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Carte du département de la Corse en 1852, par Victor Levasseur (1800–1870).
Condenseur de rosée en Corse. Une ONG, l'organisation pour l'utilisation de la rosée (OPUR13) promeut et soutient des actions à caractère scientifique, technique, artistique et littéraire liées à la formation et à la récupération de la rosée atmosphérique comme source d'eau alternative. L'OPUR coordonne divers projets de production d'eau alternative ou afférents, notamment pour les pays ou régions souffrant ou risquant de souffrir de pénurie d'eau pure (régions arides, îles, déserts...) ; communique à ce sujet vers les médias ; et a ouvert un centre documentaire et soutient toute activité scientifique et éducative liée à la rosée au sein des collèges, lycées et écoles supérieures.
Photographie, Géographie, Cartographie de la végétation, Corse (France), Maquis -- Écologie, Maquis (zones de végétation arbustive)
Maquis clairsemé corse. Le terme vient de l'italien macchia, lui-même dérivé du latin macula, tache, qui fait référence à l'aspect tacheté d'un paysage de maquis. Le maquis est une formation végétale plus basse qu'une forêt (fruticée), très dense, constituée principalement d'arbrisseaux résistants à la sécheresse, formant des fourrés épineux et inextricables. Cette formation, qui s'établit dans les massifs cristallins en terrain siliceux, résulte en général de la dégradation de la forêt de chênes-liège, elle-même ayant généralement remplacé un peuplement originel de chênes verts.
Représentation topographique de la Corse, avec échelle des couleurs.
Photographie, Races bovines, Lait de vache, Veaux, Vaches, Agriculture, Allaitement naturel, Corse (France)
Une vache nourrisant son veau, sur une route de Corse : La vache est élevée soit pour son lait (races laitières), soit pour la production de viande (races à viande ou « allaitantes »), soit pour les deux (races mixtes). Les vaches sont le plus souvent destinées à assurer le renouvellement du troupeau ou la production de lait. Comme tous les mammifères, une vache ne peut donner du lait qu'à partir du moment où elle a mis bas. Avant d'avoir eu son premier veau, la jeune femelle est appelée génisse.
Photographie, Géographie, Corse (France), Maquis, Maquis -- Écologie, Maquis (zones de végétation arbustive), Végétation et sols
Le maquis, sur les sols acides (siliceux) regroupe des espèces comme l'arbousier, le lentisque ou le chêne-liège.
Blason de la ville de Patrimonio (Haute-Corse). Blasonnement : D'azur à l'oranger arraché d'argent fruité d'or, accompagné en chef de trois étoiles de huit rais aussi d'argent rangées en fasce.
Carte des départements métropolitains : 01 Ain · 02 Aisne · 03 Allier · 04 Alpes-de-Haute-Provence · 05 Hautes-Alpes · 06 Alpes-Maritimes · 07 Ardèche · 08 Ardennes · 09 Ariège · 10 Aube · 11 Aude · 12 Aveyron · 13 Bouches-du-Rhône · 14 Calvados · 15 Cantal · 16 Charente · 17 Charente-Maritime · 18 Cher · 19 Corrèze · 2A Corse-du-Sud · 2B Haute-Corse · 21 Côte-d’Or · 22 Côtes-d’Armor · 23 Creuse · 24 Dordogne · 25 Doubs · 26 Drôme · 27 Eure · 28 Eure-et-Loir · 29 Finistère · 30 Gard · 31 Haute-Garonne · 32 Gers · 33 Gironde · 34 Hérault · 35 Ille-et-Vilaine · 36 Indre · 37 Indre-et-Loire · 38 Isère · 39 Jura · 40 Landes · 41 Loir-et-Cher · 42 Loire · 43 Haute-Loire · 44 Loire-Atlantique · 45 Loiret · 46 Lot · 47 Lot-et-Garonne · 48 Lozère · 49 Maine-et-Loire · 50 Manche · 51 Marne · 52 Haute-Marne · 53 Mayenne · 54 Meurthe-et-Moselle · 55 Meuse · 56 Morbihan · 57 Moselle · 58 Nièvre · 59 Nord · 60 Oise · 61 Orne · 62 Pas-de-Calais · 63 Puy-de-Dôme · 64 Pyrénées-Atlantiques · 65 Hautes-Pyrénées · 66 Pyrénées-Orientales · 67 Bas-Rhin · 68 Haut-Rhin · 69 Rhône · 70 Haute-Saône · 71 Saône-et-Loire · 72 Sarthe · 73 Savoie · 74 Haute-Savoie · 75 Paris · 76 Seine-Maritime · 77 Seine-et-Marne · 78 Yvelines · 79 Deux-Sèvres · 80 Somme · 81 Tarn · 82 Tarn-et-Garonne · 83 Var · 84 Vaucluse · 85 Vendée · 86 Vienne · 87 Haute-Vienne · 88 Vosges · 89 Yonne · 90 Territoire de Belfort · 91 Essonne · 92 Hauts-de-Seine · 93 Seine-Saint-Denis · 94 Val-de-Marne · 95 Val-d’Oise.
