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Photographie, Météorologie, Vents, Botanique, Vent, Hêtre austral, Nothofagus, Terre de Feu (îles), Tierra del Fuego
Action du vent sur un arbre, Tierra del Fuego : hêtre de l'Antarctique (Nothofagus antarctica).
Dessins et plans, Météorologie, Nappe phréatique, Cycle de l'eau, Aquifères, Niveau hydrostatique, Eaux souterraines
Alimentation d'une nappe phréatique, amélioration du schéma USGS sur Commons : informations Astirmays.
L'altocumulus est un genre de nuage de l'étage moyen, qui apparaît à une altitude comprise entre 2 000 et 6 000 m. Son épaisseur est comprise entre 300 m (altocumulus stratiformis) et 6 000 m (altocumulus orageux ou altocumulonimbus). L'altocumulus est constitué de gouttelettes d'eau et parfois de cristaux de glace, et constitué de couches ou nappes de nuages blancs ou gris. Il peut être formé par l'élévation d'une grande masse d'air puis de condensation dans une atmosphère instable. Il est souvent visible avant un orage. Il peut provoquer des concrétions de glace sur les avions. Source : Wikipédia, Météorologie nationale.
Altocumulus castellanus ou Statocumulus castellanus : Un altocumulus castellanus (du latin castellanus, château) est un nuage de type castellanus de l'étage moyen (2 à 6 km d'altitude) qui se distingue par les tours multiples se formant à son sommet. Le nom vient du fait que ces tours ressemblent aux créneaux des châteaux médiévaux et elles indiquent un mouvement vertical convectif important à ce niveau. Leur épaisseur varie entre 1 000 m et 6 000 m.
Flanc ouest d'une zone étendue de castellanus associée avec une faible advection d'air chaud aux niveaux 850-700 hPa en limite d'une couche de mélange au niveau moyen. Photo prise en direction du sud-ouest à 08:00, le 13 Juillet 2006 aux environs de Norman (Oklahoma). Ces nuages ont été observés tôt le matin, ils correspondent à une advection d'air chaud aux niveaux moyens de l'atmosphère.
Altocumulus lenticularis aux États-Unis dans le Nouveau-Mexique. L'altocumulus lenticularis est le plus souvent situé au sommet de la montagne mais peut également être à une certaine altitude au-dessus de celui-ci ou sur les crêtes subséquentes de l’onde en aval. Ils sont le plus souvent associés avec des circulations de direction particulière. Par exemple, en mer Méditerranée, la formation d'un tel nuage indique souvent l'arrivée du Mistral ou de la Tramontane.
Altocumulus lenticulaire, en Islande. Un altocumulus lenticularis ou nuage lenticulaire est un type d'altocumulus stationnaire en forme de profil d'aile d'avion qu'on retrouve en aval du sommet des montagnes sous le vent, signant la présence d'un ressaut ou onde orographique. En réalité, il se reforme en permanence du côté du vent et se dissout de l'autre côté, réalisant un nuage stationnaire contrastant avec le vent horizontal fort à cette altitude qui devrait le déplacer rapidement. Selon les conditions, il y a souvent un empilement de plusieurs exemplaires formant une « pile d'assiettes ». Il est apprécié des vélivoles car il montre la présence d'une ascendance stable et puissante.
Lenticulaire formé par le libeccio au large de la ville de Bastia, en Corse.
Altocumulus lenticulaire au-dessus des Alpes suisses.
Altocumulus lenticulaire en Patagonie, dans la partie nord du Lac Argentin, en Argentine.
Dessins et plans, Tornades, Météorologie, Vents, Mesures thermodynamiques, Thermodynamique de l'atmosphère
Diagramme thermodynamique bilinbue qui montre que T soulevé adiabatiquement à rapport de mélange constant nous permet de trouver le NCA : T est la température de l'air à la hauteur où se produit le soulèvement et T_d le point de rosée au même niveau. On intersecte la courbe de mélange partant de T_d et la courbe adiabatique sèche partant de T. Le point d'intersection correspond à l'altitude b de la base du nuage lors d'un soulèvement mécanique. Quand la parcelle s'élève, elle se refroidit jusqu'à son point de rosée, à un niveau appelé « niveau de condensation par ascension » (NCA) et la vapeur d'eau qu'elle contient commence à se condenser. Ce niveau peut être atteint avant ou après le NCL (LCL sur le graphique). La condensation libère une certaine quantité de chaleur, la chaleur latente, fournie à l'eau au moment de son évaporation. Il en résulte une diminution notable du taux de refroidissement de la masse d'air ascendante, ce qui augmente la poussée d'Archimède en augmentant la différence de température entre la parcelle et l'environnement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tornade.
