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Photographie | Dessins et plans | Géographie | Phares | Phares -- France | Ponts à haubans | Musique | Temps (météorologie) | Ponts à grande portée | Voûtes | Ponts | Navigation -- Mesures de sécurité | Sécurité maritime | Phare du XXe siècle en France | Caryophyllacées | Silènes (plantes) | Aquarellistes | Printemps | Peinture | Botanique | ...
Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6a5f-phare-de-ver-sur-mer

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine

Le phare de Ver-sur-Mer se trouve en baie de Seine, sur la commune de Ver-sur-Mer, dans le département du Calvados. Il a été mis en service au début des années 1900, endommagé en 1944 et remis en état après la guerre. C'est aussi un radiophare (indicatif éR-fréquence 310 kHZ - portée 20 miles). Hauteur : 13 m - Elévation : 42 m ; Portée : 26 milles (48 km) ; Feux : 3 éclats blancs 15 s - Optique : lentille à 6 panneaux focale 0.50 m -Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ver-sur-Mer

Phare du Cap Lévi sur la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e71e6-phare-du-cap-levi

Phare du Cap Lévi sur la Manche

Le phare du cap Lévi est situé au cap Lévi, sur la commune de Fermanville, dans la Manche. Il sert de relais entre le phare de la Hague et le phare de Gatteville. La tour est édifiée en 1947 sur les dessins des architectes Levasseur et Chauliat qui ont gardé le type de construction du phare détruit en 1944. La nouvelle tour est plus petite (28 mètres contre 31), mais a été construite à 2 mètres de plus au-dessus de la mer. Hauteur : 28 m - Elévation : 36 m - Portée 20 milles ; Feux : rouge à éclats, 5 secondes - Optique : type STPB en verre moulé à 4 panneaux, focale 0.375 m monture en aluminium Lanterne : lampe halogène 650 W. Kapelwic "l'anse de la chapelle" au Moyen Âge est le nom primitif d'un hameau dans une anse (vik en norrois) à proximité ; le nom est d'abord devenu "Caplevy" par métathèse de L et amuïssement du C. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Cap_L%C3%A9vi

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590a32-phare-du-cap-gris-nez-

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord

Le phare et à sa base le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS). Le phare du cap Gris-Nez éclaire le Pas-de-Calais. Le phare actuel fut mis en service en 1957. C'est une construction en pierres apparentes se trouvant dans le site classé (1987) des deux caps de la côte d'Opale (cap Blanc-Nez et cap Gris-Nez). À son pied se trouve le CROSS Gris Nez. Le premier phare fut allumé en 1837 et rehaussé en 1861 ; l'électrification de celui-ci se fit en 1869. Détruit par les Allemands pendant l'été 1944, la tour fut reconstruite en 1952. Les optiques flottent dans un bain de mercure. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 31 m - élévation : 72 m - Portée : 29 miles marins. Feux : 1 éclat blanc toutes les 5 secondes. Optique : verre taillé à 2 panneaux, focale 0.375 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_cap_Gris-Nez

Pont d'aquitaine à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148c0e0-pont-d-aquitaine-a-bordeaux

Pont d'aquitaine à Bordeaux

Pont d'aquitaine vu depuis la rive droite, à Lormont. Le pont d'Aquitaine est un pont suspendu situé sur la rocade de Bordeaux, France. Le pont fut terminé en 1967 et a une portée de 394 m pour une longueur de 1 767 m. En 1954, le maire de Bordeaux, Jacques Chaban-Delmas, devint ministre des Travaux Publics et, dès le 13 août 1954, la décision de principe de construire le pont suspendu était prise. Le ministre des Travaux Publics, Robert Buron, en posa la première pierre le 20 mai 1960. Commencés en 1961, les travaux se sont étalés sur six ans. L'ouvrage fut inauguré officiellement le 6 mai 1967, sous la présidence du ministre des Travaux Publics de l'époque, François-Xavier Ortoli. Conformément au « dogme » en vigueur en France à l’époque de la construction, les fils n’ont pas été galvanisés. Ils ont fait l’objet d’une protection individuelle et d’ensemble par des produits traditionnels, dont la durée de vie n’était pas à l’échelle de celle attendue de l’ouvrage.

