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Pollens au microscope électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53930cf6-pollens-au-microscope-electronique

Pollens au microscope électronique

Pollens de quelques plantes courantes : Tournesol, Volubilis, Rose trémière (Sildalcea malviflora), lys (Lilium auratum), onagre (Oenothera fruticosa) et Ricin commun (Ricinus communis). Image aggrandie 500 fois : la particule en forme de grain de café dans le coin inférieur gauche mesure dans les 50 μm.Source : Dartmouth Electron Microscope Facility

Portrait de Nikola Tesla à trente-quatre ans. Source : http://data.abuledu.org/URI/53746718-tesla-nikola

Portrait de Nikola Tesla à trente-quatre ans

Photographie de Nikola Tesla (1856-1943) en 1890, par Napoleon Sarony (1821–1896). Ingénieur électricien et inventeur serbe dans le domaine électronique. Il a travaillé aux États-Unis et a été naturalisé citoyen américain. Il est à l'origine de la première centrale hydraulique à courant alternatif sur les chutes du Niagara. L'unité de mesure pour l'induction magnétique porte son nom (Tesla-T). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nikola_Tesla

Portrait de Roland Moreno en 1996. Source : http://data.abuledu.org/URI/559f9acc-portrait-de-roland-moreno-en-1996

Portrait de Roland Moreno en 1996

Portrait de Roland Moreno (1945-2012), inventeur de la carte à puce en 1974. Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Roland_Moreno_1996_1.jpg

Portrait de Roland Moreno en 2011. Source : http://data.abuledu.org/URI/53734ae1-roland-moreno-

Portrait de Roland Moreno en 2011

Roland Moreno, né le 11 juin 1945 au Caire et mort le 29 avril 2012 à Paris, est un inventeur français. Il est célèbre notamment pour avoir inventé la carte à puce en 1974. Fondateur d'Innovatron en 1972. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Roland_Moreno

Poudre de silicium. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c4878c-poudre-de-silicium

Poudre de silicium

Poudre de silicium. C'est l'élément le plus abondant dans la croûte terrestre après l'oxygène (25,7 % de sa masse), mais il est quasiment absent de la matière constituant le vivant. Il n'existe pas à l'état libre, mais sous forme de composés : sous forme de dioxyde de silicium (SiO2), la silice (dans le sable, le quartz, la cristobalite, etc.), ou d'autres silicates. Il est utilisé depuis très longtemps sous forme d'oxyde de silicium amorphe (silice ou SiO2) comme composant essentiel du verre. Il a depuis le milieu XXe siècle de nouveaux usages en électronique (transistor), pour la production de matériaux tels que les silicones ou, pour fabriquer des panneaux solaires photovoltaïques.

Structure de corne de narval. Source : http://data.abuledu.org/URI/5378c1f1-structure-de-corne-de-narval

Structure de corne de narval

Micrographie électronique d'un tube qui transporte les terminaisons nerveuses vers le centre de la dent (agrandissement x 10 000). Source : Paffenbarger Research Center, National Institute of Standards and Technology.

Structure interne d'un grêlon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5234a2b7-structure-interne-d-un-grelon

Structure interne d'un grêlon

Coupe d'un grêlon au microscope électronique.

Stylophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fdfb-stylophone

Stylophone

Le Dubreq Stylophone est un instrument de musique électronique miniature, créé en 1967 par Brian Jarvis. Il se compose d'un clavier métallique de 20 notes sur lequel on joue à l'aide d'un stylo relié à un fil électrique, ce qui ferme le circuit et produit la note. Le son produit est pauvre et l'appareil se rapproche davantage du gadget que de l'instrument de musique. Néanmoins, les artistes utilisant le stylophone ajoutent le plus souvent des effets sonores (grâce à des pédales multi-effets) pour enrichir le son et en faire un véritable synthétiseur. Durant sa vie éphémère, le stylophone fut un énorme succès commercial, avec trois millions d'exemplaires vendus, surtout en tant que jouet. On lui connaît quelques rares utilisations musicales, par des artistes comme Pulp, Kraftwerk, Erasure et David Bowie (dans le morceau Space Oddity). On peut noter sa réutilisation grâce à des artistes tels que Little Boots, Spirit of the matter, Dionysos (tournée acoustique 2009) ainsi que Charlie Winston lors de son concert au Point gamma 2009 de l'École polytechnique. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Modern_Stylophone.JPG

Symbole de circuit électrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a96b9a-symbole-de-circuit-electrique

