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Photographie | Galets | Architecture vernaculaire | Murs | Béarn (France. - sud) | Mosaïques | Cours d'eau | Dessins et plans | Plages | Grèves (plages) | Géographie | Tortues | Florence (Italie) -- Palazzo Pitti | Animaux -- Dans l'art | Géologie | Étretat (Seine-Maritime. - région) | Paris (France) | Carrières souterraines (exploitations minières) | Voiles (marine) | Calcaire | ...
Empilement de pierres sur la plage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5874fa00-empilement-de-pierres-sur-la-plage

Empilement de pierres sur la plage

Empilement de pierres sur la plage en Angleterre.

Galets de la Mer Noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/588ce34e-galets-de-la-mer-noire

Galets de la Mer Noire

Galets de la Mer Noire, près du Cap Fiolent, Ukraine.

Galets multicolores en Corse. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bf4e46-galets-multicolores-en-corse

Galets multicolores en Corse

Galets multicolores sur la plage de Porto en Corse (France).

Galets peints aziliens. Source : http://data.abuledu.org/URI/591baa06-galets-peints-aziliens

Galets peints aziliens

Galets peints aziliens.

Grange béarnaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/58675f9e-grange-bearnaise

Grange béarnaise

Grange béarnaise : appareil de galets.

Maison octogonale en galets. Source : http://data.abuledu.org/URI/517feaed-maison-octogonale-en-galets

Maison octogonale en galets

Maison octogonale aux murs en galets. (Main Street, Madison, NY)

Mur de ferme en pierre en Béarn. Source : http://data.abuledu.org/URI/58669ae5-mur-de-ferme-en-pierre-en-bearn

Mur de ferme en pierre en Béarn

Mur de ferme en pierre et galets du Gave en Béarn, décembre 2016.

Mur de pierres et de galets. Source : http://data.abuledu.org/URI/58675f42-mur-de-pierres-et-de-galets

Mur de pierres et de galets

Maison béarnaise : appareil de galets.

Ruisseau sous la glace au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356b08e-ruisseau-sous-la-glace-au-quebec

Ruisseau sous la glace au Québec

Petite cascade d'un ruisseau sous la glace à Pointe-au-Pic (Québec).

Dérailleur de bicylette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58fc0-derailleur-de-bicylette

Dérailleur de bicylette

Dérailleur de bicylette : Un dérailleur est un système qui permet le déplacement de la chaîne d’un vélo, pour en changer le développement par démultiplication ou multiplication. Il est généralement commandé par câble. Le dérailleur arrière comporte aussi un tendeur de chaîne, chargé d'adapter sa longueur au diamètre du pignon choisi. Le dérailleur avant se charge de faire changer la chaîne de plateau pour choisir le braquet le plus avantageux. Le nombre théorique des vitesses d’un vélo est le produit du nombre de plateaux du pédalier par le nombre de pignons du moyeu arrière. Par exemple, un vélo avec 3 plateaux et 7 pignons aura 21 vitesses. Le dérailleur arrière déplace la chaîne sur le pignon sélectionné. Si la plupart des dérailleurs offrent toujours l’option de changer de vitesse en mode friction, les dérailleurs indexés ou à commande automatique sont la norme. Les dérailleurs sont d’utilisation simple, mais doivent être réglés très précisément : la course latérale de la fourchette du dérailleur doit être limitée afin que la chaîne ne saute pas. Le dérailleur arrière comporte deux roulettes ou galets qui assurent simultanément la tension et le guidage de la chaîne lors du changement de vitesse. Le galet du haut est identifié par l'inscription « Puley » tandis que celui du bas comporte la mention « string ».

