée

Portrait de Ptolémée, illustration de la revue "Popular science monthly" N°78 : "Genèse de la loi de la gravité" par le Pr. John C. Shedd, Avril 1911, p.316.

Poupée bobo. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e777e5-poupee-bobo

Poupée bobo

Composition d'une poupée bobo, légendée en français. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_la_poup%C3%A9e_Bobo

Ressort à spirales. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c6ec46-ressort-a-spirales-

Ressort à spirales

Slinky en plastique aux couleurs de l'arc-en-ciel. Le slinky est un petit jouet qui peut descendre les marches d'un escalier (ou d'un quelconque plan incliné théoriquement) en s'étirant d'une marche à l'autre. Il utilise donc la force de la gravité pour se propulser. Le slinky en métal est beaucoup plus efficace que le slinky en plastique puisqu'il garde toujours sa forme initiale après avoir descendu l'escalier, tandis que le slinky en plastique se plie et change de forme avec les utilisations, ce qui le rend inutilisable. Des radioamateurs utilisent des slinky pour fabriquer des antennes afin de communiquer sur les ondes courtes car la forme bobinée permet de diminuer sensiblement la longueur des antennes, ce qui est apprécié lorsque l'espace disponible est limité (greniers, etc.).

Satellite GPB. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c3ad14-satellite-gpb-

Satellite GPB

Image artistique du satellite "Gravity Probe B" en orbite autour de la Terre pour mesurer l'effet espace-temps. L'idée de recourir à un satellite pour vérifier certains aspects de la théorie de la Relativité générale remontent au début de l'ère spatiale. "Gravity Probe B" est une mission de la NASA développée avec le département de physique de l'université Stanford aux États-Unis, et la compagnie Lockheed Martin comme premier sous-contractant. Cette mission est la deuxième expérience de physique fondamentale portant sur la gravité dans l'espace, après "Gravity Probe A" (GP-A) en 1976. L'effet de précession géodétique ou effet de Sitter découle de la courbure de l'espace-temps créée par le champ gravitationnel d'un objet. Dans le cas d'un objet placé sur une orbite à 640 km d'altitude cet effet induit une rotation de 6,6 secondes d'arc par an. Cet effet a déjà été vérifié notamment à travers l'influence de la Terre sur la Lune avec une précision de 1%.

Séparateur à oeuf. Source : http://data.abuledu.org/URI/5149e3b0-separateur-a-oeuf

Séparateur à oeuf

Le séparateur à œuf est un ustensile de cuisine facilitant la séparation, par gravité, du blanc et du jaune d'un œuf.

Survirage sur un circuit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5b688-survirage-sur-un-circuit

Survirage sur un circuit

Trajectoire prévue en vert, survirage en rouge. Le véhicule dérape par les roues arrières, dans les cas extrêmes, la voiture fait un tête-à-queue. Ce phénomène s'explique souvent par une accélération trop violente ou trop précoce en courbe. En effet, la bonne tenue de la trajectoire d'une voiture tient à l'équilibre entre la force centrifuge qui s'applique à elle et la résistance de l'adhérence des pneus. Pour peu que l'accélération soit mal dosée, les pneus arrière ne parviennent pas à passer toute la puissance au sol et se mettent alors à patiner. En situation de glisse (voies glissantes), le train arrière n'a plus l'adhérence nécessaire pour s'opposer à la force centrifuge, il file à la dérive. La voiture part ainsi en dérapage avec le nez orienté vers l'intérieur du virage, elle vire trop par rapport à sa trajectoire initiale : elle « survire ». La prédisposition d'une voiture au survirage dépend en grande partie de la position de son centre de gravité, car c'est sur lui que s'applique la force centrifuge.

