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Photographie | Musique | Danseuses | Afrique | Instruments de musique | Danse contemporaine | Danse | Géants | Ath (Belgique) | Art et danse | Tambours (famille d'instruments) | Instruments à percussion | Danseurs | Femmes chorégraphes | Photographie de danseurs | Instruments à vent | Diolas (peuple d'Afrique) | Ethnologie -- Sénégal | Indiens d'Amérique | Flûtes (famille d'instruments) | ...
Le Pas de deux de Don Quichotte. Source : http://data.abuledu.org/URI/53367370-le-pas-de-deux-de-don-quichotte

Le Pas de deux de Don Quichotte

Le Pas de deux de Don Quichotte : Don Quichotte est un ballet en 4 actes, 8 tableaux et un prologue de Marius Petipa, musique de Léon Minkus, représenté pour la première fois au Théâtre Bolchoï de Moscou le 14 décembre 1869. Inspiré du roman de Cervantès, le ballet mêle l'intrigue amoureuse de la jeune Quiterie (souvent orthographiée Kitri aujourd'hui) et du barbier Basile (ou Basilio) à l'odyssée du "chevalier à la triste figure". Celle-ci est composée d'épisodes comme la rencontre avec les comédiens ambulants et la bataille contre les moulins à vent. Au cours de la fête finale qui célèbre le dénouement heureux pour les jeunes amoureux, Quiterie et Basile dansent le célèbre "pas de deux" de Don Quichotte, plein de virtuosité, devenu cheval de bataille pour les étoiles classiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Don_Quichotte_%28ballet%29

Le Sacre du Tempo en 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/5336ac0e-le-sacre-du-tempo-en-2008

Le Sacre du Tempo en 2008

Ballet d'Irène Tassembédo "Le Sacre du Tempo" en 2008, qui interroge la problématique de la transe, comme état limite vers la folie, telle qu’elle peut être utilisée par les hommes à travers le monde. Cette pièce pour 7 danseurs et 5 musiciens, empreinte d’une force étonnante, est servie par les danseurs exceptionnels qui travaillent régulièrement avec la chorégraphe dans sa compagnie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%A8ne_Tassemb%C3%A9do

Le Seigneur de la Danse en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/533671e2-le-seigneur-de-la-danse-en-inde

Le Seigneur de la Danse en Inde

Shiva Nataraja (Seigneur de la danse). Inde, Tamil Nadu, époque Chola, 11ème siècle, bronze (Musée Guimet, Paris) : Shiva tient le petit damara (tambourin) de la création dans sa main droite supérieure et l'étincelle de la création dans sa main gauche supérieure ; le geste de la main droite inférieure signifie "ne craignez rien", tandis qu'il désigne de la gauche inférieure la jambe gauche soulevée, symbole de la délivrance .

Les neuf muses. Source : http://data.abuledu.org/URI/5942c972-les-neuf-muses

Les neuf muses

Sarcophage des Muses, représentant les neuf Muses et leurs attributs. Marbre, première moitié du IIe siècle ap. J.-C., découvert sur la Via Ostiensis, reliant Rome au port d'Ostie : Calliope (éloquence), Clio (histoire), Érato (élégie), Euterpe (musique), Melpomène (masque de la tragédie), Polymnie (rhéotrique), Terpsichore (danse), Thalie (comédie), Uranie (astrologie).

Les Porteurs de Goliath. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc294b-les-porteurs-de-goliath

Les Porteurs de Goliath

Les porteurs de Goliath à Ath en 2006 : les porteurs sont l'âme des géants. Ce sont eux qui les font danser aux sons des fanfares qui les accompagnent. Les premiers porteurs de géants étaient probablement des ouvriers du moulin des Estaques, habitués à coltiner de lourds sacs de blé. Jadis, le statut de porteur de géant était réservé à des familles traditionnelles, encore très présentes de nos jours. Mais l'évolution du cortège dans la deuxième moitié du XXe siècle a bouleversé cette donnée. De trois porteurs par géant avant 1934, on en comptait six à la fin des années 1960. Depuis, le mouvement s'est accéléré pour former actuellement des groupes d'environ 10 hommes.

Les voleuses de Julie Nioche en 2012. Source : http://data.abuledu.org/URI/533696e3-les-voleuses-de-julie-nioche-en-2012

Les voleuses de Julie Nioche en 2012

Les voleuses de Julie Nioche, 21 septembre 2012 à Dunkerque. Conception : Julie Nioche & Virginie Mira ; Chorégraphie : Julie Nioche ; Scénographie : Virginie Mira ; Créé et dansé par : Margot Dorléans, Ariane Guitton, Bérénice Legrand, Julie Nioche ; Création lumière : Gilles Gentner ; Création musique : Alexandre Meyer ; Régie Générale : Olivier Mendili ; Costumes : Anna Rizza ; Remerciements : Atelier Devineau, Christian Le Moulinier.