Symbole de circuit électrique

Symbole électronique d'une pile qui se réfère à la structure de la pile voltaïque. Chaque élément du couple oxydant/réducteur est relié à une électrode. Ces électrodes, lorsqu'elles sont reliées à un consommateur électrique, provoquent la circulation d'un courant électrique ; la réaction chimique provoque une circulation de charges (électrons, ions). Une pile fournit donc du courant continu. La borne (-) d'une pile correspond à l'anode où se produit la réaction d'oxydation qui va fournir les électrons. La borne (+) d'une pile correspond à la cathode où se produit la réaction de réduction qui va consommer les électrons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pile_%C3%A9lectrique

Tachéomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6e57a-tacheometre

Tachéomètre

Théodolite DTM-A20 (face arrière - cercle à gauche) : Depuis les années 1950 et 1960, les techniques de relevés topographiques évoluent. Avec l'invention des distancemètres électroniques, le théodolite électronique ou le tachéomètre, permettent à la fois de mesurer les distances et les angles. Jusque là, la mesure des distances se faisait à l'aide de rubans gradués (dits chaînes d'arpenteurs) : ces inventions constituent donc une évolution très significative dans le travail des topographes de terrain, presque une révolution.

Téléphone des années 60. Source : http://data.abuledu.org/URI/5397007b-telephone-des-annees-60

Téléphone des années 60

Téléphone des années 60 avec vingt-quatre lettres et dix chiffres sur les douze touches du clavier : 1 ; 2, ABC ; 3, DEF ; 4, GHI ; 5, JKL ; 6, MNO ; 7, PRS ; 8, TUV ; 9, WXY ; * ; 0, Oper ; #

Téléphone portable sans fil. Source : http://data.abuledu.org/URI/5396fdde-telephone-portable-sans-fil

Téléphone portable sans fil

Téléphone portable sans fil DECT Siemens Gigaset SL565. Clavier numérique à douze touches, dix chiffres et vingt-six lettres en minuscules : 1 ; 2, abc ; 3, def ; 4, ghi ; 5, jkl ; 6, mno ; 7, pqrs ; 8, tuv ; 9, wxyz ; * ; 0 ; #.

Tourne-disque. Source : http://data.abuledu.org/URI/52483cdc-tourne-disque

Tourne-disque

Platine tourne-disques haute fidélité Thorens, des années 1980. Avec l’apparition des chaînes haute-fidélité, on a dissocié l’amplification de la lecture proprement dite, le tourne-disques étant alors désigné par le terme de platine ou de table de lecture. Ce dispositif est le seul à être encore couramment commercialisé pour un usage personnel. Les platines sont destinées à une reproduction de qualité sur un spectre de fréquences aussi large que possible, qui s’étend environ de 30 Hz à 18 kHz. Les exigences quant à leur fabrication sont donc considérablement plus strictes que celles imposées aux électrophones. Leur plateau a un diamètre légèrement supérieur à celui des disques microsillons de 30 cm et le niveau de bruit toléré est extrêmement faible, surtout aux basses fréquences. Elles sont équipées de moteurs à courant continu et d’une régulation électronique précise de la vitesse de rotation, ou de moteurs alternatifs synchrones qui mettent en rotation un plateau lourd par l’intermédiaire d’une courroie élastique. Leur tête de lecture est une tête magnétique, différente des têtes piézo-électriques, et délivre un signal électrique considérablement plus faible, de l’ordre de 5 mV environ. Elles nécessitent un préamplificateur spécial qui respecte rigoureusement la norme RIAA. Un tel préamplificateur, désigné sous le nom de préamplificateur correcteur, est en général inclus dans les équipements Hi-Fi de bonne qualité, mais peut aussi être installé dans un boîtier séparé.

Tourne-disque avec disque. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d86481-tourne-disque-avec-disque

Tourne-disque avec disque

Un tourne-disque ou électrophone est un appareil électronique destiné à restituer un enregistrement sonore réalisé sur disques microsillons. Appelé aussi pick up (table tournante au Québec), il est le successeur électronique du phonographe. Une platine, platine tourne-disque ou « table de lecture », ne comprend que les mécanismes de lecture des disques, sans amplification ni haut-parleurs. C’est la forme la plus courante de tourne-disques depuis la fin des années 1970. De nombreux électrophones « grand public » se présentaient sous la forme d’une sorte de valise, dont le couvercle amovible contenait parfois le haut-parleur large bande qui, par le mode de construction de l’appareil, ne restituait les sons que dans une gamme réduite de fréquences, mais suffisante pour que le public ait plaisir à écouter ses disques. Le socle de l’appareil supportait le tourne-disque qui se composait lui-même d’une tête de lecture généralement piézo-électrique supportée par un bras articulé, et d’un plateau de dimensions en général assez réduites, de l’ordre de 20 cm de diamètre, mis en rotation par un moteur électrique, et sur lequel le disque à écouter était posé. Ce disque était centré par une broche située au centre du plateau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Platine_tourne-disques

