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Dessins et plans, Jardinage, Jardinage -- Outillage, Gants, Bonnets, Pelles, Frères et soeurs, Bandes dessinées, Brouettes
Abel et Bellina plantent une jolie fleur, Odysseus, 11 mars 2015 : dialogue entre frère et soeur à l'occasion de la plantation d'un bulbe dans leur jardin.
Gravure, Gants, Lapin, Peur chez les animaux, Formules de politesse, Peur, Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898), Fillettes, Dix-neuvième siècle, Chagrin, Littérature pour la jeunesse, Lewis Carroll (1832-1898), Éventails, Goliards, Timidité
Alice fait peur au lapin blanc, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice se trouvait si malheureuse, qu’elle était disposée à demander secours au premier venu ; ainsi, quand le Lapin fut près d’elle, elle lui dit d’une voix humble et timide, « Je vous en prie, Monsieur, » Le Lapin tressaillit d’épouvante, laissa tomber les gants et l’éventail, se mit à courir à toutes jambes et disparut dans les ténèbres.
Deux gants de toilette suspendus par des épingles à un fil à linge dans une jardin.
Deux gants de toilette suspendus à sêcher dans un jardin par des épingles à linge.
Photographie, Gants, Vêtements, Vautours, Chasse, Fauconnerie, Animaux nécrophages, Charognards, Chasse au faucon
Vautour charognard (Necrosyrtes monachus) sur le gant du fauconnier. Festival médiéval de Sedan, le 20 Mai 2012.
Photographie, Gants, Doigts, Main, Cinq (le nombre), Anglais (langue), Vêtements -- Accessoires, Humour, Articles de fantaisie
Gants de doigts fantaisie enfilés à la main gauche : "Princesse" à l'auriculaire, "Amour" à l'annulaire, "Aloha" à l'index (bonjour à Hawaï).
Photographie, Gants, Pinces à linge, Serviettes, Famille -- Santé et hygiène, Épingles à linge, Séchage -- Appareils et matériel, Hygiène familiale
Deux gants de toilette suspendus à un fil, avec des épingles à linge, dans un jardin.
Photographie, Gants, Bas et chaussettes, Étalage, Vêtements -- Accessoires, Marchés de Noël, Italien (langue), Genève (Suisse), Articles de fantaisie, Nouveautés, Produits commerciaux -- Étalage, Euro (monnaie européenne)
Gants et chaussettes fantaisie au marché de Noël de la Saint-Nicolas à Genève ; étiquettes avec prix en italien.
Photographie, Gants, Vêtements -- Accessoires, Dix-neuvième siècle, Peaux, Parfumeurs créateurs, Roi de Rome (1811-1832), Tanneries
Paire de gants en peau fabriqués par le parfumeur Gervais Chardin en 1814, pour le jeune roi de Rome né en 1811 (Musée napoléonien de l'Ile d'Aix, Charente-Maritime)
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman, 1568, représentant un atelier de fabricants et de vendeurs de bourses et de gants. Deux acheteurs discutent le prix. Des articles sont suspendus "en vitrine".
Mésange à tête noire sur le point de se poser sur une main avec gant de laine gris.
Plusieurs types de mitaines : Une mitaine (emploi plus souvent pluriel : des mitaines) est un gant dont les doigts ne sont pas fermés, comme s'ils avaient été coupés. Parfois même les doigts ne sont pas délimités et la mitaine ne couvre que la paume et le dessus de la main. Comme les gants, les mitaines peuvent monter plus ou moins haut sur le bras. La mitaine est généralement considérée comme un accessoire féminin, même si elle tend à se masculiniser. Elles peuvent se porter seules ou superposées sur un gant. Les mitaines présentent l'avantage de tenir les mains au chaud tout en préservant la sensibilité tactile de la pulpe des doigts.
Photographie, Cuirs et peaux, Gants, Vêtements -- Accessoires, Dix-septième siècle, Produits de luxe, Gants -- Industrie et commerce, Articles de luxe
Paire de gants de cuir brodés de fils de soie et d'or, 1615-1625 (Victoria and Albert Museum, Londres). Au début du XVIIème siècles, les gants jouaient plusieurs rôles, en plus de protéger et de tenir chaud ; certains avaient un rôle purement décoratif, signe de richesse et de noblesse. Ils se portaient attachés au chapeau ou à la ceinture, ou bien tenus à la main. Les gants étaient souvent offerts en cadeaux ou bien échangés lors d'un engagement ou d'un mariage. Un gant jeté était synonyme de défi lancé à un adversaire. Les gants étaient très populaires dans la classe ouvrière en Angleterre. En 1618 Horatio Busini, aumônier de l'ambassadeur de Venise à Londres écrivit dans son rapport sur les moeurs anglaises que la mode des gants côuteux est tellement répandue que même les portiers les exhibent avec ostentation. Source : notice jointe à la photo.
