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Nuage de mots clés

Dessins et plans | Optique | Photographie | Lumière | Physique | Lumière -- Propagation | Lentilles (optique) | Lumière, Théorie ondulatoire de la | Géométrie | Gyroscopes optiques | Clip art | Jumelles (optique) | Verre optique | Câbles sous-marins | Parallaxe | Illusions d'optique | Gyromètres interférométriques à fibre optique | Informatique | Réflexion (optique) | Thomas Young (1773-1829) | ...
Arc blanc de 360 degrés. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0aec8-arc-blanc-de-360-degres

Arc blanc de 360 degrés

Arc-en-ciel blanc de 360 degrés .

Augustin Fresnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e38d1-augustin-fresnel

Augustin Fresnel

Buste d'Augustin Fresnel (1788-1827), "membre de l'Institut" par le sculpteur David d'Angers (1788-1856), exposé dans la Galerie David d'Angers à Angers.

Chambre noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/526e2ae2-chambre-noire

Chambre noire

Chambre noire, ou optique (Camera obscura, Science Museum de Londres). Proche du modèle « Canaletto » conservé au Museo Correr de Venise et utilisé par Canaletto. La chambre noire ou chambre optique (en latin camera obscura), est un instrument d'optique utilisé fréquemment en peinture pour obtenir une image fiable de la réalité. Le dispositif consiste en une lentille, et éventuellement d'un miroir. La scène réelle est focalisée, au moyen de la lentille, et projetée sur un plan sur lequel le peintre peut, après avoir fixé une feuille de papier, retracer les contours. Pour faciliter la vision, le plan de projection est enfermé dans un caisson qui l'abrite de la lumière extérieure, d'où l'adjectif de chambre obscure. Le croquis obtenu peut être ensuite, dans l'atelier du peintre, reporté et peint sur la toile. Canaletto est un utilisateur systématique de ce dispositif.

Dispersion de la lumière à travers un prisme. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c86487-dispersion-de-la-lumiere-a-travers-un-prisme

Dispersion de la lumière à travers un prisme

Dispersion de la lumière d'une lampe à vapeur de mercure par un prisme de verre flint. Le verre flint, ou flint glass en anglais, de « flint » qui signifie silex en anglais, est un type de verre avec un haut indice de réfraction et un nombre d'Abbe faible. L'indice de réfraction des flints varie entre 1,5 et 2,0 selon leur composition et on les distingue des autres verres d'oxydes par leur nombre d'Abbe inférieur à 50, ce sont donc des verres très dispersifs c'est-à-dire qu'ils dévient très différemment la lumière selon la longueur d'onde de celle-ci. Le verre flint contient dans sa formule d'origine, une partie d'oxyde de plomb (II), depuis les travaux de recherche sur les formules de verre opérées par Otto Schott et Ernst Abbe, on peut adjoindre à la pâte d'un verre flint du lanthane, du titane, du baryum, etc. Le verre flint est très utilisé en cristallerie d'art pour sa brillance, l'indice de réfraction fort provoquant une plus grande proportion de réflexions internes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Verre_flint.

Dispositif Effet Sagnac. Source : http://data.abuledu.org/URI/518fab19-dispositif-effet-sagnac

Dispositif Effet Sagnac

Dispositif possible pour l'effet Sagnac, par Didier Lauwaert.

Effet de réflexion au billard. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d95523-effet-de-reflexion-au-billard

Effet de réflexion au billard

Les vecteurs sont importants au billard lorsqu’on veut faire rebondir une bille sur une des bandes. En ce cas, il y a un effet de réflexion par rapport à la perpendiculaire de la bande. Ceci veut donc dire que si la bille frappe la bande à un angle de 45 degrés, son angle résultant après le rebondissement sera lui aussi de 45 degrés mais dans le sens opposé.

Effet Sagnac. Source : http://data.abuledu.org/URI/518fabf2-effet-sagnac

Effet Sagnac

Les signaux lumineux partant dans des sens opposés parcourent des distances différentes avant de rencontrer à nouveau l’émetteur qui tourne avec le disque. On appelle « effet Sagnac » le décalage temporel de la réception de signaux lumineux « tournant en sens inverse » quand ils sont émis par un émetteur-récepteur fixé sur un disque tournant. En effet, si un émetteur placé sur un disque en rotation envoie deux signaux lumineux contraints de suivre la circonférence du disque, chacun dans un sens, les deux signaux reviennent à l'émetteur après un tour complet mais avec un léger décalage temporel qui dépend de la vitesse de rotation du disque.

Exemple de parallaxe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52aca1c7-exemple-de-parallaxe

Exemple de parallaxe

Un exemple simplifié de parallaxe : la parallaxe est l’incidence du changement de position de l’observateur sur l’observation d’un objet. En d'autres termes, la parallaxe est l'effet du changement de position de l'observateur sur ce qu'il perçoit.

