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Photographie, Maïs, Sorgho, Meunerie, Tournesols, Céréales, Sarrasins (plantes), Bléré (Indre-et-Loire. - région), Céréales -- Entreposage, Orges
Exposition au Moulin des Aigremonts de Bléré : orge, sarrasin, sorgho, tournesol alimentaire, tournesol pour oiseaux, maïs.
Tour en maçonnerie de l'ancien château d'eau de Forges. (département de la Seine-et-Marne, région Île-de-France).
Gravure, Coutellerie, Articles de, Industrie, Coutellerie (industrie), Thiers (Puy-de-Dôme. - région)
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.130 ; manuel scolaire, édition de 1904 : ATELIER DE COUTELLERIE À THIERS. - La coutellerie fabrique tous les couteaux grands et petits, dont nous nous servons, ainsi que les canifs, grattoirs, etc. Les ouvriers représentés préparent les lames. D'autres, pendant ce temps, ont préparé les manches des couteaux, il n'y aura plus qu'à les emmancher. Le grand soufflet qui sert à exciter le feu de la forge est mis en mouvement par un chien qui tourne dans une sorte de cage ronde comme font les écureuils.
Photographie, Forgerons, Forges -- France, Écomusées, Franc-Comtois, Grand'Combe-Châteleu (Doubs, France)
Atelier de forgeron de Louis Girard, Ferme Jacquemot de Grand'Combe-Châteleu. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ferme_Jacquemot
La garluche ou pierre des Landes, est un grès ferrugineux. Le mot « Garluche » vient du gascon garluisha, dérivé de la racine prélatine kar/gar. Son sens littéral est « la mauvaise pierre ». La garluche est également connue sous les noms gascons de pèira nhòga ou pèira de lana. Elle a longtemps servi de matériau de construction et, bien qu'à faible teneur en fer, a alimenté les anciennes forges de Brocas, de Pontenx-les-Forges et d'Uza dans les Landes de Gascogne. Elle a donné son nom à la Garluche, apéritif artisanal des Landes fait à base de vin blanc, de rhum et de zestes d'oranges amères. Cet apéritif est ainsi nommé en raison de sa couleur, proche de celle de la garluche.
Réplique d'une cabane à Valley Forge pour les soldats de l'armée de George Washington (1732-1799) pendant l'hiver 1777-1778.
Photographie, Ferronnerie d'art, Objets en fer forgé, Cours (architecture) -- France, Sèvres (Hauts-de-Seine), Centre international d'études pédagogiques. France
Cour d'entrée, Manufacture de Sèvres, au CPIE de Sèvres.
Peinture, Art nouveau, Art nouveau (décoration), Décoration et ornement -- Art nouveau, Années 1890, Anton Seder (1850–1916), Ferronnerie d'art, Objets en fer forgé
Lithographie de Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau, 1890 : Fer forgé. Le fer forgé est une forme très pure de fer destiné au commerce, qui se caractérise par une faible teneur en carbone. Il est dur, malléable et peut être aisément mélangé à d'autres métaux. Il est cependant trop peu résistant pour la confection de lames et d'épées. Le fer forgé est utilisé depuis des milliers d'années, et représente le "fer" standard tel qu'on le connaît en histoire. De façon traditionnelle, le fer forgé était obtenu à partir du minerai de fer qui était chauffé à blanc dans une forge. Par la suite, on le martelait afin d'éliminer les scories contenues dans le minerai. Les procédés industriels du XIXe siècle ont permis de produire du fer forgé en grande quantité ce qui a permis d'étendre son utilisation à de grandes structures.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877 : manuel scolaire, édition de 1904 : FORGE DE SERRURIER. - On voit derrière l'âtre un petit trou noir ; c'est par ce trou qu'arrive le vent du soufflet, qui sert à exciter le feu de charbon de terre. Au-dessous du foyer se trouve un baquet rempli d'eau ; on s'en sert pour mouiller le charbon.
