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Gravure, Accidents, Journalisme, Chemins de fer, Années 1890, Henri Meyer (1844-1899), Accidents de transport, Accidents et blessures, Fortuné Méaulle (1844-1901)
Accident de Marly-le-Roi, "Victime de son dévouement", Reproduction très exacte de la fin du mécanicien Monsieur Cané, mort en voulant sauver une femme que la machine qu'il dirigeait allait écraser, Le Petit Journal, 14 novembre 1891. Henri Meyer (1844-1899) et Fortuné Méaulle (1844-1901).
Plan de la ville et du château de Caen en Normandie. Mis à jour par N. de Fer Géographe de sa Majesté Catholique et de Monseigneur le Dauphin avec Privilège du Roy. 1705. Notice BNF : Éditeur et marchand de cartes et d'estampes ; graveur. - Géographe (ordinaire) de Sa Majesté catholique (1702) et de Monseigneur le Dauphin 1690) ; géographe des Enfants royaux. - Fils du marchand d'estampes Antoine de Fer. Dit âgé de 12 ans lors de son entrée en apprentissage chez le graveur Louis Spirinx (mai 1659). Travaille avec son père jusqu'à la mort de ce dernier en juin 1673, puis avec sa mère jusqu'en 1687, année où celle-ci lui cède son commerce (8 nov. 1687). Ingénieur et cartographe. A sans doute exercé l'art de la gravure mais aucune œuvre à son nom ne semble avoir subsisté. Emploie plusieurs graveurs qui emportent l'ouvrage dans leur atelier. Inventaire après décès 6 nov. 1720. Faute d'acheteur, ses trois gendres, le papetier Guillaume Danet, les graveurs Rémy Richer et Jacques-François Bénard, se partagent l'affaire en trois lots égaux. Seuls G. Danet et J.-F. Bénard continuent le commerce.
Photographie, Traverses de chemins de fer, Chemins de fer -- Traverses, Paris (France) -- Quartier de la Villette
Vieilles traverses en bois du métro de Paris aux ateliers du métro de Paris à La Villette.
Fer, Photographie, Chantiers de construction, Chantiers de construction -- Équipement, Barres d'armature, Götaland (Suède)
Armatures de béton en fer rouillées, empilées sur le chantier d'une ancienne carrière à Rixö, Lysekil, Suède.
Dessins et plans, Chemins de fer, Bogies, Technologie ferroviaire, Chemins de fer -- Courbes et branchements, Essieux
Représentation d'un véhicule (profilé en bleu) équipé de deux bogies (en jaune orangé). Les essieux sont figurés en rouge. L'utilisation des bogies permet la circulation sur une voie dont le rayon de courbure est relativement faible. La fonction essentielle des bogies est de faciliter l'inscription en courbe. En effet, les bogies du véhicule peuvent pivoter indépendamment les uns des autres, ce qui autorise des rayons de courbure plus faibles, et un éloignement plus important entre les essieux (qu'ils soient moteurs ou porteurs). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bogie.
Gravure, Sphère, Dix-septième siècle, Ferronnerie d'art, Objets en fer, Cantines, Économie domestique -- Appareils et matériel, Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), Musée de Cluny. Paris
Dessin d'une cantine portable du XVIIe siècle conservée au musée de Cluny. Fer battu et étamé, 40 cm de hauteur. L'anse supérieure en bronze permet de dévisser le bouchon de l'orifice A) par lequel on introduit de l'eau bouillante dans la moitié de la sphère. Les oreilles C) permettent le passage d'une courroie d'attache. Dans la cantine ouverte (fig. 2), deux disques bouchent des manchons (petits fours) qui peuvent contenir au chaud des viandes cuites. Dans la partie rabattue F) posée sur un brasier, ou dans la poche G) on peut cuire des légumes ou une soupe. Cette coquille fait office de gamelle, mais on peut aussi y loger pain, serviette, couteaux, cuillers et fourchettes. Source : Eugène Viollet-le-Duc (1814–1879), Dictionnaire raisonné du mobilier français de l'époque carolingienne à la Renaissance, t. 2, Paris, 1871, p. 49-51 avec 2 fig.
