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Dix-neuvième siècle | Peinture | Textes | Photographie | Gravure | Peintres suisses | Honoré de Balzac (1799-1850) | Romanciers français | Albert Anker (1831–1910) | Louis-Léopold Boilly (1761-1845) | Satiristes français | Trompe-l'oeil (peinture) | Contes russes | Lyof N. Tolstoï (1828-1910) | Peintres français | Écoliers | Peintres impressionnistes | Dessins et plans | Éléphants | Paris (France) -- Jardin du Luxembourg | ...
Sortie scolaire à la campagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/519e8f66-sortie-scolaire-a-la-campagne

Sortie scolaire à la campagne

Sortie scolaire à la campagne au XIXème siècle, par Albert Anker (1831–1910).

Sous le pont de Hampton Court. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102ee7e-sous-le-pont-de-hampton-court

Sous le pont de Hampton Court

Sous le pont de Hampton Court, 1874, par Alfred Sisley (1839-1899). Travail audacieux de la perspective : vue du dessous du pont aux piliers en briques et de son tablier d'acier, peints en larges aplats horizontaux et verticaux ; autre technique, celle des petites touches impressionnistes pour l'eau (effets miroitants) et la rive. Des rameurs en régate sur la gauche et un canoe amarré au premier plan entre deux piliers.

Sous le pont de Westminster. Source : http://data.abuledu.org/URI/520e3aa4-sous-le-pont-de-westminster

Sous le pont de Westminster

Une passagère débarque sous le pont de Westminster à Londres, 1818, par Jacques Laurent Agasse (1767-1849), peintre suisse.

Squelette comparé de l'homme et de l'éléphant. Source : http://data.abuledu.org/URI/533fd77f-squelette-compare-de-l-homme-et-de-l-elephant

Squelette comparé de l'homme et de l'éléphant

Squelette comparé de l'homme et de l'éléphant en 1860, par Benjamin Waterhouse Hawkins (1807-1894). Source : "A comparative view of the human and animal frame", planche 6.

St Germain en Laye au printemps. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fb1887-st-germain-en-laye-au-printemps

St Germain en Laye au printemps

Vue panoramique de la vallée de la Seine à hauteur de la ville de St.-Germain-en-Laye, au début du printemps, par Alfred Sisley (1839-1899).

Statistiques de l'île de La Réunion en 1854. Source : http://data.abuledu.org/URI/5219e91f-statistiques-de-l-ile-de-la-reunion-en-1854

Statistiques de l'île de La Réunion en 1854

Tapuscrit des "Statistiques" de la carte de Victor Levasseur (1800-1846). Carte et descriptif de l'Ile de la Réunion (Océan indien) (hémisphère austral), 1854 - Fonds Ancely. Titre complet du recueil : Atlas national illustré des 86 Départements et des Possessions de la France divisés par Arrondissements, Cantons et Communes avec le tracé de toutes les routes, chemins de fer et canaux. Dressé d'après les Travaux du Cadastre du Dépôt de la Guerre et des Ponts et Chaussées par V. Levasseur, Ingénieur Géographe attaché au Génie du Cadastre et de la Ville de Paris. Gravé sur acier par les meilleurs artistes. Imprimerie de Lemercier à Paris ou imprimerie Dupuich à Paris. Fonds René Ancely (1876 - 1966), B. M. Toulouse. 443 mots.

Statue de George Washington. Source : http://data.abuledu.org/URI/53130dac-statue-de-george-washington

Statue de George Washington

Statue de George Washington devant l'entrée du Independence Hall à Philadelphie (Pennsylvanie) aux USA, par Joseph Alexis Bailly (1823-1883).

Statue de Ste Bathilde dans le Jardin du Luxembourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d01d04-statue-de-ste-bathilde-dans-le-jardin-du-luxembourg

Statue de Ste Bathilde dans le Jardin du Luxembourg

Statue de Ste Bathilde, 1848, dans le Jardin du Luxembourg par Victor Thérasse (1796-1864).

Statue du pédagogue Solomon Dodashvili à Sighnaghi. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a4c0f-statue-du-pedagogue-solomon-dodashvili-a-sighnaghi

Statue du pédagogue Solomon Dodashvili à Sighnaghi

Statue du pédagogue Solomon Dodashvili (1805-1836) à Sighnaghi en Géorgie, mort en déportation en Russie : philosophe, journaliste (journal en géorgien), éducateur.

