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Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.241 : manuel scolaire, édition de 1904 : ARDOISIERS D'ANGERS. - Quand les ardoises ont été arrachées de la carrière par gros blocs, on les fend au moyen de coins et de pics : on obtient ainsi des feuilles de plus en plus minces. De nos jours, on a inventé une machine au moyen de laquelle on fend les ardoises avec rapidité.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : CHAUDRONNERIE DANS LE CANTAL. - La chaudronnerie est l'art de fabriquer tous les ustensiles en métal, comme ceux qui servent à faire chauffer l'eau et les aliments. La petite chaudronnerie fabrique les chaudrons de cuisine, les casseroles, les poêlons, etc. La grosse chaudronnerie fabrique les énormes chaudières des locomotives ou des bateaux à vapeur, les cuves des teinturiers, etc. L'Auvergne et la Normandie sont les centres de la chaudronnerie.
Gravure, Coutellerie, Articles de, Industrie, Coutellerie (industrie), Thiers (Puy-de-Dôme. - région)
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.130 ; manuel scolaire, édition de 1904 : ATELIER DE COUTELLERIE À THIERS. - La coutellerie fabrique tous les couteaux grands et petits, dont nous nous servons, ainsi que les canifs, grattoirs, etc. Les ouvriers représentés préparent les lames. D'autres, pendant ce temps, ont préparé les manches des couteaux, il n'y aura plus qu'à les emmancher. Le grand soufflet qui sert à exciter le feu de la forge est mis en mouvement par un chien qui tourne dans une sorte de cage ronde comme font les écureuils.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.247 : manuel scolaire, édition de 1904. LA TEINTURERIE. - Pour teindre les écheveaux de laine, de coton, de soie, le teinturier les trempe dans un bain colorant, en les tournant et retournant sur des bâtons.
Schéma simplifié de l'approvisionnement de la sidérurgie mondiale, en millions de tonnes de fer contenu, en 2012.
Photographie, Industrie, Pétrole, Vaporisation, Distillation, Carburants, Butane, Essence, Fractionnement (technologie), Gazole, Kérosène, Naphta, Propane, Raffinage
Colonnes de distillation : La distillation industrielle est un procédé de raffinage qui consiste à traiter le pétrole brut préalablement chauffé à 360 degrés afin d'en séparer les différentes fractions. Après vaporisation, il est envoyé dans une tour de distillation atmosphérique. Chaque niveau de température correspond à une étape du fractionnement et donne un produit spécifique : les produits légers sont recueillis dans la partie supérieure de la tour (butane et propane, essence légère ou naphta), les produits moyens (essence lourde, kérosène et gazole) sont récupérés en soutirage latéral, et le résidu atmosphérique est recueilli au fond de la tour. Cette séparation n'est pas suffisante pour donner toutes les qualités requises à chacun des produits obtenus. Interviennent alors le craquage et le reformage pour les carburants.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.114 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Gravure extraite du "Tour de la France par deux Enfants (G. Bruno)" OUVRIERS COULANT LA FONTE DANS UN MOULE. - Cet énorme vase en tôle qui est suspendu à une grue, et que manient à grand'peine deux ouvriers, peut contenir des milliers de kilogrammes de métal fondu. On verse le métal dans une ouverture qui communique avec un moule creux placé sous la terre. Ainsi se fondent les cloches, les canons et tous les gros objets en fer ou en fonte.
Photographie, Ateliers, Industrie, Poix, Distillation, Bordeaux (Gironde), Écomusées, Gemmage, Pin maritime, Pinus pinaster, Colophanes, Luxey (Landes), Térébenthine
Atelier des produits résineux de Jacques et Louis Vidal à Luxey (Landes) : écomusée de la gemme, inscrit aux monuments historiques par arrêté du 19 février 1990. La térébenthine de Bordeaux, aussi appelée « poix de Bordeaux », « galipot » ou « térébenthine officinale », est la résine extraite du pin maritime (Pinus pinaster), donnant après purification et distillation l'essence de térébenthine ainsi que la colophane (résidu de la distillation).
