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Dessins et plans, Sable, herbes, Alimentation, Objets en tissu, Eau potable, Filtres, Plein air, Cuisine en plein air, Branches (botanique), Charbon de bois, Écoles de plein air, Filtres en toile, Loisirs de plein air, abcd-cycle-eau
Schéma d'un filtre à eau facile à fabriquer en plein air à partir de branches, tissu, sable, charbon et herbe). Source : schéma manuscrit légendé en anglais de Peter Darman dans "The Survival Handbook", 1996 (KVDP : Homemade_waterfilter.html) ; réinterprétation, vectorisation et traduction en français Christophe Catarina.
L'araignée et sa toile à l'aube, dessin avec Corel-Draw 8, Corel-Photo-Paint 8 et The Gimp.
"La Grande Course" - album de Cyri-L, avril 2015 : conte des origines du zodiaque chinois revisité. Herbe verte.
Dessins et plans, herbes, Calendrier aztèque, Civilisations précolombiennes, Mythologie aztèque, Glyphes mayas
Glyphe Malinalli (herbe morte) du calendrier aztèque.
Le Bengali vert (Amandava formosa) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Estrildidae. Le mâle a les parties supérieures vert olive avec des reflets dorés sur le croupion, la queue noire et les parties inférieures jaune verdâtre avec les flancs striés de vert et de blanc. La femelle est plus terne avec la face et les parties inférieures nuancées de gris. Les yeux sont marron, le bec rouge et les pattes rosées. Cet oiseau vit dans le centre de l'Inde : milieux couverts de hautes herbes, champs de canne à sucre et d'autres cultures.
Dessins et plans, Ruches, Léopard, Sapeurs-pompiers, Agneaux, Armoiries, Blasons, Cônes de pin, Pommes de pin, Saint-Jean-d'Illac (Gironde)
Blason de la ville de Saint-Jean-d'Illac en Gironde : D'azur à la croix estrée d'or cantonnée au premier d'un agneau auréolé tenant une houlette en barre sur une terrasse herbée isolée, le tout d'argent, au second d'une pomme de pin renversée avec ses aiguilles aussi d'or, au troisième d'une tunique surmontée d'un casque de sapeur-pompier forestier du même et au quatrième de trois maisons couvertes aussi d'argent couvertes de sable, au chef de gueules chargé d'un léopard d'or armé et lampassé du champ. Remarque : les trois "maisons" sont probablement des ruches.
Gros-plan sur un boeuf musqué dans la neige. Le bœuf musqué est un herbivore se nourrissant d'épilobe, de carex et de diverses herbes. Il gratte la neige avec ses sabots pour pouvoir atteindre ces plantes. L'hiver, il s'hydrate en avalant de la neige. Dans l'Arctique, il recherche les plaines et les vallées disposant de petits cours d'eau en été et préfère les collines et les plateaux l'hiver.
Planche botanique de la bourrache officinale (Borago officinalis), Atlas des Plantes de France, 1891. La bourrache est une herbe annuelle à tige cylindrique, épaisse, dressée, hérissée de poils raides, de 20 à 80 cm de haut. Les feuilles alternes, à surface ridée, ont un long pétiole à la base de la plante qui n'existe pas pour les feuilles supérieures. Toute la plante est recouverte de poils courts et fermes qui la rendent rude au toucher : c'est un des caractères de toute la famille des Boraginacées. Elle est assez commune dans les terrains vagues et les décombres des contrées à climat tempéré, ainsi que comme plante adventice dans les cultures sarclées et les jardins. C'est une excellente plante mellifère. Les fleurs de bourrache et les jeunes feuilles se consomment traditionnellement à l'état frais. La plante peut agrémenter des omelettes, des salades et remplacer les légumes accompagnant les viandes. Le goût des fleurs rappelle la saveur de l'huître, alors que celui des feuilles rappelle la saveur acidulée du concombre. À l'époque romaine, les légionnaires étaient parfois dopés avant les batailles avec un vin aromatisé aux fleurs ou feuilles de bourrache. Au Moyen Âge, la bourrache, était considérée comme une plante magique aphrodisiaque.
Planche botanique N°267 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Brunelle commune (Prunella vulgaris). C'est une plante qui se plait en bordure de route et de bois, et dans les prés. On la nomme également petite consoude, charbonnière, prunelle, herbe au charpentier et brunette ; elle se multiplie par semis ou par division de la racine. On collecte les parties aériennes en été quand elle est en fleur. Elle est utilisée pour réduire la fièvre, soulager les maux de gorge, la toux et les malaises dus au rhume. Ses qualités stomachiques la font aussi utiliser pour soulager les crampes d'estomac et les aigreurs et réduire la diarrhée et les vomissements.
