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Photographie | Instruments à percussion | Tambour (membranophones) | Instruments de musique | Musique | Tambours (famille d'instruments) | Instruments de musique -- Inde | Instruments de musique -- Brésil | Tambour | Percussion, Musique de | Samba (danse) | Percussions membranophones | Percussions (instruments de musique) | Maddalam | Musique soundanaise | Keralais (peuple de l'Inde) | Insruments de musique -- Arménie | Khol | Soundanais (peuple d'Indonésie) -- Musique | Kanjira | ...
Alfaia brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a620-alfaia

Alfaia brésilien

Alfaia décoré aux couleurs du Brésil et du Pernambouc. L'alfaia est une sorte de grosse caisse à peau animale assez fine, portée à l'épaule par une corde et jouée à l'aide de deux battes en bois. Il est utilisé dans le maracatu, genre musical d'influence africaine du Pernambouc, dans le Nordeste brésilien. Son fût est en bois. Chaque peau (une de frappe, une de résonance) est pincée entre le fût et un cerclage de bois. La tension des deux peaux est obtenue par le serrage d'un cordage reliant les deux cerclages.

Atabaque brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a7ad-atabaque

Atabaque brésilien

Un atabaque ou ilu est un instrument de percussion utilisé dans diverses formes musicales du Nordeste du Brésil, notamment le candomblé et la capoeira. Cet instrument d'origine africaine (voir Batá) ou arabe, est un des premiers instruments qui furent introduits dans le jeu de la capoeira. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Atabaque

Caixa de samba brésilienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347ec88-caixa-de-samba

Caixa de samba brésilienne

Caixa de samba avec ses baguettes en bois : "caixa de guerra" de 12" en aluminium poli. La caixa' (ou caixa de guerra) et le tarol sont des instruments de percussion brésiliens. Dans les deux cas, il s'agit d'une caisse claire principalement utilisée dans les batteries de samba au Brésil. La caixa comprend un fût de métal de 12 à 14 pouces de diamètre et 5 à 20 centimètres de hauteur, classiquement en acier. Certains fabricants proposent des fûts en aluminium pour plus de légèreté. Les caisses les plus profondes et les plus larges sont surnommées caixa de guerra (littéralement : caisses de guerre), en référence à leur origine militaire. Elles servent d'accompagnement en assurant un continuum rythmique, une phrase répétitive très importante pour le son général de la batucada ; elles assurent le tempo et le swing de la batterie. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Caixa_de_samba.JPG

Chenda indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397fd5-chenda

Chenda indien

Le chenda ou chende est un instrument de musique de l’Inde. C'est un instrument de percussion membranophone. C'est un tambour en tonneau à deux peaux utilisé dans la musique kéralaise. Seuls des membres de la communauté Mârâr ou Pothuvâl sont habilités à en jouer. D'un diamètre de 22 cm, avec 55 cm de long, il est en un bois épais de jacquier. Deux cercles de 32 cm de diamètre en bois ou en bambou assurent la fixation des cordes de tensions réglables à l'aide d'un anneau le long du fût. Les membranes sont en peau de vache ou de veau (l'une d'elles a six couches distinctes de peaux). C'est l'un des rares tambours, maintenu à l'aide d'une sangle passée sur les épaules, à être joué debout. L'instrument est tenu à la verticale, comme un tambour européen. On le frappe sur la face supérieure (valantâla) à l'aide d'une ou deux baguettes courbes ou avec la main gauche nue. À de rares occasions, la face inférieure (etântâla) est aussi frappée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chenda

Conga cubaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a936-conga-

Conga cubaine

La conga désigne plusieurs éléments musicaux cubains ou latins : un instrument de musique, un rythme, une formation musicale ou une danse. Haut tambour (90cm de haut pour 25 à 40 cm de diamètre) à long fût légèrement renflé, elle est faite à partir d'un assemblage de lattes de bois, ou creusée dans un tronc monoxyle, ou bâtie sur un tonneau cerclé ou moulé dans de la fibre synthétique. Une peau épaisse est fixée sur le dessus à l'aide de liens à l'origine et aujourd'hui à l'aide de cerclages et de fixations métalliques réglables. On appelle conguero le percussionniste qui joue des congas (de une à cinq congas) à la main à l'aide de cinq frappes de base. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conga

Dabakan des Philippines. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335aae9-dabakan

