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Photographie | Instruments à cordes pincées | Instruments à cordes | Musique | Cordes (musique) | Luth | Cordes pincées (instruments de musique) | Instruments de musique | Guitare | Ukulélé | Acoustique musicale | Braguinha | Instruments de musique -- hawaï | Cavaquinho | Ukulélé, Musique d' | Hawaii (États-Unis) | Musique populaire -- Porto Rico | Instruments de musique -- Porto Rico | Tiple | Ébénistes | ...
Sarod indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323250c-sarod-

Sarod indien

Le sarod (ou sarode) est un instrument de musique à cordes pincées apparu au XIXe siècle au nord de l'Inde et utilisé en musique indienne classique. C'est un luth hybride issu du dhrupad rabâb, un instrument indien ancien et du rabâb afghan. Le nom dérive peut-être du persan sarûd (chanter) car nombre de chanteurs s'accompagnaient ainsi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarod.

Saung Birman. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316918-saung-birman

Saung Birman

La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung

Shamisen japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316199-shamisen

Shamisen japonais

Le shamisen, "trois cordes parfumées", est un instrument de musique traditionnel à cordes pincées utilisé en musique japonaise. C'est un luth à long manche à la touche lisse mesurant de 110 à 140 cm, dont la caisse de résonance carrée est traditionnellement construite en bois de santal et recouverte de peau de chat ou de chien. À l'exception du shamisen de l'île d'Okinawa qui est traditionnellement recouvert de peau de serpent et est appelé sanshin ou jabisen. La table en peau fait qu'on donne parfois au shamisen le nom de "banjo japonais". Le manche est long et fin, sans frettes. Il est muni de trois cordes (d'où le nom de l’instrument, qui signifie littéralement « trois cordes du goût ») de soie ou de nylon. On joue du shamisen agenouillé sur un zabuton en pinçant les cordes à l'aide d'un large plectre en ivoire (bâshô ou bachi). La musique traditionnelle au shamisen intercale au milieu de la mélodie de longs silences qui donnent d'autant plus de force aux notes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shamisen

Surbahar indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53344a15-surbahar

Surbahar indien

Le surbahar (en ourdou سربہار; en hindi सुर बहार) est un instrument de musique du nord de l'Inde. Utilisé dans la musique hindoustanie, c'est un sitar basse en quelque sorte, rarement joué. Le surbahar est un vieil instrument dérivé de la vînâ et du tambûr. Il ressemble au sitar, mais est encore plus grand. Son manche est beaucoup plus large. Sa tête se termine par une sculpture de cygne ou de paon. Et sa caisse de résonance est une calebasse aplatie, et non sphérique. Les cordes sont plus grosses et le son plus grave. On en joue assis en tailleur par terre, exclusivement les râgas dans le style dhrupad, accompagné par le pakhâwaj. On se sert de deux mezrabs (à l'index et au majeur) qui vont et viennent alternativement sur les cordes (comme dans la basse). Vu le manche spécialement étudié, on peut tirer une corde afin d'infléchir une note non plus seulement sur une quinte, mais sur une octave entière. Cette opération demande toutefois de la pratique du fait de la résistance de la corde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surbahar

Târ iranien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53304328-tar-iranien

Târ iranien

Le târ est un instrument à cordes pincées trouvé en Iran, en Azerbaïdjan, en Géorgie, en Arménie, en Turquie, en Ouzbékistan et au Tadjikistan. C'est un luth à long manche avec un corps en forme de double cœur. Les interprètes sont appelés tarzen. Le tar est le principal symbole de la culture azerbaïdjanaise. La facture et la pratique musicale du tar ont été inscrites en 2012 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A2r_%28luth%29

Théorbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a287-theorbe

Théorbe

Le théorbe ou téorbe (ou encore tüorbe), est un instrument à cordes pincées — une sorte de grand luth — créé en Italie à la fin du XVIe siècle. Les joueurs de théorbe se nomment théorbistes. Le théorbe était utilisé à la fois pour la basse continue et comme instrument soliste. Il servait aussi pour l'accompagnement du chant. Au XVIIIe siècle, en France, on utilisait surtout le théorbe d'accompagnement, instrument très imposant. Les théorbes ont disparu au cours du XVIIIe siècle, avant de réapparaître au XXe siècle avec le renouveau de l'interprétation de la musique ancienne sur instruments d'époque.

