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Photographie | Lentilles (optique) | Dessins et plans | Lumière | Microscopes électroniques | Phares | Optique | Phares -- France | Lumière -- Propagation | Lumière, Théorie ondulatoire de la | Savants allemands | Physique | Monuments historiques | Gravure | Phare du XIXe siècle en France | Signalisation maritime | Aides à la navigation | Légumineuses | Lentilles | Mer du Nord | ...
Lentilles Beluga. Source : http://data.abuledu.org/URI/509b86a8-lentilles-beluga

Lentilles Beluga

La lentille cultivée (Lens culinaris) est une espèce de plantes dicotylédones annuelles appartenant à la famille des Fabaceae ou légumineuses, largement cultivée pour ses graines comestibles riches en protéines.

Quatre plantes légumineuses. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d739c-quatre-plantes-legumineuses

Quatre plantes légumineuses

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), gravure Perot, 1877, p.40 : manuel scolaire, édition de 1904 : PLANTES LÉGUMINEUSES. - On appelle légumineuses les plantes qui ont pour fruits des gousses. Les plus précieuses de ces plantes sont, dans notre pays, les haricots et les pois, si nourrissants, les fèves et les lentilles, qu'on cultive surtout dans nos départements maritimes de l'ouest et du midi et dont les équipages des navires font une consommation considérable.

Différents types de lentilles optiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/538ad7de-differents-types-de-lentilles-optiques

Différents types de lentilles optiques

Lentilles optiques convergentes et divergentes : biconvexe, planoconvexe, ménisque convergent, ménisque divergent, planoconcave, biconcave. Une lentille optique est un composant fait d'un matériau généralement homogène, isotrope et transparent pour la lumière dans le domaine spectral d'intérêt. C'est le plus souvent un type de verre optique, ou des verres plus classiques, des plastiques ou des matériaux organiques. Les lentilles sont destinées à faire converger ou diverger la lumière. Traduction en français Cyrille Largillier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lentille_optique

Faisceau électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8ec9c-faisceau-electronique

Faisceau électronique

Schéma des rayons dans le faisceau électronique du MET : rayon incident, échantillon, lentilles, figure de diffraction, image.

L'optique de Képler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0ac37-l-optique-de-kepler

L'optique de Képler

Planche de Johannes Kepler "Ad Vitellionem Paralipomena, quibus Astronomiae Pars Optica" (1604), illustrant la structure de l'oeil. Dès 1603, il parcourt divers ouvrages sur le sujet dont celui de l’Arabe Alhazen. Kepler rassemble les connaissances de l’époque dans son livre "Astronomia pars Optica", publié en 1604. Il y explique les principes fondamentaux de l’optique moderne comme la nature de la lumière (rayons, intensité variant avec la surface, vitesse infinie, etc.), la chambre obscure, les miroirs (plans et courbes), les lentilles et la réfraction dont il donne la loi i = n×r, qui est correcte pour de petits angles (la vraie loi — sin i = n×sin r — fut donnée plus tard par Willebrord Snell et René Descartes). Il aborde également le sujet de la vision et la perception des images par l’œil. Il est convaincu que la réception des images est assurée par la rétine et non pas le cristallin comme on le pensait à cette époque, et que le cerveau serait tout à fait capable de remettre à l’endroit l’image inversée qu’il reçoit.

Lentille de Fresnel équipant les phares. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8efcc-lentille-de-fresnel-equipant-les-phares

Lentille de Fresnel équipant les phares

Lentille à échelons ou lentille de Fresnel. Grande optique de premier ordre de feu fixe à éclats réguliers ; Anonyme : 1870, bronze et cristal ; H. 254 x Diamètre 198 cm ; Poids 1500kg environ ; Exposé à Paris, palais de Chaillot ; Musée national de la Marine. Dans le domaine de l’optique appliquée, Fresnel invente la lentille à échelon (dite Lentille de Fresnel) utilisée pour accroître le pouvoir de l’éclairage des phares. Elle est encore utilisée dans les phares maritimes, mais aussi dans les phares automobiles et les projecteurs de cinéma.