Fentes de Young. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a598ed-fentes-de-young

Fentes de Young

Simulation des interférences obtenues après les fentes de Young : les deux points en bas de l'image sont les sources de lumière. Les fentes de Young (ou interférences de Young) désignent en physique l'expérience qui consiste à faire interférer deux faisceaux de lumière issus d'une même source, en les faisant passer par deux petits trous percés dans un plan opaque. Cette expérience fut réalisée pour la première fois par Thomas Young en 1801 et a permis de comprendre le comportement et la nature de la lumière. Sur un écran disposé en face des fentes de Young, on observe un motif de diffraction qui est une zone où s'alternent des franges sombres et illuminées. Cette expérience permet alors de mettre en évidence la nature ondulatoire de la lumière.

Goniomètre du 18ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52acd10f-goniometer-img-4841-jpg

Goniomètre du 18ème siècle

Goniomètre fabriqué par Develey le Jeune à Lausanne, à la fin du XVIIIème siècle. Exposé au Musée historique de Lausanne. Un goniomètre est un appareil ou un capteur servant à mesurer les angles. Le goniomètre comporte en général une règle graduée en degrés, le rapporteur, et éventuellement un vernier pour améliorer la précision.

Gyrolaser. Source : http://data.abuledu.org/URI/518fa987-gyrolaser

Gyrolaser

Schéma d'un gyrolaser : L’appareil comporte une partie optique et une partie électronique. Il est de forme triangulaire ou carrée. La partie optique comporte des miroirs et un tube capillaire remplit d’un mélange gazeux qui constitue le milieu amplificateur du laser. Le premier miroir est concave pour améliorer la focalisation, le deuxième est fixé sur un moteur piézoélectrique ce qui va permettre de moduler la puissance du laser et le troisième est semi-réfléchissant, ce qui permet de récupérer une partie du faisceau. Un gyromètre laser ou gyrolaser est un capteur de vitesse angulaire (gyromètre) basé sur l'effet Sagnac et mettant en œuvre un rayon laser. Celui-ci parcourt un circuit optique dans les deux sens, l’interférence des deux rayons va dépendre de la vitesse de rotation de l’ensemble.

L'optique de Képler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0ac37-l-optique-de-kepler

L'optique de Képler

Planche de Johannes Kepler "Ad Vitellionem Paralipomena, quibus Astronomiae Pars Optica" (1604), illustrant la structure de l'oeil. Dès 1603, il parcourt divers ouvrages sur le sujet dont celui de l’Arabe Alhazen. Kepler rassemble les connaissances de l’époque dans son livre "Astronomia pars Optica", publié en 1604. Il y explique les principes fondamentaux de l’optique moderne comme la nature de la lumière (rayons, intensité variant avec la surface, vitesse infinie, etc.), la chambre obscure, les miroirs (plans et courbes), les lentilles et la réfraction dont il donne la loi i = n×r, qui est correcte pour de petits angles (la vraie loi — sin i = n×sin r — fut donnée plus tard par Willebrord Snell et René Descartes). Il aborde également le sujet de la vision et la perception des images par l’œil. Il est convaincu que la réception des images est assurée par la rétine et non pas le cristallin comme on le pensait à cette époque, et que le cerveau serait tout à fait capable de remettre à l’endroit l’image inversée qu’il reçoit.

Loupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50197945-loupe

Loupe

Dessin d'une loupe

microscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/503bd38e-microscope

microscope

Dessin d'un microscope en noir et blanc

Miroir plan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5023f37e-miroir-plan

Miroir plan

Schéma de la réflexion par un miroir plan

Parallaxe de visée. Source : http://data.abuledu.org/URI/52aca0f3-parallaxe-de-visee

Parallaxe de visée

La parallaxe de visée est la différence de cadrage entre l’image donnée par un viseur et l’image passant dans l’objectif d’un appareil photographique. Un appareil photographique bi-objectif est un appareil dans lequel la visée est effectuée à travers un objectif situé au-dessus de l’objectif de prise de vue. L’imprécision due à la parallaxe n’existe bien sûr pas avec un appareil photographique reflex mono-objectif (dont la visée se fait à travers la lentille de prise de vue grâce à un miroir).

Paysage sur gouttes d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/538adac3-paysage-sur-rosee-du-matin

Paysage sur gouttes d'eau

Guttation sur une prêle des eaux (Equisetum fluviatile) en Belgique dans la réserve naturelle "Marie Mouchon". Les gouttes d’eau comme la rosée peuvent être une forme de lentille naturelle. De petites tailles, elles ont la forme d'une calotte sphérique. Plus grosses, elles se déforment sous leur propre poids. La valeur limite est de quelques millimètres pour l'eau. La rosée sur les végétaux ne doit pas être confondue avec le phénomène biologique de guttation, dans lequel les végétaux eux-mêmes produisent le liquide qui se retrouve ensuite sous forme de gouttelettes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lentille_optique

Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/518faa6e-principe-de-la-mesure-optique-de-la-vitesse-angulaire

Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire

Effet Sagnac : Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire. On appelle effet Sagnac le décalage temporel de la réception de deux signaux lumineux tournant en sens inverse autour de la circonférence d'un disque en rotation (par rapport à un référentiel inertiel), quand ils sont émis par un émetteur-récepteur fixé sur ce disque. L'effet Sagnac a été découvert par Georges Sagnac en 1913.