Carte du chemin de fer de Paris à Rouen, 1845, par Jules Janin, Guide du voyageur de Paris à la mer par Rouen et Le Havre, Paris, Ernest Bourdin éditeur.
Dessins et plans, Fonds de cartes, Trains à grande vitesse, Cartes, Cartes géographiques, Cartes routières, Chemins de fer, Chemins de fer -- France, TGV
Carte du réseau voyageurs de la SNCF, les TGV internationaux inclus.
Chemin de fer intérieur de l'exposition de 1889 par l'ingénieur Alphand : 1. Station de la Concorde ; 2. Station de la Tour Eiffel ; 3. Le tunnel de 106 mètres ; 4. Station du palais des machines ; 5. Une locomotive.
Quatre trains de la Ligne Saint-Étienne - Lyon : 1. train de voyageurs en traction équestre ; 2. train de marchandises en traction équestre ; 3. train de voyageurs en descente sans traction ; 4. train de houille, tiré par une locomotive du type d'avant de 1835. Le chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon, par Saint-Chamond, Rive-de-Gier et Givors, fut incontestablement l'œuvre des frères Seguin, auxquels s'était joint Édouard Biot, le fils de Jean-Baptiste Biot, membre de l'Institut. Le père, savant physicien, devait d'ailleurs apporter un concours efficace dans les calculs du nivellement de la ligne. Les frères Seguin d'Annonay, ingénieurs civils et manufacturiers, formaient déjà une société patentée ayant pour objet toutes opérations industrielles. Marc, dit Seguin Aîné, était le chef écouté et suivi de cette association fraternelle où Camille, Jules, Paul et Charles apportaient une collaboration compétente (Jean Falaize, La Vie du Rail n° 1841, 29 avril 1982). Source : Activités des professeurs d'Histoire du lycée Claude Lebois à Saint-Chamond (42400, Loire), http://profshistoirelcl.canalblog.com/archives/2008/10/05/10855271.html
Affiche pour les chemins de fer de l'ouest : Bretagne, Normandie, Etretat, etc. par Paul Berthon (1872-1909).
Schéma simplifié de l'approvisionnement de la sidérurgie mondiale, en millions de tonnes de fer contenu, en 2012.
Compas magnétique marin dans son habitacle : 1) cales de bois, 2) sphères, 3) aimants longitudinaux, 4) aimants transversaux, 5) flinder (aimant correcteur). Des fers doux (sphères de compensations et barreaux flinders), et des fers durs (aimants correctifs longitudinaux, latéraux et aimant de bande) servent à la compensation : Les fers doux compensent les champs magnétiques induits ; les fers durs compensent les champs magnétiques permanents. L'habitacle, placé si possible dans l'axe central du navire, est toujours éloigné le plus possible d'éventuelles perturbations magnétiques (antennes satellitaires, radios). Il peut comporter un système de miroirs de renvoi optique de lecture du compas pour le barreur dans la passerelle de navigation, mais ce système est de plus en plus remplacé par un système de lecture à distance électronique (capteur placé sous la cuvette). L'aimant de bande non représenté sur le schéma sert à la compensation pour une éventuelle gîte permanente (bande), ce dernier est ajustable verticalement par une chaînette.
Habitacle du compas marin. 1- Cales de bois, 2- Sphères, 3- Aimants longitudinaux, 4- Aimants transversaux, 5- Flinder. Le champ magnétique terrestre étant très faible, il a fallu obligatoirement diminuer au maximum les frottements de la rose sur le pivot (par l'ajout d'un flotteur entre autres). L'utilisation sur un navire a également demandé l'installation d'un système à cardan. La cuvette du compas est fixée sur la couronne interne du cardan, donnant ainsi au compas plus de possibilité de pouvoir garder l'horizontale à la mer. Le compas est placé dans un habitacle composé de bois et/ou de matériaux amagnétiques (1). Des fers doux (sphères de compensations-2 et barreaux flinders-5), et des fers durs (aimants correctifs longitudinaux, latéraux et aimant de bande) servent à la compensation : les fers doux compensent les champs magnétiques induits ; les fers durs compensent les champs magnétiques permanents. L'habitacle, placé si possible dans l'axe central du navire, est toujours éloigné le plus possible d'éventuelles perturbations magnétiques (antennes satellitaires, radios). Il peut comporter un système de miroirs de renvoi optique de lecture du compas pour le barreur dans la passerelle de navigation, mais ce système est de plus en plus remplacé par un système de lecture à distance électronique (capteur placé sous la cuvette).
Photographie, Compost, Compostage, Traverses de chemins de fer, Chemins de fer -- Traverses, Créosotes, Déchets -- Compostage
Compostière faite avec traverses de chemin de fer récupérées (au risque de polluer le compost avec la créosote).
Photographie, Compost, Compostage, Récupération (architecture), Traverses de chemins de fer, Créosote de bois
Compostière faite avec des traverses de chemin de fer récupérées, au risque de polluer le compost avec la créosote.
Métaux, Photographie, Fours, Métaux -- Surfaces, Corrosion, Métaux -- Analyse, Métaux -- Composition, Métaux -- Défauts, Métaux -- Oxydation anodique, Oxydation, Oxyde ferreux, Physico-chimie
Corrosion d'une plaque de four par la rouille. La corrosion désigne l'altération d'un matériau par réaction chimique avec un oxydant (le dioxygène et le cation H+ en majorité). Les exemples les plus connus sont les altérations chimiques des métaux à l'air ou dans l'eau, telle la rouille du fer. L'étude fondamentale des phénomènes de corrosion relève essentiellement de l'électrochimie. L'étude appliquée des phénomènes de corrosion est un domaine de la science des matériaux, qui comporte à la fois des notions de chimie et de physique (physico-chimie). La corrosion est un problème industriel important : le coût de la corrosion, qui recouvre l'ensemble des moyens de lutte contre la corrosion, le remplacement des pièces ou ouvrages corrodés et les conséquences directes et indirectes des accidents dus à la corrosion, est estimé à 2 % du produit brut mondial). Chaque seconde, ce sont quelque 5 tonnes d'acier qui sont ainsi transformées en oxydes de fer…
Photographie, Piles électriques, Vêtements, Environnement, Couches-culottes, Verre, Journaux, Emballages alimentaires, Emballages, Emballages en matières plastiques, Déchets ménagers, Déchets organiques, Emballages en papier, Polystyrène, Tissus et textiles, Verre à vitres
Déchets ménagers courants : 1) Le verre coloré ; 2) Les emballages en plastique souple (polyuréthanes) ; 3) Les emballages en plastique dur (PVC) ; 4) Les cartons gris et marron ; 5) Les récipients et objets en aluminium ; 6) Les boîtes de conserve en fer blanc ; 7) Les emballages en plastique imprimé, les emballages en papier alimentaire ; 8) Les emballages en polystyrène ; 9) Le verre blanc (vitre, vaisselle) ; 10) Les piles ; 11) Les autres métaux (sauf fer et aluminium) ; 12) Les déchets organiques (restes alimentaires, cheveux, plumes, filtres à café) constituent la fraction fermentescible des ordures ménagères (FFOM) ; 13) Les journaux, magazines, catalogues, annuaires, prospectus ; 14) Les tissus, vêtements, fils, fibres ; 15) Les autres déchets (couches-culottes, lingettes, déchets mixtes inclassables).
Peinture, Art nouveau, Art nouveau (décoration), Décoration et ornement -- Art nouveau, Années 1890, Anton Seder (1850–1916), Ferronnerie d'art, Objets en fer forgé
Lithographie de Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau, 1890 : Fer forgé. Le fer forgé est une forme très pure de fer destiné au commerce, qui se caractérise par une faible teneur en carbone. Il est dur, malléable et peut être aisément mélangé à d'autres métaux. Il est cependant trop peu résistant pour la confection de lames et d'épées. Le fer forgé est utilisé depuis des milliers d'années, et représente le "fer" standard tel qu'on le connaît en histoire. De façon traditionnelle, le fer forgé était obtenu à partir du minerai de fer qui était chauffé à blanc dans une forge. Par la suite, on le martelait afin d'éliminer les scories contenues dans le minerai. Les procédés industriels du XIXe siècle ont permis de produire du fer forgé en grande quantité ce qui a permis d'étendre son utilisation à de grandes structures.
Métaux, Dessins et plans, Protection, Corrosion, Oxyde ferreux, Corrosion électrochimique, Diagrammes, Matériaux résistant à la corrosion, Stabilité
Diagamme potentiel-pH (diagramme de Pourbaix) de l'élément fer à 25°C en milieu aqueux (simplifié). La stabilité du fer dans l'eau dépend : du pH, qui détermine la concentration d'ions H3O+ dans l'eau ; du potentiel électrique de la pièce en fer par rapport à la solution, qui détermine la capacité des électrons à quitter le fer. On peut ainsi tracer un diagramme potentiel-pH (E, pH), en indiquant les zones de stabilité du fer (Fe), les zones de stabilité de l'ion Fe2+ (ou « ion fer II »), les zones de stabilité de l'ion Fe3+ (ou « ion fer III ») et les zones de passivation. Il s'agit donc d'une sorte de « carte », les zones délimitées par des frontières indiquant les couples de valeurs (E, pH) pour lesquelles une espèce est stable. Ce diagramme porte le nom de diagramme de Pourbaix, et peut être tracé pour tous les métaux. Pour savoir si un matériau est adapté à un milieu, il suffit de regarder le diagramme de Pourbaix de ce matériau. Si le couple (E, pH) se situe dans une zone de stabilité, le matériau est protégé contre la corrosion généralisée.
Le Dolderbahn est un chemin de fer privé situé dans la ville de Zurich. Ce train à crémaillère relie l’arrêt Römerhof dans le quartier d'Hottigen à l'arrêt Dodler sur l'Adlisberg. La ligne appartient à la Dolderbahn-Betriebs AG et est opérée conjointement avec la VBZ. La ligne a été ouverte en 1895 en tant que funiculaire et a été transformée en 1973 en chemin de fer à crémaillère. Il est 19h23 à l'arrêt Dodler.
Dessins et plans, France, Chemins de fer, Chemins de fer -- Électrification, Électrification, Électrification des chemins de fer
Carte de l'électrification du réseau ferré français en 2008 : Selon la largeur du trait sur la carte, la ligne est à voie unique, ou compte deux voies ou plus. Une ligne grise représente une ligne non-électrifiée ; une ligne verte, une ligne électrifiée en courant 1,5 kV continu ; une ligne orange, une ligne électrifiée en courant industriel 25 kV alternatif ; une ligne jaune enfin, une ligne électrifiée avec un autre type de courant. Les lignes à grande vitesse (électrifiées en 25 kV alternatif) sont représentées en rouge.
Le fer à cheval est une bande de métal recourbée en U servant à protéger de l'usure le dessous des sabots des équidés. L'invention date du IXe siècle. Le maréchal-ferrant est l'artisan spécialiste du ferrage des chevaux.
Fer à cheval rouillé suspendu à un poteau en bois à Romorantin : rôle de porte-bonheur.
Ferblantier, Tripoli, Medina. Le ferblantier est celui qui fabrique ou qui vend des outils ou ustensiles en fer-blanc souvent ménagers tels que par exemple les casseroles, les bassines, les assiettes, les lanternes en fer recouvert d'une fine couche d'étain.
Gravure, Mécanique, Spirales, Ressorts, Mécanique appliquée, Âge du fer, Agrafes, Antiquités préhistoriques, Broches (bijoux), Fibules
Dessin de fibule de l'âge du fer (Halsstatt) recto et verso (système d'attache). Source : "Nordisk familjebok" (1909), vol.10, p.1145-1146. L'enroulement d'un fil de métal (ensuite trempé) lui confère les caractéristiques d'un ressort, qui conserve une forme décorative (double spirale) commune depuis la Préhistoire. Le ressort bilatéral : IL peut être très court, tourné seulement une ou deux fois ou plus long pouvant atteindre une taille de 10 cm. La plupart des ressorts bilatéraux sont faits d'une seule pièce de métal et sont composés d'une seule corde allant d'un bout à l'autre et pouvant passer devant ou derrière le corps de la fibule. Le ressort bilatéral s'enroule autour d'un axe souvent en fer même si le reste du ressort est composé d'alliage de cuivre.
Fragments purs (99,97 %+) de fer, raffinés par électrolyse, à coté d'un cube d'1 cm3 de fer de haute pureté (99,9999 % = 6N), pour comparaison.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.174 ; manuel scolaire, édition de 1904 : GARE DE CHEMIN DE FER. - Les gares sont des abris sous lesquels les trains s'arrêtent : c'est là que descendent et montent les voyageurs, c'est là qu'on charge et décharge les marchandises. Les gares des grandes villes, surtout celles de Paris, sont de véritables monuments.
Photographie, Photographie de paysages, Relief (géographie), Chemins de fer, Gorges (géographie), Gorges (géographie) -- France, Allier (France), Lignes de chemin de fer, Monistrol-d'Allier (Haute-Loire)
Les gorges de l'Allier près de Monistrol-d'Allier, Haute-Loire. Une portion de la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac est visible.
Photographie, Grilles, Arts décoratifs, Ferronnerie d'art, Objets en fer forgé, Basse-Autriche (Autriche)
Grille de fenêtre extérieure en fer forgé, Château des chevaliers teutoniques de l'église de Gumpold en Basse-Autriche.
Grille de fer forgé en Autriche : château des Chevaliers Teutoniques, à Gumpoldskirchen, en Autriche.
Grille en fer forgé à l'entrée des jardins de Westferry Circus, Londres, mars 2011.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.112 ; manuel scolaire, édition de 1904 : UN HAUT FOURNEAU. - Les hauts fourneaux sont des espèces de tours solides qu'on remplit par en haut de minerai de fer. Une fois que le haut fourneau est allumé, on le remplit jour et nuit sans interruption pour avoir la plus grande chaleur possible jusqu'à ce que les murs usés se fendent et éclatent. A mesure que le fer se fond, il tombe en dessous, dans un réservoir.
Fer, Gravure, Métallurgie, Leçons de choses, Bandes dessinées en éducation, Enseignement scolaire, Images d'Épinal, Enseignement technologique, Métallurgie -- Personnel
Imagerie d'Épinal n°3823 - l'histoire du fer. Planche appartenant à la série de 50 planches réalisées par l'éditeur Gaston Lucq (dit Glucq) entre 1880 et 1884. Ces planches seront retravaillées en 1905 et une dernière fois à la fin de la première guerre mondiale.
Inauguration du petit chemin de fer-omnibus du Cours-la-Reine en 1853.
Dessins et plans, Cartes topographiques, Dix-neuvième siècle, Chemins de fer, Japon, Tokaido (Japon. - route)
La route du Tokaido, reliant Tokyo à Kyoto, Osaka et Kobe. La ligne principale Tōkaidō (Tōkaidō-honsen?) relie Tokyo (Gare de Tokyo) à Kōbe (Gare de Kōbe), soit 589,5 km et 161 gares. Il s'agit de l'un des tout premiers chemins de fer construits au Japon, le premier tronçon (entre Shimbashi et Yokohama) étant inauguré en 1872 et la ligne étant complétée en 1889. En 1987, lors de la privatisation et de la scission de la JNR, son exploitation a été divisée en trois parties réparties entre trois compagnies ferroviaires différentes (si bien qu'aujourd'hui il n'existe plus de trains couvrant la totalité du parcours à l'exception de certaines liaisons nocturnes) : 1) le tronçon Tokyo - Atami (104,6 km) est géré par la JR East, 2) le tronçon Atami - Maibara (341,3 km) est géré par la JR Central, 3) le tronçon Maibara - Kōbe (143,6 km) est géré par la JR West.