Lentille magnétique au laboratoire de Maier-Leibnitz. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8ee4f-lentille-magnetique-au-laboratoire-de-maier-leibnitz

Lentille magnétique au laboratoire de Maier-Leibnitz

Lentille magnétique au laboratoire de Maier-Leibnitz (physicien nucléaire allemand). Une lentille magnétique est un dispositif produisant un champ magnétique à symétrie de révolution, utilisé dans des appareils comme les microscopes électroniques pour focaliser les faisceaux d'électrons de la même façon que les lentilles en verre sont utilisées dans les appareils d'optique photonique.

Loupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/501978e6-loupe
Loupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50197945-loupe

Loupe

Dessin d'une loupe

Loupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7b9bb-loupe

Loupe

Loupe. Une loupe est un instrument d'optique subjectif constitué d'une lentille convexe permettant d'obtenir d'un objet une image agrandie. La loupe est la forme la plus simple du microscope optique, qui, lui, est constitué de plusieurs lentilles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Loupe. La loupe est souvent associée, en littérature de jeunesse, aux enquêtes policières "à la manière de Sherlock Holmes".

Marie aux sabots de bois se gage - 15. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bccfb7-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-15

Marie aux sabots de bois se gage - 15

Marie aux Sabots de bois se gage - 15, Jordic (1876 - 1915) : ...choire entr'ouverte, laissant voir des dents aigües. L'épicier chancelle, la comtesse s'évanouit sur un sac de lentilles, les bonnes poussent des cris de terreur. Patatras ! la tête tombe et ploc ! la peau de tigre s'abat sur le sol. M. Poivre reconnaît le tapis de Mme Sabreur. -- Ah ! ah ! Et il gourmande les bonnes : -- Sottes ! Ai-je eu peur, moi ? Quelques gouttes de vinaigre raniment la comtesse de Pimbèche. Mais, pioc ! Nouveau choc étrange ; on aperçoit une petite bretonne, tête en bas, pieds...

Microscope électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8dd82-microscope-electronique

Microscope électronique

Schéma du faisceau d'électrons dans un MET : 1 : colonne, 2 : source d'électrons, 3 : électrons, 4 : cathode, 5 : anode, 6 : lentilles condenseur, 7 : échantillon, 8 : lentilles diffraction, 9 : lentilles projection, 10 : détecteur. La microscopie électronique en transmission (MET ou TEM en anglais pour "Transmission Electron Microscopy") est une technique de microscopie où un faisceau d'électrons est « transmis » à travers un échantillon très mince. Les effets d'interaction entre les électrons et l'échantillon donnent naissance à une image, dont la résolution peut atteindre 0,08 nanomètre. Les images obtenues ne sont généralement pas explicites, et doivent être interprétées à l'aide d'un support théorique. L'intérêt principal de ce microscope est de pouvoir combiner cette grande résolution avec les informations de l'espace de Fourier, c'est-à-dire la diffraction. Il est aussi possible d'étudier la composition chimique de l'échantillon en étudiant le rayonnement X provoqué par le faisceau électronique. Contrairement aux microscopes optiques, la résolution n'est pas limitée par la longueur d'onde des électrons, mais par les aberrations dues aux lentilles magnétiques.

Microscope électronique d'Ernst Ruska. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8df67-microscope-electronique-d-ernst-ruska

Microscope électronique d'Ernst Ruska

Réplique (1980) du premier microscope électronique d'E. Ruska, 1933, physicien allemand qui a reçu le prix Nobel de physique en 1986 pour cette invention. Elle consiste à placer un échantillon suffisamment mince sous un faisceau d'électrons, et d'utiliser un système de lentilles magnétiques pour projeter l'image de l'échantillon sur un écran phosphorescent qui transforme l'image électronique en image optique. Pour les échantillons cristallins, un autre mode d'utilisation consiste à visualiser le cliché de diffraction de l'échantillon. les applications de la microscopie électronique couvrent un très vaste domaine, de l'observation d'échantillons biologiques, comme le noyau des cellules à l'analyse d'échantillons industriels dans la métallurgie ou l'industrie des semi-conducteurs.