Système de coordonnées cartésiennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096a1bc-systeme-de-coordonnees-cartesiennes

Système de coordonnées cartésiennes

Un système géodésique est, initialement, un repère tridimensionnel défini par : son centre O (choisi à proximité du centre de gravité terrestre) et trois axes orthonormés Ox, Oy et Oz, définis par leur orientation. Ox et Oy se trouvent pratiquement dans le plan équatorial terrestre, et Oz est orienté approximativement suivant l'axe de rotation terrestre. Dans un système géodésique ainsi défini, un point est localisé par ses coordonnées cartésiennes, exprimées par trois valeurs (X, Y, et Z) relatives aux trois axes du repère. Les données spatialisées sont rarement stockées sous cette forme, mais on peut avoir recours à ce système de données cartésiennes pour convertir des données d'un système géodésique à un autre.

Taille de quatre planètes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e34f31-taille-de-quatre-planetes

Taille de quatre planètes

Les planètes telluriques, de gauche à droite : Mercure, Vénus, Terre, et Mars. La Terre est une planète tellurique, c'est-à-dire une planète essentiellement rocheuse à noyau métallique, contrairement aux géantes gazeuses, telles que Jupiter, essentiellement constituées de gaz légers (hydrogène et hélium). Il s'agit de la plus grande des quatre planètes telluriques du Système solaire, que ce soit par la taille ou la masse. De ces quatre planètes, la Terre a aussi la masse volumique globale la plus élevée, la plus forte gravité de surface, le plus puissant champ magnétique global, la vitesse de rotation la plus élevée et est probablement la seule avec une tectonique des plaques active.

Théorie de Le Sage de la gravitation. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c3c742-theorie-de-le-sage-de-la-gravitation

Théorie de Le Sage de la gravitation

Théorie de Le Sage sur la gravité quand deux corps sont en présence : Une partie des particules qui auraient dû frapper le corps A ont été interceptées par le corps B qui a joué le rôle d'écran et de même pour l'autre corps : les deux corps recevront donc moins de chocs en provenance d'une direction. A et B se font de l'ombre, et les deux corps sont poussés l'un vers l'autre par le déséquilibre des forces en présence. La pseudo-attraction des corps serait donc dûe, d'après la théorie de Le Sage, à une poussée moindre.

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.

Vent catabatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/55473241-vent-catabatique

Vent catabatique

Schéma montrant l'interaction entre le gradient de pression et la gravité pour donner le Vent catabatique. Diverses conditions météorologiques sont nécessaires pour son déclenchement : une inversion de température en altitude et un faible gradient de pression possiblement accompagné d'une dépression en aval. Une fois le processus enclenché, la masse d'air froid s'accélère le long de la pente et la vitesse du vent peut être extrêmement élevée (plus de 300 km/h), nettement plus que le vent anabatique.

Virage à la sellette en parapente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b125cb-virage-a-la-sellette-en-parapente

Virage à la sellette en parapente

Virage à la sellette en parapente. 1=Vol droit : la RFA (résultante des forces aérodynamiques) et le poids sont alignés. Les deux forces sont de même norme mais de sens opposé, le système est en équilibre. 2=Initiation du virage à la sellette : le pilote reporte son poids d'un côté, le centre de gravité se décale de ce côté. Le centre de gravité (point d'application du poids) et le centre de poussée (point d'application de la RFA) ne sont plus alignés verticalement. La RFA exerce donc un moment qui tend à provoquer une rotation du système autour du centre de gravité. 3=Virage stabilisé : le système pilote+parapente a effectué une rotation sur l'axe de roulis. La direction de la RFA s'est réalignée avec le centre de gravité, il n'y a donc plus de moment. La RFA et le poids ne se compensent plus, il y a une force résultante qui provoque une accélération centripète et la mise en virage à rayon constant du parapente.

Wagons-trémie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116aa6b-wagons-tremie

Wagons-trémie

Un wagon-trémie est un wagon ferroviaire dont le déchargement s'effectue par gravité soit par dessous, soit latéralement. La cargaison vidée est guidée par une trémie (grand entonnoir destiné à stocker puis à verser une matière pondéreuse (grain, sable…) par gravitation). Les côtés du wagon-trémie sont toujours fixes et de hauteurs variables selon les chargements. Le déchargement peut s'effectuer soit manuellement, soit automatiquement, l'ouverture de la trémie étant alors commandée par un système mécanique ou électromécanique.