Photographie, Chantiers de construction, Forges -- France, Archéologie médiévale, Treigny (Yonne) -- Château de Guédelon
Forge au chantier médiéval du château de Guédelon en juin 2008.
Gravure, Métallurgie, Forgerons, Faux (outils agricoles), Dix-septième siècle, Forges, Marteaux, Gravure sur cuivre (estampe), Slovénie (1456-1814), Valvasor (1641-1693), Enclumes
Trois forgerons martellant une faux sur une enclume, 1689, gravure sur cuivre de Janez Vajkard Valvasor (1641-1693)
Dessins et plans, Dix-huitième siècle, Forges -- France, Encyclopédies et dictionnaires français, Hauts fourneaux, Encyclopédies
Planches de l'Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de Diderot et d'Alembert, volume 3: Forges. 2nde section, Pl. II.
Plan du fort des Basses Perches. Légende en français : Caserne A) corps de garde, salle de discipline, télégraphe, salle d'artifice ; Caserne B) latrines des officiers en temps de guerre, latrines de troupes, 5-8 casemates de troupe, casemates de sous-officiers, magasin aux vivres, cuisine de la troupe, magasin des ordinaires ; Autres : A abris-traverses, A1 plates-formes de tir, C urinoirs, D latrines de troupe en temps de paix, E latrines des officiers, M-N magasins à poudre, O salle d'artifice, P cartoucherie, F Forge, S-T coffres de contrescarpe, U rue du rempart. Le Fort des Basses Perches, de son vrai nom fort Valmy (François-Christophe Kellermann, duc de Valmy, maréchal, 1735-1820), a été construit entre 1874 et 1877. C'est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Il est situé sur les communes de Danjoutin et de Belfort. Ce fort a la particularité d'être équipé de coffres de contrescarpe en lieu et place des caponnières, alors qu'à cette époque, les caponnières furent utilisées massivement. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_des_Basses_Perches À partir de 1893, ce fort fut relié à un certain nombre d'autres forts autour de Belfort grâce à un chemin de fer stratégique.
Gravure, Espagnol (langue), Frontispice (typographie), Bartolomé de las Casas (1474-1566), Chiapas (Indiens), Chiapas (Mexique) -- Histoire
Frontispice du Très bref rapport sur la destruction des Indes (Brevísima relación de la destrucción de las Indias), 1552, par Bartolomé de las Casas, Dominicain, évêque de Chiapa au Mexique (1544-1550), défenseur des Indiens. Dans celui-ci, las Casas s'efforce de dénoncer les effets néfastes de la colonisation des Amériques par les Espagnols et de la mise en esclavage des peuples indigènes. L'œuvre de Las Casas se veut polémique, ses récits contiennent de nombreuses exagérations et présentent les événements historiques sous un angle souvent manichéen. Elle a été amplement commentée au cours des siècles et a ainsi contribué à forger la Légende noire espagnole. La Brevísima est dédiée au prince Philippe (futur Philippe II d'Espagne), alors chargé par son père l'empereur Charles Quint des affaires des Indes. Las Casas souhaitait grâce à son livre informer le futur roi d'Espagne des injustices et méfaits commis selon lui par les Espagnols en Amérique.
Photographie, Grilles, Arts décoratifs, Ferronnerie d'art, Objets en fer forgé, Basse-Autriche (Autriche)
Grille de fenêtre extérieure en fer forgé, Château des chevaliers teutoniques de l'église de Gumpold en Basse-Autriche.
Grille de fer forgé en Autriche : château des Chevaliers Teutoniques, à Gumpoldskirchen, en Autriche.
Photographie, Ferronnerie d'art, Objets en fer forgé, Palais Galliera-Musée de la mode de la Ville de Paris
Grille du square Brignole Galliera, place de Tokyo, avenue du Président-Wilson àParis (16e arrond.) - En arrière du Palais Galliera, musée de la Mode.
Grille en fer forgé à l'entrée des jardins de Westferry Circus, Londres, mars 2011.
