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Photographie, Peignes, Art médiéval, Dragons, Ivoires, Ivoires médiévaux, Griffons (mythologie), Abbayes -- Grande-Bretagne
Le combat du dragon et du griffon, sur le peigne en ivoire de Jedburgh (abbaye de Jedburgh en Écosse).
Photographie, Jardins, Coiffure -- Appareils et matériel, Peignes, Jardins -- France, Art médiéval, Quatorzième siècle, Couples, Bijoux, Jardins -- Aspect symbolique, Amoureux, Objets en ivoire
Le peigne des amoureux dans le jardin, objet en ivoire du quatorzième siècle.
Chats, Gravure, Peignes, Fillettes, Dix-neuvième siècle, Littérature de jeunesse, Artistes danois, Lorenz Fröhlich (1820-1908), Bontemps
La Mère Bontemps (22), Magasin d'Éducation et de Récréation, 1892, illustré par Lorenz Fröhlich (1820-1908) dessinateur danois.
Photographie, Peignes, Main, Amitié, Coeur, Inscriptions, Flèches (armes), Gravures sur bois en couleurs
Peigne de l'amitié du seizième siècle avec inscription : Pour amitié.
Planche botanique de Peigne de Vénus (Scandix pecten-veneris), Atlas des Plantes de France, 1891.Son nom provient de la forme de ses fruits ridés avec de très longs becs qui, regroupés en ombelles, évoquent un peigne.
Photographie, Coiffure -- Appareils et matériel, Peignes, Ivoire, Bouquetins, Coiffures (cheveux), Hippopotames, Égypte, Égypte -- Antiquités, Nagada (Égypte), Ivoires antiques
Peigne au bouquetin. Epoque: Nagada I. Matériaux: Ivoire d'hippopotame Présent au Louvre
Peigne en os. Fait partie du matériel d'une tombe masculine (la tombe I) à Monceau-le-Neuf dans l'Aisne. Epoque gallo-romaine, 400 + JC. Musée de Laon.
Peigne en os, époque gallo-romaine, trouvé Boulevard Pommery à Reims. Musée Saint-Remi à Reims.
Photographie, Papillons, Coiffure -- Appareils et matériel, Peignes, Art japonais, Dix-neuvième siècle, Bijoux, Objets en ivoire, Animaux -- Dans l'art, Bijoux de tête
Peigne japonais "Papillons et herbes Susuki" du XIXème siècle : ivoire, argent, or, nacre ; Don Louis Metman, 1901 (Musée des arts décoratifs, Paris).
Peigne Luvale en bois finement sculpté (Musée royal de l'Afrique centrale, Tervuren, Belgique)
Photographie de la récolte en été au peigne des myrtilles (Vaccinium myrtillus) dans les Monts du Cantal. 22 juillet 2007.
Photographie, Peignes, Miroirs, Jeunes femmes, Stèles funéraires, Latin (langue), Toilette -- Accessoires, Bordeaux (Gironde), Burdigala (ville ancienne), Bordeaux (Gironde) -- Musée d'Aquitaine, sylvanus-aquitaine
Stèle de Tarquinia Priscilla à Burdigala. Le fronton portant l’inscription surmonte la niche, où une jeune femme est représentée en pied, vêtue d’une longue tunique et d’un manteau ; elle se regarde dans un miroir qu’elle tient de la main gauche, et a un peigne dans la main droite. Inscription en latin : "Aux dieux Mânes de Tarquinia Priscilla décédée à l’âge de 21 ans, fille de Perpetus, Calvisinus Serdus a fait faire (ce monument) à ses frais". Musée d'Aquitaine, Bordeaux.
Les dreadlocks ou cadenettes, appelées parfois tout simplement dreads ou locks ou encore rastas (à tort), sont des mèches de cheveux emmêlées qui se forment seules si les cheveux sont laissés à pousser naturellement (ou bien après avoir été tressés), sans l'utilisation de brosses, peignes, rasoirs, ni ciseaux. Les dreadlocks ont un caractère universel à travers les âges, car des peuples de cultures différentes en ont porté.
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant un atelier de fabricants de peignes.
Inventée par James Wimshurst à la fin du XIXe siècle, elle ne fut pas la première à utiliser l'induction électrostatique. Mais sa puissance la rendit rapidement très populaire. Cette machine était constituée de deux disques en verre munis de lames d'étain, contre lesquels viennent frotter des balais garnis de fils métalliques. Les charges produites étaient récupérées par des peignes métalliques, et stockées dans des bouteilles de Leyde. La machine de Wimshurst est une machine électrostatique inventée en 1882 par l'anglais James Wimshurst. Cette machine fut historiquement utilisée pour illustrer de nombreux phénomènes d'électricité statique ou la production d'ozone (à l'odeur caractéristique) dans un arc électrique. Elle est encore présente dans de nombreuses écoles. La machine de Wimshurst a une apparence caractéristique. Elle est équipée de deux larges disques constitués de matériaux isolants et recouverts de secteurs métalliques. Les deux disques tournent en sens opposé l'un par rapport à l'autre dans un plan vertical, les connexions se font à l'aide d'un dispositif de balais à friction permettant ainsi de récupérer la charge et d'emmagasiner l'énergie dans les bouteilles de charges (principe du condensateur). Au voisinage de pointes métalliques adéquatement connectées, et reliées à deux sphères convenablement disposées à une distance pouvant provoquer un étincelage, ce dispositif se nomme : éclateurs.