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Citroën Jumper Fourgon de la police nationale, Strasbourg 2011.
Photographie, Vêtements, Hommes, Chapeaux d', Femmes, Chapeaux de, Canotage à la rame, Canotiers (vêtements)
À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine dès le début du XIXe. La préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des « canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes guinguettes et autres lieux de plaisance de cette époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des chansons, et évidemment en peinture. Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers, notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes d’équipage. Dans la Marine, deux versions du chapeau rond coexistaient : une version en paille naturelle pour le service dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays pluvieux. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires.
Photographie, Plomb, Imprimerie, Caractères d'imprimerie, Écriture minuscule, Typographie -- Caractères
Caractère de typographie en plomb : police Garamond en 12 points formant la ligature du ſ (s long) et du i.
En typographie, la casse est un casier en bois destiné à contenir l’ensemble des caractères en plomb d’une même fonte (c’est-à-dire de même corps, style et graisse d’une police donnée). La casse est divisée en cases appelées cassetins dont les dimensions et les emplacements sont définis par la fréquence des lettres (donc, le nombre de caractères identiques) et la commodité d’accès. Pour chaque police, les caractères les plus fréquemment utilisés — ceux représentant les minuscules — sont rangés à portée de main, donc en « bas de casse ». Les capitales se trouvent en « haut de casse ». Les casses forment tiroir et sont rangées dans un meuble appelé rang. Des petites casses, destinées à recevoir des caractères particuliers, ou des blancs, cadrats, cadratins, espaces, interlignes, des filets, des vignettes ou culs-de-lampe, etc, sont appelées casseaux.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.62 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Un certificat visé par le Maire. - Le maire, aidé du conseil municipal, administre la commune, comme le préfet, aidé du conseil général, administre le département. Le maire inscrit les naissances, les mariages et les morts sur les registres de l'état civil. Il est chef de la police dans la commune. Il reçoit les votes des électeurs.
Textes, Histoire, Révolution française (1789-1799), Droit d'auteur, Contrefaçons littéraires et artistiques, France (Convention nationale) (1792-1795), Infractions au droit d'auteur
Décret de la convention sur le droit d'auteur : page de garde d'un ouvrage de la bibliothèque patrimoniale de Gray (France). Décret concernant les contrefacteurs, rendu le 19 juillet 1793, l'an II de la République. Décret concernant les Contrefacteurs, rendu le 19 Juillet 1793, l'An 2 de la République. La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de son Comité d'instruction publique, décrète ce qui suit : Art. 1) Les Auteurs d'écrits en tout genre, les Compositeurs de Musique, les Peintres et Dessinateurs qui feront graver des Tableaux ou Dessins, jouiront durant leur vie entière du droit exclusif de vendre, faire vendre, distribuer leurs Ouvrages dans le territoire de la République, et d'en céder la propriété en tout ou en partie. Art. 2) Leurs héritiers ou Cessionnaires jouiront du même droit durant l'espace de dix ans après la mort des auteurs. Art. 3) Les officiers de paix, Juges de Paix ou Commissaires de Police seront tenus de faire confisquer, à la réquisition et au profit des Auteurs, Compositeurs, Peintres ou Dessinateurs et autres, leurs Héritiers ou Cessionnaires, tous les Exemplaires des Éditions imprimées ou gravées sans la permission formelle et par écrit des Auteurs. Art. 4) Tout Contrefacteur sera tenu de payer au véritable Propriétaire une somme équivalente au prix de trois mille exemplaires de l'Édition originale. Art. 5) Tout Débitant d'Édition contrefaite, s'il n'est pas reconnu Contrefacteur, sera tenu de payer au véritable Propriétaire une somme équivalente au prix de cinq cents exemplaires de l'Édition originale. Art. 6) Tout Citoyen qui mettra au jour un Ouvrage, soit de Littérature ou de Gravure dans quelque genre que ce soit, sera obligé d'en déposer deux exemplaires à la Bibliothèque nationale ou au Cabinet des Estampes de la République, dont il recevra un reçu signé par le Bibliothécaire ; faute de quoi il ne pourra être admis en justice pour la poursuite des Contrefacteurs. Art. 7) Les héritiers de l'Auteur d'un Ouvrage de Littérature ou de Gravure, ou de toute autre production de l'esprit ou du génie qui appartiennent aux beaux-arts, en auront la propriété exclusive pendant dix années. Nota : Tous les exemplaires de cet ouvrage seront signés par le libraire. Desson ?
Textes, Chats, Fourmis, Sapeurs-pompiers, Humour, Abeilles, Chiens de chasse, Frères Grimm, Poissons rouges, Détectives, Enquêtes policières, George Orwell (1903-1950), Les Musiciens de Brementown, Animaux -- Dans l'art, Arthur Conan Doyle (1859-1930), Enquêtes criminelles, La ferme des animaux, Le chien des Baskerville, Postes de police de proximité
Double meurtre à la ferme des animaux, d'après la fable satirique d'Orwell publiée en 1945, "Animal farm". Texte narratif de 323 mots, énigme pour cycle 3.
