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Dessins et plans | Photographie | Antiquités | Pyramides | Pyramides -- Égypte | Architecture égyptienne | Apollon | Plans inclinés | Antiquités grecques | Jeunes filles | Colombes | Sculpture hellénistique | Mobilier royal | Pierres tombales | Histoire ancienne -- Antiquités | Mobilier | Étendards | Sièges (meubles) | Bijoux égyptiens de l'Antiquité | Histoire ancienne | ...
Joueur celte de carnyx. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ade245-joueur-celte-de-carnyx

Joueur celte de carnyx

Reconstitution d'un ancien celte (tribu Vacomagi) avec carnyx et casque (100-300 après J-C.). Cet instrument de musique était utilisé pour effrayer l'ennemi.

Apollon et le corbeau. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a8df0-apollon-et-le-corbeau

Apollon et le corbeau

Apollon portant une couronne de laurier ou de myrte, un péplos blanc, un himation rouge et une paire de sandales est assis sur un diphros aux pieds de lion. Il tient une cithare dans la senestre et verse une libation de la dextre. Face à lui un oiseau noir identifié à un pigeon, un choucas, une corneille (allusion possible à sa liaison avec Coronis) ou un corbeau (oiseau aux pouvoirs mantiques). Médaillon d'un kylix attique à fond blanc d'attribution incertaine (Peintre de Pistoxénos, Peintre de Berlin ou Onésimos ?), v. 460 av. J.-C. D. 18 cm. Provenance : une tombe à Delphes, vraisemblablement celle d'un prêtre. Musée archéologique de Delphes, Inv. 8140, salle XII. D'après la mythologie grecque, Apollon aurait transformé le plumage blanc de l'oiseau à qui il avait confié la garde de Coronis pour le punir de sa négligence.

Bataille de Patras. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c63f8a-bataille-de-patras

Bataille de Patras

La bataille de Patras fut livrée pendant l'été 429 av. J.-C., au large de Patras, au sud de la Grèce, pendant la guerre du Péloponnèse. Les 20 trirèmes athéniennes de l'amiral Phormion y anéantirent un convoi spartiate et corinthien de 47 navires chargés d'approvisionnements destinés au troupes péloponnésiennes engagées dans la campagne d'Acarnanie. Les navires péloponnésiens, qui n'étaient pas équipés pour une bataille, se placèrent en cercle (en noir) pour mieux se défendre mais les équipages athéniens (en rouge), beaucoup plus expérimentés, manœuvrèrent afin de faire entrer en collision les navires adverses, en resserant le cercle. Quand cela arriva, avec l'aide du vent, la flotte athénienne passa à l'attaque et captura 12 navires, les autres prenant la fuite.

Buccin antique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ababf-buccin

Buccin antique

Buccin du musée du Wurtemberg (Fruchtkasten, Stuttgart). Le buccin (du latin buccina ou būcina) est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres, d’origine étrusque et en usage dans l’armée romaine antique. Le corps du buccin avait une forme semi-circulaire (la forme de la lettre « G »). Il possédait parfois un raidisseur (ou poignée) transversal. La perce était conique (comme celle du cor d’harmonie) et l’embouchure était tronconique. Le joueur de buccin est appelé « buccinateur ». Les Étrusques avaient l’habitude de conduire les troupeaux de porcs grâce à cette sorte de clairon. En dehors de la musique il était aussi utilisé pour des signaux à caractère guerrier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Buccin_%28instrument%29

Guerriers scythes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51f310cb-guerriers-scythes

Guerriers scythes

Dessin de guerriers scythes d'après un vase décoré de Koul'-Oba (Ukraine, Crimée). Les Scythes étaient des guerriers qui espéraient être tués au combat, mais non sans avoir, auparavant, tué autant d'ennemis que possible. Mourir de vieillesse était pour eux une suprême honte, ce qui explique qu'un roi comme Atéas ait guerroyé jusqu'à 90 ans. Ce comportement sera conservé par les nomades de l'Asie centrale, jusqu'aux Turcs et aux Mongols. L'arme principale des Scythes était l'arc. Il était composite, c'est-à-dire formé de plusieurs matériaux, ce qui lui donnait une souplesse et une résistance supérieures à celles des arcs en bois. Les Scythes utilisaient également la lance et l'épée, notamment du type akinakès (akināka- en sogdien).

Mobilier égyptien ancien. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b4005-mobilier-egyptien-ancien

Mobilier égyptien ancien

Planche 03, Mobilier égyptien ancien, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-3, étendards militaires ; 4-9, armes ; 10-13, sceptres et fléaux ; 14, bâton à crochet (Le Pharaon, le jour de son sacre, recevait une houlette et un fléau. Houlette dont l'image retrouvée dans les écrits et l'iconographie de l'Égypte ancienne correspond à celle du "bâton à crochet". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Houlette_%28agriculture%29.), 15-20, vases à boire ; 21-22, boucliers ; 23-27, bijoux ; 28, miroir ; 29-31 ; 34-35, instruments de musique ; 32-33, éventails ; 36, Horus ; 37-39, sandales ; 40-41, paniers ; 42, table ; 43-46, sièges.