Microscope électronique de Ruska. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b35363-microscope-electronique-de-ruska

Microscope électronique de Ruska

Microscope électronique construit par Ernst Ruska en 1933. Suite aux élaborations théoriques de Louis de Broglie en 1924, on a pu prouver en 1926 que des champs magnétiques ou électrostatiques pouvaient être utilisés comme lentilles pour les faisceaux d'électrons. Le premier prototype de microscope électronique a été construit en 1931 par les ingénieurs allemands Ernst Ruska et Max Knoll. Ce premier instrument grossissait au mieux les objets de quatre cent fois. Deux ans plus tard, Ruska construisit un microscope électronique qui dépassait la résolution possible d'un microscope optique. Reinhold Rudenberg, le directeur scientifique de Siemens, a breveté le microscope électronique en 1931, stimulé par une maladie dans la famille, pour rendre visible le virus de la poliomyélite.

Paysage sur gouttes d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/538adac3-paysage-sur-rosee-du-matin

Paysage sur gouttes d'eau

Guttation sur une prêle des eaux (Equisetum fluviatile) en Belgique dans la réserve naturelle "Marie Mouchon". Les gouttes d’eau comme la rosée peuvent être une forme de lentille naturelle. De petites tailles, elles ont la forme d'une calotte sphérique. Plus grosses, elles se déforment sous leur propre poids. La valeur limite est de quelques millimètres pour l'eau. La rosée sur les végétaux ne doit pas être confondue avec le phénomène biologique de guttation, dans lequel les végétaux eux-mêmes produisent le liquide qui se retrouve ensuite sous forme de gouttelettes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lentille_optique

Phare de Cayeux en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535927d6-phare-de-cayeux-sur-mer

Phare de Cayeux en Mer du Nord

Le phare de Cayeux est situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, au sud de la baie de Somme. Le phare est détruit le 31 août 1944 par les troupes allemandes. Un feu provisoire est mis en service le 25 avril 1947 en attendant la construction du phare actuel. En septembre 1951, le nouveau phare est mis en service. C'est une tour cylindrique en maçonnerie lisse, peinte en rouge et blanc. Un pavillon attenant sert de logement pour le gardien. Il est automatisé depuis 1999. Le contrôle s'effectue du bureau de Saint-Valery-sur-Somme où il y a toujours un membre du personnel d'astreinte. Hauteur : 28 m - Elévation : 35 m - Portée : 19 milles. Feux : 1 éclat rouge régulier, 5 secondes. Optique : éclats tournants, 4 lentilles de Fresnel, focale 0.375m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Cayeux

Phare de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590f4c-phare-de-dunkerque-risban

Phare de Dunkerque

Le phare de Dunkerque ou phare du Risban est un phare côtier portuaire automatisé de premier ordre. C'est le plus haut de France de ce type. Il est encore en service et peut être visité. Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825. Les travaux entrepris en 1883 pour l'installation de l'éclairage et du bâtiment annexe pour les machines et le logement des conducteurs sont dus à l'ingénieur Lyriaud des Vergnes. Le feu n'a cessé d'être renforcé. En 1885, le phare de Risban sera l'un des premiers feux électrifiés au moyen d'une lampe à arc actionnée par des magnéto-génératrices. Avant son électrification, les combustibles employés furent successivement de l'huile végétale (1843), puis de l'huile minérale (1875). Le phare fut sérieusement endommagé par les bombardements de 1940 et d’importants travaux de réparation seront programmés dès 1946. Le phare est automatisé depuis 1985. Il a été restauré en 1992. Hauteur : 63 m - Elévation : 66.35 m - Portée : 28 milles (environ 50 km). Feux : 2 éclats blancs 10 secondes. Optique : optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. Focale 0.50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne : Halogénure métallique, 1000 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Dunkerque

Phare de Gatteville dans la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6d79-phare-de-gatteville