Dessins et plans, Industrie, Charbon de bois, Graphiques, Production industrielle, Fonte, Anthracite, Coke
Évolution de la production de fonte au haut fourneau, durant les XVIII° et XIX° siècles : fonte totale (coke + charbon de bois), et fonte au charbon de bois. Dans le cas des US, la fonte totale intègre aussi celle à l'anthracite.
Photographie, Argile, Industrie, Cartes postales, Quimper (Finistère), Activité industrielle, Argile -- Mines et extraction, Faïence -- Industrie et commerce, Faïencerie
Quimper : la faïencerie de Locmaria, les réservoirs de terre glaise vers le début du XXème siècle.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.167 ; manuel scolaire, édition de 1904 : OUVRIÈRE DU DAUPHINÉ FILANT LA SOIE DES COCONS. - A mesure que les fils de soie se déroulent des cocons, ils s'enfilent par deux trous que l'on voit à droite et à gauche, puis ils passent sur deux crochets au-dessus de la tête de la dévideuse, et de là vont s'enrouler sur un dévidoir qu'on ne voit pas dans la gravure. Ce dévidoir est mis en mouvement par les pieds de la fileuse ou par l'aide d'une autre personne.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.266 : manuel scolaire, édition de 1904. UNE FILATURE DE LIN A LILLE. - Le lin est de toutes les fibres de plantes celle qu'il était le plus difficile de filer à la mécanique. C'est par une merveille de l'industrie que les machines réussissent maintenant à transformer ces fibres si courtes en fils longs et souples qui vont s'enroulant sur des bobines.
Photographie, Industrie, Combustion, Hauts fourneaux, Flammes, Bleu (couleur), Chaleur de combustion
Flamme due à la combustion de gaz de haut fourneau à la torchère. Cette flamme bleue clair n'est visible que de nuit.
Flux des matières circulant à l'intérieur d'un haut fourneau. Les couches alternées de coke et de minerai descendent, et s'échauffent en commençant par le centre. Le coke (noir) conserve sa porosité dans la zone de frittage (rouge), concentrant les gaz (jaune) au centre de la cuve, puis les diffusant. Dans le creuset, les liquides percolent à travers le coke (points noirs).
Vue spectaculaire des matières enflammées au gueulard du haut fourneau P6, Hayange, France. La photo a été prise par le trou d'homme pendant un arrêt d'entretien. A cette occasion, le niveau des charges est abaissé de quelques mètres et le gueulard ouvert à l'atmosphère pour que le monoxyde de carbone qui se dégage des charges s'enflamme spontanément. On distingue, de haut en bas : les poutres transversales de mesure de température et de composition des gaz, la ceinture des plaques de chocs verticales, le maçonnage réfractaire (non refroidi à cette hauteur) et la charge enflammée. La distribution homogène des flammes sur toute la surface de chargement est caractéristique d'une marche sans "coke au centre".
