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Photographie, Bas-reliefs, Animaux -- Dans l'art, Maastricht (Pays-Bas), Animaux fableux, Chansons de gestes
Bas-relief de Bayard et les quatre fils Aymon, 1786, à Maastricht (Pays-Bas).
Dessins et plans, Communication, Linguistique, Analyse de contenu (communication), Dialogue (communication interpersonnelle), Récepteurs
Communication du type émetteur - message - receveur : Cette forme de communication n'a été formalisée qu'aux cours des deux derniers siècles. La communication interpersonnelle est fondée sur l'échange de personne à personne, chacune étant à tour de rôle l'émetteur et/ou le récepteur dans une relation de face à face : la rétroaction est censée être facilitée sinon quasi-systématique. On dit parfois que la communication est « holistique », c'est-à-dire qu'elle fait intervenir le tout de l'homme (communication verbale et non verbale), ainsi que l'environnement (possibilité d'interférences environnementales dans la communication). Pour l'école de Palo Alto, la communication est fondamentale et essentielle pour l'homme : « on ne peut pas ne pas communiquer ». Que l'on se taise ou que l'on parle, tout est communication. Nos gestes, notre posture, nos mimiques, notre façon d'être, notre façon de dire, notre façon de ne pas dire, toutes ces choses « parlent » à notre récepteur. La communication est aussi une forme de manipulation. Quand bien même notre intention première voire délibérée n'est pas de manipuler, nous communiquons souvent dans l'intention d'influencer ou de modifier l'environnement ou le comportement d'autrui.
Photographie, Musique, Parapluies, Montréal (Canada), Concerts, Loisirs de plein air, Art contemporain, Concerts -- Production et mise en scène, Mohawks (Indiens), Musique -- Publics
"Scène verte 2012" au festival Osheaga de Montréal sous la pluie. Le Festival musique et arts Osheaga est un festival de musique rock et de musique électronique qui a lieu annuellement à Montréal au Québec (Canada) depuis 2006. Selon les organisateurs, "Osheaga" est un mot que Jacques Cartier aurait entendu lorsqu'il a fait la rencontre des Mohawks pour la première fois, dans les environs des Rapides de Lachine, sur le territoire qui allait devenir Montréal. Les Européens agitaient leurs mains rapidement, pour désigner les rapides ou pour échanger des poignées de mains, des gestes auxquels les Mohawks n'étaient pas habitués. Le terme "O she ha ga" veut dire "les gens aux mains très agitées", mais Cartier l'interpréta comme voulant dire "gros remous", croyant que les Amérindiens désignaient le fleuve par ce mot. Toutefois rien de tel n'est relaté dans le court passage de Jacques Cartier lors de sa visite sur l'île de Montréal à l'automne 1535, et cette origine n'est en fait qu'un autre mythe attribué à Cartier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Osheaga
Gibbon est un nom vernaculaire ambigu en français, pouvant désigner plusieurs espèces différentes de primates de la famille des Hylobatidae dont certains membres sont appelés aussi houlock, siamang, lar... Ils ne possèdent pas de queue. Très territoriaux, les gibbons défendent leurs frontières à l'aide de gestes et de cris. Les hurlements, qui peuvent être entendus de très loin, sont émis par un couple mâle-femelle, les jeunes se joignant parfois à leurs parents. La femelle met au monde un seul petit au bout de 7 mois. Le gibbon peut vivre plus de 43 ans en captivité et 40 ans dans la nature.