Quatre exemples de distance focale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb71d7-quatre-exemples-de-distance-focale

Quatre exemples de distance focale

Le point focal F et la distance focale f d'une lentille positive (convexe), négative (concave), un miroir concave et un miroir convexe. Il est toujours possible de calculer les distances focales à partir des données géométriques et des indices d'un système (courbure, indice de réfraction) puisqu'elles sont reliées à la vergence. Néanmoins quand ces données viennent à manquer une mesure expérimentale est possible. Les mesures expérimentales, pour les systèmes minces tels les lentilles minces, reposent généralement sur la détermination des positions des foyers objet et image. On rappelle que le foyer image est le point vers lequel convergent après le système des rayons qui sont parallèles à l'axe optique avant le système. À l'inverse, des rayons passant par le foyer objet ressortent parallèles à l'axe optique. Les rayons ne passent pas nécessairement physiquement par le foyer, il peut s'agir de leur prolongation.

Résolution vidéo : Standards. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cde8f6-resolution-video-standards

Résolution vidéo : Standards

Comparaison des principaux formats d'affichage standards (chaque ratio largeur sur hauteur est représenté dans une couleur différente). Les formats d’affichage vidéo s'appliquent aussi bien au domaine de l'informatique que celui de l'équipement vidéo. Ces formats sont définis par leur caractéristiques, comme le rapport largeur / hauteur, la définition d'écran de l'image affichée (définie par le nombre de pixels sur la largeur et par le nombre de pixels sur la hauteur), le nombre ou la profondeur des couleurs / teintes (exprimée en bits) ainsi que la fréquence de rafraîchissement exprimée en Hz (Hertz). Certains de ces formats sont standardisés et quelques-uns normalisés mais leur nombre et leur variété ne cesse d'évoluer avec les nouvelles technologies développées et exploitées par l'industrie de l'électronique.

Synthèse additive des couleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b09e64-synthese-additive-des-couleurs

Synthèse additive des couleurs

Représentation de la synthèse additive des couleurs : En 1931, la commission internationale de l'éclairage (CIE) a fixé des primaires mathématiques de référence pour les calculs, en adoptant les longueurs d'onde suivantes : 1) rouge : chiffre rond de 700 nm, 2) vert : 546,1 nm (correspondant à une raie spectrale du mercure), 3) bleu : 435,8 nm (autre raie du mercure). Les couleurs secondaires obtenues par addition de deux couleurs primaires sont le magenta (R+B), le jaune (R+V) et le cyan (B+V). La somme des trois flux donne de la lumière blanche (R+B+V). La modulation de l'intensité des flux lumineux additionnés permet d'obtenir toutes les teintes intermédiaires. Source : wikipedia, Couleur_primaire.

Système optique, image réelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb751f-systeme-optique-image-reelle

Système optique, image réelle

Schéma système optique stigmatique : Un système optique est dit stigmatique si tout faisceau issu d'un point lumineux donne à la sortie du système un faisceau convergeant en un point, ou semblant provenir d'un point. Autrement dit, si tout rayon émis par un point lumineux donne après passage dans le système optique un rayon dont le support (une droite) est concourant avec tous les autres supports (ceux des autres rayons après passage dans le système optique) en un même point. Ce point est appelé image.

Télémètre à parallaxe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ac8d1a-telemetre-a-parallaxe

Télémètre à parallaxe

Principe de la mesure au télémètre à parallaxe. La parallaxe est l’incidence du changement de position de l’observateur sur l’observation d’un objet. En d'autres termes, la parallaxe est l'effet du changement de position de l'observateur sur ce qu'il perçoit.

Théodolite ancien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6e02d-theodolite-ancien

Théodolite ancien

Théodolite datant de 1900, Musée d'optique de Zeiss à Oberkochen en Allemagne. Le théodolite permet de mesurer des angles horizontaux et verticaux.

Thomas Young, pionnier de l'optique ondulatoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a599b3-thomas-young-pionnier-de-l-optique-ondulatoire

Thomas Young, pionnier de l'optique ondulatoire

Thomas Young (13 juin 1773-10 mai 1829), est un physicien, médecin et égyptologue britannique. Son excellence dans de nombreux domaines non reliés fait qu'il est considéré comme un polymathe, au même titre par exemple que Léonard de Vinci, Gottfried Leibniz ou Francis Bacon. Son savoir était si vaste qu'il fut connu sous le nom de phénomène Young. Il exerça la médecine toute sa vie, mais il est surtout connu pour sa définition du "module de Young" en science des matériaux et pour son expérience des "fentes de Young" en optique, dans laquelle il mit en évidence et interpréta le phénomène d’interférences lumineuses.