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.112 ; manuel scolaire, édition de 1904 : UN HAUT FOURNEAU. - Les hauts fourneaux sont des espèces de tours solides qu'on remplit par en haut de minerai de fer. Une fois que le haut fourneau est allumé, on le remplit jour et nuit sans interruption pour avoir la plus grande chaleur possible jusqu'à ce que les murs usés se fendent et éclatent. A mesure que le fer se fond, il tombe en dessous, dans un réservoir.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.111 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LE CREUSOT est ainsi appelé parce qu'il est situé dans le creux d'une vallée. Là, s'est établie une des plus grandes usines de l'Europe dont on voit dans la gravure les cheminées fumer. Autour de l'usine s'est bientôt groupée toute une population d'ouvriers ; une ville s'est ainsi formée, qui compte maintenant 30 600 habitants et s'accroît sans cesse.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.164 ; manuel scolaire, édition de 1904 : UNE MAGNANERIE DANS LE DAUPHINÉ. - Les magnaneries sont des chambres dans lesquelles on a installé, les unes au-dessus des autres, des claies de roseaux. Les oeufs des vers à soie sont placés sur des claies, et, pour qu'ils puissent éclore, on chauffe ces chambres. Souvent les magnaneries sont mal tenues et trop petites. Les maladies des vers à soie ont, dans les dernières années, diminué de moitié la production de cocons.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.115 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LE MARTEAU-PILON À VAPEUR. - On emploie maintenant, pour la construction des ponts en fer ou des grandes machines, des pièces de métal tellement grosses, qu'aucun marteau mû par une main d'homme ne pourrait les façonner. Pour les forger, on a inventé l'énorme marteau-pilon, que la vapeur met en mouvement et qui peut frapper depuis deux cents jusqu'à cinq cents coups par minute.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.227 ; manuel scolaire, édition de 1904 : UNE RAFFINERIE DE SUCRE A NANTES. - Le sucre se fait, comme on sait, avec le jus de la canne à sucre ou celui de la betterave, qu'on fait bouillir dans une chaudière. Le sucre, clarifié et raffiné dans le grand appareil représenté à gauche, tombe bouillant dans des réservoirs. On le verse ensuite dans des moules et on l'y laisse refroidir. Ainsi se forment ces pains de sucre que l'ouvrier de droite tire des moules.
Différentes parties d'un haut-fourneau : gueulard, cuve, ventre, étalages, creuset.
Schéma de principe de construction d'un haut fourneau moderne : à gauche, avec les colonnes supportant la marâtre ; à droite, haut fourneau auto-porteur avec les planchers d'accès aux équipements annexes.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.159 ; manuel scolaire, édition de 1904 : OUVRIER TREMPANT L'ACIER. - Pour donner de la dureté et de l'élasticité à l'acier (par exemple aux lames de sabres et d'épées), on le fait rougir, puis on le trempe tout à coup dans l'eau froide.
Gravure, Industrie, Fonte, Appareils à gaz, Gaz -- Distribution, Gaz -- Fabrication, Gaz -- Industrie et commerce, Houille
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.274 : manuel scolaire, édition de 1904. USINE A GAZ - Pour fabriquer le gaz, on enferme la houille dans de grands cylindres de fonte et on la fait chauffer ; le gaz s'en échappe et, après avoir été purifié, il se rend dans ces espèces de grandes cloches renversées qu'on voit à gauche dans la gravure, e qu'on appelle gazomètres. De ces cloches partent les tuyaux qui conduisent le gaz dans les rues et dans les magasins.
Photographie, Industrie, Pétrochimie, Pétrole -- Exploitation, Pétrole -- Raffineries, Usines -- Appareils et matériel
La Raffinerie d'Anacortes, sur l'extrémité nord de March Point, propriété de la compagnie Tesoro. E arrière plant, le mont Baker (3286 m). En 2006, la rafinerie avait une capcité de traitement de 115 000 barils par jour, une surface de 371 ha, et employait 350 personnes.
Gravure, Industrie, Sel, Carrières souterraines (exploitations minières), Architecture souterraine, Galicie (Pologne), Mines de sel préhistoriques
Vue des travaux souterrains dans les mines de sel de Wieliska, en Galicie, in Les merveilles de l'industrie ou, Description des principales industries modernes, par Louis Figuier. - Paris : Furne, Jouvet, [1873-1877]. - Tome I. Source : Biblioteca de la Facultad de Derecho y Ciencias del Trabajo Universidad de Sevilla.
Photographie, Avions, Airbus (avions), Aéronautique, Inventions, Arnaud Pérat, France -- Aviation, RyXéo, ABCD, ABCD-inventions, Aéronautique commerciale, Aviation (aéronautique), Industrie aéronautique
Vue de coté d'un Airbus A 300 au décollage. Cliché : Mark Tang retouché et recadré (https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Dragonair_Airbus_A300_Tang.jpg)
Peinture, Brebis, Tonneaux, Éleveurs de bétail laitier, Exploitations agricoles, Cuisine (produits laitiers), Lait, Alimentation, Art médiéval, Lait de brebis, Tacuini sanitatis - al-Muẖtār ibn al-Ḥasan ibn ʿAbdūn ibn Saʿdūn Ibn Buṭlān (10..-1066?), Auteurs arabes, Yuwānīs Ibn Buṭlān (10..-1066?), Chèvres domestiques, Élevage de chèvres, Fermes (construction), Granges, Industrie laitière -- Personnel, Industrie laitière -- Technique
Alimentation au Moyen Age : le lait. Traite d'une brebis. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.