Alces est un genre de mammifères appelés orignaux ou élans au sein de la francophonie. Ces animaux sont les plus grands des cervidés actuels. L’origine du nom « orignal » vient du mot basque oreinak, pluriel d’orein, qui signifie « les cervidés » ou « les rennes » ou « les caribous ». Samuel de Champlain le nommait orignac car aux premières années des colonies, les premiers colons français l’auraient appris des Basques qui venaient régulièrement pêcher la morue et la baleine sur les côtes du Labrador et les abords du fleuve Saint-Laurent. Le mot « élan » dériverait du lituanien. La domestication d'élans semble ancienne. Les Iakoutes de Sibérie l’ont utilisé comme animal de trait et comme monture. Cet usage a plus tard été interdit en Russie, car des malfaiteurs montant des élans distançaient les chevaux de la police. L’élan a aussi servi à tirer de lourdes charges sur des terrains difficiles où le cheval s’enfonçait. Il a été domestiqué, mais non élevé en troupeau. Ses bois sont larges et en partie plats. Au mois de novembre, le cervidé perd sa parure. De longues pattes et un long cou lui permettent de brouter les ligneux, qui composent 50 % de son alimentation en été et 80 % en hiver, ainsi que de se déplacer facilement dans l’eau et dans les mégaphorbiaies en enjambant troncs renversés et ronciers.
Après la Première Guerre mondiale, le terme vélo devient le mot populaire pour décrire la bicyclette utilisée par les ouvriers, paysans et enfants). Les systèmes à plusieurs vitesses commencent à être utilisés dans les compétitions de vélo dans les années 1930. Pendant l'Occupation en France, les voitures sont restreintes à l'usage des médecins, de la police ou de la milice, la bicyclette devenant la reine des transports (ravitaillement et marché noir, trajets pour le travail ou aller voir des proches, développement de vélo taxis dans les grandes villes), succès des compétitions de cyclisme. Les dérailleurs se développent durant les années 1950.
Photographie, Boutons, Commissaires de police, Décorations (insignes) -- France, Décorations honorifiques, Décorations militaires, Décorations militaires -- France, Objets en argent
Galons de commissaire principal avec boutons (obsolètes depuis 2005) : épaulettes brodées de fil d'argent avec boutons en argent.
Photographie, Musées, Police de la circulation, Circulation, Automates (jouets), La Rochelle (Charente-Maritime), Circulation urbaine
L'agent de la circulation, au musée des automates de La Rochelle-17.
M. et Mme Goliath, géants d'Ath, en 2008 avec leur garde : À Ath, les diables apparaissent dans des processions de l'Ancien Régime. Ils y font la police (ouvrir la voie, tenir les spectateurs à distance) ou, le plus souvent, interviennent dans le tableau de l'Enfer, dans la dramatisation de légendes hagiographiques (St Michel, Ste Gudule, St Antoine, St Médard, etc.), dans un jeu processionnel (combat de St Georges contre le dragon). Ils participent encore au Lumeçon montois. Les hommes sauvages (hommes de feuilles) ont marché dans quelques processions et tenu un rôle dans des jeux de printemps. Figurant toujours dans la procession et le Jeu de St Evermare à Russon, ils restent, à Mons, les alliés du dragon. Après avoir caracolé dans les processions figuratives, animé des fêtes villageoises et des charivaris, les chevaux-jupon jouent encore leur rôle d'auxiliaires à Mons et harcèlent le public dans divers cortèges, carnavalesques ou non. Ces trois types de déguisement qui, dans certaines villes, ont pour mission principale de protéger la marche ou la danse des figures gigantesques, se retrouvent à la ducasse d'Ath.
Le nain à la hallebarde, au-dessus de l'entrée du quartier général de la police municipale à Wroclaw (Pologne). Les nains de Wroclaw, nains en bronze de l'Alternative orange (Pomarańczowa Alternatywa), mouvement polonais des années 80 (1982-1988) contre le régime communiste.
Photographie, Humour, Paris (France) -- Quartier du Marais, Mosaïques, Plaques de rues, Art contemporain, Jeux vidéo, Invader, 3e arrondissement (Paris, France), Louis-Marie Debelleyme (1787-1862)
Mosaïque de Space Invader Rue Debelleyme (1787-1862), Magistrat et Préfet de Police, à Paris 3°.
Policiers préparant le passage d'une manifestation publique à un carrefour.
Photographie, Abeilles, Histoire, Apiculture, Frelon, Devises (héraldique), France (Ancien régime), Justice -- Administration -- France (Ancien Régime)
Jeton représentant une ruche traditionnelle (bournac dans les Landes). Inscription en latin : FUCOS A PRAESEPIBUS ARCENT = Les frelons écartent de leurs ruches. Inscription en français : Compagnie de Monsieur le lieutenant criminel de Robecourte 1724 (lieutenant de police de l'Ancien Régime).
Scooter de police, Calle de la Mar à Porto Cristo, Manacor en Espagne.
Le terrier noir de Russie (tchorny terrier, черный терьер), ou terrier russe, est une race de chien originaire de Russie. Il est surnommé là-bas le terrier de Staline. Il a été fixé dans la seconde moitié du XXe siècle en URSS pour servir de chien de garde et de police. Pas moins d'une vingtaine de races de chien a été nécessaire pour sa création, comme l'airedale, le schnauzer, le rottweiler, le newfoundland, et deux races russes, le berger du Caucase et le chien d'eau russe (aujourd'hui disparu).
Gravure, Dix-neuvième siècle, Humour par l'image, Artistes français, Grandville (1803-1847), Illustration des périodiques, Illustrations humoristiques, Transports publics par omnibus
Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.