Trajectoire naturelle de la boule de billard. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d95232-trajectoire-naturelle-de-la-boule-de-billard

Trajectoire naturelle de la boule de billard

Réaction naturelle des bandes au billard. En jouant sans effet, l’angle de réflexion égale l’angle d’incidence, comme en optique. Les effets latéraux ainsi que les effets rétro et coulé modifient l’angle de réflexion. La force du coup ainsi que la qualité et la hauteur des bandes modifient légèrement la réflexion.

Un Million de pixels. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0a373-un-million-de-pixels

Un Million de pixels

Un million de pixels.

Une loupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3863f-une-loupe

Une loupe

Loupe devant un stylo.

Ancien phare de Fatouville-Grestain sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e27ac-phare-de-fatouville

Ancien phare de Fatouville-Grestain sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Fatouville a été construit sur la commune de Fatouville-Grestain, Eure. Il guidait les bateaux sur l'estuaire de la Seine. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 13 septembre 2011. La construction du phare commença en 1839 pour se terminer en 1850 et fut éteint en 1907. En 1923 il a été mis aux enchères par l'État, il est aménagé en chambres d'hôtes. Hauteur : 32 m - Elévation : 132 m - portée : 40 km. Feu éteint depuis 1907 - Optique : Fresnel. Source :

Angle de réfraction. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102971d-angle-of-refraction

Angle de réfraction

Angle de réfraction : La réfraction, en physique des ondes — notamment en optique, acoustique et sismologie — est un phénomène de déviation d'une onde lorsque sa vitesse change entre deux milieux. La réfraction survient généralement à l'interface entre deux milieux, ou lors d'un changement de densité ou d'impédance du milieu.

Astronomes amateurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/550d951c-astronomes-amateurs

Astronomes amateurs

Astronomes amateurs.

Câble sous-marin en fibre optique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b3dbb9-cable-sous-marin-en-fibre-optique

Câble sous-marin en fibre optique

Câble sous-marin en fibre optique. La fibre optique grâce aux performances avantageuses qu'elle permet, est utilisée de plus en plus à l'intérieur des réseaux de télécommunications. Du fait de leur besoin, les opérateurs et les entreprises ont été les premiers acquéreurs de fibres optiques. Elle est particulièrement appréciée chez les militaires pour son insensibilité aux IEM (Interférences électromagnétiques) mais aussi pour sa légèreté. Il faut cependant distinguer les fibres multimodes et monomodes. Les fibres multimodes sont réservées aux réseaux informatiques à courtes distances (datacenter, entreprises et autres) alors que les fibres monomodes sont installées pour des réseaux à très longues distances. Elles sont notamment utilisées dans les câbles sous-marins qui relient une partie des continents. En arrivant dans les habitations via le réseau FTTH, la fibre optique apporte une révolution dans les télécommunications directement aux particuliers. À la base une fibre optique est un guide-onde. C'est donc l'onde qui se propage dans la fibre optique qui est modulée pour contenir une information. Le signal lumineux est codé en variation d'intensité. Pour les courtes distances, et une optique à bas-coût, une simple DEL peut jouer le rôle de source émettrice tandis que sur des réseaux hauts débits et à longue distance, c'est un laser qui est de préférence utilisé. Légende de la carte : de 1 à 12 Réseau en rouge SAT3-WAS ; de 12 à 17 Réseau SAFE en bleu. 1-Sesimbra, Portugal ; 2-Conil_de_la_Frontera, Espagne ; 3-Las Palmas de Gran Canaria ("Altavista" Central), Gran Canaria, Espagne ; 4-Dakar, Sénégal ; 5-Abidjan, Côte d’Ivoire ; 6-Accra, Ghana ; 7-Cotonou, Benin ; 8-Lagos, Nigéria ; 9-Douala, Caméroun ; 10-Libreville, Gabon ; 11-Cacuaco, Angola ; 12-Melkbosstrand, Afrique du Sud, jonction avec SAFE ; 13-Mtunzini, KwaZulu-Natal, Afrique du sud ; 14-Saint Paul, Réunion ; 15-Baie du Jacotet, Savanne, île Maurice ; 16-Kochi, Inde ; 17-Penang, Malaisie (FLAG et SEA-ME-WE 3).

Câble sous-marin en Permalloy. Source : http://data.abuledu.org/URI/511e85c7-cable-sous-marin-en-permalloy

Câble sous-marin en Permalloy

Câble sous-marin atlantique en Permalloy. Source : Permalloy_cable, traduction en français Christophe Catarina. Le Permalloy est un alliage magnétique de fer et de nickel, découvert en 1914 par Gustav Elmen des Laboratoires Bell. Il contient généralement 15 % de fer et 80 % de nickel ; sa désignation symbolique selon la norme européenne est donc NiFe15. Il a une perméabilité magnétique élevée, une coercitivité basse, une magnétostriction proche de zéro et une magnétorésistance anisotropique significative. Les Laboratoires Bell - Bell Telephone Laboratories ou AT&T Bell Laboratories - , plus connus sous l'appellation de Bell Labs), furent fondés en 1925 et implantés à Murray Hill dans l'État américain du New Jersey. En 2009, ils font partie du centre de recherche et développement d'Alcatel-Lucent. Ils ont déposé plus de 25 000 brevets et en déposent actuellement 3 nouveaux chaque jour. Les recherches menées aux laboratoires Bell ont eu une importance capitale dans des domaines tels que les télécommunications (réseau téléphonique, transmission télévisuelle, communications satellite, etc.) et l'informatique (transistor, Unix, C et C++, etc.). Ce sont des laboratoires Bell que proviennent aussi la cellule photoélectrique et le laser et l'extraordinaire développement des communications par fibre optique.