Sur le Pont d'Avignon. Source : http://data.abuledu.org/URI/51896d1f-sur-le-pont-d-avignon

Sur le Pont d'Avignon

SUR LE PONT D'AVIGNON, par Lorenz Fröhlich, dessinateur danois (1820-1908), adaptées par F. de Gramon. (Strasbourg) : Bibliothèque d'éducation et de récréation, J. Hetzel (1883)

Tombe de Baudelaire : Enivrez-vous. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a50d90-tombe-de-baudelaire-enivrez-vous

Tombe de Baudelaire : Enivrez-vous

Cimetière du Montparnasse, section 6, tombe de Charles Baudelaire ((1821-1867). Poème "Enivrez-vous" en espagnol. "Il faut être toujours ivre. Tout est là : c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. Et si quelquefois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge, vous répondront : « Il est l’heure de s’enivrer ! Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »

Tour de Dieppe. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fa0210-tour-de-dieppe

Tour de Dieppe

Tour de Dieppe, graphite et aquarelle, par George Hayter (1792–1871), 213 mm x 144 mm. Source : British Museum, Londres.

Tour Malakoff. Source : http://data.abuledu.org/URI/51880353-tour-malakoff

Tour Malakoff

Vue générale de l'édifice de la Tour Malakoff à Saint-Amand-Montrond, érigée par le général-marquis de Rochechouart-Mortemart en l'honneur des troupes victorieuses de Napoléon III durant la campagne de Crimée. Elle porte la mention « GLOIRE IMMORTELLE A L'ARMÉE D'ORIENT - 8 septembre 1855 ».

Tournée du chat noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4578b-tournee-du-chat-noir

Tournée du chat noir

Affiche publicitaire, 1896, de Théophile-Alexandre Steinlen (1859-1923) pour la "Tournée du Chat Noir de Rodolphe Salis". Source : Google Art Project. Le Chat noir était un célèbre cabaret de Montmartre, fondé en novembre 1881 par Rodolphe Salis qui fut aussi à l'origine de la revue hebdomadaire du même nom. Une goguette : la Goguette du Chat Noir se réunissait dans ce cabaret.

Traction animale pour le labour. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e626ee-traction-animale-pour-le-labour

Traction animale pour le labour

Tableau de Rudolf Koller, peintre suisse (1828-1905) : Boeufs de labour (à quatre avec un joug de garrot), 1868. Le joug de garrot est une évolution du joug à cornes qui permet l'utilisation d'animaux sans cornes ou dont la forme des cornes ne se prête pas au joug de cornes. Il consiste en une barre en bois posée sur le garrot, avec une attache passant au-dessus des épaules et prenant appui sur la cage thoracique. Le problème du joug de garrot est qu'il écrase le cou de l'animal, l'empêchant d'utiliser toute sa force.

Traite d'une chèvre en Grèce. Source : http://data.abuledu.org/URI/51573d15-traite-d-une-chevre-en-grece

Traite d'une chèvre en Grèce

Traite d'une chèvre en Grèce par une jeune femme, par Nikolaos Vokos (1854–1902), peintre grec de l'école de Munich.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.

Transport de défenses d'éléphants. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ee96e2-transport-de-defenses-d-elephants

Transport de défenses d'éléphants

Transport de défenses d'éléphants entre 1887 et 1889.

Transport de tonneau sur charroi. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db60f9-transport-de-tonneau-sur-charroi

Transport de tonneau sur charroi

Transport de tonneau sur charroi, 1884, croquis de Adolph von Menzel (1815-1905).

Travail d'écolier au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/519fa8b4-travail-d-ecolier-au-xixeme-siecle

Travail d'écolier au XIXème siècle

Écolier faisant son travail d'écriture sous l'oeil de sa petite soeur, 1875, par Albert Anker (1831–1910)

Travail du soir sur une ardoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/519efde9-travail-du-soir-sur-une-ardoise

Travail du soir sur une ardoise

Écolière faisant son travail du soir en écrivant sur une ardoise, 1879, par Albert Anker (1831–1910).

Traversée difficile. Source : http://data.abuledu.org/URI/517e6a97-traversee-difficile

Traversée difficile

"Carambo!—Caraja!—Sacramento!—Santa Maria!—Diavolo!", illustration extraite de "A Peep at Washoe" par J. Ross Browne, Harper's Monthly Magazine, Décembre 1860. Des prospecteurs en route de la Californie vers la Vallée de Washoe (au Nevada). D'après le texte, l'épisode de cette traversée difficile se passerait entre Placerville et Strawberry Flat.

