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Légende d'origine : "You are part of the Water, and the Water is part of you. But who needs who? " Qui a besoin de qui ? Fondation créée à Barcelone en 2010.
Portrait d'Alexis Clairault (1713-1765), mathématicien, par Louis-Jacques Cathelin (1738–1804). Il a été élu membre de l'Académie Royale des Sciences de Paris à seize ans. C'est à lui qu'on doit l'ouvrage capital "Théorie de la Figure de la Terre, Tirée des Principes de l'Hydrostatique". Dans ce livre, paru en 1743, Clairaut (on écrivait aussi Clairaux et Clairault) posa les fondations de l'hydrostatique moderne, dont la formulation actuelle fut donnée par Leonhard Euler (1707–1783) quelques années plus tard. Il fit une synthèse des rapports existant entre la pesanteur et la forme de la Terre et fut membre de la mission en Laponie.
Photographie, Antiquités gallo-romaines, Chapiteaux composites, Angers (Maine-et-Loire), Juliomagus (ville ancienne)
Angers, Musée des Beaux-Arts, Juliomagus : chapiteau composite en calcaire de la 1ère moitié du II° siècle, trouvé en réemploi dans les fondations de la Tour Toussaint en 1974.
Photographie, Cathédrales, Contreforts, Carrières (exploitations minières), Art chrétien (Moyen âge), Architecture, Ressources minérales, Paris (France) -- Notre-Dame de Paris
Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".
Graphique de Dr. Ted Fujita (1920-1998) pour expliquer les détails techniques de l'échelle qu'il a créée pour l'intensité des tornades, par rapport à l'échelle de Beaufort et l'échelle en nombre de Mach. Elle fut publiée dans un journal scientifique mais le docteur et sa famille l'ont ensuite rendue à l'usage public à condition de citer son origine. L’échelle de Fujita mesure la puissance des tornades lorsque les dommages sont vraiment reliés avec ce phénomène. Cette échelle est graduée de F0 (dégâts légers) à F5 (dégâts très importants), le tout tenant compte du type de construction et de sa solidité. Les tornades de force F5 s’accompagnent de vents de plus de 420 kilomètres à l’heure et sont capables d'arracher une maison en brique de ses fondations et de projeter à plusieurs centaines de mètres des véhicules ou d'autres gros objets. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tornade.
Éolienne : 1-Fondations, 2-Armoire de couplage au réseau électrique, 3-Mât, 4-Échelle, 5-Système d'orientation, 6-Nacelle, 7-Générateur, 8-Instruments de mesure, 9-Frein, 10-Multiplicateur, 11-Pale, 12-Jointure de pale, 13-Capuchon de moyeux.
L’île de Lampedusa ou Lampédouse1 (Isola di Lampedusa en italien, Isula di Lampidusa en sicilien, Lopadusa en latin) est une île italienne, d’une superficie de 20,2 km2 et peuplée par moins de 6 000 habitants, située à environ 200 km au sud d’Agrigente (Sicile), entre l’île de Malte et la Tunisie. Elle appartient à l’archipel des Pélages, qui comprend, outre Lampedusa, les îlots minuscules de Linosa et de Lampione. Ce dernier héberge un phare dont les fondations se trouvent immergées.
Photographie, Ouvrages d'art, Architecture, Ponts -- France, Orb (France. - cours d'eau), Ponts -- Fondations et piles, Haut-Languedoc (France), Roquebrun (Hérault)
Le pont sur l'Orb, pont en arc à 7 arches datant de 1870. Et dans le fond une partie du village de Roquebrun, Hérault, France. Parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Musée archéologique de Dijon : fragment de stèle funéraire trouvé dans les fondations de la muraille du castrum.
Photographie, Architecture civile, Chemins de fer à voie étroite, Ponts -- France, Ponts -- Fondations et piles, Viaducs -- France, Fontpédrouse (Pyrénées-Orientales), Paul Séjourné (1851-1939), Ponts en maçonnerie
Le train jaune pour la Cerdagne sur le Pont Séjourné, viaduc de la ligne de Cerdagne, sur la commune de Fontpédrouse (Pyrénées-Orientales, Languedoc-Roussillon, France) : pont à deux étages d'une longueur de 236,70 m séparés par un tablier intermédiaire. La partie centrale, qui enjambe le torrent, est encadrée par deux piles carrées ornées en leur sommet de créneaux. À l'étage inférieur, elle présente un grand arc ogival, d'une ouverture de 30 m pour une hauteur par rapport au torrent de 35 m. Cet arc, dont la clé de voûte touche le tablier de séparation des deux étages, porte, de part et d'autre de sa clef de voûte, deux arcs secondaires soutenant eux-aussi ce tablier intermédiaire. Sur ce premier étage se dressent quatre arcs, soutenant le tablier de la voie ferrée, prenant appui sur les deux grosses piles carrées encadrant la travée principale, ainsi que sur trois piles s'élevant par dessus l'arc ogival de l'étage inférieur. Enfin, deux viaducs d'approche avec arcs en plein cintre en maçonnerie encadrent cette partie centrale. Il a été conçu par Paul Séjourné, ingénieur français. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_S%C3%A9journ%C3%A9
Photographie, Ouvrages d'art, Ponts, Seizième siècle, Ponts en pierre, Loire (France. - cours d'eau), Bourgogne (France), Ponts -- France, La Charité-sur-Loire (Nièvre), Ponts -- Fondations et piles
Vieux pont du XVIème siècle sur l'un des bras de la Loire à la Charité-sur-Loire, Nièvre, Bourgogne.
Photographie, Granite, Géographie, Ponts en pierre, Ponts -- France, Ponts -- Fondations et piles, Poullaouen (Finistère), Aulne (France. - cours d'eau)
Poullaouen (Finistère) : vieux pont en granite sur l'Aulne (Base Mérimée : IA00005042).