Photographie, Architecture vernaculaire, Construction en terre, Ethnologie -- Islande, Architecture de terre
Cabane souterraine abandonnée recouverte d'herbe en Islande dans la région de Búðahraun.
Photographie, Mammifères, rongeurs, Biologie animale, Capybara, Guarani (Indiens), Hydrochoerus capybara
Un Capybara (Hydrochaeris hydrochaeris). Photo prise dans le Modulo Chititera, dans les plaines (Llanos) de l'État d'Apure (Venezuela). Rongeur qui mène la vie d'un mammifère social et semi-aquatique. Le capybara nage très bien et vit en groupe, les adultes s'organisant pour garder les petits. Le nom de "capybara" vient de "capivara", mot qui signifie "Seigneur des herbes" dans la langue des indiens Guaranis. Un capybara adulte mesure entre 105 et 135 centimètres de long et pèse de 35 à 65 kilogrammes. C'est le plus gros rongeur du monde. Le corps du capybara est couvert de poils durs bruns et sa tête a un large museau. Ses yeux sont petits et situés au-dessus du nez qui est surmonté à son tour par une glande qui sert à marquer les objets avec ses sécrétions. Ses oreilles sont petites et arrondies. Il n'a pas de queue. Ses pattes de devant ont 4 doigts, celles de derrière ont 3 doigts. Il laisse des traces très caractéristiques sur les sols humides. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Capybara
Charrette transportant des herbes, tirée par deux mules, menée par deux jeunes gens, dans le centre de San Juan Ixtayopan (Mexique).
Planche botanique de la "Circée de Paris" ou "Herbe aux sorciers" (Circaea lutetiana), Atlas des Plantes de France, 1891.
Planche de "Clematis vitalba" (Atlas des plantes de France, 1891) : arbuste de la famille des Renonculacées. Elle est parfois appelée aubavis, aubervigne, bois à fumer, bois de pipe, cranquillier, vigne de Salomon ou viorne des pauvres. La dénomination "herbe aux gueux" provient de l'utilisation de ses feuilles irritantes par les mendiants pour s'infliger volontairement des ulcères afin de susciter la pitié. Appelée "virgouène" en Berry. (Wikipedia)
Peinture, Art nouveau, Clématites, Art nouveau (décoration), Décoration et ornement -- Art nouveau, Anton Seder (1850–1916), Lithographies
Lithographie par Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890, titre : Clématite des haies. La dénomination herbe aux gueux provient de l'utilisation de ses feuilles irritantes par les mendiants pour s'infliger volontairement des ulcères afin de susciter la pitié. Appelée "virgouène" en Berry. Son bois était fumé, d'où son nom de Bois de pipe. Cette liane est aussi utilisée dans la vannerie. La clématite des haies ou clématite vigne-blanche (Clematis vitalba L. ) est un arbuste de la famille des Renonculacées. Elle est parfois appelée aubavis, aubervigne, bois à fumer, bois de pipe, cranquillier, herbe aux gueux, vigne de Salomon ou viorne des pauvres.
Textes, Relations plante-sol, Écologie, Dynamique de la végétation, Écologie des zones de végétation arbustive
Colonisation du sol : I) Exposition de la roche (glaciers et éruptions volcaniques) ; II) Lichens et mousses ; III) Décomposition : début de sol organique ; IV) Lichens et herbe ; V) Herbes et plantes ; VI) Buissons et arbustes (eau souterraine) ; VII) Petits arbres ; VIII) Arbres (décomposition des feuilles mortes) et plantes poussant à l'ombre.
Cueillette de l'herbe pétun (tabac) par des Indiens Tupinamba (Brésil), par André Thevet (1516-1590).