CD-ROM. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6011b-cd-rom

CD-ROM

Un CD-ROM (abréviation de "Compact Disc - Read Only Memory") soit disque compact à mémoire morte (non modifiable) ou cédérom est un disque optique utilisé pour stocker des données sous forme numérique destinées à être lues par un ordinateur ou une console de jeu compatible. Le CD-ROM est une évolution du cd audio original, qui était destiné aux données numériques musicales prévues pour un lecteur de CD de chaîne Hi-fi ou de baladeur. Grâce à leur grande capacité de stockage et leur compacité, les cd-roms ont supplanté les disquettes dans la distribution des logiciels et autres données informatiques. Le terme cédérom, francisation officielle de CD-ROM, provient simplement de la lecture phonétique de ce mot anglais. Depuis lors (1996), cédérom et cd-rom, en minuscules, sont considérés comme des noms communs en français, et prennent donc un s au pluriel. Les données du CD-ROM sont lues sur la surface du disque par un laser, les bits de données étant stockés sous forme de creux et bosses et chaque fichier ayant des coordonnées sur le disque. L’information captée par le laser est transmise à l’ordinateur par une connexion interne de type SCSI, IDE, SATA, ou par un port externe USB ou E-SATA. Un cd-rom ne contient que des données non modifiables : il peut être lu par un lecteur de disque optique (lecteur CD), mais ne peut être écrit que par un graveur.

Compas magnétique marin. Source : http://data.abuledu.org/URI/518f5c42-compas-magnetique-marin

Compas magnétique marin

Compas magnétique marin dans son habitacle : 1) cales de bois, 2) sphères, 3) aimants longitudinaux, 4) aimants transversaux, 5) flinder (aimant correcteur). Des fers doux (sphères de compensations et barreaux flinders), et des fers durs (aimants correctifs longitudinaux, latéraux et aimant de bande) servent à la compensation : Les fers doux compensent les champs magnétiques induits ; les fers durs compensent les champs magnétiques permanents. L'habitacle, placé si possible dans l'axe central du navire, est toujours éloigné le plus possible d'éventuelles perturbations magnétiques (antennes satellitaires, radios). Il peut comporter un système de miroirs de renvoi optique de lecture du compas pour le barreur dans la passerelle de navigation, mais ce système est de plus en plus remplacé par un système de lecture à distance électronique (capteur placé sous la cuvette). L'aimant de bande non représenté sur le schéma sert à la compensation pour une éventuelle gîte permanente (bande), ce dernier est ajustable verticalement par une chaînette.

Compas marin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d6e882-compas-marin

Compas marin

Habitacle du compas marin. 1- Cales de bois, 2- Sphères, 3- Aimants longitudinaux, 4- Aimants transversaux, 5- Flinder. Le champ magnétique terrestre étant très faible, il a fallu obligatoirement diminuer au maximum les frottements de la rose sur le pivot (par l'ajout d'un flotteur entre autres). L'utilisation sur un navire a également demandé l'installation d'un système à cardan. La cuvette du compas est fixée sur la couronne interne du cardan, donnant ainsi au compas plus de possibilité de pouvoir garder l'horizontale à la mer. Le compas est placé dans un habitacle composé de bois et/ou de matériaux amagnétiques (1). Des fers doux (sphères de compensations-2 et barreaux flinders-5), et des fers durs (aimants correctifs longitudinaux, latéraux et aimant de bande) servent à la compensation : les fers doux compensent les champs magnétiques induits ; les fers durs compensent les champs magnétiques permanents. L'habitacle, placé si possible dans l'axe central du navire, est toujours éloigné le plus possible d'éventuelles perturbations magnétiques (antennes satellitaires, radios). Il peut comporter un système de miroirs de renvoi optique de lecture du compas pour le barreur dans la passerelle de navigation, mais ce système est de plus en plus remplacé par un système de lecture à distance électronique (capteur placé sous la cuvette).