Dessins et plans, Histoire, Dix-septième siècle, Québec (Canada), Québec (Canada) -- Habitation de Champlain, Scorbut
Habitation de Québec : A) Le magazin. B) Colombier. C) Corps de logis où sont nos armes, & pour loger les ouvriers. D) Autre corps de logis pour les ouvriers. E) Cadran. F) Autre corps de logis où est la forge, & artisans logés. G) Galeries tout au tour des logemens. H) Logis de sieur de Champlain. I) La porte de l'habitation, où il y a pont-levis. L) Promenoir autour de l'habitation concernant 10 pieds de large jusques sur le bort du fossé. M) Fossés tout autour de l'habitation. N) Plattes formes, en façon de tenaille pour mettre le canon. O) Jardin du sieur de Champlain. Q) Place devant l'habitation sur le bort de la rivière. R) La grande rivière de sainct Lorens. vers 1608. Source : "The works of Samuel de Champlain in six volumes", Toronto, The Champlain Society, 1925, reprinted 1971 by University of Toronto press, volume II, p. 39. Samuel Champlain fonde Québec en 1608, mandaté par Pierre Dugua de Mons, « là où le fleuve se rétrécit », selon l'appellation algonquienne, et il en fait la capitale de la Nouvelle-France aussi dite le « Canada ». Québec sera, jusqu'aujourd'hui, le premier lieu habité à l'année de façon continue par des Français et leurs descendants, en Amérique du Nord. Champlain remonte aussi le fleuve en 1615 jusqu'au-delà du Sault Saint-Louis (rapides de Lachine), à la baie Georgienne (partie ouest du lac Huron) et navigue sur les eaux de la rivière Richelieu jusqu'à ce qui est aujourd'hui le lac Champlain. Tout au long de son périple en Nouvelle-France, il établit notamment avec les Innus-Montagnais, les Algonquins et les Hurons-Wendats, d'excellentes relations diplomatiques et commerciales, et agit, d'office (non en titre), comme premier gouverneur de la Nouvelle-France. Cependant, les colons européens apportent de nombreuses maladies qui, par les routes commerciales, se propagent rapidement au sein des populations autochtones, faisant des ravages parmi celles-ci. Les colons français, arrivant souvent très malades dans des bateaux qui ne sont pas très sains, sont sauvés par les remèdes amérindiens. Ainsi, pour soigner le scorbut, les Iroquoiens du Saint-Laurent proposent à Cartier des décoctions d'écorce de cèdre blanc, appelé annedda.
Gravure, Forgerons, Cuivre, Joseph Jacobs (1854-1916), Contes merveilleux, John D. Batten (1860–1932), Art du forgeron
Hasan le forgeron, par John D. Batten (1860–1932), illustration de Hasan de Bassorah, The book of wonder voyages, 1919, par Joseph Jacobs (1854-1916).
Photographie, Dix-neuvième siècle, Garluche, Forges, Forges -- France, Brocas (Landes), Forges hydrauliques
Haut-fourneau de Brocas (Landes). Construit en 1833. Notice de la base Mérimée : "Forge fondée en 1830 par Dominique Lareillet, conseiller général et maître de forge. L'entreprise connaît une certaine expansion dans les années 1850 grâce au chemin de fer. Son éloignement des principaux moyens de communication et l'utilisation de charbon de bois comme combustible, la consacrèrent essentiellement à la production de mobilier domestique jusqu'à sa fermeture, vers 1905."
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Architecture de la Renaissance, Architecture, Association nationale des villes et pays d'art et d'histoire et des villes à secteur sauvegardé et protégé. France
Hôtel dijonnais du XVème siècle : Hôtel Morel-Sauvegrain, 52 rue des Forges.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Architecture de la Renaissance, Architecture, Association nationale des villes et pays d'art et d'histoire et des villes à secteur sauvegardé et protégé. France
Hôtel dijonnais du XVème siècle : Hôtel Morel-Sauvegrain, 52 rue des Forges.