Photographie, Cyclones, Météorologie, Açores, Atlantique (océan. - sud), Climatologie -- Cartes, Climatologie -- Observations, Force de Coriolis
Position habituelle de l'anticyclone des Açores : près de l'équateur, où la force de Coriolis est assez faible, une circulation directe de l'air s'établit. Dans les bas niveaux de l'atmosphère, la différence de température entre l'équateur et les régions plus au nord moins réchauffées donne lieu à la zone de convergence intertropicale où l'air plus chaud se soulève à cause de la convergence et de la poussée d'Archimède. Ceci donne climatologiquement un climat sec à ces latitudes sous une circulation anticyclonique. On retrouve dans cette zone la plupart des grands déserts terrestres. Ces zones plus ou moins permanentes de haute pression ont acquis des noms régionaux. On parle ainsi de l'anticyclone des Bermudes, aussi connu comme celui des Açores, dans l'Atlantique ainsi que de l'anticyclone du Pacifique à l'ouest de la côte californienne. Ceci ne veut pas dire que la position et l'intensité de ces anticyclones soient permanentes, juste qu'en moyenne on retrouve des anticyclones autour de ces régions. Leur influence ne s'arrête pas là. Par exemple, l’anticyclone des Bermudes/Açores apporte du temps beau et chaud de la côte est de l’Amérique du Nord à l’Europe en été et des vagues de chaleurs car il transporte de l'air tropical sec sur son flanc nord. Sur son flanc sud, où les vents sont d'est, les ondes tropicales sortant d'Afrique peuvent générer des cyclones tropicaux qui frapperont les Antilles ainsi que l’Amérique centrale et celle du Nord.
Version française du diagramme montrant la circulation générée par l'Anticyclone subtropical de l'Atlantique nord (Anticyclone des Bermudes ou des Açores) et son influence sur la trajectoire des ondes tropicales qui sortent de la côte africaine. Ces ondes se déplacent en général d'est en ouest dans le flux d'alizé de la basse troposphère au-dessus de l'océan Atlantique. Elles apparaissent le plus souvent en avril/mai et se maintiennent jusqu'en octobre/novembre. Les ondes ont généralement une période de 3 ou 4 jours et une longueur d'onde de 2 000 à 2 500 km (Burpee 1974). Il faut garder à l'esprit qu'il serait plus juste de considérer les « ondes » comme des dépressions convectives actives le long d'un train d'ondes étendu. En moyenne, environ 60 ondes sont générées sur l'Afrique du Nord chaque année, mais il semble qu'il n'y ait pas de relation directe entre leur nombre et l'intensité de l'activité cyclonique annuelle dans le bassin Atlantique. Alors qu'environ 60% seulement des tempêtes tropicales de l'Atlantique et des faibles ouragans (catégories 1 et 2 sur l'échelle de Saffir-Simpson) proviennent des ondes d'est, elles sont à l'origine de près de 85% des ouragans intenses (ou majeurs) (Landsea 1993). On suppose toutefois que la plupart des cyclones tropicaux du Pacifique Est ont une origine africaine (Avila and Pasch 1995). On ignore actuellement tout des mécanismes d'évolution de ces ondes au fil des ans, tant en intensité qu'en position, et dans quelle mesure elles sont liées à l'activité cyclonique dans l'Atlantique (et le Pacifique Est).
Photographie, Météorologie, Chaos (théorie des systèmes), Edward Norton Lorenz (1917-2008), Météorologues
"Attracteur étrange" de Lorenz, exemple typique d'images produites par la théorie du chaos ; il s'agit ici d'un objet géométrique découvert par Lorenz en 1963, et initialement baptisé « attracteur étrange » suite à l'introduction de ce concept par David Ruelle et Floris Takens. Edward Norton Lorenz (1917-2008) était un météorologue américain du M.I.T. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_du_chaos
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.233 ; manuel scolaire, édition de 1904 : L'AURORE BORÉALE, ou lumière polaire, se montre fréquemment dans les pays voisins du nord (Sibérie, Zélande, Laponie, Norvège). C'est, le plus souvent, une sorte d'immense arc enflammé qui s'élève au-dessus de l'horizon. L'aurore boréale est produite par l'électricité.