Pierre tombale d'Apollonia. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063345a-pierre-tombale-d-apollonia

Pierre tombale d'Apollonia

Pierre tombale d'Apollonia, circa 100 av. JC. Le prénom "Apollonia" signifie "l'apollinienne", c’est-à-dire celle qui possède les qualités d'Apollon, dieu grec de la beauté, du soleil et des arts en général, chef des Muses.

Rampe frontale d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea8eb-rampe-frontale-d-acces-a-une-pyramide

Rampe frontale d'accès à une pyramide

Rampe frontale en brique crue préconisée par Ludwig Borchardt pour l'édification d'une pyramide. Cette théorie fut développée pour la première fois par l'égyptologue allemand Ludwig Borchardt, interprétant ainsi la présence des vestiges de rampes aux abords de la pyramide de Meïdoum. Elle consiste en une rampe unique, perpendiculaire à une face de la pyramide, dont la pente est constante quelle que soit l'élévation. Cela implique que la longueur de celle-ci croisse proportionnellement avec le nombre d'assises de la pyramide. Les blocs, posés sur des traîneaux, étaient alors charriés sur la rampe à la force des bras. De l'huile, déposée sur le sol, aidait à faire glisser les traîneaux.

Rampes d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea835-rampes-d-acces-a-une-pyramide

Rampes d'accès à une pyramide

Rampes de la pyramide de Sésostris Ier à Licht. Le problème de l'élévation des pierres sur les assises des pyramides est celui qui retient le plus l'attention du public. Les égyptologues ont souvent opté pour des solutions fondées sur des rampes, dont les formes et les dimensions restent à définir, tandis que des spécialistes d'autres disciplines s'attachent à donner leurs propres explications. Pourtant, quelques vestiges de rampes subsistent, notamment à la pyramide de Meïdoum, à la pyramide de Sekhemkhet et à celle de Khéphren, ainsi qu'à la pyramide de Sinki, et surtout à celle de Sésostris Ier, à Licht. Toutes sont des rampes frontales, c'est-à-dire perpendiculaires aux faces. Si elles furent effectivement employées, elles ne pouvaient suffire à achever l'édifice, particulièrement dans la phase de la pose des pierres de parement si parfaitement ajustées, comme à la pyramide de Khéops.

Scène de labour en Égypte. Source : http://data.abuledu.org/URI/5075beab-scene-de-labour-en-egypte

Scène de labour en Égypte

Scène de labour illustrant le chap. 110 du livre des morts. Tombe de Senedjem (serviteur dans la Place de Vérité dans le village des artisans de Deir el-Médineh pendant les règnes de Séthi Ier et de Ramsès II) : Senedjem pèse sur l'arrière de son araire tiré par deux vaches (les bœufs ne sont jamais utilisés pour ce travail) égratignant ainsi la terre plus qu'il ne la laboure. Il stimule les animaux à l'aide d'un fouet à deux lanières, dont la forme du manche rappelle le hiéroglyphe "hem", serviteur. Le "Livre des morts" des Anciens Égyptiens a pour véritable titre, à l'époque de l'Égypte antique, "Livre pour Sortir au Jour". Le « jour » en question est celui des vivants, mais aussi de tout principe lumineux s'opposant aux ténèbres, à l'oubli, à l'anéantissement et à la mort. Dans cette perspective, le défunt Égyptien cherche à voyager dans la barque du dieu soleil Rê et à traverser le royaume d'Osiris (version nocturne du soleil diurne en cours de régénération). Il s'agit de rouleaux de papyrus, recouverts de formules funéraires, placés à proximité de la momie ou contre celle-ci, dans les bandelettes.

Théorème de Thalès. Source : http://data.abuledu.org/URI/505ec70c-theoreme-de-thales

Théorème de Thalès

Mesure de la hauteur de la grande pyramide de Gizeh (théorème de Thalès). Anecdote rapportée dans Le Banquet des Sept Sages de Plutarque : Selon Diogène Laërce, le pharaon Amasis aurait dit que personne n'était en mesure de savoir quelle était la hauteur de la Grande Pyramide et Thalès aurait relevé le défi en calculant le rapport entre son ombre et celle d'un corps de référence, au moyen d'un gnomon ou d'un bâton : « Ainsi, vous, Thalès, le roi d'Égypte vous admire beaucoup, et, entre autres choses, il a été, au-delà de ce qu'on peut dire, ravi de la manière dont vous avez mesuré la pyramide sans le moindre embarras et sans avoir eu besoin d'aucun instrument. Après avoir dressé votre bâton à l'extrémité de l'ombre que projetait la pyramide, vous construisîtes deux triangles par la tangence d'un rayon, et vous démontrâtes qu'il y avait la même proportion entre la hauteur du bâton et la hauteur de la pyramide qu'entre la longueur des deux ombres. »