Photographie, Afrique, Agriculture -- Outillage, Ethnologie -- Musées, Riz, Sénégal, Riziculture, Musées ethnologiques, Outillage agricole, Casamance (Sénégal), Diolas (peuple d'Afrique)
Le kadiandou, outil traditionnel des Diolas utilisé pour la culture du riz en Casamance. Photo prise au musée en plein air consacré à la culture des Diolas à Boucotte (Casamance, Sénégal). L’outil de base reste le kayendo, (kajendo, kadiendo, kadiandou) une sorte de bêche ou pelle en bois de 40 à 70 centimètres environ, cerclée d’une lame en fer forgé très tranchante et emboîtée dans long manche rectiligne et cylindrique. Les deux pièces sont reliées par des lanières arrachées aux feuilles de rônier. L’ensemble est confectionné dans un bois très dur et mesure de 2 à 2,5 mètres. Le kayendo est surtout utilisé pour labourer les rizières, mais connaît aussi d’autres usages, comme les travaux de terrassement ou de construction. Le défrichage et les labours sont assurés par les hommes, tandis que les femmes sèment, repiquent les plants, procèdent au désherbage, puis récoltent le riz entre octobre et janvier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Karabane.
Photographie, Écureuils, Grilles, Ferronnerie d'art, Objets en fer forgé, Parcs -- Allemagne, Bautzen (Allemagne. - région)
Grille d'entrée du Musée d'histoire locale Heimat ‘Carl Swoboda’, à Schirgiswalde en Allemagne.
Photographie, Contes de fées, Poissons, Ferronnerie d'art, Objets en fer forgé, Frères Grimm, Donetsk (Ukraine)
Poisson en fer forgé du parc des forgerons d'art de Donetsk en Ukraine, avenue des contes de fées.
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant un foyer dans lequel des forgerons préparent des clous.
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant deux forgerons préparant des fers à cheval dans leur atelier.
"Une fois de plus la mouche entra par la fenêtre" par Arthur Rackham (1867-1939). "Skáldskaparmál", 1901 : Loki, sous la forme d'une mouche, distrait le nain Brokkr qui actionne le soufflet de la forge pendant que son frère Eitri fabrique le marteau. Le Skáldskaparmál ou Skaldskaparmal (« dits sur la poésie » en vieux norrois) est la deuxième partie de l'Edda de Snorri Sturluson. Un dialogue entre Ægir et le dieu de la poésie Bragi est le prétexte d’une large présentation de kenningar (périphrases) et de heiti (synonymes). L’explication de ces kenningar permet à Snorri de conter de nombreux récits mythologiques ou héroïques.
''Le Poète dans l'univers'', 1968, murale en céramique et fer forgé de Georges Lauda, Paul Pannier et Gérard Cordeau : bas-relief situé à la station de métro Crémazie à Montréal. Murale en hommage aux poètes Saint-Denys Garneau, Émile Nelligan et Octave Crémazie. Un bas-relief en céramique illustre les planètes du système solaire, les signes du zodiaque et des extraits de poèmes.
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant une forge et des fabricants de serrures au travail.
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant quatre forgerons martelant une faux sur l'enclume dans leur atelier.
Représentation de la longueur d’onde d’une fonction sinus. La longueur d’onde est une grandeur physique, homogène à une longueur, utilisée pour caractériser des phénomènes périodiques. Une onde est un phénomène physique se propageant et qui se reproduit identique à lui-même un peu plus tard dans le temps et un peu plus loin dans l’espace. On peut alors définir la longueur d’onde comme étant la plus courte distance séparant deux points de l’onde strictement identiques à un instant donné. On la dénote communément par la lettre grecque λ (lambda). Notion inventée par Fesnel qui réalisa de nombreuses expériences sur les interférences lumineuses, indépendamment de celles de Thomas Young, pour lesquelles il forge la notion de longueur d'onde. Il calcule les intégrales dites de Fresnel.