Photographie, Tétras lyre, Mâles, Ornithologie, Parade nuptiale des animaux, Uppland (Suède. - province)
Sept coqs de bruyère, tétras lyre (Tetrao tetrix) sur une aire de parade (lek) en Suède (province d'Uppland). Le tétras-lyre est surtout célèbre pour ses parades nuptiales printanières. Les mâles se retrouvent tous les ans, aux mois de mars, avril, mai et début juin sur des espaces dégagés d’arbres, plateaux ou tourbières appelées lek (ou aire de parade). Au centre de cet emplacement se trouve l’arène où les coqs paradent, chantent, se mesurent ; les gestes et les allures ont tous une signification bien précise : provocation, domination…
Peinture, Enfants, Serpents, Adolescents, Jeux de société, Jeux de pions, Jeux de plateau, Analyse combinatoire, Échelles
Version indienne du XIXème siècle du jeu des serpents et des échelles (Gouache sur tisse). Serpents et échelles ou le jeu de l'échelle est un jeu de société populaire consistant à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en essayant de monter les échelles et en évitant de trébucher sur les serpents. Il est suggéré que l'origine du jeu est moksha-patamu, un ancien jeu hindou remontant au deuxième siècle av. Jésus-Christ, créé par des enseignants hindous spirituels, où les serpents et échelles sont des symboles pour la moralité et spiritualité de la vie. Le jeu est une représentation d'un chemin spirituel que les humains prennent pour atteindre le ciel. Avec des bons gestes, le chemin est raccourci (ce que symbolise les échelles), tandis qu'avec le contraire, le chemin est allongé (d'où vient le symbolisme des serpents). Les différentes cultures ont perçu dans le jeu une valeur éducative et spirituelle, la raison commune pour laquelle ce jeu est surtout présenté aux enfants et adolescents. Les sanscrits avaient un jeu semblable appelé Dapasada. La forme moderne du jeu a été inventée par un Britannique appelé John Jaques qui travaillait pour la société Jaques of London. L'édition la plus connue du jeu est celle de Milton Bradley et Hasbro. La trajectoire suivie par les jetons suit habituellement celle d'un boustrophédon. La forme du jeu peut être mathématiquement représentée par une chaîne de Markov. Elwyn Berlekamp, John Horton Conway et Richard K. Guy ont écrit un livre pour montrer que ce jeu pouvait être traité comme un jeu impartial dans la théorie des jeux combinatoires.
Peinture, Moissons, Bonnets, Vêtements, Jean-François Millet (1814-1875), Dix-neuvième siècle, Réalisme dans l'art, Réalisme (mouvement artistique), École de Barbizon, Paysans
Glaneuses, 1857, de Jean-François Millet (1814-1875). Sur le tableau figurent trois femmes, une vieille et deux jeunes, parmi les plus pauvres de la campagne, puisque contraintes de glaner des épis de blés pour manger, et illustre ainsi la misère de la population rurale en s'inscrivant dans la veine réaliste, sans misérabilisme. Les trois femmes figurent les trois gestes du glanage : se baisser, ramasser, se relever. Le travail de ces femmes est pénible (courbure du dos, maigreur de la récolte), mais leurs vêtements ne sont pas des haillons. Cette pauvreté (et une certaine fracture sociale) est accentuée par l'apparente richesse de la récolte de blé chargée sur les charrettes en arrière plan par le maître et les gens de ferme. Millet représente dans le ciel une nuée d'oiseaux, prêts eux aussi à picorer les grains oubliés, à l'instar des glaneuses.
Troisième jour (derniers gestes) de la réalisation d'un mandala de sable "Pour la paix dans le monde", par trois lamas du temple des Mille Bouddhas, à la Tour de la Liberté de Saint-Dié-des-Vosges, les 11, 12 et 13 avril 2008.
Gravure, Main, Matériel didactique, Savants anglais, Système décimal, Numération, Outils pédagogiques, Beda Venerabilis (saint, 0673?-0735), Éducation -- Documentation, Moyen âge -- Étude et enseignement
Table des nombres expliqués avec les doigts, système de Beda Venerabilis en trente-six gestes. Vers 701, Bède rédige ses premières œuvres, le "De Arte Metrica" et le "De Schematibus et Tropis", toutes deux destinées à servir de support d'enseignement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A8de_le_V%C3%A9n%C3%A9rable
Trois danseuses contemporaines, les bras en l'air : décomposition du geste.