Pont de Brotonne en Seine-Maritime. Source : http://data.abuledu.org/URI/555adf36-pont-de-brotonne-en-seine-maritime

Pont de Brotonne en Seine-Maritime

Pont de Brotonne, Seine Maritime. C'est un pont à haubans (structure en éventail). Sa travée centrale de 320 m en béton précontraint, était lors de sa mise en service la plus longue du monde. Elle est constituée de voussoirs assemblés par encorbellements successifs de part et d'autre des piliers principaux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_de_Brotonne

Pont de Cadix. Source : http://data.abuledu.org/URI/58f53b2c-pont-de-cadix

Pont de Cadix

Le pont de la Constitution de 1812, appelé aussi pont de La Pepa, est un pont à haubans qui surplombe la baie de Cadix reliant Cadix au continent. Le pont, construit entre 2008 et septembre 2015, a une largeur de 34,3 m avec deux voies par direction, une portée de 540 m et une longueur totale de 3 092 m. Il est le second pont au monde pour sa hauteur (69 mètres) au-dessus du trafic maritime après le pont Verrazano-Narrows de New York.

Pont du ciel en Malaisie. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a35c1-pont-du-ciel-en-malaisie

Pont du ciel en Malaisie

Le pont du ciel de Langkawi en Malaisie, dominant la canopée.

Portée musicale. Source : http://data.abuledu.org/URI/53450c6c-portee

Portée musicale

Dans le solfège, la portée est un ensemble de cinq lignes horizontales permettant de représenter les hauteurs. Elle est destinée à recevoir la figure de notes et de silences, les clefs, les altérations, et quelques autres symboles annexes. Dans le solfège, la représentation des hauteurs utilise six types de signes : la portée, les lignes supplémentaires, les figures de note, les clés, les signes d'octaviation et les altérations. Les cinq lignes de la portée sont également espacées et forment entre elles quatre interlignes. Les lignes et les interlignes sont numérotés du bas vers le haut. Le nombre de lignes a varié jusqu'à la Renaissance où il fut définitivement fixé à cinq. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Port%C3%A9e_%28musique%29

Portée vélique : portance et traînée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0c800-portee-velique-portance-et-trainee

Portée vélique : portance et traînée

Schéma type d'un profil représentant l'évolution de la traînée C_D et de la portance C_L suivant l'incidence. La portance latérale n'est quasiment jamais représentée car le profil est assimilé à un profil d'allongement infini donc les valeurs mesurées sont faibles. La forme générale de la force F = frac12 imes ho imes S imes C imes V^2 est calculée ou mesurée dans une veine d'air à vitesse aussi uniforme que possible arrivant sur la voile. La force est décomposable suivant les trois dimensions. La viscosité par nature frotte sur le profil, et donc engendre un effet résistant au mouvement. Plus important, cette viscosité perturbe le flux d'air autour du profil ; cette perturbation engendre une force considérable perpendiculairement au profil. De même, comme le profil n'est pas infini, les extrémités du profil engendrent elles aussi un effort dans la dimension restante. La voile se déforme sous l'effet du vent et prend une forme nommée profil. Lorsque l'écoulement de l'air autour de ce profil est laminaire, le facteur dépression face sous le vent devient déterminant. Cet effet est alors appelé portance. Les études et la théorie établissent pour une voile que : la dépression relative sur l'extrados (face sous le vent) représente les 2/3 de la portance, la surpression sur l'intrados (face au vent) représente 1/3 de la portance.

Radar à impulsions. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f9bc-radar-a-impulsions

Radar à impulsions

Schéma de fonctionnement du radar à impulsions avec une longueur d'onde de 5,35 cm caractéristique de plusieurs radars météorologiques. Une manière de mesurer la distance à un objet est d'émettre une courte impulsion de signal radio, et de mesurer le temps que prend l'onde pour revenir après avoir été réfléchie. La distance est la moitié du temps de retour de l'onde (car le signal doit aller à la cible puis revenir) multipliée par la vitesse du signal (qui est proche de la vitesse de la lumière dans le vide si le milieu traversé est l'atmosphère). Quand l'antenne est à la fois émettrice et réceptrice (ce qui est le cas le plus courant), l'antenne ne peut pas détecter l'onde réfléchie (aussi appelée retour) pendant que le signal est émis - on ne peut pas savoir si le signal mesuré est l'original ou le retour. Cela implique qu'un radar a une portée minimale, qui est la moitié de la durée de l'impulsion multipliée par la vitesse de la lumière. Pour détecter des cibles plus proches, il faut utiliser une durée d'impulsion plus courte.

Rapporteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3d3f3-file-rapporteur-svg

Rapporteur

Schéma d'un rapporteur (à imprimer sur une feuille transparente par exemple) afin de mesurer des angles. Les valeurs sont en degrés. Une attention particulière a été portée à la position des traits afin qu'ils soient bien centrés par rapport à la position de l'angle qu'ils décrivent.