Dessins et plans, Figuier, Pélicans, Pêches, Casques, Canne à sucre, Anglais (langue), Armoiries, Poissons, Devises héraldiques, Blason (héraldique), Animaux -- Dans l'art, Barbade, Caesalpinia pulcherrima, Flamboyants (botanique)
Armoiries de La Barbade : La partie centrale du blason de la Barbade, est plus connu sous le nom de blason doré. Il est composé d'un champ d'or dans lequel figure deux Flamboyants (Caesalpinia pulcherrima) qui est l'arbre national et un Figuier sauvage qui était un arbre très commun dans l'île au moment où les portugais arrivèrent. Le blason est formé d'un champ d'or avec les éléments mentionnés. Il est entouré par deux figures : à gauche, il y a un poisson symbolisant l'industrie de la pêche à la Barbade, et à droite un pélican qui représente l'îlot du pélican au large de la baie de Bridgtown, aujourd'hui disparue. Le tout est surmonté d'un heaume avec au-dessus un bras tenant deux cannes à sucre. Ces cannes forment une croix. Dans la partie inférieure on peut voir la devise nationale du pays "Pride and Industry" = Fierté et Industrie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_de_la_Barbade
Photographie, Autobus, Transports routiers, Transports par autobus, Voyages en autobus, Transports routiers -- Industrie et commerce
Ankai bus à impériale HFF 6110GS 1 (Modèle 2012), en exposition IAA 2012 Hanovre, Allemagne.
Gravure, Horloges et montres, Besançon (Doubs), Géographie, Besançon (Doubs) -- Citadelle, Besançon (Doubs. - région), Horlogeries, Pendules (horlogerie)
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.71 ; manuel scolaire, édition de 1904 ; VUE DE BESANÇON. - Besançon a 55 400 habitants. La principale industrie de cette ville très commerçante est l'horlogerie. Elle produit par an près de 100 000 montres, sans compter les grosses horloges. c'est Besançon et la Franche-Comté qui donnent l'heure à une bonne partie de la France.
Photographie, Fruits secs, Cartes postales, Construction -- Industrie -- Personnel féminin, Fruits -- Transformation, Industries agricoles, Travailleuses
Carte postale ancienne sur l'emballage de fruits confits à Apt, Vaucluse, France.
Photographie, Blanchisseurs et teinturiers, Rouge, Plantes, Garance des teinturiers, Avignon (Vaucluse)
Canal de la rue des teinturiers à Avignon, Vaucluse, dite rue des Roues. La mémoire collective a gardé le souvenir des 23 roues à aubes qui y furent en activité. Entre le XVe siècle et le XIXe siècle, elles fournirent en énergie toute une industrie textile liée à la soie et à la laine. Son nom récent de rue des Teinturiers est dû à l'installation de cette profession qui utilisait l'eau pure de la Sorgue pour laver ses étoffes. Alors qu'il n'y avait que dix moulins à garance sur la Sorgue en 1804, trente-cinq ans plus tard, on en comptait cinquante. La découverte de la « garancine », produit tinctorial actif de la racine avait donné un véritable coup de fouet à la production. En 1854, dans le département, les seules communes de Caumont, Entraigues, Monteux, Pernes et Le Thor produisirent la moitié de la production mondiale et allèrent ensuite jusqu'à 65 %.
Photographie, Blanc, Correcteurs (industrie graphique), Anglais (langue), Écriture, Pots, Étagères, Dallas (Tex.)
Correcteurs, au "Womens Museum" de Dallas, Texas : "Liquid paper" = liquide pour papier.