Dabakan des Philippines

Le dabakan est un tambour philippin faisant partie de l'ensemble musical kulintang. Le bois du jacquier ou du cocotier est utilisé pour faire le cadre, la membrane est en cuir de vache ou peau de serpent. Les baguettes utilisées pour frapper la peau sont en bambou ou rotin. Le tambour est utilisé pour garder le rythme de l'ensemble musical ; c'est le seul instrument qui ne soit pas un gong. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dabakan

Darbouka égyptienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335abe1-darbouka-egyptienne

Darbouka égyptienne

La darbouka est un instrument de percussion faisant partie des membranophones. Selon ses variantes, c'est un tambour en gobelet répandu dans toute l'Afrique du Nord, et en calice dans le Moyen-Orient et les Balkans. Elle daterait de 1100 avant J.-C et elle est l'un des principaux instruments de percussion du monde arabo-musulman. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Darbouka

Hudukka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533980cd-hudukka

Hudukka indien

L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2

Joueur de kendang indonésien lors d'un concert. Source : http://data.abuledu.org/URI/53514164-sambasunda-quintett-in-cologne-0203-jpg

Joueur de kendang indonésien lors d'un concert

Concert du groupe soundanais SambaSunda quintett de Java (Indonésie) à Cologne. Le kendang est un tambour à deux faces d'Indonésie, de Malaisie et du sud des Philippines. On dit que les bons kendang sont fait en bois de jacquier, en tronc de cocotier ou en cempedak (Artocarpus integer). Pour la partie inférieure, appelée bam, qui donne un son grave, on utilise de la peau de buffle, alors que pour la partie supérieure, appelée cang, qui donne un son aigu, on utilise de la peau de chèvre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kendang

Kanjira indienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a94d7-kanjira-indien

Kanjira indienne

La kanjira est un petit tambour sur cadre (membranophone à une peau) indien. D'un diamètre de 10 à 20 cm, il est en un bois épais de tun ou de jacquier. La peau est à l'origine une peau de lézard ou d'iguane (assez rare), mais elle est souvent en peau de serpent ; toutefois, vu la protection des reptiles, elle est de plus en plus souvent en chèvre. Mais cette nouveauté ne rend pas les effets spéciaux des peaux reptiles qui se distendent beaucoup quand on les mouille, permettant ainsi des variations mélodiques. Toutes les kanjiras ont une petite clochette ou cymbalette. Une main sert à frapper la peau à l'aide des doigts (au bord) et de la paume (au centre), l'autre sert à modifier la tension de la peau (donc la hauteur du son) en appliquant une pression du bout des doigts sur la face extérieure (ou intérieure) de la peau mouillée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kanjira

Khol bengali. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396581-khol

Khol bengali

C'est une version originale de l'est de l’Inde. Il est long comme un mridangam, mais ses faces sont disproportionnées : l'une à droite, est minuscule (7 cm) et l'autre à gauche, est énorme (30 cm). L'instrument est en terre cuite, et donc très fragile, mais très léger, et très sonore. Si on retrouve la pastille noire à droite, elle n'émet en revanche aucun "buzz" et ne subit pas les frappes claquées si caractéristiques. En revanche, on n'applique aucune pâte à gauche. En effet, il s'y trouve une pastille noire (ou brune) permanente, mais elle peut être aussi placée à l'intérieur de la peau ! De ce fait s'offre une nouvelle possibilité de jeu, similaire à celle du baya (tambour basse) du tablâ : on peut utiliser des glissandos du poignet sur la peau et en variant la pression, obtenir un son plus ou moins long du genre "woop". Le nombre de lanières reliant les deux peaux est beaucoup plus important, afin de protéger la caisse de résonance. On n'accorde pas cet instrument à l'aide d'une action mécanique (coup), mais à l'aide d'une réaction physique : on chauffe l'instrument pour monter l'accord. Le khol accompagne les bhajans et les kirtans, les chants religieux dérivés du dhrupad. Il se joue souvent debout et son apprentissage est plus empirique que scientifique. Il est aussi utilisé par les musiciens errants, les bauls. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mridang#Le_khol_bengali

Maddalam kéralais indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53514598-maddalam