Gravure, Dix-huitième siècle, Géographie historique -- Cartes, Cartes historiques, Français (langue) -- Dialectes, Langue d'oïl
Carte établie par l'administration royale en 1732 pour représenter les traites, c'est à dire les zones disposant de statuts fiscaux en terme de barrières douanières. Les cinq grosses fermes : en gros la partie nord de la Loire à quelques exceptions près où le commerce interne était libre et les droits de douane vers les autres provinces et l'étranger avaient été uniformisés (Anjou, Aunis, Berry, Bourbonnais, Bourgogne, Champagne, Maine, Orléanais, Picardie, Poitou, Touraine), correspondant globalement à l'aire linguistique de la langue d'oïl. Les provinces réputées étrangères : Le Royaume de Navarre et la Soule (Pays Basque) à l'extrême Sud Ouest, La Bretagne (à l'Ouest), La Flandre, l'Artois (dans le Nord), la Franche Comté (à l'Est) l'Occitanie et la Catalogne (dans le sud de la France) payaient des droits de douane lorsqu'elles échangeaient entre elles ou avec les autres provinces ordinaires du royaume de France. Les provinces à l'instar de l'étranger effectif : comme le Pays Basque (Bayonne et le Labourd), l’Alsace, la Lorraine, le Comtat Vénessain (États du Pape) étaient considérées comme étrangères au royaume (Provinces à l'instar de l'étranger effectif). À ce titre, elles pouvaient commercer librement avec l'étranger, mais payaient des droits de douane importants pour les échanges commerciaux avec les autres provinces françaises. Ces provinces réputés étrangères ou à l'instar de l'étranger effectif sont d'ailleurs les mêmes qui parlent alors, dans la vie quotidienne, une autre langue que le français : le basque, l'occitan et ses dérivés gascons ou provençal, le catalan, le breton, le gallo, l'alsacien, le flamand… En 1732, la Savoie, le comté de Nice, la Corse sont indépendants du Royaume de France.
Photographie, Citadelles, Géographie, Bonifacio (Corse-du-Sud), Falaises -- France, Escaliers -- France
Escalier du roi d'Aragon taillé dans les falaises de Bonifacio en Corse : taillé par l'homme directement dans le calcaire et composé de 189 marches, cet escalier aurait, selon la légende, été creusé en seulement une nuit par les troupes du roi d'Aragon lors du siège de Bonifacio de 1420. Plus probablement creusé sur une durée plus longue par les moines franciscains pour accéder à une source d'eau potable située en bas de l'escalier. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonifacio
Photographie, Îles, Atlantique (océan), Géographie, Photographies aériennes, Vues aériennes, Charente-Maritime (France), Ile, Île de Ré (Charente-Maritime), Poitou-Charentes (France), Ré (Charente-Maritime), Île de
Vue aérienne de l'île depuis le nord. L’île de Ré est une île française située dans l'océan Atlantique, au large des côtes aunisiennes et vendéennes. Faisant partie de l'archipel charentais, elle est la quatrième plus grande île de France métropolitaine, derrière la Corse, l'île d'Oléron et Belle-Île. Autrefois partie intégrante de la province d'Aunis, elle est désormais rattachée au département de la Charente-Maritime et à la région Poitou-Charentes, et est divisée en deux cantons. La capitale historique de l'île est Saint-Martin-de-Ré, qui forme avec la commune voisine de La Flotte un pôle urbain de 5531 habitants (en 2008) mais la commune la plus peuplée est désormais Sainte-Marie-de-Ré (3112 habitants). Très touristique, l'île est surnommée « Ré la blanche » en raison de la teinte caractéristique de ses maisons traditionnelles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_de_R%C3%A9
Photographie, Ports -- France, Ferry-boats -- France, Transports maritimes, Bonifacio (Corse-du-Sud)
Deux ferry-boats à Bonifacio, à destination de Santa Teresa di Gallura en Sardaigne.
Réseau des radars météorologiques français en 2006 : ARAMIS (Application Radar à la Météorologie Infra-Synoptique) est le nom du réseau de radars météorologiques de France qui comprend 24 radars de précipitations répartis sur le territoire de ce pays, y compris sur la Corse, plus 3 autres des pays voisins. L’ensemble des données recueillies et traitées par ARAMIS est disponible 24 heures sur 24 et renouvelé toutes les quinze minutes sur l’ensemble du territoire sous la forme d’une mosaïque des images de chacun de ces radars.
Photographie, Tours, Tours bastionnées, Architecture militaire, Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768), Tours rondes
Tour génoise Castellucio sur la Grande Île des Sanguinaires (Corse).
Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.
Dessins et plans, Architecture militaire, Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768), Tours sèches
Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.
Tour génoise Santa Maria, Cap Corse : 1) guardiola, 2) terrasse, 3) salle de garde, 4) salle de repos, 5) réserves. Les tours génoises sont des édifices en pierre de 12 à 17 m de haut sur 8 à 10 m de diamètre. Parfois carrées, le plus souvent circulaires, elles sont toujours construites sur quatre niveaux : 5) la réserve : au sous-sol de la tour ; une niche servait à ranger les vivres ; on y stockait également les munitions ; et l'eau y était conservée dans une citerne, alimentée depuis la terrasse par une conduite directe ; 4) la salle de repos : au premier étage ; parfois séparée de la salle de garde par un simple plancher sommaire et formant avec elle un espace de vie unique ; 3) la salle de garde : au deuxième étage ; percée de meurtrières pour permettre aux torregiani de guetter ; 2) la terrasse : au sommet de la tour ; pour la surveillance ; percée de mâchicoulis ou munie de bretèches, était flanquée d'une guardiola. On passait d'un niveau à l'autre par des trappes et des échelles. L'accès à la porte d'entrée se faisait par une longue échelle mobile, directement au premier étage. Les gardes habitaient à tour de rôle la pièce unique pourvue de niches et d'une cheminée, et située sous la salle de guet.