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Peinture, Indiens d'Amérique, Lacs, Amérindiens, Albert Bierstadt (1830–1902), Éclaireurs et reconnaissance, Écologie des lacs
Éclaireur indien au dix-neuvième siècle au bord d'un lac, par Albert Bierstadt (1830–1902).
Lac et gorges de Preveli (Limni Preveli), Megalopotamos, Crète.
Photographie, Poussins, Animaux -- Alimentation -- Besoins, Biologie animale, Deux (le nombre), Ornithologie, Étangs -- Écologie, Grèbes, Tachybaptus
Le Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis) est une espèce d'oiseaux de la famille des Podicipedidae. Cet oiseau est le plus petit des membres de la famille des grèbes, et aussi le seul grèbe d’Europe à pondre régulièrement deux fois par an. Oiseaux discrets, ils s’installent sur n’importe quel lac, étang, mare ou marais possédant une végétation assez dense sur ses rives. Les poussins sont couverts de duvet gris, leur bec est jaune et ils ont la tête, le cou et le dos présentant des rayures jaunâtres à rousses. Les jeunes ressemblent aux adultes en plumage internuptial mais les joues et les côtés du cou brun foncé sont rayés irrégulièrement de blanc. Leur mue partielle se déroule de juillet à décembre. Leur régime alimentaire (insectes et petits crustacés) leur permet de s’établir sur des plans d’eau trop petits pour contenir de gros poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A8be_castagneux
Photographie, Rosée, Agriculture, Écologie des étangs, Réservoirs (lacs), Étangs -- Aménagement, Étangs artificiels, Sussex (GB)
Étang à la rosée (Dew pond, en anglais) en cours d'entretien à Oxteddle Bottom, Sussex, Angleterre. étang intentionnellement creusé au sommet d'une colline pour les besoins du bétail. Au XXIe siècle, il y en a encore dans la région des South Downs, en Angleterre. Les étangs à la rosée sont aménagés dans des pâtures déficientes en eau. Ils sont en général peu profonds, circulaires et lignés avec de la craie ou de l'argile. L'argile est souvent couverte d'une couche de craie écrasée pour protéger l'étang des sabots des vaches. En dépit du nom, la source primaire de l'eau est la pluie, plutôt que la rosée ou la brume.
Photographie, Forêts, Cours d'eau, Écologie des cours d'eau, Géographie, Forêts ripicoles, Animaux des cours d'eau, Corridors écologiques, Couloirs
Forêt galerie (Comté de Putnam, Ohio, Lac Erié) : Les ripisylves de deux cours d'eau se rejoignent ici pour former une forêt-galerie. On parle de forêt-galerie lorsque la canopée est jointive au-dessus d'une rivière ou d'un petit fleuve, ou d'une zone humide (la présence de l'eau pouvant éventuellement être temporaire). Du point de vue de l'écologie du paysage, la forêt-galerie constitue un type particulier de corridor biologique ; à la fois forestier et aquatique ou palustre). Elle contribue par sa canopée jointive à faciliter la traversée de cours d'eau à un certain nombre d'espèces, soit par la canopée (écureuils, petits mammifères, insectes), soit via les nombreux troncs d'arbres morts ou vivants qui font "pont" au-dessus de la rivière. La forêt galerie entretient un microclimat plus tempéré au-dessus de la rivière.
Les lacs d'Ounianga sont un ensemble d'une cinquantaine de lacs aux eaux fortement salines, occupant un bassin entre les massifs du Tibesti à l'ouest et de l'Ennedi à l'est. Il s'agit plus précisément de deux ensembles de lacs : Ounianga Kébir, du nom d'un village voisin (littéralement, "le grand Ounianga"), et Ounianga Sérir ("le petit Ounianga"), 60 km au sud-est. Les lacs d'Ounianga forment le reste d'un lac plus grand qui occupait le bassin il y a 5 000 à 15 000 ans. Ils occupent une superficie totale de 20 km2 et forment le plus vaste ensemble lacustre du Sahara. La vitesse d'évaporation des lacs est l'une des plus élevées du monde et la région ne connait quasiment aucunes précipitations. Les lacs sont essentiellement alimentés par la nappe phréatique fossile, créée lorsque le climat de la zone n'était pas désertique, et qui affleure à cet endroit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lacs_d%27Ounianga
Photo de l'Eau morte en amont de Verthier : la plus importante rivière qui alimente le Lac d'Annecy.
Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.