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Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant un atelier de fabricants de peignes.
Gravure, Peintres français, Dix-septième siècle, Ateliers d'artiste -- France, Claude Lorrain (1600-1682)
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.57 ; manuel scolaire, édition de 1904. Claude le lorrain peignant un tableau. - La petite tablette qu'il tient de sa main gauche s'appelle la palette ; c'est sur la palette que sont étendues les couleurs, le bleu, le blanc, le noir, le rouge, etc. De sa main droite, il tient le pinceau. Près de lui, un jeune aide est occupé à broyer les couleurs que le peintre étendra ensuite sur la palette.
Auto-portrait d'Above en auto-stoppeur à Berlin, avec rouleau et seau de peinture : HAVE 2 PAINT. LOOKING 4 RIDE. ANYWHERE. (Il faut que je peigne, je cherche un chauffeur. N'importe où.)
Cardage de laine de lama. Avant de pouvoir être filée, une fibre naturelle doit être cardée ou peignée, en fonction du matériau et du résultat souhaité. Le cardage consiste à démêler et aérer les fibres textiles à partir de divers matériaux bruts. Le cardage s'effectue avec une paire de cardes à main, ou une cardeuse à rouleau, et l'on obtient un rouleau avec les cardes à main, ou une nappe avec la cardeuse.
Un cardeur est un ouvrier qui carde, c'est-à-dire qui démêle des fibres textiles et les peigne à l'aide d'une carde. Le cardeur passait le plus souvent à partir du printemps pour découdre les matelas, carder les fibres textiles et recoudre les matelas. L'artisan se déplaçait avec sa carde au domicile du client et travaillait le plus souvent à l'extérieur à cause de la poussière dégagée.
Les dreadlocks ou cadenettes, appelées parfois tout simplement dreads ou locks ou encore rastas (à tort), sont des mèches de cheveux emmêlées qui se forment seules si les cheveux sont laissés à pousser naturellement (ou bien après avoir été tressés), sans l'utilisation de brosses, peignes, rasoirs, ni ciseaux. Les dreadlocks ont un caractère universel à travers les âges, car des peuples de cultures différentes en ont porté.
Peinture, Palmiers, Art nouveau, Art nouveau (décoration), Décoration et ornement -- Art nouveau, Années 1890, Anton Seder (1850–1916), Lithographies
Lithographie de Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890, Feuilles de palmier. Les palmes, en botanique, sont les feuilles du palmier, elles sont d’une très grande diversité en forme et en taille. Sur le palmier, la croissance se fait en général par un unique bourgeon terminal, qui ne se divise pas, l’axe principal ne se ramifie donc pas, d’où l’absence de branche et un tronc qui n’est dichotomique que dans de très rares cas. Pour simplifier voici les quatre types principaux de forme que les feuilles adoptent : Les feuilles palmées, avec une forme en éventail, ou disposées comme les doigts de la main ; Les feuilles pennées en forme de plume, ou de peigne (on retrouve cette forme sur le cocotier entre autres) ; Les feuilles costapalmées, dont la construction est intermédiaire entre les deux types précédents, d’un aspect général en éventail on trouve un axe central sur la structure ; Les feuilles bipennées, qui sont pennées selon l’axe principal, mais de même sur les axes secondaires, ce type de feuille n’existe que dans le genre Caryota. En forme de queue de poisson, ces feuilles ont un aspect déstructuré assez particulier. Les folioles sont larges, en forme de triangle, et sembles déchirées à leurs extrémités. Le nom vernaculaire du genre est le palmier céleri.
Dessins et plans, Armures (tissage), Tissage, Textiles et tissus, Art textile, Machines textiles, Métiers à main (tissage), Navettes (machines textiles)
Fil de chaine (longueur) et fil de trame (largeur). Le tissage est un procédé de production de textile dans laquelle deux ensembles distincts de filés ou fils sont entrelacés à angle droit pour former un tissu. Les autres méthodes sont à tricoter, la dentelle et le feutrage. Les fils verticaux sont appelés fils de chaîne et les fils horizontaux sont les fils de trame ou de remplissage. La méthode par laquelle ces fils sont tissés ensemble influe sur les caractéristiques de la toile. Sur le métier à tisser le fil de trame, enroulé sur une canette disposée dans une navette, passe entre les fils de chaîne d’un bord à l’autre de l’ouvrage, puis appuyé fortement contre la trame précédente avec le battant (peigne) pour former la bande de tissu.
Cardeur savoyard : Un cardeur est un ouvrier qui carde, c'est-à-dire qui démêle des fibres textiles et les peigne à l'aide d'une carde. Le cardeur passait le plus souvent à partir du printemps pour découdre les matelas, carder les fibres textiles et recoudre les matelas. L'artisan se déplaçait avec sa carde au domicile du client et travaillait le plus souvent à l'extérieur à cause de la poussière dégagée.
Photographie, Peignes, Art médiéval, Dragons, Ivoires, Ivoires médiévaux, Griffons (mythologie), Abbayes -- Grande-Bretagne
Le combat du dragon et du griffon, sur le peigne en ivoire de Jedburgh (abbaye de Jedburgh en Écosse).