Le foin était la principale alimentation du bétail, autrefois souvent logé sous les maisons en hiver en zone froide et tempérée. Le foin est un fourrage constitué d'herbe séchée et destiné à l'alimentation des animaux domestiques herbivores durant la mauvaise saison. C'était autrefois une des conditions de nombreux systèmes de type polyculture élevage. Les chevaux des administrations (poste, armée, etc.) et des industries privées étaient aussi consommateurs de foin. La qualité du foin, qu'il s'agisse de sa valeur nutritive ou de sa digestibilité, est très variable. Elle dépend de plusieurs facteurs, notamment : 1) du stade de fauchage des herbes. Pour avoir la meilleure qualité énergétique, l'herbe doit être fauchée avant qu'elle soit épiée c’est-à-dire que les graines ne soient sorties de leur gaine ; 2) des conditions de récolte ; 3) de la qualité du séchage (en extérieur d'abord, et éventuel affinage en grange, modernisée selon une méthode née dans les montagnes françaises, suisses et autrichiennes, et en cours d'extension dans l'Ouest de la France.
Jérôme Bock ou de son nom de plume Hieronymus Bock, surnommé Tragus, né en 1498 et mort le 21 février 1554 à Hornbach (Palatinat), est un pasteur luthérien et un botaniste allemand. Il est considéré comme l'un des pères allemands de la botanique. L'œuvre la plus importante de Bock est son "Nouvel Herbier" (New Kreütter Büch) qui paraît à Strasbourg en 1539. Si la première édition n'est pas illustrée, les suivantes le sont de 165 gravures sur bois. Les gravures originelles sont l'œuvre de David Kandel (1520-1592) mais d'autres sont extraites des livres de Brunfels et de Fuchs. Il donne, en allemand, des descriptions originales des plantes. Même si celles-ci ne sont pas très longues, Bock essaie de fournir des informations utiles à leur reconnaissance. Le premier depuis Théophraste, il tente de classer les 800 espèces qu'il cite. Il renonce ainsi à l'ordre alphabétique et classe les plantes suivant qu'elles sont sauvages ou cultivées, que ce soient des arbres, des arbustes ou des herbes. Son livre débute par la description de l'ortie. Habituellement, les ouvrages commençaient toujours par les espèces les plus rares, le fait que Bock débute sa flore par une espèce extrêmement commune constitue donc une petite révolution.
Photographie, Antiquités romaines, Fromage -- Variétés, Alimentation, Fromages, Mortiers (récipients), Cuisine -- Rome, Cuisine romaine
Moretum, Fromage romain aux herbes préparé dans un mortier avec huile, sel et vinaigre et parfois noix.
Grande chélodine (Chelidonium majus), herbe à verrues, car son latex jaune-orangé toxique est utilisé pour éliminer les verrues.
Peinture, Printemps, Aquarellistes, Botanique, Ranunculacées, Rose de Noël, Aquarelles, Fleurs dans l'art, Jules Eudes (1856-1938), Flore, Plantes de jardins, Hellébore noir, Helleborus
Héllébore noir ou rose de Noël, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. On l'appelle également herbe aux fous, pied de griffon, pied de lion, patte d’ours, rose de serpent ou pain de couleuvre. C'est la seule espèce de la section Helleborus. Jadis, l'Helleborus niger , était considérée comme une plante magique associée à la magie noire. Selon la légende, lorsque le bétail paraissait empoisonné, il fallait lui percer l'oreille et y glisser un fragment de racine de Rose de Noël et l'animal était rétabli en 24 heures. La rose de Noël ne fleurit à cette période qu’à l’intérieur, en pots maintenus à température ambiante. À l’extérieur elle fleurit en général en février – mars. Au Moyen Âge, la plante s'appelait aussi aliboron, terme de l'ancien français issu lui-même du grec elleboros, folie. Considérée comme un remède universel contre la folie dès l'Antiquité, aliboron a pu être associé au nom de maistre pour désigner le médecin, puis le savant et enfin l'âne ou le "maître Aliboron", personnage ridicule car se mêlant de tout. Helleborus niger est une des rares espèces d’hellébores qui produisent des exemplaires à fleurs doubles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Helleborus_niger
Ombelle de l'herbe aux cure-dents sèchée. Le khela (Ammi visnaga) est considéré comme une mauvaise herbe typiquement ibérico-marocaine. Cette ombellifère méditerranéenne est appelée l'herbe aux cure dents. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Khella.
Albrecht Dürer (1471-1528), Un jeune lièvre, 1502, aquarelle, Palais Albertina à Vienne en Autriche. En Allemagne, Albrecht Dürer développe cette technique, la mélangeant souvent à de l'encre et de la gouache. Il l'utilise en lavis pour des études de paysages durant son voyage en Italie en 1490, puis pour représenter de façon très détaillée des herbes, des fleurs, des oiseaux, des animaux…
Peinture, Ulysse, Plantes, Alcaloïdes, Solanacées, Plantes toxiques, Circé, Hallucinations et illusions, Jusquiame noire, Métaphore
Planche botanique de la Jusquiame noire (Hyoscyamus niger), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante toxique, contenant divers alcaloïdes tels que l'atropine, l'hyoscyamine et la scopolamine, mais moins dangereuse que le datura ou la belladone, qui contiennent les mêmes alcaloïdes mais en plus grandes proportions. La graine de Jusquiame est connue pour apaiser la rage de dents, elle s'appelle herbe de Sainte Apolline. Le terme de "jusquiame" est un emprunt au bas latin jusquiamos, hyoscyamos, et du grec ὑοσκύαμος (uoskuamos) de même sens, morphologiquement « fève de porc ». Il s'agit d'une allusion à l'épisode de l'Odyssée durant lequel la magicienne Circé transforma en pourceaux les compagnons d'Ulysse en leur faisant pour cela boire un philtre contenant de la jusquiame. Mais Ulysse était immunisé grâce à un antidote - végétal - dont Hermès lui avait fait présent. Certains interprètent cet épisode comme une métaphore opposant la bestialité (le pourceau) à la raison. Les solanacées "vireuses", dont fait partie la jusquiame, sont fréquemment évoquées dans les histoires de métamorphoses d'homme en animal : lycanthropie par exemple. Elles peuvent en effet générer des hallucinations particulièrement puissantes, y compris celle d'avoir pris la forme d'un animal, au point d'en adopter le comportement.
Canards, Peinture, Oignons, Cuisine (plantes aromatiques), Herbes aromatiques, Beatrix Potter (1866-1943)
Le Conte de Sophie Canétang, 1908, par Beatrix Potter (1866-1943) : The Tale of Jemima Puddle-Duck-21, Source : http://www.gutenberg.org/ebooks/14814. Sophie rapporte les herbes et les oignons demandés par le gentleman.
Parmi des lutins et des Trolls (Bland Tomtar och Troll), livre de contes pour enfants édité en Suède à partir de 1907, par John Bauer (1882-1918) artiste suédois. Le garçon qui n'avait peur de rien : "Voici une herbe magique de troll que je suis la seule à pouvoir trouver".
Peinture, Monstres, Peintres russes, Flèches (armes), Arcs (armes), Ivan Âkovlevič Bilibin (1876-1942), Briansk (Russie), Bylines, Épopées d'Ilia de Mourom, Épopées russes, Ilya Mouromets, Kiev (Ukraine)
La byline qui concerne le Rossignol-Brigand, aussi appelée "Le premier voyage d'Ilya Mouromets", est l'un des textes épiques russes les plus célèbres. Le Rossignol-Brigand est un personnage monstrueux, mi-homme, mi-oiseau ; il est capable de voler, vit dans un nid, a une famille humaine. On dit qu'il vivait dans une forêt près de Briansk : installé dans un chêne imposant au bord de la route de Kiev, il paralysait les voyageurs par son puissant sifflement. Selon une version en vers, lorsqu'il se mettait à siffler et à crier, « toutes les herbes et les prairies s'emmêlent, les fleurs d'azur perdent leurs pétales, les bois sombres sont pliés jusqu'à terre, et quant aux êtres humains, ils gisent tous morts ! » (Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Rossignol-Brigand). Illustration par Ivan Âkovlevič Bilibin (1876-1942).
Planche botanique de lierre rampant ou grimpant (Hedera Helix), Planche des Plantes de France, 1891 ; parfois surnommé à tort « bourreau des arbres » ou « herbe de saint-Jean », c'est une liane à feuilles persistantes en hiver, qui pousse de façon spontanée. "Il fleurit de fin septembre à octobre, c'est-à-dire après que presque toutes les floraisons d'autres plantes soient terminées, et après la chute des feuilles, le pollen pouvant mieux se disperser ainsi - et les fleurs peut-être plus visibles. C'est ainsi une source critique de nourriture pour les abeilles et autres insectes à une période où il y a peu de fleurs et où l'hiver arrive, et donc ensuite de fruits pour les oiseaux, en février, à une période où de même peu de fruits sont disponibles. Ainsi le lierre semble plutôt être une merveille de la nature ; loin d'être un parasite, c'est à l'inverse un organisme qui paraît doté très grand mutualisme, ce qui pourrait aussi expliquer son succès et le fait qu'il soit aussi répandu sur tout le territoire". (wikipedia)
Planche botanique N°261 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Lierre terrestre (Glechoma hederacea). Toute la plante émet une odeur balsamique agréable, et a un goût aromatique rappelant la menthe avec une pointe d'amertume ou d'âcreté pour les feuilles et tiges ; la fleur est plus suave. C'est une plante mellifère dont le goût peut relever les salades ou les soupes. Les fleurs servent parfois pour décorer les gâteaux. Sa floraison précoce en mars-avril et durant jusqu'à l'automne, en fait l'une des premières fleurs de l'année et d'autant plus précieuse pour les insectes se nourrissant de nectar et notamment les bourdons. Elle a longtemps servi à clarifier, aromatiser et préserver la bière, avant l'utilisation du houblon. L'un de ses noms communs liés à la fabrication de la bière en anglais, est « gill », qui vient du français « guiller » (dit de la bière en fermentation). Elle a également été longtemps considérée comme une panacée : La « couronne de terre » est toute bénéfique. Placée sous la couche des jeunes mères, avec d'autres herbes, elle leur redonne des forces après le travail de l'enfantement d'après la tradition.
Photographie, Architecture domestique, Habitations, Antiquités gauloises, Maquettes (architecture), Maisons -- Architecture, Bordeaux (Gironde) -- Musée d'Aquitaine, sylvanus-aquitaine, Lacoste (Gironde. - site archéologique), Mouliets-et-Villemartin (Gironde) -- Site archéologique de Lacoste
Maquette d'une habitation gauloise reconstituée à partir des fouilles du site de Lacoste en Gironde, réalisée par des charpentiers traditionnels avec des outils "archéocompatibles" pour la plupart, haches, herminettes, doloires, ciseaux… La toiture en partie couverte en bardeaux réalisés à la doloire, assemblage avec des clous forgés et des cordages en herbe de marécage tressés. Musée d'Aquitaine à Bordeaux.
Gravure, Formules de politesse, Humour, Jardiniers, Pères et fils, Croissance humaine, Caricaturistes, Grandville (1803-1847), Stature, Dessin en noir et blanc, Salutations, Proverbes français, Mauvaises herbes, Mauvaises herbes -- Lutte contre
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Mauvaise herbe croît toujours".
Mimosa pudica du Conservatoire botanique de Mascarin, novembre 2004, La Réunion. Le Mimosa pudique ou Sensitive (Mimosa pudica) est une plante rampante de 10 à 40 cm de haut (pouvant atteindre dans la nature un peu plus d'un mètre), appartenant à la famille des Fabaceae (et anciennement aux Mimosaceae), originaire d'Amérique tropicale et largement naturalisée à travers le monde. Elle est connue aux Antilles françaises sous les noms de Marie-honte ou Herbe mamzelle ou Honteuse femelle, à La Réunion sous le nom de Sensitive ou Trompe la mort, en Nouvelle-Calédonie sous le nom de Sensitive. Les fleurs sont roses en pompons et globuleuses, suivies de gousses comprimées entre les graines et armées de longs poils raides. Elle est très commune aux Antilles françaises sur les sols frais à humides. Les Mayas connaissaient les vertus relaxantes et antidépressives des feuilles. C'était une plante médico-magique pour les anciennes populations amérindiennes des Caraïbes. Aux Antilles françaises, la racine est traditionnellement utilisée en décoction contre le mal de gorge et la coqueluche. Elle est utilisée dans les systèmes médicaux traditionnels en Afrique, en Inde et en Chine.
Planche botanique N°27 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Moutarde des champs (Sinapis arvensis), placée souvent dans les mauvaises herbes (adventices), envahissant champs et jardins. Les jeunes plantes peuvent être consommées. Les graines une fois moulues peuvent donner une sorte de moutarde.
Photographie, Oiseaux, Nidification, Nids -- Construction, Hirondelles, Ornithologie, Nids d'hirondelles
Nid d'hirondelles avec petits et oeufs. Le nid en forme de demi-coupe, qui a un diamètre de 22 cm pour 11 cm de profondeur, est adossé à une solive ou à un quelconque autre élément vertical. Le nid est bâti par le mâle et la femelle, plus souvent par la femelle seule, avec des morceaux de boue qu'elle malaxe pour former de petites boules, et consolidés avec des herbes, de la paille, des algues ou d'autres matériaux. Une fois le nid terminé, il est garni de plumes et de duvet, les hirondelles récupérant souvent des plumes de poule, afin de lui donner un aspect plus douillet. La femelle pond entre 2 et 7, généralement 4 ou 5, œufs blancs à petits points roux et gris. Les œufs mesurent entre 20 et 14 mm, pour un poids de 1,9 g, dont 5 % de coquille.
Photographie, Polygonacées, Spectres ultraviolets, Himalaya (Népal), Rhubarbe, Serre (météorologie), Effet de
La noble rhubarbe ou rhubarbe du Sikkim (Rheum nobile) est une plante herbacée géante de la famille des Polygonaceae. Elle est originaire de l'Himalaya, on la trouve dans le nord-est de l'Afghanistan, au nord du Pakistan et de l'Inde, au Népal, au Sikkim (en Inde), au Bhoutan, au Tibet et au Myanmar, localisée dans l'étage alpin entre 4 000 à 4 800 m d'altitude. C'est une espèce extraordinaire de rhubarbe (genre Rheum). De ses 1 à 2 m de hauteur, Rheum nobile culmine au-dessus de tous les buissons et les herbes courtes dans son habitat, et elle est visible à plus d'un kilomètre. Rheum nobile est souvent appelée par les anglophones "glasshouse plant" = plante de serre, à cause de sa rangée externe de bractées translucides qui laisse passer la lumière visible, créant un effet de serre, mais arrêtant les rayons ultraviolets. Ceci constitue une importante défense contre l'augmentation de l'exposition aux UV-B et le froid extrême dû à l'altitude élevée de sa distribution.
Planche botanique de l'Onagre bisannuelle (Oenothera biennis), Atlas des Plantes de France, 1901. Etymologie : du grec oinos (vin) et thêr (animaux sauvages) ; on disait que la racine d’onagre trempée dans du vin était apte à apprivoiser les animaux sauvages. Est aussi appelée communément "Belle de nuit", "Herbe aux ânes", "Primevère du Soir", ou bien "Jambon de Saint Antoine" et "Jambon du jardinier" car la racine une fois cuite ressemble à du jambon cuit. Les Anglais appellent l'onagre « King’s cure-all » ou panacée royale à cause de son efficacité contre les rhumes en faisant infuser 5 ml (1 c. à thé) de feuilles et de tiges finement hachées et séchées dans 250 ml (1 tasse) d’eau bouillante. Son huile est utilisée par l’industrie cosmétique.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.246 : manuel scolaire, édition de 1904. PÊCHE DES HUITRES. - Les huîtres sont une des richesses de nos côtes. Pour les pêcher, on se sert d'un instrument appelé drague, sorte de poche en filet qu'on laisse couler et qu'on promène au fond de la mer. Elle arrache tout ce qu'elle rencontre : huîtres, pierres, herbes, et on fait ensuite le triage.
Photographie, Papillons, Coiffure -- Appareils et matériel, Peignes, Art japonais, Dix-neuvième siècle, Bijoux, Objets en ivoire, Animaux -- Dans l'art, Bijoux de tête
Peigne japonais "Papillons et herbes Susuki" du XIXème siècle : ivoire, argent, or, nacre ; Don Louis Metman, 1901 (Musée des arts décoratifs, Paris).
Un Gazé ou Piéride de l'aubépine (Aporia crataegi) butinant une fleur de plantain lancéolé (Plantago lanceolata L.) ou "herbe à cinq coutures ou à cinq côtes", plante herbacée vivace de la famille des Plantaginacées. Plantago lanceolata
Planche botanique N°271 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Plantain des oiseaux ou grand plantain (Plantago major). De nos jours, elle est plutôt considérée comme une mauvaise herbe par les agriculteurs de différents pays. Les graines du grand plantain, qui doivent être récoltées bien mûres, par temps sec et séchées rapidement au soleil ou à four tiède pour éviter le brunissement, font les délices des oiseaux de compagnie1. Elles sont un complément alimentaire très riche. Si elle est ingérée avec suffisamment de liquide, la graine gonfle sans être digérée, ce qui entraîne une défécation plus douce et plus volumineuse. En cosmétique, on l'utilise en extrait aqueux. Dicton : « À Saint-Justin, est à graines le plantain. » Les feuilles fraîches écrasées sont utilisées comme cicatrisant et en massage sur les piqûres de moustiques et d'orties. Depuis l'Antiquité, elles sont considérées comme hémostatique à action rapide sur les blessures. Elles étaient également utilisées comme collyre sous forme d'eau distillée.