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Coupe de banane sauvage verte laissant apparaître un nombre conséquent de graines larges et dures. Cette banane n'est pas encore mûre. La banane sauvage est une baie polycarpique, c'est-à-dire contenant de nombreux pépins anguleux durs. Les variétés commerciales sont souvent triploïdes stériles produisant ainsi des baies parthénocarpiques formées sans fécondation ne contenant donc pas de graines (si on fend cette « banane domestique » dans le sens de la longueur, on observe une série longitudinale de petits points noirs qui sont des ovules non fécondés). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Banane.
Photographie, Fruits, Fraises, Cuisine (citrons), Alimentation, Aliments -- Conditionnement, Paniers, Marchés
Barquettes de fraises en vente, avec nom de marque sur l'anse et quelques tranches de citron.
Bécasse des bois (Scolopax rusticola) : grâce à son long bec elle prélève les lombrics qui constituent l'essentiel de sa nourriture. La bécasse a besoin d'un humus riche et épais.
Bergeronnette grise (Motacilla alba) tenant plusieurs vers dans le bec, à Oulu en Finlande.
Photographie, Alimentation, Prédation (biologie), Ornithologie, Bergeronnettes, Motacilla, Marbach (Autriche)
Bergeronnette grise (Motacilla alba) tenant plusieurs insectes dans son bec, à Marbach (Gomadingen) en Allemagne.
Peinture, Sucre de betterave, Alimentation, Plantes, Botanique, Plantes fourragères, Plantes comestibles, Betteraves, Olivier de Serres (1539-1619)
Planche botanique N°276 de l'Atlas botanique de Masclef, 1894 : Betterave (Beta vulgaris), plante cultivée pour sa racine charnue utilisée comme légume dans l'alimentation humaine, comme plante fourragère et pour la production du sucre. En 1600, Olivier de Serres écrit dans "Le théâtre d'agriculture et mesnage des champs" : « Une espèce de pastenades est la bette-rave, laquelle nous est venue d'Italie n'a pas longtemps. C'est une racine fort rouge, assez grosse, dont les feuilles sont des bettes, et tout cela bon à manger, appareillé en cuisine : voire la racine est rangée entre les viandes délicates, dont le jus qu'elle rend en cuisant, semblable à sirop de sucre, est très beau à voir pour sa vermeille couleur. »
Biscuit de mer, ration journalière distribuée en mer aux alentours de 1914, Musée maritime de Merseyside à Liverpool en Angleterre. Pour être comestibles, ces biscuits devaient être trempés. Connu depuis le Moyen Âge, le biscuit de mer ne disparaîtra qu'avec la décision ministérielle du 26 août 1937. Il sera alors remplacé par le pain cuit à bord.
Photographie, Alimentation, Dix-neuvième siècle, Biscuits de mer, Elseneur (Danemark) -- Kronborg, Goélettes, Whitby (GB)
Légende en anglais : "Le plus ancien biscuit de mer. Quand Mr E. Gade, qui devint plus tard capitaine, rentra en 1852 d'un voyage sur le brick Lydia of Whitby, il remit à sa mère ce biscuit de mer comme souvenir concret de sa navigation. Offert par l'association des marins danois". Musée maritime du château de Kronborg, Elseneur, au Danemark.
Photographie, Biscuits, Alimentation, Nice (Alpes-Maritimes), Produits régionaux, Spécialités régionales
Biscuit de Nice, de forme rectangulaire à la bordure dentelée ; à la noix de coco, recouvert de sucre glace.
Photographie, Alimentation, Reims (Marne), Cuisine (biscuits), Produits régionaux, Spécialités régionales, Biscuits -- Recettes, Carmin, Cochenille, Carmin de, Cuisine champenoise
Biscuit Rose de Reims. Sa création remonte aux années 1690. À cette date, des boulangers champenois soucieux d'utiliser la chaleur de leur four après le défournage, eurent l'idée de créer une pâte spéciale qui, après avoir subi une première cuisson, était laissée dans le four à pain où elle finissait de sécher. D'où le mot « bis-cuit », c'est-à-dire cuit deux fois4. La recette est inchangée depuis cette date, et sans aucun doute l'un des derniers véritables « bis-cuits ». La Maison Fossier est la dernière biscuiterie à fabriquer le biscuit rose. À l'origine, le biscuit était blanc. Il doit son teint rose au carmin, un colorant rouge naturel ajouté à la recette produit à partir des femelles de cochenille. Initialement blanc, le biscuit s’est paré de rose afin d’estomper les fines particules noires extraites de la gousse de vanille qui tachetaient sa robe.