Érosion à Étretat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50955168-erosion-a-etretat

Érosion à Étretat

Un produit de l'érosion du littoral : l'arche naturelle de la Manneporte, Etretat, France. L'érosion peut creuser la roche et donner naissance à des modelés de dissection. Les falaises d'Étretat sont constituées de calcaire du Crétacé, c'est-à-dire, pour l'essentiel, de la craie blanche à silex du Sénonien, plus précisément du Turonien au Coniacien. On y distingue les strates régulières de silex, ce qui explique la présence de galets sur la plage. En effet, à la suite de l'effondrement de pans de falaise, le calcaire et le silex se trouvent au contact de l'eau de mer qui dissout le calcaire et l'action des vagues polit le silex pour en faire des galets. L'existence de trois arches successives : la porte d'Amont, la porte d'Aval et la Manneporte ne serait pas liée à l'origine à l'érosion marine, mais à l'action d'une rivière côtière parallèle à la plage qui aurait creusé son lit dans la falaise avant le recul de celle-ci, matérialisé par l'« aiguille » d'un calcaire plus dur qui a empêché sa dissolution définitive, d'où cette extraordinaire création de la nature. Ensuite, la mer aurait élargi les arches, donnant au site l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui. Une autre hypothèse met au contraire l'accent sur une érosion différentielle par la mer, qui serait liée aux caractéristiques de dureté de la craie locale dans la zone de balancement des marées.

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

La tortue et la voile à Florence. Source : http://data.abuledu.org/URI/55127dc2-la-tortue-et-la-voile-a-florence

La tortue et la voile à Florence

Mosaïque de galets colorés à l'entrée de la Grotta del Buontalenti, Palais Pitti à Florence : La tortue et la voile, emblème choisi par Côme Ier de Médicis pour sa flotte. Cet emblème est représenté un grand nombre de fois sur les pavements, plafonds et parois du Palazzo Vecchio de Florence. La tortue, symbole traditionnel de lenteur mais aussi de prudence, est surmontée d'une voile gonflée, qui marque le mouvement et la vitesse. Illustration de l'oxymore "Festina lente". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grotte_de_Buontalenti

Mosaïque du léopard. Source : http://data.abuledu.org/URI/5291b385-mosaique-du-leopard

Mosaïque du léopard

Mosaïque du léopard de la maison des masques de Délos (musée) ; les mosaïques plus luxueuses sont exécutées avec la "nouvelle" technique qui a succédé aux mosaïques en galets : l'opus tessellatum. La couleur est l'élément fondamental des mosaïques de Délos. La plupart des pavements sont polychromes, à l’exception des mosaïques monochromes, et le tracé des motifs figurés et l'illusion qu'ils donnent souvent de la 3D sont liés au jeu des couleurs. Dans le répertoire géométrique comme dans le figuré, la couleur sert à donner l'illusion du volume.

Mur de pierres et de galets. Source : http://data.abuledu.org/URI/58675ee2-mur-de-pierres-et-de-galets

Mur de pierres et de galets

Maison béarnaise.

Mur végétal intérieur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fe54fa-mur-vegetal-interieur

Mur végétal intérieur

Mur végétal avec une rivière de galets réalisé par les Jardins de Babylone en intérieur.

Panicaut maritime en fleurs au Cap Ferret au mois de juin. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbf2f4-panicaut-maritime-en-fleurs-au-cap-ferret-au-mois-de-juin

Panicaut maritime en fleurs au Cap Ferret au mois de juin

Panicaut maritime (Eryngium maritimum) : c'est une plante vivace vert-bleuté aux feuilles coriaces, épineuses, aux fleurs bleues en capitules arrondis. On le rencontre en taches parfois importantes dans les dunes et zones de galets du littoral. Il fleurit de juin à septembre. "L'été rit, et l'on voit sur le bord de la mer / Fleurir le chardon bleu des sables." (Victor Hugo, Les contemplations, Paroles sur la dune). Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Panicaut_maritime

Source de la Rivière des galets dans le cirque de Mafate. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276af27-source-de-la-riviere-des-galets-dans-le-cirque-de-mafate

Source de la Rivière des galets dans le cirque de Mafate

Source de la Rivière des galets dans le cirque de Mafate depuis le Maïdo, montrant le lit de la rivière des galets, ainsi que le col du Taïbit, novembre 2004.