Trente-cinq expressions. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d92c7d-trente-cinq-expressions

Trente-cinq expressions

Réunion de 35 têtes d'expression par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Treuil de carrière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e61eee-treuil-de-carriere

Treuil de carrière

Treuil de carrière à traction animale utilisé au XIXème siècle à Châtillon (Hauts-de-Seine, France) dans la carrière souterraine d'Auboin (quartier des Boulottes) : restauration à l'occasion des journées du patrimoine 2009. Ce treuil à manège avait été construit à l'aplomb du puits d’une carrière de pierre calcaire souterraine située à 35 mètres de profondeur. Actionné par un cheval de trait, il permettait de hisser à la surface des blocs de pierre de plusieurs tonnes. Il a été arrêté au début du XXe siècle. Une association membre de l'union Rempart l'a restauré à partir de 1983. Des démonstrations de son fonctionnement sont organisées chaque année lors des Journées européennes du patrimoine.

Trompe l'oeil aux dessins et aux savoyards. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96ec1-trompe-l-oeil-aux-dessins-et-aux-savoyards

Trompe l'oeil aux dessins et aux savoyards

Trompe l'œil dit aux dessins et aux savoyards, 1804, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Trompe-l'oeil. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d923e2-trompe-l-oeil

Trompe-l'oeil

Trompe l'œil aux pièces de monnaie sur le plateau d'un guéridon, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Au Palais des Beaux-Arts de Lille.

Trompe-l'oeil au chat. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d93aa5-trompe-l-oeil-au-chat

Trompe-l'oeil au chat

Trompe-l'oeil avec un chat et une bûche de bois à travers une toile et poissons suspendus de la civière, 1822, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Autres descriptions : Le Chat gourmand crevant une toile pour manger des harengs ; Trompe-l'oeil, représentant un vieux tableau vu par derrière et crevé. A travers une déchirure passe un chat qui convoite deux harengs saurs suspendus à un clou. Plus bas, d'autres ouvertures du même genre laissent apercervoir la moitié d'une bûche, et une bouteille placée sur un assiette.

Tunnel de souterrain anglais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c65447-tunnel-de-souterrain-anglais

Tunnel de souterrain anglais

source : "Interior of the Tower Subway", dans ''Illustrated London News'', 1870. Le "Tower Subway", Tunnel de la Tour, est un tunnel sous la Tamise dans le centre de Londres, près — comme son nom l'indique— de la Tour de Londres. Son tracé relie "Tower Hill" sur la rive nord et "Vine Lane" au sud. Sa méthode de construction novatrice a introduit un modèle pour le percement du "City & South London Railway" en 1890, la première ligne du "Tube", le métro de Londres dont les tunnels sont tubulaires. Le tunnel est appelé souterrain selon l'usage de l'anglais britannique, qui indique un tunnel piéton, contrairement au mot américain "subway" qui signifie métro. Il est parfois cité comme le premier chemin de fer de type tube au monde, bien qu'il ne soit pas le premier métro souterrain. Toutefois, ce système de transport sur une courte distance, utilisant un seul véhicule actionné par une machinerie fixe, serait plus judicieusement appelé un ascenseur horizontal.

Un discours de Gambetta. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071ee69-un-discours-de-gambetta

Un discours de Gambetta

Légendes traduites des croquis : Préliminaire -- L'homme qui se tient devant vous… -- Et après tout, messieurs… -- Pour ma part, je vous assure… -- Les hommes ne sont rien… -- La France est avant tout… -- C'est avec l'émotion la plus profonde… -- Un souvenir toujours douloureux… -- Ce n'est pas pour le plaisir futile d'élever des statues… -- Si telle est la volonté de Dieu -- Je bois à la santé de tous les amis présents et absents -- Final. Illustrations du magazine "Canadian Illustrated News" géré par la bibliothèque nationale du Canada. Titre : "An Election Speech of M. Gambetta" 15 octobre 1881 (vol.XXIV, no. 16, 252).

Un fils savant. Source : http://data.abuledu.org/URI/51436b44-un-fils-savant

Un fils savant

Un fils savant, 1888, in "Contes et fables" de Léon Tolstoï (1828-1910) : Narration et dialogue ( 95 mots).

Un noyau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51435204-un-noyau

Un noyau

Un noyau, 1888, in "Contes et fables" de Léon Tolstoï (1828-1910). Histoire vraie, Narration et dialogue (211 mots).

