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Dessins et plans | Solides | Géométrie | Photographie | Polyèdres | Bivalves | Coquillages comestibles | Mer Rouge | Tridacna Maxima | abcd-six-minutes-pour-la-mer-rouge | Bénitiers | Mollusques bivalves | Coquillages | Physique | Liquides | Platon (0427?-0348? av. J.-C.) | Biologie marine | Gravure | Gouttes | Mouillage (chimie des surfaces) | ...
Angle de mouillage entre liquide et solide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdb01c-angle-de-mouillage-entre-liquide-et-solide

Angle de mouillage entre liquide et solide

Légende : SL = Solide-Liquide, LG = Tension de surface Liquide-Gaz, SG = Solide-Gaz (Vapeur) : l'angle de raccordement d'un liquide sur un solide est l'angle formé par la surface du solide avec la tangente à une goutte du liquide déposée sur ce solide passant par le bord de la goutte. La forme de la goutte est déterminée par la mouillage. L'angle de raccordement n'est pas limité à un solide et un liquide. Ça pourrait être également un interface entre deux liquides ou deux vapeurs. Il est donné par la loi de Young-Dupré.

Cinq formes de tentes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc189a-cinq-formes-de-tentes

Cinq formes de tentes

Cinq formes de tentes légères : 1. géodésique, 2. dome, 3. tunnel, 4. crête, 5. pyramide. les tentes gonflables : la membrane est conçue pour se tendre sous l'action d'un gaz, celui-ci exerce une pression qui lui donne sa forme. Il s'agit ensuite de lester et de haubaner l'ensemble pour garantir une résistance optimale. Les formes obtenues sont généralement des solides gaussiens facilement concevables avec les logiciels de mise en forme 3D.

Formes d'une goutte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cda85c-formes-d-une-goutte

Formes d'une goutte

Illustration de la longueur capillaire d'une goutte posée sur un liquide, sphérique ou aplatie selon sa taille, comparée à sa longueur capillaire. Il existe une très grande diversité de forme de goutte (sphérique, en larme, etc.). Ce sont les forces en présence (poids, tension de surface, inertie pour une goutte en mouvement) qui en déterminent la forme. Une goutte statique sur un solide peut être décrite de la même manière qu’une goutte dans l’air. Ainsi, si elle est suffisamment petite, la seule force qui détermine sa forme est la tension de surface. Par contre, l’angle de contact avec lequel la goutte repose sur le solide dépend des conditions de mouillage. Cet angle de contact et les conditions de mouillage sont décrits thermodynamiquement par le modèle de Young qui met en relation les tensions de surface et l'angle de contact à l’équilibre ( heta_mathrm{C}) du système goutte-substrat. L’angle de contact à l'équilibre en soi est physiquement difficile à mesurer. Une façon d'acquérir l'angle de contact à l'équilibre, est à travers sa relation (son lien) avec les angles de contact avançant ( heta_mathrm{A}) et reculant ( heta_mathrm{R}) qui quant à eux peuvent être mesurés facilement. Au final, la goutte aura donc une forme de calotte sphérique.

Groupe de symétrie du tétraèdre régulier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c484f8-groupe-de-symetrie-du-tetraedre-regulier

Groupe de symétrie du tétraèdre régulier

Un tétraèdre régulier peut être placé dans 12 positions distinctes par une seule rotation. Celles-ci sont illustrées dans le format d'un graphe de cycles avec des rotations à 180° par rapport à une arête (flèches bleues) et à 120° par rapport à un sommet (flèches rouges) qui permutent le tétraèdre dans toutes les positions. Les 12 rotations forment le groupe (de symétrie) de rotation de la figure.

Hexaèdre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51844ad7-hexaedre

Hexaèdre

Un des cinq Solides de Platon : l'hexaèdre (8 sommets, 12 arêtes, 6 faces). En géométrie euclidienne, un solide de Platon est un polyèdre régulier et convexe.

Hexaèdre régulier, le cube. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c479fc-hexaedre-regulier-le-cube

Hexaèdre régulier, le cube

En géométrie des solides, un hexaèdre est un polyèdre à six faces. Il existe un hexaèdre régulier : le cube. Le terme hexaèdre vient du grec heksaedros et du bas latin hexahedrum, ce qui justifie la présence de la lettre h dans la traduction anglaise "hexahedron".

Icosaèdre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51844c68-icosaedre

Icosaèdre

Un des cinq Solides de Platon : l'isocaèdre (12 sommets, 30 arêtes, 20 faces). En géométrie euclidienne, un solide de Platon est un polyèdre régulier et convexe.