Lithophanie de Wedgwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/5230bee5-lithophanie-de-wedgwood

Lithophanie de Wedgwood

Lithophanie de Wedgwood représentant la danse des trois Heures, filles de Zeus (allégories des saisons). Étymologie : du grec lithos, « pierre » et phanes et phaneia, de phainein « paraître », plaque de biscuit de porcelaine non émaillée et non vitrifiée ou d'albâtre, incisée et gravée de sorte à ce qu’elle permette de faire apparaître une image par translucidité devant une source de lumière, plus l’épaisseur de la plaque étant fine, plus la translucidité étant marquée. Par le mot Heures (en latin Horae et en grec ancien Ὧραι / Hōrai), les Grecs, primitivement, désignèrent, non pas les divisions du jour, mais celles de l'année. Les Heures étaient filles de Zeus et de Thémis. Hésiode en compte trois : Eunomie, Dicé et Eiréné, c'est-à-dire le Bon Ordre ou la Législation, la Justice et la Paix, noms indiquant leur rôle moral. Homère les nomme les portières du ciel, et leur confie le soin d'ouvrir et de fermer les portes éternelles de l'Olympe. Elles sont aussi les régulatrices de la vie humaine. La mythologie grecque ne reconnut donc d'abord que trois Heures ou trois Saisons : le Printemps, l’Été et l'Hiver.

Mousso Sirakan Lacrima d'Irène Tassembédo. Source : http://data.abuledu.org/URI/53369a54-tryptique-mousso-sirakan-lacrima-d-irene-tassembedo

Mousso Sirakan Lacrima d'Irène Tassembédo

Tryptique "Mousso Sirakan Lacrima". En mars 2010, la chorégraphe Irène Tassembédo crée au Centre Culturel Français de Ouagadougou une pièce pour célébrer la diversité et la force de la rencontre, la féminité et le combat pour survivre. Avec une équipe artistique et technique alliant africains, européens et américains, ce spectacle a été accueilli avec un très grand succès. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%A8ne_Tassemb%C3%A9do

Pièces de monnaie musicales. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a89d26-pieces-de-monnaie-musicales

Pièces de monnaie musicales

Pièces de monnaie utilisées comme instrument de musique en dansant, en Grèce.

Pieds de danseuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5373a26b-pieds-de-danseuse

Pieds de danseuse

Pieds de danseuse au festival "Reed-Dance" annuel des jeunes filles en âge de se marier : bijoux de cheville traditionnels.

Pylone dansant. Source : http://data.abuledu.org/URI/54cffbc0-pylone-dansant

Pylone dansant

Sculpture en fer, Zauberlehrling (l'apprenti sorcier), EMSCHERKUNST.

Répétitions de concours de danse de deux robots. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b20f8-repetitions-de-concours-de-danse-de-deux-robots

Répétitions de concours de danse de deux robots

Répétitions pour le concours de danse (Robocupjunior) de deux robots

Rouleur réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/534806b1-rouleur-

Rouleur réunionnais

Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui : ce qui permet de modifier la tension et donc le timbre en se servant d’un de ses pieds. Les différentes graphies du nom sont quant à elles le reflet de différentes prononciations suivant les locuteurs considérés ou l’époque : rouleur, houleur, ouleur, oulèr, oulère, rouler. Le rouleur ou houler doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. En outre l’instrumentaliste fait des roulements et donc fait rouler ses mains sur la peau du tambour. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Cet instrument se retrouve à l'île de la Réunion (et Rodrigues où on le nomme simplement tambour). Traditionnellement fabriqué dans un tronc évidé au bois variable d'au moins 70 cm de long et 50 cm de diamètre, il est souvent conçu aujourd'hui avec une barrique ou un tonneau dont on a détruit les deux extrémités. Le plus souvent, la peau est de bœuf ou de cabri collée sur un cercle de bois comportant des cymbalettes. Le rouleur se joue maintenu au sol en position horizontale, le musicien accroupi à cheval dessus. Le talon est parfois utilisé pour percuter l'instrument en plus des mains. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouleur

Salut japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5339d66a-salut-japonais

Salut japonais

Danse du Kabuki (Japon) : Eiko Hayashi (au centre), accompagnée par Nobuko Matsumiya (koto) et Fumie Hihara (koto, shamisen), Auditorium du Musée Guimet le samedi 22 novembre 2008.

