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Photographie, Préhistoire, Couteaux, Cuisine, Armes de la préhistoire, Couteaux préhistoriques, Outils préhistoriques, Silex, Travail du silex
Couteau en silex préhistorique, 2900 avant JC. Trouvé à Allensbach en Allemagne en 2003. Les premiers couteaux faits de pierre, silex ou obsidienne, notamment, sous forme d'éclats bruts, sont datés d'il y a environ 25 000 ans. Ils étaient parfois en os aussi. À cette époque, le couteau sert aussi bien d'outil que d'arme.
Dessins et plans, Préhistoire, Antiquités préhistoriques, Silex, Travail du silex, Flèches (armes), Armes préhistoriques
Croquis de pointe de flèche préhistorique attachée à la hampe par une lanière en cuir.
Dispersion de la lumière d'une lampe à vapeur de mercure par un prisme de verre flint. Le verre flint, ou flint glass en anglais, de « flint » qui signifie silex en anglais, est un type de verre avec un haut indice de réfraction et un nombre d'Abbe faible. L'indice de réfraction des flints varie entre 1,5 et 2,0 selon leur composition et on les distingue des autres verres d'oxydes par leur nombre d'Abbe inférieur à 50, ce sont donc des verres très dispersifs c'est-à-dire qu'ils dévient très différemment la lumière selon la longueur d'onde de celle-ci. Le verre flint contient dans sa formule d'origine, une partie d'oxyde de plomb (II), depuis les travaux de recherche sur les formules de verre opérées par Otto Schott et Ernst Abbe, on peut adjoindre à la pâte d'un verre flint du lanthane, du titane, du baryum, etc. Le verre flint est très utilisé en cristallerie d'art pour sa brillance, l'indice de réfraction fort provoquant une plus grande proportion de réflexions internes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Verre_flint.
Fragments et éclats de silex (Feuerstein = pierre à feu, en allemand). Ils sont coupants et cassants quand ils sont fins. Les nodules de silex sont enveloppés d'une gangue plus ou moins épaisse nommée « cortex » et composée d'impuretés (dépôts organiques, etc.) repoussées vers l'extérieur lors de la croissance du silex.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Silex, Travail du silex, Reconstitutions historiques, Musées archéologiques, Archéologie -- Musées, Archéologie -- Techniques, Paléolithique
Reconstitution d'un atelier de taille de silex (Alain Roussot), Musée archéologique de Dijon, reportage Marie Sartori 20160224.
Photo de quatre types de briquets à silex utilisés de l'époque romaine jusqu'à la période médiévale.
Le Codex Borbonicus est un codex indigène du Mexique central, ouvrage rituel aztèque dont on ne peut affirmer avec certitude s'il s'agit d'un codex préhispanique ou colonial. La première mention de son existence date de 1778 : il se trouve alors à la Bibliothèque de l’Escurial en Espagne. Il permet de se faire une idée précise des glyphes représentant les jours. Ainsi, cette page représente la 13e treizaine du calendrier aztèque, placée sous la protection de la déesse Tlazolteotl. La lecture se fait de bas en haut, de gauche à droite ; les cases étant numérotées de 1 à 13. Le premier jour de la treizaine est 1-tremblement (1-Ollin), suivi de 2-silex, 3-Pluie, etc. jusqu'à 13-eau.
Coupe de voie pavée romaine à Pompéi : (1). Sol nu nivelé, et éventuellement tassé ; (2). Statumen : amas de cailloux ; (3). Audits : moellons aggregés par du ciment romain ; (4). Nucleus : débris de poterie agrégés par du ciment fin ; (5). Dorsum : blocs polygonaux de silex, ou blocs rectangulaires de tuf volcanique ou d'autres pierres des environs, formant la surface de la route. La forme elliptique permettait d'éviter à la pluie de stagner au milieu de la route. Le dessous des blocs étaient parfois volontairement entaillés leur permettant une meilleure tenue sur le nucleus ; (6). Crepido : trottoir ou chaussée élevée pour les piétons ; (7). Bordure.
Un produit de l'érosion du littoral : l'arche naturelle de la Manneporte, Etretat, France. L'érosion peut creuser la roche et donner naissance à des modelés de dissection. Les falaises d'Étretat sont constituées de calcaire du Crétacé, c'est-à-dire, pour l'essentiel, de la craie blanche à silex du Sénonien, plus précisément du Turonien au Coniacien. On y distingue les strates régulières de silex, ce qui explique la présence de galets sur la plage. En effet, à la suite de l'effondrement de pans de falaise, le calcaire et le silex se trouvent au contact de l'eau de mer qui dissout le calcaire et l'action des vagues polit le silex pour en faire des galets. L'existence de trois arches successives : la porte d'Amont, la porte d'Aval et la Manneporte ne serait pas liée à l'origine à l'érosion marine, mais à l'action d'une rivière côtière parallèle à la plage qui aurait creusé son lit dans la falaise avant le recul de celle-ci, matérialisé par l'« aiguille » d'un calcaire plus dur qui a empêché sa dissolution définitive, d'où cette extraordinaire création de la nature. Ensuite, la mer aurait élargi les arches, donnant au site l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui. Une autre hypothèse met au contraire l'accent sur une érosion différentielle par la mer, qui serait liée aux caractéristiques de dureté de la craie locale dans la zone de balancement des marées.
Lame de poignard préhistorique. Silex en plaquette (salinelle). Dimensions : 110 × 36 × 10 mm ; Poids : 34 g ; Lieu de découverte : Dolmen du Viala, Saint-Léon, Aveyron. collection d'Émile Cartailhac.
Photographie, Meules (agriculture), Géographie, Ethnologie -- France, Agriculture, Meules à grains, Ethnologie, Tourisme historique, Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet (Charente-Maritime, France)
Meules en silex de l'ancien moulin de Chauvignac, Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet (Charente-Maritime, France).
Photographie, Coquillages, Antiquités préhistoriques, Quiberon (Morbihan), Tombes préhistoriques, Sépultures préhistoriques
Reconstitution de tombe double préhistorique, île de Téviec (Morbihan). La reconstitution de cette tombe du Mésolithique a été confiée à Philippe Lacomme qui, au début du XXe siècle, était le taxidermiste et préparateur du muséum. Il a signé cette œuvre en la datant de 1938. Les deux corps ont été ensevelis avec beaucoup de soin dans une fosse creusée moitié dans le sous-sol et moitié dans les débris de cuisine qui le recouvraient. L’ensemble est protégé par un toit fait de bois de cervidés7. Le mobilier funéraire comprend des silex et surtout des stylets en os de sanglier, ainsi que des bijoux funéraires formés de coquilles marines percées et assemblées en colliers, bracelets et anneaux de jambes. Quelques-uns des objets en os portent quelques traits gravés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9viec