Composition monumentale de Vasarely en Hongrie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53860d1f-composition-monumentale-de-vasarely-en-hongrie

Composition monumentale de Vasarely en Hongrie

Œuvre de Vasarely (1908-1997) devant l'église Pálosok (Pálosok templom), rue János Hunyadi (Hunyadi János utca), à Pécs, en Hongrie. Op art, ou art optique, est une expression utilisée pour décrire certaines pratiques et recherches artistiques faites à partir des années 1960, et qui exploitent la faillibilité de l'œil à travers des illusions ou des jeux optiques. Les œuvres d'op art sont essentiellement abstraites. Les pièces donnent l'impression de mouvement, d'éclat de lumière et de vibration ou de mouvements alternés. Ces sollicitations visuelles placent le corps du spectateur en situation instable, entre plaisir et déplaisir, plongé dans une sensation de vertige proche de certains états d’ivresse légère. Ce phénomène est parfois renforcé par le caractère monumental des pièces, parfois des environnements, voire dans le cas d’art opticocinétique de réelles sources de lumière jaillissant de l’ombre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Op_Art

Coupe de câble sous-marin. Source : http://data.abuledu.org/URI/511e7770-coupe-de-cable-sous-marin

Coupe de câble sous-marin

Coupe d'un câble sous-marin de télécommunication à fibres optiques. 1) Polyéthylène, 2) Bande de Mylar, 3) Tenseurs en acier, 4) Protection en aluminium pour l'étanchéité, 5) Polycarbonate, 6) Tube en aluminium ou en cuivre, 7) Vaseline, 8) Fibres optiques. En 2012, un million de kilomètres de câbles à fibre optique sont au fond de la mer.

Coupe de cables laser. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b3d90f-coupe-de-cables-laser

Coupe de cables laser

Coupe de deux types de cables pour fibres laser (pas à l'échelle). À gauche modèle classique, à droite fibre à double gaine. 1. Coeur. 2. Pompe. 3. Gaine. 4. Enveloppe de protection. Les fibres dopées sont utilisées pour amplifier un signal. On les trouve également dans les laser à fibres. Les fibres à double-gaine sont de plus en plus utilisées pour le pompage optique de haute puissance.

Des Jumelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/501a3b9c-des-jumelles

Des Jumelles

photo de jumelles

Différents types de lentilles optiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/538ad7de-differents-types-de-lentilles-optiques

Différents types de lentilles optiques

Lentilles optiques convergentes et divergentes : biconvexe, planoconvexe, ménisque convergent, ménisque divergent, planoconcave, biconcave. Une lentille optique est un composant fait d'un matériau généralement homogène, isotrope et transparent pour la lumière dans le domaine spectral d'intérêt. C'est le plus souvent un type de verre optique, ou des verres plus classiques, des plastiques ou des matériaux organiques. Les lentilles sont destinées à faire converger ou diverger la lumière. Traduction en français Cyrille Largillier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lentille_optique

Écureuil roux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5045d170-ecureuil-roux

Écureuil roux

L'écureuil d'Eurasie ou écureuil roux a pour nom scientifique Sciurus vulgaris. L'écureuil d'Eurasie pèse entre 200 et 350 grammes pour une taille totale (sans la queue) de 18 à 25 cm, plus 16 à 20 cm pour sa queue, aussi longue que le corps. Son pelage s'épaissit et s'allonge en hiver, ce qui rend les "pinceaux" des oreilles plus visibles. Sa couleur varie du roux clair au brun-noir selon les saisons, le ventre est blanc. Cet écureuil est un petit rongeur arboricole et diurne de la famille des Sciuridés. Une longue queue « en panache » lui sert de balancier et de gouvernail lorsqu'il grimpe ou bondit, mais aussi de signal optique en période d'accouplement ou pour exprimer certaines « émotions ».

Expérience des Fentes de Young. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a59b21-experience-des-fentes-de-young

Expérience des Fentes de Young

Expérience de Thomas Young (1773-1829) en optique, dans laquelle il mit en évidence et interpréta le phénomène d’interférences lumineuses. L'apport de Young au domaine de l'optique est sans doute son plus grand motif de célébrité, en particulier sa célèbre expérience de la double fente. En 1801, il fait passer un faisceau de lumière à travers deux fentes parallèles, et le projette sur un écran. La lumière est diffractée au passage des fentes et produit sur l'écran des franges d'interférence, c'est-à-dire une alternance de bandes éclairées et non-éclairées. Young en déduit la nature ondulatoire de la lumière.

Faisceau électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8ec9c-faisceau-electronique

Faisceau électronique

Schéma des rayons dans le faisceau électronique du MET : rayon incident, échantillon, lentilles, figure de diffraction, image.

Fentes de Young. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7bb9b-fentes-de-young

Fentes de Young

Schéma de l'expérience de double interférence des fentes de Young.

Flocon de neige. Source : http://data.abuledu.org/URI/513e3d06-flocon-de-neige

Flocon de neige

Flocon de neige au microscope : dendrites d'un flocon de neige (microscopie optique). Une dendrite est un cristal ramifié, en forme d'arbre (du grec "dendron") : il présente un tronc avec des branches. Les dendrites apparaissent lors de la solidification.