Phare de Gatteville dans la Manche

Le phare de Gatteville, ou phare de Gatteville-Barfleur, est situé sur la pointe de Barfleur (commune de Gatteville-le-Phare), dans la Manche. Il signale les forts courants du raz de Barfleur. L'architecte Charles-Félix Morice de la Rue (1800-1880), sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828 et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril 1835 qu'il fut allumé pour la première fois. Il comporte autant de marches que de jours dans l'année, autant de fenêtres que de semaines et autant de niveaux (représentés par le nombre de fenêtres en façade) que de mois. Il est électrifié en 1893. Hauteur 74,75 m - Elévation 78,85 m - Portée : 29 milles (53 km) ; Feux : 2 éclats blancs 10 secondes - Optique : 2 lentilles de Fresnel à 4 panneaux 1/4 jumelés, focale 0.30 m ; Lanterne : lampes au xénon 1600 w 1 par temps clair, 2 si brume. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gatteville

Planche de Cubomedusae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2a39-planche-de-cubomedusae-en-1909

Planche de Cubomedusae en 1904

Planche de cubomedusae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 78 : Chirodropus palmatus,Chiropsalmus quadrigatus, Charybdea obeliscus, Charybdea murrayana, Procharybdis tetraptera, Tamoya prismatica. Le cubozoaire (Cubozoa), appelé aussi méduse-boîte est un invertébré de la classe des cnidaires qui se distingue des autres méduses par la forme de son ombrelle en forme de cube. La méduse-boîte est connue pour son venin extrêmement puissant produit aussi par certaines espèces : Chironex fleckeri, Carukia barnesi et Malo kingi qui sont parmi les créatures les plus venimeuses au monde. Les piqûres de ces espèces ainsi que quelques autres de cette classe sont extrêmement douloureuses et souvent mortelles pour les humains. À l'intérieur de l'ombrelle se trouve un volet ou « velarium » qui sert à concentrer et augmenter l'écoulement de l'eau expulsée par l'ombrelle. En conséquence, la méduse-boîte peut se déplacer plus rapidement que les autres méduses. Des vitesses jusqu'à six mètres par minute ont été enregistrées. Le système nerveux de la méduse-boîte est plus développé que celui des autres méduses. Elle possède notamment un anneau nerveux autour de la base de l'ombrelle qui coordonne ses mouvements de pulsations ; lors que d'autres méduses ont simplement un pigment oculaire, les méduses-boîtes sont uniques du fait de la possession de vrais yeux avec rétines, cornées et lentilles. Leurs yeux (en grappes) sont situés sur chacun des quatre côtés de leur ombrelle. Ceux-ci permettent de voir les points spécifiques de la lumière, plutôt que de simplement distinguer la lumière ou l'obscurité. Les méduses-boîtes ont aussi des yeux de type "inférieur", parce que les gros yeux (visuellement "forts") ne sont qu'un des quatre sous-ensembles. Au total elles ont 24 yeux. Une autre particularité intéressante est que la méduse-boîte a quelque chose dans son organisme que l'on peut considérer comme un cerveau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cubozoa

Portrait de Fraunhofer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a76698-portrait-de-fraunhofer

Portrait de Fraunhofer

Portrait de Joseph von Fraunhofer, opticien et physicien allemand (1787-1826). Il fut l'inventeur du spectroscope avec lequel il repéra les raies du spectre solaire. il mit au point de nouvelles machines à polir les miroirs et de nouveaux types de verres optiques (le verre flint achromatique), qui apportèrent une amélioration décisive à la qualité des lentilles. Dans son institut d’optique, Fraunhofer ne se contentait pas de polir des lentilles ; il fabriquait entièrement des lunettes astronomiques, avec leur monture. On doit d'ailleurs à Fraunhofer les montures dites « équatoriales ». Aujourd'hui, la plupart des instruments d'amateur sont équipés de ce type de monture.

