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Peinture | Mathématiciens | Tuiles | Pavages (mathématiques) | Géométrie | Dessins et plans | Divertissements mathématiques | Jeux mathématiques | Gravure | Illustration des périodiques | Illustrations humoristiques | Transports publics par omnibus | Grandville (1803-1847) | Artistes français | Dix-neuvième siècle | Humour par l'image | Presse -- Sociologie | Presse -- Objectivité | Journalisme | Amérique | ...
Affiche "La vache enragée". Source : http://data.abuledu.org/URI/501ef2ee-affiche-la-vache-enragee-

Affiche "La vache enragée"

Affiche de Toulouse-Lautrec pour "la vache enragée" 1896.

Affiche américaine pour un journal. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e42889-affiche-americaine-pour-un-journal

Affiche américaine pour un journal

De Louis Rhead, Affiche américaine pour le "Morning Journal", 1900. Légende en anglais : "nouvelle direction ; journal familial propre, véridique et ouvert ; le JOURNAL DU MATIN, journal moderne à prix moderne, quotidien 1c, dimanche 3c" (entirely new management ; a clean, truthful wide-awake household paper, MORNING JOURNAL, a modern newspaper at a modern price. Daily 1c, Sunday 3c). In "Les maîtres de l'affiche" : publication mensuelle contenant la reproduction des plus belles affiches illustrées des grands artistes, français et étrangers, éditée par L'Imprimerie Chaix (1896-1900)

Pavage de Penrose avec tuiles apériodiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/533af51a-pavage-de-penrose-avec-tuiles-aperiodiques

Pavage de Penrose avec tuiles apériodiques

Pavage de Penrose réalisé avec deux tuiles apériodiques. Roger Penrose est un mathématicien anglais. Les pavages de Penrose présentent une symétrie d'ordre 5 (invariance par rotation d'angle 2π/5 radian, soit 72 degrés). Ils ne sont pas périodiques, c'est-à-dire qu'on ne peut les décrire comme un motif répété sur une grille régulière. Ils sont cependant quasi-périodiques, c'est-à-dire que tout motif apparaissant dans le pavage réapparaît régulièrement. Plus généralement toute portion finie du pavage, aussi grande soit-elle, se répète infiniment dans le pavage. Les pavages de Penrose ne seraient restés qu'un joli divertissement mathématique si n'avaient été découverts, en 1984, des matériaux présentant une structure fortement ordonnée comme celle des cristaux mais non périodique : les quasi-cristaux. Les pavages non périodiques, en particulier ceux de Penrose, s'avérèrent alors un modèle plausible de ces étranges matériaux. Cette découverte illustra à nouveau ce que Roger Penrose lui-même avait déjà remarqué en 1973, à propos d’un sujet de relativité générale : « On ne sait jamais vraiment quand on perd son temps ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pavage_de_Penrose.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.