Format de la pellicule de cinéma 35 mm avec son optique.. Source : http://data.abuledu.org/URI/55426951-format-de-la-pellicule-de-cinema-35-mm-avec-son-optique-

Format de la pellicule de cinéma 35 mm avec son optique.

Format de la pellicule de cinéma 35 mm avec son optique. Description d'un film 35 mm ; la mention "côté projecteur" suppose un projecteur à chargement à droite (en regardant la salle), ce qui est le cas général.

Hommage à Malévitch de Vasarely. Source : http://data.abuledu.org/URI/5386120e-hommage-a-malevitch-de-vasarely

Hommage à Malévitch de Vasarely

"Hommage à Malévitch", 1954, par Victor Vasarely, Université centrale du Venezuela à Caracas.

Horizon du radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232fa56-horizon-du-radar

Horizon du radar

Les ondes électromagnétiques suivent les règles de l’optique pour les hautes fréquences (>100 MHz). Même le faisceau d’un radar pointant vers l’horizon va s’éloigner de la surface de la Terre parce que celle-ci a une courbure. Une cible qui se trouve à une distance à l’intérieur de la portée maximale du radar mais sous l’horizon du radar ne pourra donc pas être détectée, elle se trouve dans la «zone d’ombre». Cependant, l’horizon du radar est à une plus grande distance que l'horizon optique en ligne directe parce que la variation de l’indice de réfraction avec l’altitude dans l’atmosphère permet à l’onde radar de courber. Le rayon de courbure de la trajectoire de l’onde est ainsi plus grand que celui de la Terre ce qui permet au faisceau radar de dépasser la ligne de visée directe et donc de réduire la zone d’ombre. Le rayon de courbure de la Terre est de 6,4×106 m alors que celui de l’onde radar est de 8,5×106 m.

Illusion d'optique en forme d'étoile. Source : http://data.abuledu.org/URI/53431bac-illusion-d-optique-en-forme-d-etoile

Illusion d'optique en forme d'étoile

Illusion d'optique en forme d'étoile.

Imprimante laser. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c85d70-imprimante-laser

Imprimante laser

Croquis de l'intérieur d'une imprimante laser. Une imprimante laser est un type d’imprimante permettant la reproduction haute qualité de textes et de graphiques sur support papier ou optique. Les imprimantes laser utilisent un procédé d’impression xérographique (ou électrophotographique), mais se distinguent des photocopieurs par le fait que l’image est produite par le balayage direct d’un faisceau laser à travers le tambour interne (drum) de l’imprimante.

Interférences. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7b098-interferences

Interférences

Simulation d'interférences d'ondes circulaires émises par deux sources voisines. La position des deux sources est marquée par une croix.

Interférences d'ondes planes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7af57-interferences-d-ondes-planes

Interférences d'ondes planes

Interférences d'ondes planes lors de leur croisement.

Jeux d'arcade au Japon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c1dcc2-jeux-d-arcade-au-japon

Jeux d'arcade au Japon

Jeux d'arcade (Tsukuba au Japon) utilisant une batterie en guise de contrôleur. Les constructeurs n'ont cessé d'innover pour offrir des sensations de jeu nouvelles : les premières bornes ne permettaient d'interagir avec le jeu qu'avec des joysticks et des boutons. Vinrent ensuite des commandes spécialisées, plus immersives et réalistes, ajoutant de l'ambiance et des accessoires, comme des bornes incluant un dispositif de conduite avec retour de force, des bornes dédiées avec un pistolet optique, des affichages de décors en arrière-plan, des reproductions d'habitacles de voiture ou de cockpits d'avion, des postes de pilotage en forme de moto ou de cheval, ou même des contrôleurs très spécifiques comme des tapis de danse et des cannes à pêche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Borne_d%27arcade.

Laser à rubis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b3bd5f-laser-a-rubis

Laser à rubis

Laser à rubis : 1. Rayon laser ; 2. Source de Pompe ; 3. Laser medium; 4. Miroir réfléchissant ; 5. Résonateur optique ; 6. Miroir partiellement réfléchissant. Le premier laser à rubis fut construit en 1960 et cette technique fut employée dans l'industrie dès 1965. Une source laser associe un amplificateur optique basé sur l'effet laser à une cavité optique, encore appelée résonateur, généralement constituée de deux miroirs, dont au moins l'un des deux est partiellement réfléchissant, c'est-à-dire qu'une partie de la lumière sort de la cavité et l'autre partie est réinjectée vers l'intérieur de la cavité laser.

Le phénomène de diffraction de Young. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7b737-le-phenomene-de-diffraction-de-young

Le phénomène de diffraction de Young

Dessin de Thomas Young (1773è1829), savant anglais, montrant le phénomène de diffraction de la lumière. A et B sont les deux sources de lumière, les interférences des ondes sont matérialisées en C, D, E, et F. Young presenta les résultats de cette expérience à la "Royal Society" de Londres en 1803.