Les quatre états de la matière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cd996c-les-quatre-etats-de-la-matiere

Les quatre états de la matière

Graphique des relations des quatre états de la matière, terminologie des changements d'état. En thermodynamique, un changement d'état est une transition de phase lors du passage d'un état de la matière à un autre. Les trois principaux états de la matière sont : solide, liquide, gaz. On distingue également un quatrième état, celui de plasma. La thermodynamique attribue un terme spécifique à chaque changement d'état. Les paramètres fixant le changement d'état d'un corps pur sont la pression et la température. À pression atmosphérique, l'eau est solide pour une température inférieure à 0 °C, liquide pour une température comprise entre 0 °C et 100 °C, et à l'état de gaz pour des températures supérieures. À pression plus faible, le changement d'état se produit pour des températures plus basses. Ainsi, l'eau bout à une température inférieure à 100 °C en montagne car la pression diminue avec l'altitude.

Molécules d'un solide, d'un liquide et d'un gas. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cd9db0-molecules-d-un-solide-d-un-liquide-et-d-un-gas

Molécules d'un solide, d'un liquide et d'un gas

Molécules à l'état solide, liquide et gazeux. Diagramme montrant comment sont configurés les molécules et les atomes pour les différents états de la matière.

Octaèdre régulier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c47afc-octaedre-regulier

Octaèdre régulier

En géométrie, un octaèdre (du grec oktô, huit et hedra, face) est un polyèdre à huit faces. Certains octaèdres satisfont des conditions de symétrie ou de régularité des faces, notamment l'octaèdre régulier. Un octaèdre dont toutes les faces sont triangulaires, possède alors douze arêtes et six sommets.

Organisation des molécules des trois états de la matière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2a076-organisation-des-molecules-des-trois-etats-de-la-matiere

Organisation des molécules des trois états de la matière

Molécules à l'état solide, liquide et gazeux : la phase liquide est un état de la matière. Sous cette forme, la matière est facilement déformable mais difficilement compressible. Le liquide est une forme de fluide : les molécules sont faiblement liées, ce qui rend les liquides parfaitement déformables. Mais, à l'inverse du gaz, elles sont tout de même liées : une molécule ne peut s'éloigner beaucoup d'une autre, ce qui fait que la matière liquide a une cohésion que ne possède pas le gaz et, comme dans les solides, les molécules sont très proches les unes des autres, ce qui rend doncles liquides difficilement compressibles.

Tension superficielle de gouttes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cda69f-tension-superficielle-de-gouttes

Tension superficielle de gouttes

Gouttes de trois liquides en contact avec une surface : tension superficielle et mouillage. Dans le cas où l'une des phases est solide (jaune), ce phénomène s'appelle mouillage et on appelle angle de contact l'angle entre l'interface fluide/fluide et la surface solide. Cet angle de contact est donné par la Loi de Young-Dupré. La qualité du mouillage d'un liquide sur un solide est le degré d'étalement du liquide sur ce solide. On parle de mouillage total lorsque le liquide s'étale totalement, et de mouillage partiel lorsque le liquide forme une goutte sur le solide. Le type de mouillage (total ou partiel) est déterminé par le signe du coefficient d'étalement.

Tétraèdre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51844a0a-tetraedre

Tétraèdre

Un des cinq Solides de Platon : le tétraèdre (4 sommets, 6 arêtes, 4 faces). En géométrie euclidienne, un solide de Platon est un polyèdre régulier et convexe.

Tore aplati en carré. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4aa14-tore-aplati-en-carre

Tore aplati en carré

Construction du tore par recollement des côtés opposés d'un carré. On obtient une variété plate. Un tore est un solide géométrique représentant un tube courbé refermé sur lui-même. Le terme « tore » comporte différentes acceptions plus spécifiques selon le contexte : En ingénierie ou en géométrie élémentaire, un tore désigne un solide de révolution de l'espace obtenu à partir d'un cercle, ou bien sa surface. Une chambre à air, une bouée, certains joints toriques d'étanchéité ou encore un beignet (donut nord-américain) ont ainsi une forme plus ou moins torique.

Trapézoèdre décagonal. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c483ce-trapezoedre-decagonal

Trapézoèdre décagonal

Trapézoèdre décagonal.

Trapézoèdre hexagonal. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c482ad-trapezoedre-hexagonal

Trapézoèdre hexagonal

Trapézoèdre hexagonal. La partie n-gonale du nom ne fait pas référence aux faces mais à l'arrangement des sommets autour d'un axe de symétrie. L'antiprisme dual n-gonal possède deux faces n-gonales. Un trapézoèdre n-gonal peut être décomposé en deux pyramides n-gonales égales et un antiprisme n-gonal.

Trapézoèdre octagonal. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c48317-trapezoedre-octagonal

Trapézoèdre octagonal

Trapézoèdre octogonal.

