Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Plaques de noms de rues | Noms de rues | Toulouse (Haute-Garonne) | Jardins publics | Panneaux d'expositions (pédagogie) | Plaques commémoratives | Venise (Italie) | Explorateurs | Jean Cabot (1450-1499) | Mouvements antiesclavagistes | Cayenne (Guyane) | Madrid (Espagne) | Victor Schoelcher (1804-1893) | Abolitionnistes | Gravure | Carrières souterraines (exploitations minières) | Catacombes | Héricart de Thury (1776-1854) | Paris (France) -- Quartier des Grandes-Carrières | ...
Georges de La Tour. Source : http://data.abuledu.org/URI/581a4966-georges-de-la-tour

Georges de La Tour

Panneau de la rue du peintre Georges de La Tour

Panneau bilingue de la rue Espinasse à Toulouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5828cfbf-panneau-bilingue-de-la-rue-espinasse-a-toulouse

Panneau bilingue de la rue Espinasse à Toulouse

Panneau bilingue du Jardin des plantes de Toulouse-31.

Panneau bilingue de la rue Mage à Toulouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5828cfe5-panneau-bilingue-de-la-rue-mage-a-toulouse

Panneau bilingue de la rue Mage à Toulouse

Panneau bilingue du Jardin des plantes de Toulouse-31.

Panneau bilingue de la rue Ozenne à Toulouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5828cf7d-panneau-bilingue-de-la-rue-ozenne-a-toulouse

Panneau bilingue de la rue Ozenne à Toulouse

Panneau bilingue du Jardin des plantes de Toulouse-31.

Place Camille-Claudel, Paris 15°. Source : http://data.abuledu.org/URI/54441f74-place-camille-claudel-paris-15-

Place Camille-Claudel, Paris 15°

Place Camille-Claudel, Paris 15° : Camille Claudel, 1864-1943, sculpteur français.

Rue Boulan à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5826e7ea-rue-boulan-a-bordeaux

Rue Boulan à Bordeaux

Rue Boulan à Bordeaux (Antoine Boulan était maître verrier au XVIIIe siècle) avec ancien nom gravé dans la pierre : rue de la furgalité. De l'autre côté de la rue "frugalité"...

Rue Kid Paddle à Bruxelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c1c116-rue-kid-paddle-a-bruxelles

Rue Kid Paddle à Bruxelles

Plaque de la rue Kid Paddle à Bruxelles. Kid Paddle est une série de bande dessinée humoristique belge créée par Midam en 1993 pour le magazine Spirou no 2887 avant de se lancer en albums édités dès 1996 par Dupuis. Midam, de son véritable nom Michel Ledent, est un auteur de bandes dessinées belge, né le 16 mai 1963. Le "paddle" est un périphérique informatique composé d'un bouton tournant ; il sert en général dans les jeux vidéo à diriger un personnage selon un axe donné (horizontal ou vertical, comme dans Pong ou les casses-briques), ou bien à faire tourner un objet (par exemple la tourelle d'un char, ou le bras du personnage comme dans Tron). Par extension, on l'emploie également pour désigner les autres types de manettes de jeu. Ce mot a donné son titre à une bande dessinée humoristique sur les amateurs de jeux vidéo : Kid Paddle. Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Paddle_%28jeu_vid%C3%A9o%29 ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Kid_Paddle.

Signalétique bilingue à Rennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bca0fc-signaletique-bilingue-a-rennes

Signalétique bilingue à Rennes

Signalétique bilingue à Rennes : Rue de Saint-Malo / Straed Sant-Maloù.

Brigandine en feutre du XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52951a5c-brigandine-en-feutre-du-xvieme-siecle

Brigandine en feutre du XVIème siècle

Brigandine en feutre (Jack of plate) datant de 1580-90, Armerie royale de Leeds. La brigandine est une armure constituée de plaques rivetées sur du cuir ou du tissu épais, fournissant une excellente protection pour une armure peu onéreuse et simple à fabriquer (moins chère que le plastron sur mesure fait par le forgeron, plus rapide à produire que la maille) et pour ces raisons rapidement adoptée par les nombreux mercenaires du XIVe siècle qui portaient alors les noms de "routiers" ou "brigands" d'où le nom de l'armure. La brigandine fournit une protection du torse, de l'abdomen et de la partie supérieure des hanches à la façon d'un doublet dépourvu de manches.

Place Schoelcher à Cayenne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5295ece5-place-schoelcher-a-cayenne

Place Schoelcher à Cayenne

Statue de Victor Schoelcher au centre de la place du même nom, à Cayenne : "À Victor Schoeler, la Guyane reconnaissante. La République n'entend plus faire de distinction dans la famille humaine. Elle n'exclut personne de son immortelle devise : Liberté, Égalité, Fraternité."

Plaque de Jean Cabot à Venise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5654c92f-plaque-de-jean-cabot-a-venise

Plaque de Jean Cabot à Venise

Plaque au nom de Giovanni Cabotti et de ses fils , apposée via Garibaldi à Venise.

Rue du Coude à Madrid. Source : http://data.abuledu.org/URI/5385a33e-rue-du-coude-a-madrid

Rue du Coude à Madrid

Plaque de rue "Calle del Codo" près de la Plazza de la Villa à Madrid.

Visite des Catacombes en 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f543-visite-des-catacombes-en-1860

Visite des Catacombes en 1860

Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.