Le spectre électromagnétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a81854-le-spectre-electromagnetique

Le spectre électromagnétique

Proposition d'illustration du spectre électromagnétique, le spectre visible correspond aux couleurs en bas du schéma. La lumière visible, appelée aussi spectre visible ou spectre optique est la partie du spectre électromagnétique qui est visible pour l'œil humain. Il n'y a aucune limite exacte au spectre visible : l'œil adapté à la lumière possède généralement une sensibilité maximale à la lumière de longueur d'onde d'environ 550 nm, ce qui correspond à une couleur jaune-verte. Généralement, on considère que la réponse de l'œil couvre les longueurs d'ondes de 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. Les fréquences correspondantes vont de 350 à 750 THz (10¹² Hz). Cette gamme de longueur d'onde est importante pour le monde vivant car des longueurs d'ondes plus courtes que 380 nm endommageraient la structure des molécules organiques tandis que celles plus longues que 720 nm seraient absorbées par l'eau, constituant abondant du vivant. Ces extrêmes correspondent respectivement aux couleurs violet et rouge. Cependant, l'œil peut avoir une certaine réponse visuelle dans des gammes de longueurs d'onde encore plus larges. Les longueurs d'onde dans la gamme visible pour l'œil occupent la majeure partie de la fenêtre optique, une gamme des longueurs d'onde qui sont facilement transmises par l'atmosphère de la Terre.

Lentille de Fresnel équipant les phares. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8efcc-lentille-de-fresnel-equipant-les-phares

Lentille de Fresnel équipant les phares

Lentille à échelons ou lentille de Fresnel. Grande optique de premier ordre de feu fixe à éclats réguliers ; Anonyme : 1870, bronze et cristal ; H. 254 x Diamètre 198 cm ; Poids 1500kg environ ; Exposé à Paris, palais de Chaillot ; Musée national de la Marine. Dans le domaine de l’optique appliquée, Fresnel invente la lentille à échelon (dite Lentille de Fresnel) utilisée pour accroître le pouvoir de l’éclairage des phares. Elle est encore utilisée dans les phares maritimes, mais aussi dans les phares automobiles et les projecteurs de cinéma.

Lentille magnétique au laboratoire de Maier-Leibnitz. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8ee4f-lentille-magnetique-au-laboratoire-de-maier-leibnitz

Lentille magnétique au laboratoire de Maier-Leibnitz

Lentille magnétique au laboratoire de Maier-Leibnitz (physicien nucléaire allemand). Une lentille magnétique est un dispositif produisant un champ magnétique à symétrie de révolution, utilisé dans des appareils comme les microscopes électroniques pour focaliser les faisceaux d'électrons de la même façon que les lentilles en verre sont utilisées dans les appareils d'optique photonique.

Loupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/501978e6-loupe
Loupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7b9bb-loupe

Loupe

Loupe. Une loupe est un instrument d'optique subjectif constitué d'une lentille convexe permettant d'obtenir d'un objet une image agrandie. La loupe est la forme la plus simple du microscope optique, qui, lui, est constitué de plusieurs lentilles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Loupe. La loupe est souvent associée, en littérature de jeunesse, aux enquêtes policières "à la manière de Sherlock Holmes".

Loupe ancienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/50197817-loupe-ancienne

Loupe ancienne

Loupe Nicolae II de 1898.

Mascotte des gardes canadiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fa4a66-mascotte-des-gardes-canadiens

Mascotte des gardes canadiens

Mascotte des gardes canadiens des réserves naturelles, Centre de Découverte maritime, Jetée 8, Hamilton, Ontario au Canada.

Matériel d'observateur astronomique. Source : http://data.abuledu.org/URI/550d9ea5-materiel-d-observateur-astronomique

Matériel d'observateur astronomique

Matériel d'observateur astronomique sur le terrain.

Mécanisme de la souris à boule. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330b053-mecanisme-de-la-souris-a-boule

Mécanisme de la souris à boule

Souris à boule : 1) Mouvement de la boule ; 2) Rouleau transmettant les mouvements latéraux de la souris ; 3) Disque perforé ; 4) Diode électroluminescente ; 5) Capteur optique.

Microscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/503bd578-microscope

Microscope

Photographie d'un petit microscope optique

Microscope électronique d'Ernst Ruska. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8df67-microscope-electronique-d-ernst-ruska

Microscope électronique d'Ernst Ruska

Réplique (1980) du premier microscope électronique d'E. Ruska, 1933, physicien allemand qui a reçu le prix Nobel de physique en 1986 pour cette invention. Elle consiste à placer un échantillon suffisamment mince sous un faisceau d'électrons, et d'utiliser un système de lentilles magnétiques pour projeter l'image de l'échantillon sur un écran phosphorescent qui transforme l'image électronique en image optique. Pour les échantillons cristallins, un autre mode d'utilisation consiste à visualiser le cliché de diffraction de l'échantillon. les applications de la microscopie électronique couvrent un très vaste domaine, de l'observation d'échantillons biologiques, comme le noyau des cellules à l'analyse d'échantillons industriels dans la métallurgie ou l'industrie des semi-conducteurs.