Peinture, Fruits, Provence (France), Citrons, Gants, Vêtements, Oranges, Vincent Willem Van Gogh (1853-1890), Dix-neuvième siècle, Corbeilles
Vincent van Gogh (1853-1890), "Nature morte : Gants et fruits". Janvier 1889
Peinture, Fillettes, Peintres anglais, Lapins, Arthur Rackham (1867–1939), Littérature de jeunesse, Alice au pays des merveilles
Alice cherche les gants et l'éventail du lapin, 1909, illustré par Arthur Rackham (1867–1939) : Bientôt le Lapin aperçut Alice qui furetait ; il lui cria d’un ton d’impatience : Eh bien ! Marianne, que faites-vous ici ? Courez vite à la maison me chercher une paire de gants et un éventail ! Allons, dépêchons-nous.
Gravure, Boissons, Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898), Fillettes, Dix-neuvième siècle, Littérature pour la jeunesse, Lewis Carroll (1832-1898), Croissance, Croissance, Troubles de la
Alice grandit encore, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout en causant ainsi, Alice était entrée dans une petite chambre bien rangée, et, comme elle s’y attendait, sur une petite table dans l’embrasure de la fenêtre, elle vit un éventail et deux ou trois paires de gants de chevreau tout petits. Elle en prit une paire, ainsi que l’éventail, et allait quitter la chambre lorsqu’elle aperçut, près du miroir, une petite bouteille. Cette fois il n’y avait pas l’inscription BUVEZ-MOI — ce qui n’empêcha pas Alice de la déboucher et de la porter à ses lèvres. « Il m’arrive toujours quelque chose d’intéressant, » se dit-elle, « lorsque je mange ou que je bois. Je vais voir un peu l’effet de cette bouteille. J’espère bien qu’elle me fera regrandir, car je suis vraiment fatiguée de n’être qu’une petite nabote ! » C’est ce qui arriva en effet, et bien plus tôt qu’elle ne s’y attendait. Elle n’avait pas bu la moitié de la bouteille, que sa tête touchait au plafond et qu’elle fut forcée de se baisser pour ne pas se casser le cou. Elle remit bien vite la bouteille sur la table en se disant : « En voilà assez ; j’espère ne pas grandir davantage. Je ne puis déjà plus passer par la porte. Oh ! je voudrais bien n’avoir pas tant bu ! » Hélas ! il était trop tard ; elle grandissait, grandissait, et eut bientôt à se mettre à genoux sur le plancher. Mais un instant après, il n’y avait même plus assez de place pour rester dans cette position, et elle essaya de se tenir étendue par terre, un coude contre la porte et l’autre bras passé autour de sa tête. Cependant, comme elle grandissait toujours, elle fut obligée, comme dernière ressource, de laisser pendre un de ses bras par la fenêtre et d’enfoncer un pied dans la cheminée en disant : « À présent c’est tout ce que je peux faire, quoi qu’il arrive. Que vais-je devenir ? »
Coviello, ou Covielle en français, est un personnage napolitain de la commedia dell'arte. Aux XVIe et XVIIe siècles, le personnage est interprété principalement par Ambrogio Buonomo (en duo avec Andrea Calcese) puis Salvator Rosa et Gennaro Sacco ainsi que Giacomo Rauzzini et Tommaso Ristori au XVIIIe siècle. On assure qu’au commencement du XIXe siècle, le type de Coviello figurait encore parfois dans les canevas des marionnettes italiennes, où il remplissait un rôle assez semblable à celui de l’ancien Capitan ; comme son caractère, son costume était alors transformé, et il portait un chapeau noir empanaché de trois plumes rouges, un pourpoint à crevés rouges, des chausses noires avec une trousse rouge et jaune, un manteau rouge, puis les gants, les bottes à entonnoir, le baudrier et l’épée du Capitan. En passant à la scène française, Coviello est devenu Covielle et Molière l’a mis en scène dans Le Bourgeois gentilhomme, en faisant un valet, une sorte de Gros-René très proche parent de celui du Dépit amoureux. Source : Maurice SAND, Masques et bouffons (Comédie Italienne). Paris, Michel Levy Freres, 1860.