Four à chaux en coupe, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906.
Gravure, Balais et brosses, Brosses à dents, pinceaux, Objets usuels, Brosserie, Balais et brosses -- Industrie et commerce, Brosses à barbe, Brosses à peinture
Dix types de brosse avec définitions. Image provenant du "Dictionnaire encyclopédique de l'épicerie et des industries annexes" par Albert Seigneurie, édité par "L'Épicier" en 1904, page 121.
Photographie, Enfants -- Travail, Journalisme, Travail des enfants, Coton -- Industrie et commerce, Photographie en noir et blanc
Enfants américains au travail en 1908, Preus museum, Lewis Wickes Hilne.
Façade du Palais de l'Industrie, 1855. Exposition Goupil, bibliothèque Flora Tristan à Bordeaux, été 2017 ː Félix Benoist, Louis Pierre Guillaume Régamey, Henri Guérard.
Gammes de biscuits fabriqués par LU - photo prise au Musée du château des ducs de Bretagne de Nantes.
Photographie, Main, Robinets, Vêtements -- Accessoires, Gants -- Industrie et commerce, Équipement de protection
Gant de travail Espuna, manufacture française de gants et d'équipements de protection individuelle.
Photographie, Épices, Boissons, Étalage, Basse-Terre (Guadeloupe), Épices -- Industrie et commerce, Marchés, Guadeloupe (région)
Vue sur l'étal d'un marché de Basse-Terre où l'on peut voir des épices de toutes sortes. (Guadeloupe).
Gravure, Dessin de portraits, Petits métiers, Nicolas de Larmessin (1632-1694), Grotesques, Industrie beurrière
Gravure attribuée à Nicolas II de Larmessin, réalisée probablement au XVIIe siècle, "Les costumes grotesques et les métiers", 1695.
Gravure, Dessin de portraits, Petits métiers, Nicolas de Larmessin (1632-1694), Grotesques, Industrie beurrière
Gravure attribuée à Nicolas II de Larmessin, réalisée probablement au XVIIe siècle, "Les costumes grotesques et les métiers", 1695.
Gravure, Couteliers, Dessin de portraits, Petits métiers, Coutellerie (industrie), Nicolas de Larmessin (1632-1694), Grotesques
Gravure attribuée à Nicolas II de Larmessin, réalisée probablement au XVIIe siècle, "Les costumes grotesques et les métiers", 1695.
Gravure, Fourrures, Dessin de portraits, Petits métiers, Fourrures -- Industrie et commerce, Nicolas de Larmessin (1632-1694), Grotesques
Gravure attribuée à Nicolas II de Larmessin, réalisée probablement au XVIIe siècle, "Les costumes grotesques et les métiers", 1695.
Gravure, Dessin de portraits, Petits métiers, Nicolas de Larmessin (1632-1694), Rubans -- Industrie et commerce, Grotesques
Gravure attribuée à Nicolas II de Larmessin, réalisée probablement au XVIIe siècle, "Les costumes grotesques et les métiers", 1695.
Dessins et plans, Chaînes, Dix-huitième siècle, Savants français, Inventions, Jacques de Vaucanson (1709-1782)
Une chaîne sans fin de Vaucanson (1709-1782). Le cardinal de Fleury lui confie le poste d’inspecteur général des manufactures de soie en 1741, le roi souhaitant réorganiser cette industrie, ce qui entraînera l’arrêt de ses travaux sur les automates. De mai à octobre 1742, Jacques Vaucanson, accompagné d’un spécialiste lyonnais de la soie, le sieur Montessuy, inspecte les manufactures de France, mais aussi d’Italie. S’ensuivent des perfectionnements sur les diverses machines, dont le moulin à organiser, qui fonctionne à l’aide d’une chaîne sans fin appelée « chaîne Vaucanson », pour laquelle il invente une machine de fabrication. Il meurt le 21 novembre 1782, à Paris, en léguant ses machines au roi, legs qui sera une des bases de la collection du Conservatoire national des arts et métiers.