Illustration du conte anglais "Le puits aux trois têtes" de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : Une tête couronnée sortit du puits et demanda à la princesse de la laver, de la peigner, et de la mettre à sécher sur l'herbe.
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant un tailleur de peigne dans son atelier.
Photographie, Jardins, Coiffure -- Appareils et matériel, Peignes, Jardins -- France, Art médiéval, Quatorzième siècle, Couples, Bijoux, Jardins -- Aspect symbolique, Amoureux, Objets en ivoire
Le peigne des amoureux dans le jardin, objet en ivoire du quatorzième siècle.
Peinture, Peintres français, Jean-François Millet (1814-1875), Dix-neuvième siècle, École de Barbizon, Le Semeur (parabole biblique), Peinture au pastel, Semences
Le semeur, 1965, par Jean-François Millet (1814-1875). Paysage de la campagne de Barbizon avec un laboureur, un vol de corbeaux et la tour de Chailly. L'école de Barbizon désigne le centre géographique et spirituel d'une colonie de peintres paysagistes désirant travailler « d’après nature ». L'appellation tient son nom du village de Barbizon, situé en lisière de la forêt de Fontainebleau (Seine-et-Marne), autour duquel certains artistes peintres affluèrent pendant près de cinquante ans entre 1825 et 1875. Au cours de la révolution de 1848, les peintres de l'école de Barbizon ou l'école de Crozant se réunirent et optèrent de suivre délibérément les préceptes de John Constable, afin de rendre la nature elle-même sujet de leurs peintures. Parmi eux, Millet étendit sa vision des paysages aux personnages, peignant la paysannerie et les travaux des champs.
Inventée par James Wimshurst à la fin du XIXe siècle, elle ne fut pas la première à utiliser l'induction électrostatique. Mais sa puissance la rendit rapidement très populaire. Cette machine était constituée de deux disques en verre munis de lames d'étain, contre lesquels viennent frotter des balais garnis de fils métalliques. Les charges produites étaient récupérées par des peignes métalliques, et stockées dans des bouteilles de Leyde. La machine de Wimshurst est une machine électrostatique inventée en 1882 par l'anglais James Wimshurst. Cette machine fut historiquement utilisée pour illustrer de nombreux phénomènes d'électricité statique ou la production d'ozone (à l'odeur caractéristique) dans un arc électrique. Elle est encore présente dans de nombreuses écoles. La machine de Wimshurst a une apparence caractéristique. Elle est équipée de deux larges disques constitués de matériaux isolants et recouverts de secteurs métalliques. Les deux disques tournent en sens opposé l'un par rapport à l'autre dans un plan vertical, les connexions se font à l'aide d'un dispositif de balais à friction permettant ainsi de récupérer la charge et d'emmagasiner l'énergie dans les bouteilles de charges (principe du condensateur). Au voisinage de pointes métalliques adéquatement connectées, et reliées à deux sphères convenablement disposées à une distance pouvant provoquer un étincelage, ce dispositif se nomme : éclateurs.
Photographie, Maquettes (architecture), Canaries (îles), Tenerife (Canaries), Autochtones -- Canaries, Guanches, Contribution à l'ethnologie
Maquette d'un village guanche à Tenerife, Canaries. Les Guanches portaient des vêtements en peau de chèvre ou en fibres textiles que l'on a retrouvés dans des tombes sur la Grande Canarie. Ils appréciaient les bijoux, les colliers en bois, en pierre ou de coquillages fabriqués selon divers modèles. Ils utilisaient principalement des perles de céramique de formes variées, lisses ou polies, en général noires et rouges. Ils se peignaient le corps. Les pintaderas, objets en terre cuite évoquant des sceaux, semblaient servir uniquement à la peinture corporelle, dans des couleurs variées. Ils fabriquaient des poteries grossières généralement sans aucun décor, mais parfois ornées à l'aide des ongles. Les armes des Guanches étaient les mêmes que celles des anciens peuples du sud de l'Europe : hache en pierre polie sur Grande Canarie, et plus fréquemment la hache en pierre ou en obsidienne taillée à Ténérife. Ils utilisaient aussi la lance, la massue, parfois garnie de pointes en pierre, ainsi que le javelot. Il semble qu'ils aient connu le bouclier. L'alimentation de base des Guanches était le gofio, un aliment à base de céréales grillées d'origine berbère et élaboré à partir d'orge, de blé et de rhizome de fougère.
Photographie, Coiffure -- Appareils et matériel, Cheveux -- Soins et hygiène, Jeunes filles, Équipement domestique, Salons de coiffure -- Appareils et matériel, Travail des cheveux
Matériel de coiffure de jeune fille : 1) peigne, 2) brosse, 3) peigne de tresse, 4) appareil de filetage, 5) petites pinces à cheveux, 6) épingles à cheveux, 7) longues pinces à cheveux, 8) élastiques transparents, 9) élastiques de couleur, 10) éléments fantaisie.
Chats, Gravure, Peignes, Fillettes, Dix-neuvième siècle, Littérature de jeunesse, Artistes danois, Lorenz Fröhlich (1820-1908), Bontemps
La Mère Bontemps (22), Magasin d'Éducation et de Récréation, 1892, illustré par Lorenz Fröhlich (1820-1908) dessinateur danois.
Photographie, Peignes, Main, Amitié, Coeur, Inscriptions, Flèches (armes), Gravures sur bois en couleurs
Peigne de l'amitié du seizième siècle avec inscription : Pour amitié.
Planche botanique de Peigne de Vénus (Scandix pecten-veneris), Atlas des Plantes de France, 1891.Son nom provient de la forme de ses fruits ridés avec de très longs becs qui, regroupés en ombelles, évoquent un peigne.
Photographie, Mythologie romaine, Aiguilles et épingles, Bergers, Plantes, Apiacées, Déesses romaines, Scandix cerefolium
Photographie de la fleur et du fruit de Scandix, Peigne de Vénus (Scandix pecten-veneris) appelée Aiguille de Berger en anglais (Shepherd's Needle).
Photographie, Coiffure -- Appareils et matériel, Peignes, Ivoire, Bouquetins, Coiffures (cheveux), Hippopotames, Égypte, Égypte -- Antiquités, Nagada (Égypte), Ivoires antiques
Peigne au bouquetin. Epoque: Nagada I. Matériaux: Ivoire d'hippopotame Présent au Louvre
Peigne en os. Fait partie du matériel d'une tombe masculine (la tombe I) à Monceau-le-Neuf dans l'Aisne. Epoque gallo-romaine, 400 + JC. Musée de Laon.
Peigne en os, époque gallo-romaine, trouvé Boulevard Pommery à Reims. Musée Saint-Remi à Reims.
Photographie, Papillons, Coiffure -- Appareils et matériel, Peignes, Art japonais, Dix-neuvième siècle, Bijoux, Objets en ivoire, Animaux -- Dans l'art, Bijoux de tête
Peigne japonais "Papillons et herbes Susuki" du XIXème siècle : ivoire, argent, or, nacre ; Don Louis Metman, 1901 (Musée des arts décoratifs, Paris).
Peigne Luvale en bois finement sculpté (Musée royal de l'Afrique centrale, Tervuren, Belgique)
Peinture, Marie Duhem (1871-1918), Wissant (Pas-de-Calais. - région), Femmes peintres, Henri-Aimé Duhem (1860-1941)
Portrait de Marie Duhem peignant, 1893, par son mari Henri Duhem.
Photographie de la récolte en été au peigne des myrtilles (Vaccinium myrtillus) dans les Monts du Cantal. 22 juillet 2007.
Photographie, Peignes, Miroirs, Jeunes femmes, Stèles funéraires, Latin (langue), Toilette -- Accessoires, Bordeaux (Gironde), Burdigala (ville ancienne), Bordeaux (Gironde) -- Musée d'Aquitaine, sylvanus-aquitaine
Stèle de Tarquinia Priscilla à Burdigala. Le fronton portant l’inscription surmonte la niche, où une jeune femme est représentée en pied, vêtue d’une longue tunique et d’un manteau ; elle se regarde dans un miroir qu’elle tient de la main gauche, et a un peigne dans la main droite. Inscription en latin : "Aux dieux Mânes de Tarquinia Priscilla décédée à l’âge de 21 ans, fille de Perpetus, Calvisinus Serdus a fait faire (ce monument) à ses frais". Musée d'Aquitaine, Bordeaux.
Dessins et plans, Afrique, Coiffure, Formes -- Aspect symbolique, Art africain, Attributs (symbolisme), Signes et symboles -- Dans l'art, Art ashanti, Ashanti (peuple d'Afrique) -- Art, Coiffure pour hommes, Symbolisme dans la communication, Symbolisme en anthropologie
Symboles d'art Adinkra relevés par Robert Sutherland Rattray (1881-1938) en 1927, "Religion and Art in Ashanti" (Oxford, 1927), p. 265. 1. Gyawu Atiko, lit. l'arrière de la tête de Gyawu, chef Bantama qui avait cette coupe de cheveux pour la cérémonie annuelle Odwira ; 2. Akoma ntoaso, lit. les coeurs joints ; 3. Epa, menottes ; 4. Nkyimkyim, le motif mélangé ; 5. Nsirewa, coquillages ; 6. Nsa, tissu nsa ; 7. Mpuannum, lit. cinq touffes de cheveux ; 8. Duafe. le peigne en bois ; 9. Nkuruma kese, lit. graines d'okra sèches ; 10. Aya, la fougère ou "je n'ai pas peur de vous", ou "Je ne dépends pas de vous" ; 11. Aban, maison à deux étages, château, motif réservé à l'origine au roi Ashanti ; 12. Nkotimsefuopua, pour serviteurs de la reine mère ; 13 et 14, Sankofa, lit. retourne-toi et va chercher ; 15. Kuntinkantan, lit. plié et dispersé ; nkuntinkantan veut dire "ne pas se vanter, ne pas être arrogant" ; 16. Epa, menottes.