Photographie, Alimentation, Fontevraud-l'Abbaye (Maine-et-Loire), Produits régionaux, Spécialités régionales, Biscuiterie
La biscuiterie artisanale de Fontevraud-l'Abbaye est installée dans un très ancien site, le lieu étant déjà attesté comme auberge en 1583, situé face à l'entrée de l'abbaye royale.
Photographie, Biscuits, Alimentation, Anglais (langue), Biscuiterie, Saskatchewan (Canada) (Jusqu'à 1905)
Entrepôt des biscuits "Christie Biscuis" Qu'Appelle au Saskatchewan, Canada : J. P. Beauchamp et Compagnie, "La plus pure de toutes les nourritures pures" (Purest of all pure foods).
Photographie, Biscuits, Alimentation, Produits régionaux, Spécialités régionales, Cuisine piémontaise, Novara (Italie)
Biscuits italiens de Novara (Piémont) : de forme rectangulaire aux angles arrondis, très légers (8 grammes) et sans graisse ; farine de froment (38%), sucre (38%) et oeuf (24%).
Photographie, Biscuits, Alimentation, La Réunion, Produits régionaux, Spécialités régionales, Cuisine réunionnaise, Marantacées
Biscuits réunionnais "Bonbons la rouroute", faits avec des rhizomes de arrow-root (Maranta arundinacea). Fabriqué à partir de la fécule issue des rhizomes de l'arrow-root, dont le nom a été déformé en la rouroute par le temps, il se présente sous la forme d'un petit gâteau rond particulièrement difficile à manger car se décomposant en une espèce de farine lorsque coupé ou mastiqué.
Bisque de homard servie au restaurant. La bisque est un potage de la cuisine française consistant en un coulis onctueux de crustacés très assaisonné et additionné de crème fraîche. Il est vraisemblable que le terme fasse référence au fait que les chairs (gibier ou crustacés) soient « bis cuites », c’est-à-dire cuites à deux reprises, la première fois lorsqu’on les fait légèrement sauter dans leur carapace, avant de les mijoter dans des ingrédients aromatiques et du vin blanc, puis de les sasser, avant de les allonger de crème, qui donne à l’appareil sa couleur caractéristique qui a été reprise pour qualifier la couleur bisque.
Photographie, Afrique, Chocolat, Alimentation, Gabon, Cuisine (chocolat), Cuisine africaine, Cuisine gabonaise, Ethnologie -- Gabon
Bloc d'odika ou chocolat indigène du Gabon, utilisé dans la cuisine gabonaise : L'odika est utilisé par la majorité des ethnies, mais il est plus présent parmi les peuples du sud (Bapunu, Mitsogo, Vili, Tékés...) On fait cuire les graines et on les pile encore tièdes. En refroidissant elles forment un bloc compact que l'on peut conserver aisément. Il suffit ensuite de râper le bloc sur une viande, par exemple du poulet fumé, pour faire une sauce au chocolat. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cuisine_gabonaise
Photographie, Citrons, Framboises, Alimentation, Bols (vaiselle), Biscuits sablés, Cuisine (menthes)
Trois biscuits sablés, trois framboises, un demi-citron et deux feuilles de menthe dans un bol blanc.
Photographie, Cuisine (concombres), Alimentation, Yogourt, Apéritifs, Yaourt, Bols (vaisselle), Cuisine (menthes), Cuisine turque
Bol de cacik turc servi en apéritif : yaourt et concombres avec feuille de menthe.
Photographie, Fromage au lait cru, Fromage -- Variétés, Lait, Alimentation, Bols (vaiselle), Présure
Caillebotte, lait caillé avec de la présure. La caillebotte est un lait caillé sous l'action d'enzymes d'origine animale ou végétale, consommé traditionnellement en dessert dans l'ouest de la France, principalement en Poitou-Charentes, en passant par l'Anjou et la Bretagne. La "jonchée d'Aunis" dans le nord de la Charente-Maritime est le même produit mais il est égoutté, alors que la caillebotte conserve le petit-lait. La recette est très simple. Elle consiste : 1) à tiédir le lait à 30-35 °C ; 2) à ajouter quelques gouttes de présure (3-4 gouttes pour un litre) et à bien mélanger ; 3) à verser ensuite le contenu dans des bols ou des ramequins et une fois bien refroidis, à les mettre au réfrigérateur. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Caillebotte_%28fromage%29
Photographie, Fraises, Muffins, Assiettes, Aliments pour le petit déjeuner, Alimentation, Bols (vaiselle), Céréales, Objets en verre
Bols en verre avec céréales sur assiettes en verre avec muffins et fraise.