Textes, Météorologie, Histoire, Guerre franco-allemande (1870-1871), Savants français, Aurores boréales, Aurores polaires, Jean Rambosson (1827-1886), Champs magnétiques (physique spatiale), Terre -- Magnétisme
Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, chapitre 20, Aurores polaires-3, Firmin-Didot, 1883 (p. 366). 570 mots.
Peinture, Météorologie, Géographie, Cascades, Chromolithographie, Aurores boréales, Carl Svante Hallbeck (1826–1897), Luleälven (Suède. - cours d'eau)
Chromolithographie de 1856 montrant les chutes de Harsprånget dans la nuit polaire éclairée d'une aurore boréale. Cette cascade était la plus grande du Luleälven. Maintenant, elle est le site de la plus grande centrale hydroélectrique de Suède.
Textes, Météorologie, Savants français, Aurores boréales, Aurores polaires, Jean Rambosson (1827-1886)
Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, chapitre 20, Aurores polaires-1, Firmin-Didot, 1883 (p. 359). 316 mots.
Baromètre anéroide du XIXème siècle : le principe de cet appareil avait été proposé en 1700 par le savant allemand Gottfried Wilhelm Leibniz ; le grand mérite de Vidi a été de le transformer en un objet pratique et peu onéreux. Le baromètre anéroïde est moins précis que le baromètre à mercure mais il permet en contrepartie de fabriquer des instruments compacts, beaucoup plus robustes et facilement transportables, surtout en mer.
Vue d'un système de basse pression sur l'Atlantique Nord (240 miles au-dessus de la Terre, le 23 février 2013).
Bouleau pris par le givre sur la Moskova dans le Parc de Kolomenskoe à Moscou, en Russie.
Mouvement de l'air le long du front de brise et formation de nuages. Le réchauffement de l'air au-dessus de la terre est plus rapide que celui au-dessus de la mer suite à la différence de capacité thermique entre les deux milieux. Par ciel clair de jour, il s'en suit un flux d'air qui est montré sur ce diagramme. L'air chaud étant moins dense peut être repoussé en altitude par l'air plus frais venant de la mer le long du front de brise de mer. Ce denier sera le plus souvent visible grâce à la présence de nuages convectifs, de types cumulus, si l'air chaud est assez humide. En aval et en amont de ce front se trouvent par contre des zones de subsidence de l'air et donc un ciel généralement dégagé. Source : U.S. FAA AC 00-6A, Ch. 16, Fig. 165.
Brouillard d'évaporation le matin sur le lac d'Annecy. Photo prise le 6 septembre 2009.
Photographie, Eau, Météorologie, Pins, Physique, Cycle de l'eau, Condensation, Brouillard, Rosée, Art et photographie, Air, Point de rosée, Aiguilles, Yosemite (États-Unis), abcd-cycle-eau
Brouillard et rosée du matin sur aiguilles de pin dans le Yosemite.
Bruine et stratus bas : La bruine, ou crachin, est une précipitation dont les gouttes d'eau paraissent presque flotter dans l'air grâce à leur petite taille (de 0,2 à 0,5 mm). Ces fines gouttelettes tombent très lentement. Le nuage où elles se forment est un stratus bas. La bruine est particulièrement fréquente dans les régions côtières. Elle est aussi courante dans les vallées d'altitude lors de la présence de fortes inversions de températures et de stratus. Les mouvements verticaux de l'air à l'intérieur de ces nuages ne sont pas assez forts pour leur permettre de se développer par collision, elles doivent donc croître surtout par condensation. C'est pour cela que les gouttelettes sont si petites.
Photographie, hiver, Neige, Météorologie, Géographie, Brumée, Dornbirn (Autriche), Vorarlberg (Autriche)
L’Oberfallenberg et les monts suisses dominant le village de Dornbirn, dans le Land du Vorarlberg (Autriche).
Paysage embrumé de la vallée de l'Erlauf, dans les Alpes d'Ybbstal, près de Scheibbs (Basse-Autriche).
Photographie, Temps (météorologie), Météorologie, Météorologie -- Instruments, Aéroports -- Appareils et matériel, Australie -- Conditions économiques, Radar en météorologie
Bureau régional de la météorologie d'un aéroport en Australie, Darwin Airport Met Office. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bureau_of_Meteorology