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Fortifications -- France | Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707) | Dessins et plans | Architecture -- Dessins et plans | Poliorcétique | Guerre de siège | Humour par l'image | Dix-neuvième siècle | Gravure | Bastions | Artistes français | Grandville (1803-1847) | Transports publics par omnibus | Illustrations humoristiques | Illustration des périodiques | Histoire | Cambrils (Espagne) | Places fortes | Catalogne (Espagne) -- Politique et gouvernement (1516-1716) | Catalogne (Espagne) -- Histoire | ...
Monument des moissonneurs en Catalogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/539cc72c-monument-des-moissonneurs-en-catalogne

Monument des moissonneurs en Catalogne

Muraille et porte de la rue Major à Cambrils, Monument au siège de 1640. Pendant le début de la Guerre des faucheurs (ou de sécession de Catalogne), en décembre 1640, les troupes catalanes ont essayé d'arrêter la progression de l'armée royale espagnole, qui venait de Tortose, d'abord au Col de Balaguer (dans la municipalité de Vandellos) et ensuite à Cambrils. Le 12 décembre 1640, Cambrils a été assiégée par les troupes commandées par le Marquis de Los Vélez. Les défenseurs de la ville, environ 3 000 soldats et des miliciens, avec 2 canons, dirigés par Antoni d'Armengol, Baron de Rocafort de Queralt, ont refusé de rendre la place forte de Cambrils et dû faire face à une armée composée de 23 000 soldats d'infanterie, 3 100 de chevalerie et 24 pièces d'artillerie. La 14 décembre, la ville capitula : près de 1000 défenseurs furent massacrés. Quelques semaines plus tard l'armée royale fut à son tour vaincue sur la montagne de Montjuich, à Barcelone. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cambrils

Système de fortification de Vauban 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309b866-systeme-de-fortification-de-vauban-1

Système de fortification de Vauban 1

Modèle de citadelle construit par Vauban à ses débuts, connu sous le nom de premier système. Au début de sa carrière d'ingénieur aux fortifications, son travail était très proche de ce qui avait été fait par les architectes italiens et français de l'époque. Lui-même reconnaissait qu'il « paganisait » (allusion au comte de Pagan). Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fortifications_et_constructions_de_Vauban.

Système de fortification de Vauban 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309bb26-systeme-de-fortification-de-vauban-2

Système de fortification de Vauban 2

Tirant expérience de la poliorcétique (guerre de siège), Vauban développa un deuxième système. S'étant rendu compte que la prise d'un bastion entrainait invariablement la prise rapide de la ville, il décida de séparer ces derniers de l'ouvrage. Cette modification avait pour avantage de mieux protéger l'artillerie et de créer une deuxième ceinture de protection. Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir".

Système de fortification de Vauban 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309bbff-systeme-de-fortification-de-vauban-3

Système de fortification de Vauban 3

Ce dernier système est l'aboutissement de plusieurs décennies d'expérience militaire. Ce type d'ouvrage ne fut construit qu'une fois, ce fut Neuf-Brisach, en Alsace, destiné à remplacer la place de Vieux-Brisach (Alt-Breisach en rive droite du Rhin, perdue par la France). Il reprend les évolutions du deuxième système qui augmentait encore la défense en profondeur notamment par l'implantation de « tours-bastions » renforçant les bastions. Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fortifications_et_constructions_de_Vauban.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.