Botte de blettes ou joutes (Beta vulgaris). On consomme le limbe des feuilles, cuit et haché, à la manière des épinards. On consomme aussi, à la manière des cardons, les « côtes », constituées par le pétiole prolongé par la nervure principale, qui sont très charnues dans les variétés de « poirées à cardes ». Très utilisées dans la cuisine niçoise, toutes les parties de la plante se consomment : les feuilles hachées entrent dans la composition de la tourte de blettes, des raviolis et du célèbre tian. La partie verte remplace les usages que l'on fait ailleurs des épinards et les côtes s’accommodent de plusieurs manières : à la vapeur avec un filet de citron, frites ou en gratin avec une sauce béchamel.
Bouillon de volaille. Un bouillon, en cuisine, est une préparation culinaire liquide (généralement de l'eau) dans lequel on cuit un ou plusieurs aliments, tels que viande, poisson, ou légume. Lors de cette opération, saveurs, couleurs et nutriments sont transférés à la phase aqueuse par osmose ; de nouvelles molécules aromatiques sont également créées par le processus de cuisson. Le bouillon formant la partie liquide du pot-au-feu est également nommé « consommé blanc ». La réduction d'un bouillon obtenu avec une base animale (viande ou poisson) permet d'obtenir un fond, plus concentré en arômes et saveurs. On parle des yeux du bouillon pour désigner les bulles de graisse qui nagent à sa surface.
Photographie, Assiettes, Alimentation, Alimentation -- Besoins, Jules Verne (1828-1905), Aliments -- Conservation, Cuisine, Américains d'origine amérindienne, Besoins énergétiques, Culture amérindienne, Expéditions polaires, Ressources énergétiques -- Conservation
Boule de pemmican servie sur une assiette. Le pemmican est une recette typiquement amérindienne constituée de graisse animale, de moelle animale, de viande séchée et réduite en poudre, ainsi que de petits fruits. En mélangeant ces ingrédients, on obtient une espèce de pain ou un pâté qui non seulement a la qualité de ne pas moisir mais peut même se conserver des dizaines d'années voire plus. Il fut, pour cette raison, beaucoup utilisé par les expéditions polaires. De nombreux héros de Jules Verne emmènent du pemmican dans leur paquetage pour leurs lointains voyages. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pemmican
Photographie, Antiquités romaines, Alimentation, Vin -- Saveur et odeur, Gastronomie, Pichets, Bouteilles de vin, Vin -- Industrie et commerce, Étiquettes de bouteilles de vin, Vin -- Étiquettes, Vin et gastronomie
Bouteille de vin à la romaine, Conditum paradoxum, achetée en Allemagne (http://www.der-roemer-shop.de/roemische-keramik-glas/roemischer-mulsum-wein-roemer.html). Le conditum paradoxum est un vin épicé élaboré à l'époque de l'Empire romain. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conditum_paradoxum
Photographie, Bouteilles miniatures, Alimentation, Environnement, Bouteilles en matières plastiques, Polyéthylène térephtalate
Paraison d'une bouteille plastique. Apparu en 1992, le PET ou polytéréphtalate d'éthylène, a remplacé le PVC à la fin des années 1990, pour les bouteilles d'eau, réduisant d'un tiers le poids des bouteilles (30 g pour une bouteille de 1,5 l en PET, contre 50 g pour une bouteille en PVC de même capacité). Les bouteilles en PET sont élaborées par formage à chaud d'une préforme appelée paraison. Celle-ci est réalisée par injection. Le PET fait suffisamment barrière aux gaz pour conditionner l'eau gazeuse. Les bouteilles en PET sont susceptibles de relarguer des traces de trioxyde d’antimoine, utilisé comme catalyseur lors de la polymérisation du PEHD. Toutefois, les valeurs maximales mesurées sont de l'ordre de 0,5 μg·l-1, soit dix fois moins que la norme européenne qui est de 5 μg·l-1 d'antimoine (L'antimoine et la plupart de ses composés sont toxiques).