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Photographie, bois, Arts du bois, Lettres majuscules, Imprimerie, Caractères d'imprimerie, Caractères typographiques
Grands caractères typographiques en bois : C, &, G. Hauteur : 21 cm, épaisseur typographique standard de 23 mm.
bois, Peinture, Roues, Arts du bois, Engrenages, Plantes, Cornouillers, Cornus, Flèches -- Fabrication
Planche botanique du cornouiller sauvage (Cornus mas), Atlas des Plantes de France, 1891. L'espèce doit son nom latin (cornu = corne) au fait que son bois est dur comme la corne : il était autrefois prisé pour la fabrication de flèches et de javelots, d'engrenages, de rayons de roues ou de manches d'outils. L'espèce est utile à la faune car lièvres et cerfs apprécient son feuillage, tout comme les abeilles apprécient ses fleurs précoces à la fin de l'hiver, et les oiseaux ses fruits en été.
Peinture, Artistes japonais, Fleurs -- Dans l'art, Pivoines, Estampes en couleurs japonaises, École ukiyo-e, Japonais (langue), Canaris, Art (Époque d'Edo) -- Japon (1600-1868), Art edo, Hokusai Katsushika (1760-1849)
Canari et pivoines, 1833, par Hokusai Katsushika (1760-1849) : L'art japonais de l’ukiyo-e "Images du monde flottant ou souffrant" est né dans la ville d'Edo (aujourd'hui Tokyo) durant l'époque de Tokugawa ou d'Edo (1600-1868), une époque relativement paisible durant laquelle les shoguns Tokugawa gouvernaient le Japon et ont fait d'Edo le siège du pouvoir. La tradition d'estampes et de peintures sur bois ukiyo-e s'est poursuivie jusqu'au XXe siècle. Cette estampe, réalisée en 1833 ou 1834, fait partie de la série "Petites fleurs" de Katsushika Hokusai. Sa couleur de fond et sa taille sont inhabituelles. D'autres exemples de cette estampe, que l'on trouve au British Museum et au Musée national de Tokyo, ont un fond bleu intense. Elle est similaire à une estampe de la collection James A. Michener de l'Académie des Arts d’Honolulu et, comme celle-ci, porte des cachets du censeur et de l'artiste.
Interprétation du témoignage d'Hérodote sur "La machine". Source : "L'origine des lois, des arts et des sciences", 1820. « Voici comment on construisit cette pyramide, par le système des gradins successifs que l'on appelle tantôt krossai (corbeaux), tantôt bomides (plates-formes). On la construisit d'abord sous cette forme, puis on hissa les pierres de complément à l'aide de machines faites de courtes pièces de bois : on montait la pierre du sol jusqu'à la première plate-forme ; là, on la plaçait dans une autre machine installée sur le premier gradin, et on la tirait sur jusqu'au deuxième gradin, où une troisième machine la prenait. »
Peinture, Paris (France), Histoire, Dix-neuvième siècle, Alfred Roll (1846–1919), Architectes paysagistes, Constructions de jardins, Jardins français, Jean-Charles Alphand (1817-1891), Portraitistes
Portrait de Jean-Charles Adolphe Alphand (1817-1891) par Alfred Roll (1846–1919), peintre officiel de la Troisième République. Jean-Charles Alphand est un ingénieur des ponts et chaussées connu pour son travail d'embellissement de Paris. En 1853, il est appelé par baron Haussmann comme ingénieur en chef au service des promenades et dès lors participe aux transformations de Paris sous le Second Empire en compagnie de son confrère Eugène Belgrand et du jardinier Jean-Pierre Barillet-Deschamps. Il y crée des promenades, des parcs et des jardins destinés à embellir et assainir Paris. Il remodèle également les bois de Vincennes et de Boulogne. À la destitution du baron Haussmann le 5 janvier 1870 il reste en poste et à la chute du Second Empire, il est maintenu directeur des travaux de Paris. À la mort d'Haussmann, en 1891, il fut élu à l'académie des Beaux-Arts et occupa le fauteuil d'Haussmann.
Photographie, Hommes, Arts décoratifs, Architecture-sculpture, Arts décoratifs comme loisirs, Composites thermodurcissables, Durcissement structural, Position assise
Un exemple d'une réalisation avec une pâte autodurcissante représentant en homme en position assise. Les pâtes autodurcissantes sont des pâtes de modelage composées généralement d'un mélande d'argile et de résine/plastique dont la propriété intéressante est de durcir après un long temps d'exposition à l'air ambiant. Ce mélange permet de modeler la pâte sans difficulté et d'obtenir un objet relativement solide sans avoir recours à un four, la pâte une fois durcie étant moins solide que de l'argile cuit, mais bien plus solide que de l'argile non cuit. Ces pâtes ne permettent pas, contrairement aux pâtes à modeler du type plasticine (composée de cire et d'huile), une réutilisation subséquente. Elles permettent par contre la réalisation rapide, peu onéreuse, et simple d'objet décoratifs. La plupart des pâtes autodurcissantes peuvent également être peintes (à l'acrylique par exemple), ainsi que taillées à l'aide d'outils tels de petites fraises à bois, ponceuses à bois, etc. Une donnée importante à prendre en compte lors d'une quelconque réalisation est la diminution de la taille de l'objet lors du séchage, ce qui demande une anticipation des proportions finales de l'objet réalisé.
Le tire-ligne est un instrument de dessin destiné à tracer des traits rectilignes ou courbes d'épaisseur très précise. Il est constitué par deux branches métalliques parallèles, de forme plus ou moins effilée, plates sur leur face intérieure, et solidarisées vers leur milieu par une vis de réglage. Cet ensemble est prolongé par un fin cylindre en bois, plastique ou métal, voire en os, qui en permet la manipulation à la manière d'un crayon. En tournant la vis de réglage, on rapproche ou on écarte les extrémités des branches, ce qui permet de fixer l'épaisseur du trait souhaité. On dépose de l'encre (encre de chine le plus souvent) ou de la couleur liquide (gouache ou acrylique convenablement diluée) entre les deux branches, au moyen d'une pipette, d'un pinceau, ou de réservoirs conçus et commercialisés remplis pour faciliter cette opération. Enfin, on trace en suivant le bord d'une règle ou d'une équerre, ou éventuellement d'un pistolet (pour tracer des lignes courbes). Le tire-ligne ne s'utilise pas à main levée.