Tiple colombien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5334416e-tiple-colombien

Tiple colombien

Le tiple (terme signifiant "soprano" en espagnol) est une petite guitare qu'on trouve dans toute l'Amérique latine, sachant que les versions des Caraïbes (Porto Rico, République dominicaine, etc.) diffèrent beaucoup de celles du continent (Colombie, Pérou, Venezuela). Il dérive sans doute de l'ancien timple des îles Canaries, lui-même hérité des colons espagnols. Il ressemble de loin à une petite guitare ancienne, à la caisse de résonance très resserrée et très ornementée. Il est monté de trois à six cordes en métal. Il a un accordage aux intervalles similaires à ceux de la guitare et est de ce fait propice à la formation d’accords et à l’accompagnement tant des services religieux que des danses de salon, dans des orchestres composés aussi de cuatro (instrument) et de bordunua. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiple

Ukulélé hawaiien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533184f4-ukulele

Ukulélé hawaiien

L'ukulélé est un instrument à cordes pincées traditionnel des îles Hawaï, proche du cavaquinho portugais dont il est une adaptation. Souvent bon marché et à la mode dans la première moitié du XXe siècle, ce petit instrument polyvalent composante indispensable d’un orchestre hawaïen fut rapidement adopté par divers courants musicaux – de la chanson populaire au jazz – parfois parce qu’il apportait une dimension humoristique ou exotique à un ensemble. C'est à bord du Ravenscraga que la braguinha fut importée à Hawaï (à l'époque l'archipel était encore appelé îles Sandwich). À bord du bateau se trouvaient les trois hommes que l'histoire a retenus comme responsables de l'introduction et de la transformation d'une certaine tradition de lutherie portugaise : il s'agissait de Manuel Nunes, José do Espírito Santo et Augusto Diasa, trois ébénistes de Madère qui avaient des connaissances en lutherie et qui transportaient apparemment leurs cavaquinhos. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ukul%C3%A9l%C3%A9

Ukulele ténor. Source : http://data.abuledu.org/URI/584dcde2-ukulele-tenor

Ukulele ténor

Ukulele ténor, instrument acoustique à cordes pincées d'origine hawaïenne. Ce modèle ténor possède un diapason de 16 pouces à 18 pouces (environ 40,5 cm à 45,5 cm), qui correspond à la longueur de la corde vibrante, entre les deux sillets.

Viola de cocho brésilienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343e38-viola-de-cocho

Viola de cocho brésilienne

La violão et la viola sont les termes portugais (dérivés de la vihuela espagnole) désignant des variétés de guitares répandues dans le monde lusophone, au sein de la musique portugaise, capverdienne et brésilienne. Violão désigne la guitare classique et viola désigne la guitare folklorique. Elle se rencontre au Mato Grosso (Cuiabá) et Mato Grosso do Sul (Corumbá), et a des caractéristiques uniques, qui la rattachent plus aux instruments du Moyen Âge (guiterne). Le corps, le manche (très court) et le chevillier sont excavés d'un bloc de bois léger monoxyle. De fines plaques de bois sont ensuite collées sur la touche, sur la table d'harmonie et le chevillier légèrement courbé. Il n'y a aucun vernis et l'instrument semble rudimentaire. Il n'y a que deux ou trois frettes en boyaux. Elle est montée avec cinq cordes en nylon ou boyaux, fixées sur cinq chevilles à l'ancienne. L'accord est Sol - Ré - Mi - La - ré ou Sol - Do - Mi - La - ré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol%C3%A3o

Violoncelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6ffe3-violoncelle

Violoncelle

Le violoncelle est un instrument à cordes frottées (mises en vibration par l'action de l'archet) ou pincées (le pizzicato) de la famille des violons, qui compte aussi l'alto et la contrebasse. Il se joue assis et tenu entre les jambes ; il repose maintenant sur une pique escamotable, mais fut longtemps joué posé entre les jambes, sur les mollets.

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin