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Photographie | Tambours (famille d'instruments) | Instruments à percussion | Instruments de musique | Musique | Tambour | Tambour (membranophones) | Instruments de musique -- Inde | Tambours (musiciens) | Musiciens | Batteurs (musiciens) | Musiciens cubains | Bidons | Aristocrates | Joueurs de percussions | Khol | Collections de costumes | Hudukka | Terres cuites | Instruments de musique anciens | ...
Batteur de tambour. Source : http://data.abuledu.org/URI/53165393-batteur-de-tambour-

Batteur de tambour

Batteur de tambour après la parade de Aizu en 2006, Aizu-Wakamatsu, préfecture de Fukushima, au Japon.

FirefoxOS - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/560ba0b5-firefoxos-2

FirefoxOS - 2

"Firefox OS s'en va en terre", illustration pour Cyrille Borne : "il serait temps de changer de stratégie, pour adopter un principe à la Linux ou à la Cyanogen pour voir l'adoption du système d'exploitation qui permettrait de donner une nouvelle vie à certains smartphone et d'en libérer d'autres. Si le succès comptable est au rendez vous alors que peut être les constructeurs auront de bonnes raisons de vouloir vendre du Firefox OS, raisons qu'ils n'ont pas pour l'instant..." sur l'air de "Malbrough s'en va-t-en guerre".

Hautbois et tambours à Sète. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395e6d6-hautbois-et-tambours-a-sete

Hautbois et tambours à Sète

Fêtes de la Saint-Pierre à Sète - musique traditionnelle des joutes : hautbois et tambours.

Bongo. Source : http://data.abuledu.org/URI/53072465-bongo

Bongo

Le bongo ou bongó est un instrument de percussion de Cuba qui s'est répandu dans toute la musique latine. C'est une paire de tambours solidaires, à une membrane chacun et dont l'un est plus grand que l'autre. Le percussionniste jouant des bongos s'appelle un bongocero. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bongo.

Conga rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/504af337-conga-rouge

Conga rouge

Dessin de conga rouge.

Costumes allemands du début du seizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5308a291-costumes-allemands-du-debut-du-seizieme-siecle

Costumes allemands du début du seizième siècle

Planch 63, Costumes allemands du début du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-2, 5, chevaliers ; 3-4, 6-8, aristocrates et courtisans ; 9, 12-13, soldats ; 10, porte-étendard ; 11, batteur.

Hudukka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533980cd-hudukka

Hudukka indien

L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2

Khol bengali. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396581-khol

Khol bengali

C'est une version originale de l'est de l’Inde. Il est long comme un mridangam, mais ses faces sont disproportionnées : l'une à droite, est minuscule (7 cm) et l'autre à gauche, est énorme (30 cm). L'instrument est en terre cuite, et donc très fragile, mais très léger, et très sonore. Si on retrouve la pastille noire à droite, elle n'émet en revanche aucun "buzz" et ne subit pas les frappes claquées si caractéristiques. En revanche, on n'applique aucune pâte à gauche. En effet, il s'y trouve une pastille noire (ou brune) permanente, mais elle peut être aussi placée à l'intérieur de la peau ! De ce fait s'offre une nouvelle possibilité de jeu, similaire à celle du baya (tambour basse) du tablâ : on peut utiliser des glissandos du poignet sur la peau et en variant la pression, obtenir un son plus ou moins long du genre "woop". Le nombre de lanières reliant les deux peaux est beaucoup plus important, afin de protéger la caisse de résonance. On n'accorde pas cet instrument à l'aide d'une action mécanique (coup), mais à l'aide d'une réaction physique : on chauffe l'instrument pour monter l'accord. Le khol accompagne les bhajans et les kirtans, les chants religieux dérivés du dhrupad. Il se joue souvent debout et son apprentissage est plus empirique que scientifique. Il est aussi utilisé par les musiciens errants, les bauls. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mridang#Le_khol_bengali

Les tambours du Bronx. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db5aa1-les-tambours-du-bronx

Les tambours du Bronx

Bidons utilisés comme instruments de musique à percussion (idiophones) par le groupe des Tambours du Bronx, groupe de percussions urbaines français formé en 1987. Leurs concerts ont pris une identité, créant leur musique en frappant violemment sur des bidons, en suivant une scénographie précise. Leur musique est un mélange énergique d'indus, afrobeat, rock, techno et world music. Ils sont dix-huit musiciens sur scène, utilisant sons synthétiques et samples au service d'une rythmique très puissante. Ce subtil mélange en a fait une des références internationales en percussions expérimentales et en musique industrielle.

Musiciens de l'infanterie japonaise en 1843. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bbebc9-musiciens-de-l-infanterie-japonaise-en-1843

Musiciens de l'infanterie japonaise en 1843

Infanterie japonaise par Auguste Wahlen, "Moeurs, usages et costumes de tous les peuples du monde", Volume 1. La Librairie historique-artistique, 1843.

Rouleur réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/534806b1-rouleur-

Rouleur réunionnais

Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui : ce qui permet de modifier la tension et donc le timbre en se servant d’un de ses pieds. Les différentes graphies du nom sont quant à elles le reflet de différentes prononciations suivant les locuteurs considérés ou l’époque : rouleur, houleur, ouleur, oulèr, oulère, rouler. Le rouleur ou houler doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. En outre l’instrumentaliste fait des roulements et donc fait rouler ses mains sur la peau du tambour. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Cet instrument se retrouve à l'île de la Réunion (et Rodrigues où on le nomme simplement tambour). Traditionnellement fabriqué dans un tronc évidé au bois variable d'au moins 70 cm de long et 50 cm de diamètre, il est souvent conçu aujourd'hui avec une barrique ou un tonneau dont on a détruit les deux extrémités. Le plus souvent, la peau est de bœuf ou de cabri collée sur un cercle de bois comportant des cymbalettes. Le rouleur se joue maintenu au sol en position horizontale, le musicien accroupi à cheval dessus. Le talon est parfois utilisé pour percuter l'instrument en plus des mains. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouleur

Tabla indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396120-tabla

Tabla indien

Le tabla est un instrument de musique à percussion indien certainement dérivé des nagaras ou des « tablas » arabes. La légende en attribue l'invention à Amir Khusrau, fondateur de la Delhi gharana, au XIVe siècle. On dit aussi qu'il serait né de la colère d'un musicien qui aurait jeté son mridangam par terre et l'aurait brisé en deux : l'instrument fonctionnait toujours et donna naissance au tabla. On en joue assis par terre, les instruments reposant sur des petits coussins afin de les orienter proprement. Avec le mridang, c'est le membranophone le plus complexe qui soit. Le tabla est composé de deux fûts, un petit tambour mâle, le dayan ou dahina (droite), et une timbale femelle, le bayan ou baya (gauche), accordée généralement à la quinte grave (en fonction de la tonalité et du raga, ce peut être à la quarte ou à l'octave). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tabla