Maddalam kéralais indien

Le maddalam, mattalam ou madale est un instrument de percussion du sud de l'Inde. C'est un tambour en tonneau à deux faces. Il est utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs. Le lourd fût long de 60 cm est taillé dans du bois de jacquier. Les épaisses membranes en peau de veau sont maintenues au moyen d'un laçage de cuir de buffle. Une pastille noire similaire à celle du mridangam recouvre une face du maddalam afin d'obtenir des harmoniques. Une pâte blanche amovible de farine ou semoule est collée contre l'autre face afin d'accorder la face basse. On en joue debout, l'instrument étant suspendu horizontalement à une bandoulière autour des épaules ; il est recouvert d'un tissu miroitant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maddalam

Nagara indiennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331ae35-nagara

Nagara indiennes

Les nagara (monde arabe) ou tyanko (Népal) sont une paire de timbales indiennes rencontrée jusqu'au Tadjikistan. Le tasha en est une version sur trépied à une seule timbale, dont le tas iranien est sans doute l'origine, mais qui est joué avec des petits fouets. Parfois construites en terre cuite, les plus grandes, jusqu'à un mètre de diamètre, sont en cuivre, avec des peaux de chèvre liées à l'aide de cordes ou de lanières de cuir, tout autour. On en joue assis ou debout (avec une lanière), avec deux grosses et solides baguettes, les timbales étant soit côte à côte, soit l'une horizontale et l'autre verticale (les peaux perpendiculaires). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nagara_%28instrument%29

Surdo brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330510f-surdo

Surdo brésilien

Le surdo est un instrument de percussion membranophone, qui est utilisé dans la samba. De forme cylindrique avec du fer, il est façonné dans un fût de bois ou de métal de 50 à 70 cm de haut et de 16 à 26 pouces (40 à 65 cm) de diamètre. C'est le plus volumineux des instruments de la formation rythmique. La plupart des surdos modernes sont désormais réalisés en métal, principalement en acier mais aussi en alliage d'aluminium. Certains fabricants proposent cependant des surdos dans d'autres matières, comme par exemple en Plexiglas, pour obtenir des effets de transparence sur le fût. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surdo

Tabla indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396120-tabla

Tabla indien

Le tabla est un instrument de musique à percussion indien certainement dérivé des nagaras ou des « tablas » arabes. La légende en attribue l'invention à Amir Khusrau, fondateur de la Delhi gharana, au XIVe siècle. On dit aussi qu'il serait né de la colère d'un musicien qui aurait jeté son mridangam par terre et l'aurait brisé en deux : l'instrument fonctionnait toujours et donna naissance au tabla. On en joue assis par terre, les instruments reposant sur des petits coussins afin de les orienter proprement. Avec le mridang, c'est le membranophone le plus complexe qui soit. Le tabla est composé de deux fûts, un petit tambour mâle, le dayan ou dahina (droite), et une timbale femelle, le bayan ou baya (gauche), accordée généralement à la quinte grave (en fonction de la tonalité et du raga, ce peut être à la quarte ou à l'octave). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tabla

Bendir. Source : http://data.abuledu.org/URI/532819eb-bendir

Bendir

Le bendir est un instrument à percussion connu dans tout le Maghreb. C'est un tambour sur cadre assez similaire au daf asiatique, faisant partie des membranophones. Le bendir est un instrument à percussion connu dans tout le Maghreb. C'est un tambour sur cadre assez similaire au daf asiatique, faisant partie des membranophones.

Rouleur réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/534806b1-rouleur-

Rouleur réunionnais

Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui : ce qui permet de modifier la tension et donc le timbre en se servant d’un de ses pieds. Les différentes graphies du nom sont quant à elles le reflet de différentes prononciations suivant les locuteurs considérés ou l’époque : rouleur, houleur, ouleur, oulèr, oulère, rouler. Le rouleur ou houler doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. En outre l’instrumentaliste fait des roulements et donc fait rouler ses mains sur la peau du tambour. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Cet instrument se retrouve à l'île de la Réunion (et Rodrigues où on le nomme simplement tambour). Traditionnellement fabriqué dans un tronc évidé au bois variable d'au moins 70 cm de long et 50 cm de diamètre, il est souvent conçu aujourd'hui avec une barrique ou un tonneau dont on a détruit les deux extrémités. Le plus souvent, la peau est de bœuf ou de cabri collée sur un cercle de bois comportant des cymbalettes. Le rouleur se joue maintenu au sol en position horizontale, le musicien accroupi à cheval dessus. Le talon est parfois utilisé pour percuter l'instrument en plus des mains. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouleur