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Dessins et plans, Affiches de spectacle, Stockholm (Suède), Artistes de music-hall, Joséphine Baker (1906-1975)
Affiche Joséphine Baker, Stockholm, 1938 : Chanteuse de music-hall, danseuse et actrice. - Épouse de Jo Bouillon (1908-1984).
Gravure, Affiches (1870-1914), Artistes de music-hall, Revues (music-hall), Costume de revue, Jules Grün (1868–1938)
Affiche la Pépinière vers 1900, pour la Revue "Oh! la la! mon empereur", par J. A. Grün.
Angers, Plaques en ardoise gravée : deux numéros de boutiques des anciennes halles. Musée des Beaux-Arts d'Angers.
Peinture, Histoire, Architecture ottomane, Istanbul (Turquie) -- Palais de Topkapi, Ambassadeurs néerlandais, Dix-huilième siècle, Empire ottoman, Jean Baptiste van Mour (1671-1737), Réceptions
Ahmed III, Sultan de l'empire Ottoman, reçoit l'ambassadeur des Pays-Bas Cornelis Calkoen au Palais de Topkapi à Istanbul en 1727. Tableau de Jean Baptiste van Mour (1671-1737). Les cérémonies les plus élaborées dans ce bâtiment concernaient la réception des ambassadeurs qui venaient, escortés par des officiels, embrasser le bord de la robe du sultan. Le trône était alors richement décoré. La salle des audiences, dite aussi hall d'audience ou chambre des pétitions (Arz Odası), se situe juste derrière la porte de la Félicité, de manière à cacher la vue de la troisième cour. Cet immeuble carré est un kiosque ottoman, entouré de vingt-deux colonnes, qui supporte un large toit avec des gouttières pendantes. À l'intérieur se trouvent la salle du trône et deux petites pièces. Ce bâtiment était aussi nommé salle du Conseil intérieure, pour le différencier de la salle du Conseil de la seconde cour. C'est un bâtiment ancien, datant du XVe siècle, et décoré ensuite par Soliman. Le sultan y était assis sur un trône à baldaquin, et recevait personnellement les vizirs, les officiels et les ambassadeurs qui venaient se présenter. Selon un récit de Cornelius Duplicius en 1533 : « L'empereur était assis sur un trône légèrement surélevé entièrement couvert de drap d'or, cousu de nombreuses pierres précieuses et, de tous côtés, on voyait des coussins de valeur inestimable ; les murs de la pièce étaient recouverts de mosaïque d'azur et d'or ; le manteau de la cheminée était d'argent massif recouvert d'or et, sur un côté de la pièce, l'eau coulait dans une fontaine. »
Photographie, Jeux électroniques, Informatique, Loisirs, Jeux vidéo, Jeux d'arcades, Gagnants, Perdants
Borne d'arcade contemporaine "Solar Assault" où l'on joue assis. Au contraire du jeu sur console où on achète d'abord la console puis le jeu, permettant un jeu à volonté, l'arcade propose un accès libre et gratuit à la totalité du matériel. Il est par contre nécessaire de payer pour pouvoir jouer car la durée ou le nombre de parties sont limités. Il est donc indispensable de rajouter des pièces quand la partie est terminée, ceci constitue le principe même de l'arcade. Le jeu d'arcade possède comme caractéristique principale l'impossibilité pour le joueur de gagner. L'univers de l'arcade possède ses propres codes, ses habitudes, et sa propre histoire. En plus des cafés/bars et des salles d'arcade, les jeux d'arcade sont également présents dans les halls de bowling, les salles de cinéma, les galeries marchandes, les aéroports, les aires de repos autoroutières, les hôtels, les fêtes foraines ; en bref, dans des lieux ouverts au public où les gens sont susceptibles d'être en attente de quelque chose. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_d%27arcade.
Bouledogue français. C'est vers 1850 que ce chien est importé en France par des ouvriers britanniques. Il rencontre un certain succès comme chien ratier auprès des commerçants. Ce n'est que plus tard après cette francisation qu'il devient un chien de compagnie apprécié par les Occidentaux des deux côtés de l'océan Atlantique. Ces chiens étaient à la fois utilisés pour la chasse des rongeurs indésirables et comme chien de compagnie, notamment auprès des bouchers des quartiers de la Villette et des Halles à Paris. À cette époque, Toulouse-Lautrec adora ces petits chiens amusants, effrontés, avec une frimousse remarquable. La popularité de ce chien croissait auprès de certains amateurs comme Édouard VII du Royaume-Uni qu'on peut voir sur certaines photographies en compagnie de son bouledogue français appelé Peter. Le bouledogue français fut également la coqueluche de Mistinguett, Colette et Yves Saint-Laurent. La race connut un succès fracassant jusqu'aux États-Unis où des personnalités comme Joséphine Baker s'entichèrent de leur petit animal. Avec les difficultés et les affres des guerres mondiales, beaucoup d'éleveurs de chien abandonnèrent leur élevage, si bien que cette race a progressivement perdu sa notoriété. On remarque cependant à partir de 1980 un regain pour l'élevage du bouledogue français. Les bouledogues français sont parfois appelés « dondon » ou « bouli » par les passionnés.
Le Rosenmühle (« Moulin Rose ») dans la brume du soir en novembre. Le Rosenmühle est un ancien moulin à eau sur la rivière Haller à Adensen, près de Nordstemmen, en basse saxe (Allemagne)
Photographie, Vêtements, Hommes, Chapeaux d', Femmes, Chapeaux de, Canotage à la rame, Canotiers (vêtements)
À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine dès le début du XIXe. La préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des « canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes guinguettes et autres lieux de plaisance de cette époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des chansons, et évidemment en peinture. Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers, notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes d’équipage. Dans la Marine, deux versions du chapeau rond coexistaient : une version en paille naturelle pour le service dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays pluvieux. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires.
Carte des constellations du Lézard, du Cygne, de la Lyre, du Loup et de l'Oie : Lacerta, Cygnus, Lyra, Vulpecula, Anser.
Peinture, Chouettes, Art nouveau (décoration), Bruxelles (Belgique), Artistes belges, Henri Privat-Livemont (1861-1936)
Institut Diderot, rue des Capucins 58, Bruxelles (Belgique). Ancienne école normale Emile André (1902). Architecte: Henri Jacobs. Hall d'entrée : détail d'un graffite de Henri Privat-Livemont (1861-1936).
Peinture, Art nouveau (décoration), Coqs, Artistes belges, Henri Privat-Livemont (1861-1936), Décoration par sgraffite
Institut Diderot, rue des Capucins 58, Bruxelles (Belgique). Ancienne école normale Emile André (1902). Architecte : Henri Jacobs. Hall d'entrée : détail d'un sgraffite de coq par Henri Privat-Livemont (1861-1936).
Photographie, Printemps, Années 1910, Art nouveau (décoration), Art nouveau (architecture), Architecture, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Coupoles
Coupole du salon de thé du magasin du Printemps, Boulevard Haussmann à Paris. Le nouveau magasin est dominé par une coupole qui éclaire un grand hall de 42 mètres de hauteur, et comprend également un escalier central à quatre révolutions d'inspiration Art Nouveau. En 1905, un nouveau slogan apparaît dans les catalogues publicitaires : « Les magasins du Printemps sont les plus élégants de Paris. »
Photographie, Printemps, Vitraux civils, Art nouveau (décoration), Art nouveau (architecture), Architecture, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Coupoles
Coupole du Printemps, boulevard Haussmann à Paris. En 1907, Laguionie se lance à la construction d'un nouveau bâtiment qui, en 1908, ouvre déjà plusieurs de ses nouvelles galeries à l'angle des rues Caumartin et de Provence. Il est relié au magasin plus ancien par un sous-sol. C'est en avril 1910 qu'a lieu l'inauguration de ce qui est appelé les Nouveaux Magasins. À l'époque ils occupent environ la moitié de la surface des magasins actuels du Printemps Haussmann. Le style du nouveau bâtiment, coiffé d'une coupole et d'une terrasse, est assez proche de celui du magasin de Sédille pour conserver une certaine homogénéité. Mais une fois de plus, les innovations architecturales ne passent pas inaperçues : le nouveau hall octogonal est perçu comme audacieux, la ferronnerie des balcons et des rampes d'escalier est une réalisation de style art nouveau, l'éclairage du nouveau bâtiment étonne, et les trois nouveaux ascenseurs rapides émerveillent les visiteurs.
Le Hongrois Áron Szilágyi (à gauche) affronte le Russe Nikolay Kovalev (à droite) en demi-finale du sabre masculin aux championnats du monde d'escrime 2013 au Syma Hall à Budapest, le 10 août 2013.
Ephémère pendant le Festival "Vous êtes bien urbain", derrière les halles Sainte Claire à Grenoble.
Photographie, Carl Gustav Jung (1875-1961), États-Unis (1901-1909), Psychanalystes, Sigmund Freud (1856-1939), Worcester (Mass.. - comté)
Photo de groupe de six psychanalystes prise en septembre 1909 devant la Clark University (Worcester, Massachusetts) lors de la première visite de Jung en Amérique ; de gauche à droite : Sigmund Freud, G. Stanley Hall, Carl Jung ; derrière : Abraham A. Brill, Ernest Jones, Sándor Ferenczi.
Photographie, Voies ferrées -- Rails, Architecture industrielle, Voies ferrées, Limoges (Haute-Vienne) -- Gare des Bénédictins
Quais de la gare de Limoges-Bénédictins, Haute-Vienne. Cette gare est une œuvre de l'architecte Roger Gonthier, qui est aussi à l'origine des Halles centrales et du pavillon du Verdurier. Elle présente la particularité d'être construite au-dessus des voies. C'est en effet une gare de passage dont le bâtiment voyageurs est implanté sur une plate-forme de 96 mètres sur 70 posée perpendiculairement 7 mètres au-dessus de dix voies. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Limoges-B%C3%A9n%C3%A9dictins
Gare St Jean à Bordeaux, façade extérieure. La première a été construite en 1855 par la Compagnie du Midi en remplacement de la gare de Bordeaux-Ségur. Le développement important des chemins de fer à la fin du XIXe siècle rendit nécessaire la construction d'une gare principale plus grande. Les travaux débutèrent en 1889. Le hall d'arrivée fut bâti en premier en 1893 ; puis ce fut le hall de départ en 1897. La totalité du complexe fut terminée en 1898. La gare Saint-Jean devint la gare principale de Bordeaux aux dépens de la gare de Bordeaux-Bastide (gare d'Orléans) sur la rive droite du fleuve. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Bordeaux-Saint-Jean
Photographie, Vert, Toulouse (Haute-Garonne), Art contemporain, Graffitis, Personnages imaginaires, Extra-terrestres
"Kreaturs" de Korail : Graffitis d'extra-terrestres à Toulouse dans les halles de la cartoucherie.
Photographie, Ferronnerie d'art, Porcelaine de Sèvres, Sèvres (Hauts-de-Seine), Centre international d'études pédagogiques. France
Manufacture de porcelaine de Sèvres, hall d'entrée du CIEP-Sèvres.
Vue du plancher de coulée et de l'appareil du Haut Fourneau 2 de Dąbrowa Górnicza, Pologne, en 2014. La disposition de l'appareil au centre d'une halle circulaire est typique des hauts fourneaux soviétiques. Panorama créé avec Hugin à partir de 6 photos en grand angle (Panasonic TZ7).
Photographie, Alimentation, Poissons, Marchés, Ornithologie, Marchés aux poissons, Halles, Bubulcus ibis, Héron garde-boeufs, Victoria (Seychelles)
Hérons garde-beufs (Bubulcus ibis) au marché de poissons de Victoria aux Seychelles.
Dessin du "Independance Hall" à Philadelphie où fut signée la Déclaration d’indépendance et où fut adoptée la Constitution américaine. Classé sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1979.
Gravure, Capuches (vêtements), Contes anglais, Capes, Dix-neuvième siècle, Employés de maison, Lutins, Manoirs, Serviteurs (personnages)
Illustration du conte anglais "Le lutin de Hilton Hall" (The cauld Lad of Hilton) de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : Le lutin danse de joie en trouvant la cape et le bonnet offerts par les serviteurs du manoir.
Photographie, Dromadaire, Transports de marchandises, Chapiteaux, Metz (Moselle), Animaux -- Dans l'art, Bureaux de poste, Colonnes -- France
Détail. Hall d'entrée, salle des colonnades, Poste centrale de Metz. Chacun des chapiteaux centraux représentent deux illustrations des moyens de transport ou de télécommunication. Base Mérimée, PA00106850.
Maurice Le Scouëzec (1881-1940) : le village de Pouldavid (Douarnenez, halles)
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.281 : manuel scolaire, édition de 1904. LES HALLES CENTRALES A PARIS. - Les Halles centrales de Paris forment un vrai monument dont le faîte s'élève à 25 mètres au-dessus du sol. Il est construit presque tout en fonte ou en zinc. De nombreux vitraux en cristal dépoli et des persiennes laissent partout entrer la lumière sans le soleil. Les Halles centrales sont un établissement unique en son genre dans le monde.
Peinture, Peintres français, Dix-neuvième siècle, Marchés de plein air, Halles, Léon Lhermitte (1844-1925), Paris (France) -- Quartier des Halles
"Les Halles", tableau commandé à Léon Augustin Lhermitte en 1889, par la Mairie de Paris.