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Représentation de modèles de brouettes du XIIIe siècle. Source : Bertrand Gille, « Petites questions et grands problèmes : la brouette, » La Recherche en histoire des sciences, 1983.
Couverture thématique de Wikipédia Aniket Kittur, Ed H. Chi, and Bongwon Suh, What's in Wikipedia?: Mapping Topics and Conflict using Socially Annotated Category Structure. In Proceedings of the 27th international Conference on Human Factors in Computing Systems (Boston, MA, USA, April 04 - 09, 2009). CHI '09. ACM, New York, NY : biographies, géographie, société, histoire, sciences, technologie, religion, santé, mathématiques, philosophie, culture et arts.
Exposition du système du monde, Avertissement, de Pierre-Simon Laplace, 1798. 172 mots.
Icone du portail de l'histoire des sciences, à partir d'un dessin de Léonard de Vinci.
Combinaison d'innovations et de concepts aboutissant à un objet nouveau : la brouette. Source : Bertand GILLE, Petite question et grand problème : la brouette, LA RECHERCHE en histoire des sciences.
La cour impériale à Ummerapoura. Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, p.369, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Il y a quelques années, M. Babinet, de l’Institut, a présenté à l’Académie des sciences, de la part de M. Marchal, de Lunéville, la figure d’un des appareils qui, en Chine, accompagnent toujours les flèches aiguës qui couronnent les tours nombreuses de ce pays, où chaque ville a la sienne. Suivant l’auteur, les chaînes qui accompagnent la flèche, et qui, partant de son pied, vont rejoindre les angles saillants de la tour, sont de vrais conducteurs de l’agent électrique, dont l’expérience peut avoir fait reconnaître l’efficacité à un peuple bien plus observateur que théoricien. Il a remarqué que dans la construction des tours chinoises il n’entre point de substances métalliques, pas plus que dans leurs maisons et leurs palais. L’appareil des chaînes offre donc une sorte d’enveloppe conductrice qui préserve la tour de l’introduction de l’électricité. Ces tours, d’ailleurs, n’ont jamais été frappées de la foudre. La fameuse tour de porcelaine de Nankin a quinze siècles d’existence. M. Marchal rapproche la construction chinoise de la méthode italienne, qui consiste à consolider les flèches par des haubans métalliques allant se fixer aux angles du bâtiment ; il ajoute que la flèche de l’appareil chinois se termine en flamme dorée, et, par suite, conductrice.
Peinture, Histoire, Dix-septième siècle, Paris (France) -- Quartier du Jardin des Plantes, Armand Jean du Plessis Richelieu (cardinal duc de, 1585-1642), Frédéric Scalberge (1542-1640), Histoire de la médecine, Jardins de plantes médicinales
"Vue cavalière du Jardin du Roi", aquarelle de Frédéric Scalberge (1542-1640) : Source : Bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle. Publiée en frontispice de la "Description du Jardin royal des Plantes médicinales" par Guy de La Brosse, médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin des Plantes. Créé en 1635, le Jardin du roi présente dès le début le dessin général de l'actuel jardin. Il sera à la Révolution rebaptisé Jardin des plantes de Paris. C’est l’un des plus anciens organismes scientifiques officiels français puisqu’il a ouvert un siècle après le Collège royal (1530) mais avant l’Académie des sciences (1666) et l’Observatoire de Paris (1672). C’est dès 1633 que Guy de la Brosse (1586-1641), par son insistance auprès de Louis XIII dont il est le médecin, et grâce au soutien de Jean Héroard (1550-1628), et de Richelieu (1585-1642), obtient la création d’un jardin botanique à vocation médicale à Paris. Le roi acquiert un terrain dans ce que l'on appelle alors le faubourg St-Victor et de la Brosse commence les premiers travaux et ensemencements. Mais l’Édit qui l’instaure n’est publié qu’en 1635 et le jardin n’est officiellement inauguré qu’en 1640 sous le nom de Jardin royal des plantes médicinales. Le projet suscite de nombreuses oppositions notamment de la part de la faculté de médecine de l’Université de Paris qui y voit un concurrent à son propre enseignement, d’autant que les cours sont ouverts à tous et donnés non en latin, mais en français. Ce n’est pas la seule nouveauté : certains sujets, comme la circulation du sang, y sont enseignés alors qu’ils sont encore critiqués par la faculté. Des enseignants viennent de l’Université de Montpellier, grande rivale de l’Université de Paris. Pour apaiser un peu les tensions, Louis XIII décide d’autoriser l’enseignement mais ne permet pas au Jardin d’y dispenser de diplômes, et le Jardin ne comptera, à la Révolution, que trois postes de professeurs : botanique, anatomie et chimie.
Gravure, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Ionie, Ionie -- Histoire, Milet (ville ancienne), Présocratiques, Thalès, Théorème de
Buste de Thalès (illustration de l'ouvrage d'Ernst Wallis, 1877) "Illustrerad verldshistoria utgifven av E. Wallis. band I". Thalès de Milet, appelé communément Thalès (en grec ancien : Θαλῆς ὁ Μιλήσιος / Thalễs ho Milếsios), était un philosophe et savant grec né à Milet vers 625 av. J.-C. et mort vers l'an 547 av. J.-C dans cette même ville d'Ionie. L'Ionie est une région historique du monde grec antique située à l'ouest de l'Asie mineure, entre Phocée et Milet. Elle emprunte son nom à Ion, ancêtre légendaire des peuples de cette région. C'est en Ionie que se sont développées les premières formes de science de la philosophie en Occident, chez les penseurs appelés Présocratiques. Il fut l'un des « Sept sages » de la Grèce antique et le fondateur présumé de l'école milésienne. Philosophe de la nature, il passe pour avoir effectué un séjour en Égypte, où il aurait été initié aux sciences égyptienne et babylonienne. On lui attribue de nombreux exploits arithmétiques, comme le calcul de la hauteur de la Grande Pyramide ou la prédiction d'une éclips
Dessins et plans, Thermomètres, Physique, Histoire des sciences, Benjamin Thompson Rumford (comte, 1753-1814)
Dessin du thermoscope de Rumford dans son "Mémoire sur la chaleur", 1805. Le thermoscope de Rumford est un instrument inventé vers 1804 par Benjamin Thompson, comte de Rumford, pour "mesurer, ou plutôt pour découvrir ces très petites variations dans la température des corps, qui sont occasionnés par les rayonnements des corps environnants". Son principe est identique à celui du thermomètre différentiel inventé à la même époque par le physicien écossais John Leslie. Les deux boules, creuses, sont reliées par un tube transparent. Le tube D contient un petit index de liquide coloré. Lorsqu'une des boules est échauffée, l'air qu'elle contient se dilate et l'index se déplace vers l'autre boule. Source : Gallica, ouvrage numérisé.
Volcans de Santorin. Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Une note de M. Gorceix, à l’Académie des sciences, résume les phénomènes dont le volcan de Santorin a été le siège. Après cinq ans d’activité, ce volcan est de nouveau rentré dans une période de repos, dont, depuis un siècle et demi, il venait de sortir en 1866 pour la première fois.