Un père et ses fils. Source : http://data.abuledu.org/URI/51436f43-un-pere-et-ses-fils

Un père et ses fils

Un père et ses fils, 1888, in "Contes et fables" de Léon Tolstoï (1828-1910). Narration et monologue (94 mots) ; voir fables de La Fontaine "Le vieillard et ses enfants" et Ésope, "Les enfants désunis du laboureur".

Un quadricycle. Source : http://data.abuledu.org/URI/513c438e-un-quadricycle

Un quadricycle

Quadricyle de Ford, 1896 (Musée Henry Ford de Dearborn, Michigan). En 1891, Henry Ford (1863-1947) retourne à Détroit, accompagné de sa famille, en tant qu’ingénieur mécanicien chez Edison (Illuminating Company). Devenu ingénieur en chef en 1893, il a suffisamment de temps et d’argent pour se consacrer à quelques expériences personnelles sur les moteurs à essence. Elles aboutissent en 1896 avec l’achèvement de son propre véhicule automobile nommé « Ford Quadricycle », un véhicule de 4 chevaux à 4 roues refroidi par eau. La même année, lors d’une convention tenue à Manhattan Beach, à New York, destinée à trouver des investisseurs, Ford est présenté à Thomas Edison (1847-1931), expliquant que « ce jeune homme venait de mettre au point une petite automobile à essence ». Après lui avoir posé quelques questions, Edison finit par déclarer : "Jeune homme, c'est ça ! vous l’avez ! Votre voiture est son propre contenant et transporte son propre combustible." (Young man, that’s the thing ! You have it ! Your car is self contained and carries its own power plant. )

Un volontaire des légions de Garibaldi. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1e4cf-un-volontaire-des-legions-de-garibaldi

Un volontaire des légions de Garibaldi

Un volontaire des légions de Garibaldi lors du siège de Rome en 1849. (in exposition "Napoléon III et l'Italie") par Gerolamo Induno (1825-1890). De 1839 à 1846 il fréquenta l'Académie des beaux-arts de Brera. À partir de1845, il présenta ses premières œuvres aux expositions de Brera, des études de genre, des portraits et une scène extraite des "Promessi Sposi". En 1848, il participa aux émeutes anti-autrichiennes et dut se réfugier avec son frère à Astano en Suisse. Par la suite il se rendit à Florence où il exposa "Interno di cucina" (Intérieur de cuisine). À Florence il s'enrôla comme volontaire sous le commandement du général Giacomo Medici, avec lequel il participa à la défense de Rome, assiégée par l'armée française, et réalisa de nombreux croquis et peintures de genre. En 1855, il s'illustra pendant la guerre de Crimée et obtint une médaille d'honneur. Il accompagna Giuseppe Garibaldi dans sa campagne de 1859 et fut peintre officiel de l'Expédition des Mille.

Une page de Champollion. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c693f-une-page-de-champollion

Une page de Champollion

Une page du cahier de notes de Jean-François Champollion (1790-1832).

Une rue de Paris et son habitant - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/5140f807-une-rue-de-paris-et-son-habitant-1

Une rue de Paris et son habitant - 1

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitre 1 : Physionomie de la rue (390 mots). La rue Duguay-Trouin (1673-1736), porte le nom de ce corsaire breton ; l'histoire se passe en 1827, dans une rue silencieuse, ni pavée, ni éclairée, avec des effondrements provoqués par les Catacombes.

Une rue de Paris et son habitant - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/5140fc4c-une-rue-de-paris-et-son-habitant-2

Une rue de Paris et son habitant - 2

Une rue de Paris et son habitant, 1848 par Honoré de Balzac (1799-1850) 2 : Silhouette de l'habitant, 496 mots. Présentation physique caricaturale du professeur Marmus de Saint-Leu, membre de l'Institut et de sa manière de s'habiller, dont découle un portrait moral de travailleur obstiné.

Une rue de Paris et son habitant - 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5140ff18-une-rue-de-paris-et-son-habitant-3

Une rue de Paris et son habitant - 3

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitre 3 : Madame Adolphe. (490 mots)

Une rue de Paris et son habitant - 5 et 6. Source : http://data.abuledu.org/URI/51410547-une-rue-de-paris-et-son-habitant-5-et-6

Une rue de Paris et son habitant - 5 et 6

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitres 5 et 6 : Premier et second services. (831 mots). Le savant soliloque et perd la notion du temps et, fatigué, finit par prendre un fiacre qui le raccompagne chez lui, à jeun.