Tube cathodique à balayage couleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b3508c-tube-cathodique-a-balayage-couleur

Tube cathodique à balayage couleur

Tube à balayage couleur : 1-Canons à électrons, 2-Faisceaux d'électrons, 3-Bobine de focalisation, 4-Bobine de déviation,(balayage), 5-Connexion de l'anode, 6-Masque pour séparer les faisceaux pour le rouge, bleu et vert de l'image affichée, 7-Couche phosphorescente avec des zones réceptrices pour chaque couleur, 8-Gros plan sur la face intérieure de l'écran recouverte de luminophores pour chaque couleur. Dans le cas des téléviseurs et des écrans d’ordinateurs, toute la face du tube est parcourue selon un trajet bien défini, et l’image est créée en faisant varier l’intensité du flux d’électrons (le faisceau), et donc l’intensité lumineuse du spot, au long de son parcours. Le flux dans tous les téléviseurs modernes est dévié par un champ magnétique appliqué sur le col du tube par un « joug magnétique » (magnetic yoke en anglais), qui est composé de bobines (souvent deux) enroulées sur du ferrite et contrôlées par un circuit électronique. C’est un balayage par déflexion magnétique. Au cours du balayage, le faisceau parcourt de gauche à droite des lignes qui se succèdent de haut en bas (comme les lignes d’un livre), le retour à la ligne suivante et en début de page se fait à faisceau éteint.

Une fourmi au microscope électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b35443-une-fourmi-au-microscope-electronique

Une fourmi au microscope électronique

Image partielle d'une fourmi au microscope électronique à balayage. À la différence du MET, où le faisceau d'électrons à haute tension porte l'image de l'échantillon, le faisceau d'électrons du microscope électronique à balayage MEB (ou SEM en anglais) ne peut donner à aucun moment une image complète de l'échantillon. Le SEM produit des images par sondage de l'échantillon avec un faisceau d'électrons qui, concentré, est analysé sur une zone rectangulaire de l'échantillon ("raster scanning"). Sur chaque point sur l'échantillon le faisceau d'électrons incident perd de l'énergie. Cette perte d'énergie est convertie en autres formes, comme la chaleur, l'émission d'électrons secondaires de basse énergie, l'émission de lumière (cathodoluminescence) ou l'émission de rayons X . L'afficheur du SEM représente l'intensité variable de l'un de ces signaux dans l'image, dans une position correspondant à la position du faisceau sur l'échantillon lorsque le signal a été généré. Dans l'image de la fourmi de droite, l'image a été construite à partir des signaux produits par un détecteur d'électrons secondaires, le mode d'imagerie conventionnelle normal de la plupart des SEM. En règle générale, la résolution de l'image d'un SEM est d'environ un ordre de grandeur plus faible que celle d'un MET. Toutefois, parce que l'image du SEM repose sur les processus de surface plutôt que sur la transmission, il est en mesure de livrer des images d'objets de plusieurs centimètres avec une grande profondeur de champ, dépendant de la conception et du réglage de l'instrument, et il peut ainsi produire des images qui sont une bonne représentation en trois dimensions de la structure de l'échantillon.

Usain Bolt aux Jeux Olympiques 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/534711f1-usain-bolt-aux-jeux-olympiques-2008

Usain Bolt aux Jeux Olympiques 2008

Usain Bolt exulte après sa victoire au 100 m durant les jeux olympiques de 2008 à Pékin. Photo prise très peu de temps (1 à 2 secondes) après le franchissement de la ligne d'arrivée. À Pékin, il est devenu le premier athlète masculin à gagner trois épreuves aux cours des mêmes Jeux olympiques depuis Carl Lewis en 1984, et le premier coureur de l'histoire à établir les records du monde dans ces trois disciplines lors des mêmes Jeux. Il a répété le même triplé à Londres. Son nom et ses performances en sprint lui ont valu le surnom de "Lightning Bolt" ("l'Éclair", ou "la Foudre"). C'est le premier sprinter à améliorer trois fois de suite le record du monde du 100 m et à obtenir la plus nette amélioration du record depuis le passage au chronométrage électronique, en 1968. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Usain_Bolt