Répartition des efforts dans une portée. Source : http://data.abuledu.org/URI/508152b1-repartition-des-efforts-dans-une-portee

Répartition des efforts dans une portée

Transmission des efforts par une structure : effort primaire en rouge, effort réparti en bleu, de gauche à droite : treillis, charge nodale ; voûte parabolique (nubienne), charge répartie ; voûte en berceau, charge répartie ; palée, portique, charge répartie. La vue de détail montre la transmission des efforts de pierre en pierre, ou de brique en brique, pour une voûte arquée.

Réseau des radars météo canadiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/52332878-reseau-des-radars-meteo-canadiens

Réseau des radars météo canadiens

Carte du réseau canadien de radar météorologique avec le sigle de chaque radar et leur portée en rayon de 240 km.

Silènes de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbf99-silenes-de-jardin

Silènes de jardin

Silènes de jardin, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Ce sont des plantes à feuilles opposées, glabres ou duveteuses. Les fleurs sont en grappes lâches. Le calice est tubulaire portant de 10 à 30 nervures et se termine par 5 dents. Les 5 pétales sont bilobés ou finement divisés en lanières. il y a 10 étamines, et 3 (parfois 5) styles. Plusieurs espèces ont ou peuvent avoir des fleurs unisexuées. Dans ce cas le calice des fleurs femelles est généralement plus enflé que celui des fleurs mâles. Le fruit est une capsule à 5 loges, portée par un "pied". Il faut enlever le calice qui est persistant pour le voir. C'est une baie dans l'espèce S. baccifera. Le nom du genre est certainement lié au personnage de Silène, père adoptif et précepteur de Dionysos, toujours représenté avec un ventre enflé semblable aux calices de nombreuses espèces, par exemple S. vulgaris (le Silène enflé) ou S. conica au calice en outre, telle la panse de Silène. À partir du tissu placentaire de fruits de Silene stenophylla stockés par des écureuils il y a plus de 32 000 ans et retrouvés dans du pergélisol en Sibérie, des chercheurs ont réussi à régénérer cette plante. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sil%C3%A8ne_%28plante%29

Soc de charrue ancienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52acd20a-soc-de-charrue-ancienne

Soc de charrue ancienne

Charrue simple portée : 1. age (perche, timon ; ici courbé en étançon) ; 2. crochet de traction ; 3. dispositif de réglage de la ligne de traction ; 4. coutre ; 5. pointe ; 6. soc ; 7. versoir.

Sourdine de cor avec sa lanière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300bc20-sourdine-de-cor-avec-sa-laniere

Sourdine de cor avec sa lanière

Les sourdines de cor ont pour but d'atténuer le son et de modifier le timbre. À quelques exceptions près, le cor n'utilise qu'un seul type de sourdine : la sourdine sèche. Contrairement aux sons bouchés, la sourdine ne modifie pas la hauteur d'un son. La sourdine des cors possède souvent une lanière formant une boucle dans laquelle le musicien passe la main. Cela permet d'avoir la sourdine à portée de la main pendant le jeu (elle pend sous le poignet) et de gagner du temps à sa mise en place dans le pavillon ainsi qu'à son retrait.

Tour génoise de la Parata à Ajaccio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa47f-tour-genoise-de-la-parata-a-ajaccio

Tour génoise de la Parata à Ajaccio

Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.

Vase de Tantale - première étape. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c392c0-vase-de-tantale-premiere-etape

Vase de Tantale - première étape

Schéma expliquant le principe du vase de Tantale, première étape : Le vase initialement vide est alimenté en eau par le robinet et se remplit lentement. Alimentation par le dessus et siphon intérieur. Le vase de Tantale est un exemple classique d'oscillations de relaxation. C'est un dispositif constitué d'une arrivée continue d'eau et d'un vase qui se vide périodiquement à l'aide d'un siphon. C'est donc un exemple de transformation d'un courant continu en courant alternatif, transposé au domaine mécanique plutôt qu'électrique. Il tire son nom du supplice de Tantale : si l'on imagine un homme se tenant en haut du vase, il verrait sans cesse l'eau approcher, puis se retirer dès qu'elle semble à portée.

Viaduc ferroviaire de la Roizonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/564592b0-viaduc-de-la-roizonne

Viaduc ferroviaire de la Roizonne

Carte postale ancienne, sans mention d'éditeur, n° 74 : "DAUPHINÉ - Environs de La Mure - Pont de la Roizonne (hauteur 120 m, arche centrale de 90 m. de portée)."

Voûte à claveaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/508149ae-voute-a-claveaux

Voûte à claveaux

Schéma d'un arc. Nomenclature : 1-Clé d'arc, 2-Claveau, ou voussoir, 3-Extrados, 4-Imposte, en haut du piédroit, 5-Intrados ou douelle, 6-Flèche (hauteur intérieure de la partie courbe de l'arc), 7-Portée (distance entre les deux appuis verticaux ou piédroits), 8-Écoinçon.