Planche botanique de Digitale pourpre ou grande digitale (Digitalis purpurea), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une grande digitale bisannuelle ou vivace, cultivée comme plante ornementale. Elle est appelée parfois Doigtier, Gant-de-Notre-Dame, Gant-de-bergère, Gantelée, Gantière ou Gantillier. "Digitale" provient du latin digitus qui signifie « doigt » car on peut enfoncer son doigt dans la fleur. En vieux pays celte, les femmes badigeonnaient les interstices du dallage de leurs chaumières avec une préparation à base de gants-de-Notre-Dame. Les forces souterraines néfastes ne pouvaient plus faire irruption. Plante médicinale des pathologies cardiaques la digitale pourpre est plus prisée que la digitale jaune parce qu'elle contient plus de principes actifs que cette dernière. La digitale est une plante extrêmement toxique dont on extrait la digitaline ou digitoxine, utilisée comme tonicardiaque.
Photographie, Antiquités, Boxeurs, Boxe, Sports, Garçons, Akrotíri (Grèce. - site archéologique), Peinture et décoration murales, Deux (le nombre), Civilisation crètoise, Peinture à fresque, Sports de combat
Fresque des enfants boxeurs. La fresque dépeint deux enfants portant une ceinture et des gants de boxe. Leur tête est rasée sauf pour deux longues mèches derrière, et deux plus courtes sur le front. Leur peau foncée indique leur sexe. Le garçon de gauche est le plus réservé des deux et porte des bijoux (bracelets, collier) qui indiquent un statut social plus élevé. Œuvre du même artiste que la fresque des Antilopes. Pièce B1, édifice B à Akrotiri.
Photographie, Main, Robinets, Vêtements -- Accessoires, Gants -- Industrie et commerce, Équipement de protection
Gant de travail Espuna, manufacture française de gants et d'équipements de protection individuelle.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.175 ; manuel scolaire, édition de 1904 : GRENOBLE. - Cette ville d'environ 69 000 âmes est divisée en deux parties par l'Isère sur laquelle elle a de magnifiques quais. Elle est renommée, ainsi que Valence et Vienne, pour ses fabriques de gants et de peaux délicates. Grenoble est le siège d'une académie et d'une université. Les industries électriques y sont très développées.
Le géant Totor de Steenwerck (Nord) avec haut-de-forme, nœud papillon et smoking noir. Totor est un géant de processions et de cortèges inauguré en 1933 à l'initiative de 3 jeunes musiciens. Une chanson populaire de l'époque avait pour titre "Totor, t'as tort". Avec quelques arrangements locaux, elle devint "la chanson de Totor" qui donna son nom au géant. Son corps était en bois, fourni et coupé par le menuisier du village et cintré par le tonnelier. Sa tête en carton avait été achetée à Lille et ramenée à Steenwerck à bicyclette. Son chapeau haut de forme était fait de cordes de piano assemblées et recouvertes d'une toile noire raidie. Il portait au bras un parapluie. Il mesurait 4.75m et pesait 60kg. Il disparut pendant le 2ème guerre mondiale. Plus petit que son ainé et installé sur un char, Totor 2 vit le jour en 1947. Une chaine de montre reliait la poche de sa redingote au premier des deux boutons qui la fermaient. Il portait une jupe de toile à carreaux noirs et blancs. Les fêtes populaires disparaisant, il prit sa retraite dans une remise où l'humidité et les rongeurs mirent fin à son existence. Réalisé en 1978 par le vannier du village, Totor 3 mesure 5.70m, pèse 120 kg habillé (93 kg nu) et est porté par 5 porteurs. Ses vêtements se composent d'un plastron en ottoman à dix plis plats, d'un nœud papillon noir, d'une veste de tergal noire et d'une jupe de nylon beige. Depuis plusieurs années, il laisse son parapluie au vestiaire. Il passe maintenant une retraite bien méritée au Musée de le Vie Rurale de Steenwerck. Entièrement réalisé à l'identique de Totor 3, Totor 4 a vu le jour le 24 septembre 2006. Silhouette noire et blanche, Totor arbore un haut-de-forme, un nœud papillon, un smoking et des gants. Il a les yeux écarquillés et, pratiquement, la seule variante de couleur est le rouge de ses lèvres qui souligne son léger sourire ... ou sa satisfaction. Comme pour tous les géants d'une telle taille, son équipe d'accompagnateurs doit comporter au moins une personne chargée de soulever les fils électriques lors de son passage.
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant deux aristocrates bavardant, en longues robes et paire de gants à la main ; paysage de ville et de navires à l'arrière-plan.