Une rue de Paris et son habitant - 7 et 8. Source : http://data.abuledu.org/URI/5141075a-une-rue-de-paris-et-son-habitant-7-et-8

Une rue de Paris et son habitant - 7 et 8

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitres 7 et 8 : Le Dessert ; Comme quoi la femme d'un savant en US est bien malheureuse. (781 mots). Retour du savant puis de son épouse, accueil par la servante. Portraits et dialogues.

Une semaine du petit elfe Ferme-l'oeil. Source : http://data.abuledu.org/URI/5110b5a3-une-semaine-du-petit-elfe-ferme-l-oeil

Une semaine du petit elfe Ferme-l'oeil

Conte d'Andersen, "Une semaine du petit elfe Ferme-l'oeil", traduction David Soldi, 1876 (Hachette, wikisource). 4099 mots. Un conte pour chaque soir de la semaine à Hialmar.

Une souris et une cacahuète. Source : http://data.abuledu.org/URI/519e920e-une-souris-et-une-cacahuete

Une souris et une cacahuète

Une souris et une cacahuète, Albert Anker (1831–1910). Aquarelle.

Vaccination contre la variole. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d88624-vaccination-contre-la-variole

Vaccination contre la variole

La vaccination à Paris en 1807, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Vase aux hirondelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/517a28b8-vase-aux-hirondelles

Vase aux hirondelles

Vase aux hirondelles, 1889, d'Émile Gallé (1846-1904) avec poème de Théophile Gautier (1811-1872) : "La pluie au bassin fait des bulles, Les hirondelles sur le toit Tiennent des conciliabules, Voici l'hiver, voici le froid." Inscription peinte à l'émail sur la pièce, Verre blanc bullé, décor émaillé en camaïeu brun histre.

Vélocipèdes au Jardin du Luxembourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edd12e-velocipedes-au-jardin-du-luxembourg

Vélocipèdes au Jardin du Luxembourg

"Course des vélocipèdes dans le Jardin de Luxembourg", 1818 : Paris, chez Genty, rue St Jacques, N°33. Déposé au Bureau des Estampes.

Villa du bord de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/514de71e-villa-du-bord-de-mer

Villa du bord de mer

Villa du bord de mer, par Édouard Manet (1832-1883). Édouard Manet est à tort considéré aujourd’hui comme l'un des pères de l'Impressionnisme : il s'en distingue en effet par une facture soucieuse du réel qui n'utilise pas (ou peu) les nouvelles techniques de la couleur et le traitement particulier de la lumière. Il s'en rapproche cependant par certains thèmes récurrents comme les portraits, les paysages marins, la vie parisienne ou encore les natures mortes.

Village d'Anatolie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51699cc6-village-d-anatolie

Village d'Anatolie

Les rives du Bosphore, Yeniköy. Mine de plomb, aquarelle et crayon gras. Aquarelle du peintre orientaliste Jules Laurens (1847), membre de l'expédition Hommaire de Hell. Jules Laurens (1825-1901). Yenikoy est un petit village turc de la région d'Afyonkarahisar. C'est un village traditionnel anatolien. Le village fut fondé par les émigrants turcs de la république de Haut-Karabagh, ceux-ci (qui vivaient initialement à Davulga) avaient émigré à l'époque de l'Empire ottoman. Après le déplacement des "Enfants de Alhan" vers la vallée de Yenikoy, ce village devint une ville.

Village indien en hiver en 1833. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b947b1-village-indien-en-hiver-en-1833

Village indien en hiver en 1833

Village des Manitaries (Hidatsa) en hiver dans le Dakota, 1833, par Karl Bodmer (1809-1893). Maximilian Alexander Phil Wied-Neuwied, Voyage dans l’intérieur de l’Amérique du Nord exécuté pendant les années 1832, 1833 et 1834, planches de Karl Bodmer, édition Arthus Bertrand, 1840-1843.

Vingt-quatre passereaux perchés. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1a07-vingt-quatre-passereaux-perches

Vingt-quatre passereaux perchés

C'est l'une des pièces les plus souvent reproduites de Giacomelli (1822-1909), intitulée "Passereaux alignés sur une tige de bois". On y voit vingt-quatre passereaux de toutes les couleurs, serrés les uns contre les autres et regardant dans toutes les directions. Giacomelli a illustré de Jules Michelet : L'Oiseau (1867), L'Insecte (1875) ; d'André Theuriet : Les Nids (1879), Sous Bois (1883), Nos Oiseaux (1886) ; de François Coppée : Les Mois illustrés (1891) ; d'Alfred de Musset : Histoire d'un merle blanc (1904).

Visite des Catacombes en 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f543-visite-des-catacombes-en-1860

Visite des Catacombes en 1860

Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.