Samay Diola en Casamance. Source : http://data.abuledu.org/URI/54884a46-samay-diola-en-casamance

Samay Diola en Casamance

Le Kumpo, le Samay et le Niasse sont trois figures traditionnelles dans la mythologie des Diolas en Casamance (Sénégal) et en Gambie. Plusieurs fois par an, pendant les Journées culturelles, une fête traditionnelle dans le village est organisée. Le Samay invite les gens du village pour participer à des activités. Il peut courir très vite et avec son bâton il exige de l’ordre dans la communauté. Il sait tout ce qui arrive dans la village. Il peut être considéré comme le maitre cérémoniel de la danse traditionnelle. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Samay

Siyotanka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53287213-siyotanka

Siyotanka indien

Le siyotanka - « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota - (Iroquois, Winnebagos, Ojibwés, Mandans, Hidatsas, Cris, Sioux. C'est une « flûte de courtoisie » à double conduit jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil. Une légende voudrait que c'est un pivert en creusant une branche de cèdre avec son bec qui a offert cet instrument à un jeune guerrier amoureux. Une autre légende hidatsa parle de « la squaw qui ne meure jamais » qui offrit cette flûte à son petit-fils et qu'elle confectionna dans la tige d'un tournesol avec sept trous représentant les mois de l'hiver. La représentation la plus ancienne de cet instrument est un pictogramme sur des rochers très connu appelé Kokopeli. Le siyotanka désigne aussi un sifflet sacré taillé dans un os d'aigle chez les Sioux.

Statue de charmeur de serpent en 1862. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e39e55-statue-de-charmeur-de-serpent-en-1862

Statue de charmeur de serpent en 1862

Le "Charmeur de serpent" ou le "Nubien dansant", de Charles-Arthur Bourgeois.

Statuette inuit d'oie dansante. Source : http://data.abuledu.org/URI/51337f00-statuette-inuit-d-oie-dansante

Statuette inuit d'oie dansante

Statuette inuit en serpentine, 1997, représentant une oie dansant, par Qiatsuq Shaa (Cape Dorset, Nunavut Territory, Canada).

Surdo brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330510f-surdo

Surdo brésilien

Le surdo est un instrument de percussion membranophone, qui est utilisé dans la samba. De forme cylindrique avec du fer, il est façonné dans un fût de bois ou de métal de 50 à 70 cm de haut et de 16 à 26 pouces (40 à 65 cm) de diamètre. C'est le plus volumineux des instruments de la formation rythmique. La plupart des surdos modernes sont désormais réalisés en métal, principalement en acier mais aussi en alliage d'aluminium. Certains fabricants proposent cependant des surdos dans d'autres matières, comme par exemple en Plexiglas, pour obtenir des effets de transparence sur le fût. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surdo

Tiple colombien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5334416e-tiple-colombien

Tiple colombien

Le tiple (terme signifiant "soprano" en espagnol) est une petite guitare qu'on trouve dans toute l'Amérique latine, sachant que les versions des Caraïbes (Porto Rico, République dominicaine, etc.) diffèrent beaucoup de celles du continent (Colombie, Pérou, Venezuela). Il dérive sans doute de l'ancien timple des îles Canaries, lui-même hérité des colons espagnols. Il ressemble de loin à une petite guitare ancienne, à la caisse de résonance très resserrée et très ornementée. Il est monté de trois à six cordes en métal. Il a un accordage aux intervalles similaires à ceux de la guitare et est de ce fait propice à la formation d’accords et à l’accompagnement tant des services religieux que des danses de salon, dans des orchestres composés aussi de cuatro (instrument) et de bordunua. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiple

Tirant l'Ancien. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc2f4a-tirant-l-ancien

Tirant l'Ancien

Représentation de Tirant, appelé aujourd'hui Ambiorix. Vers 15 h, Tirant l'ancien assiste au tournoi de tir à l'arc sur perche verticale organisé sur l'Esplanade par la Société royale les archers St-Nicolas d'Irchonwelz : le Grand-Prix du Mayeur. Le géant parcourt ensuite les rues du centre-ville et danse au son d'une petite fanfare formée pour l'occasion.

Tour en l'air. Source : http://data.abuledu.org/URI/503e68ff-tour-en-l-air

Tour en l'air

Photographie prise au Prix de Lausanne 2010 : Variation extraite de Giselle, Tour en l'air jambes tendues de Guillaume Basso, le prince Albrecht.

Trois danseuses contemporaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/5336930b-trois-danseuses-contemporaines

Trois danseuses contemporaines

Trois danseuses contemporaines, les bras en l'air : décomposition du geste.