Quatre exemples de distance focale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb71d7-quatre-exemples-de-distance-focale

Quatre exemples de distance focale

Le point focal F et la distance focale f d'une lentille positive (convexe), négative (concave), un miroir concave et un miroir convexe. Il est toujours possible de calculer les distances focales à partir des données géométriques et des indices d'un système (courbure, indice de réfraction) puisqu'elles sont reliées à la vergence. Néanmoins quand ces données viennent à manquer une mesure expérimentale est possible. Les mesures expérimentales, pour les systèmes minces tels les lentilles minces, reposent généralement sur la détermination des positions des foyers objet et image. On rappelle que le foyer image est le point vers lequel convergent après le système des rayons qui sont parallèles à l'axe optique avant le système. À l'inverse, des rayons passant par le foyer objet ressortent parallèles à l'axe optique. Les rayons ne passent pas nécessairement physiquement par le foyer, il peut s'agir de leur prolongation.

Sémaphore de Gatteville. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b88901-semaphore-de-gatteville

Sémaphore de Gatteville

Les courants forts au large de la pointe de Barfleur, et les nombreux naufrages rendent indispensable l'édification d'un phare. En 1774, sous le règne de Louis XVI, la Chambre de commerce de Rouen décide de faire construire un premier phare en granite, de 25 mètres. À son sommet, un feu de bois et de charbon brûlait continuellement. Le charbon était approvisionné à dos d'homme et laissait peu de repos aux gardiens. En 1780 le feu à charbon fut remplacé par un système de réverbères constitué de 16 lampes à huile dans une lanterne vitrée. Ce phare étant trop petit pour recevoir les lentilles modernes, et trop faible pour pouvoir être exhaussé de 32 mètres, on décide d'ériger une nouvelle tour en 1825. L'ancien phare devient sémaphore. Celui-ci est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 11 mai 2009.

Suikerbonen De Bock Lentilles - Assortie. Source : http://data.abuledu.org/URI/502f85f8-suikerbonen-de-bock-lentilles-assortie-jpg
Une rue de Paris et son habitant - 4. Source : http://data.abuledu.org/URI/514102ef-une-rue-de-paris-et-son-habitant-4

Une rue de Paris et son habitant - 4

Une rue de Paris et son habitant, 1848, par Honoré de Balzac (1799-1850), chapitre 4 : Inconvénient des quais à livres ou les gloires en espalier. (602 mots). Le chemin de l'Institut passe par les bouquinistes du Pont Royal et leurs tentations intellectuelles. Étienne Louis Malus (1775-1812), est un ingénieur, physicien et mathématicien français. Augustin Fresnel (1788-1827), physicien français.

Utilisation des Pois secs en 2003. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d0c0da-utilisation-des-pois-secs-en-2003

Utilisation des Pois secs en 2003

Utilisations des pois secs (''Pisum sativum'') au niveau mondial en 2003. Source : FAOSTAT. Alimentation humaine 48% ; Alimentation animale 35% ; Semences 8% ; Transformés 5% ; Pertes 3% ; Variation de stock 1%. Concernant l'alimentation humaine, sur une consommation mondiale d'un peu moins de 4 millions de tonnes, le sous-continent indien en représente 37,2 %, dont 31,2 % pour l'Inde. Dans cette région du monde, les légumineuses jouent un rôle important dans l'apport en protéines dans l'alimentation, la majorité de la population étant végétarienne, toutefois le pois n'y joue qu'un rôle secondaire après de nombreuses autres espèces dont le pois chiche, le pois cajan, diverses sortes de haricots secs, les lentilles etc. Les autres consommateurs importants sont la Chine (12,8 %), le Royaume-Uni (5,8 %), la Russie (5,7 %), les États-Unis (4,1 %) et l'Éthiopie (3,7 %). L'Inde joue un rôle majeur sur le marché international du pois sec ; ce pays est en effet le premier consommateur mondial, le premier importateur et le quatrième producteur. L'Uttar Pradesh est la principale région productrice. Concernant l'alimentation animale, la consommation est fortement concentrée en Europe et en Chine. Les trois premiers pays consommateurs, Russie, France et Chine, totalisent près de 60 % du total (respectivement 22,1 %, 18,7 % et 17,7 %). La transformation industrielle des pois pour en tirer des dérivés amylacés et protéiques est relativement marginale. En France, le groupe Roquette Frères a créé en 2007 une usine de transformation de pois protéagineux en convertissant l'ancienne féculerie de Vic-sur-Aisne.