Trapézoèdre pentagonal. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c47d1d-trapezoedre-pentagonal

Trapézoèdre pentagonal

Trapézoèdre pentagonal : 10 faces en cerf-volant - dual : antiprisme pentagonal. Le trapézoèdre pentagonal est le premier solide différent des solides de Platon utilisé comme un dé dans les jeux de rôle tels que Donjons et Dragons. Ayant 10 côtés, il peut être utilisé en répétition pour générer n'importe quelle probabilité discrète désirée de base décimale.

Trapézoèdre tétragonal. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c47bf9-trapezoedre-tetragonal

Trapézoèdre tétragonal

En géométrie, un octaèdre (du grec oktô, huit et hedra, face) est un polyèdre à huit faces. Certains octaèdres satisfont des conditions de symétrie ou de régularité des faces, par exemple le trapézoèdre tétragonal. Le nom trapézoèdre est trompeur puisque les faces ne sont pas des trapèzes. Le trapézoèdre ou antidiamant ou deltoèdre n-gonal est le polyèdre dual d'un antiprisme n-gonal régulier. Ses 2n faces sont des deltoïdes congrus (ou cerfs-volants). Les faces sont décalées symétriquement.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55381fe1-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55381ff3-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538200b-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382018-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538202d-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382049-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382061-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538207d-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Cabine de passagers à bord d'un navire. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dc519-cabine-de-passagers-a-bord-d-un-navire

Cabine de passagers à bord d'un navire

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.189 : manuel scolaire, édition de 1904 : CABINE DE PASSAGERS A BORD D'UN NAVIRE. - Les cabines des passagers sont si basses d'étage, qu'on touche presque le plafond de la tête ; ordinairement on met plusieurs lits l'un sur l'autre pour ménager mieux la place. Les petites fenêtres sont protégées par des serrures solides, afin qu'on puisse les fermer hermétiquement pendant les tempêtes, car, sans cette précaution, les vagues jailliraient dans les cabines.

Dépôt de givre sur feuilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5234c0f8-depot-de-givre-sur-feuilles

Dépôt de givre sur feuilles

Dans l'atmosphère, la source de gouttelettes pour le givre est un nuage ou le brouillard. Le givrage effectué sur des surfaces solides constitue alors un revêtement opaque et granuleux qui s'accroit dans la direction d’où vient le faible vent. Il est fréquent en hiver sur le sol, la végétation, les objets et les aéronefs. Le givre peut également se déposer sur des flocons de neige dans les nuages et les enrober d'un dépôt glacé qui augmentera leur densité (grésil).

Dépoussiérage des gaz. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdb3e2-depoussierage-des-gaz

Dépoussiérage des gaz

Schéma en français d'un cyclone cylindro-conique : Les cyclones sont des appareils de corps essentiellement cylindro-coniques dans lesquels le mouvement giratoire est obtenu en faisant entrer le fluide tangentiellement à la circonférence, au voisinage de la paroi. Sous l'effet de la force centrifuge, les particules solides prises dans le vortex se déplacent vers la paroi, y perdent leur vitesse par frottement et tombent dans la partie inférieure de l'appareil, avant de sortir par l'apex du cône. Le fluide suit la paroi jusqu'au voisinage de l'apex, et une fois débarrassé des particules, remonte à la partie supérieure pour sortir par l'ouverture axiale. Pour que la séparation soit effective, il faut donc que le temps mis par une particule pour atteindre la paroi soit inférieur au temps de séjour moyen d'un élément de fluide dans le cyclone.

Fabrication de ressorts de montres. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d84d5-fabrication-de-ressorts-de-montres

Fabrication de ressorts de montres

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.82 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LE TRAVAIL DU SOIR DANS UNE FERME DU JURA. - C'est dans les fermes du Jura que se fabriquent en grande quantité les ressorts de montre les plus délicats. En passant près des fermes, il est rare qu'on n'y entende pas le bruit du marteau ou de la lime. - Le métier à bas, auquel travaille la fermière de droite, a été inventé par un Français, un ouvrier serrurier des environs de Caen. Avec ce métier on fabrique, bien plus vite qu'avec la main, des bas presque aussi solides.

Galettes de cassave. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d99f32-galettes-de-cassave

Galettes de cassave

Galettes de manioc sêchant sur des tiges de manioc. La cassave est à base de couac, une farine obtenue par le râpage ou grageage (grajé en créole) de la racine de manioc. Sa pulpe est délayée dans un mélange d'eau et de chaux, tamisée, ensuite, elle est placée soit dans un long boyau de vannerie appelé couleuvre et parfois étirée, ce qui permet d'en extraire le jus, qui est un poison, soit écrasée sur une meule à bras appelée metate, jusqu'à la formation d'une pâte dite masa. Cette pâte est mise alors dans une platine chauffée au bois. Cette technique permet de sécher le produit sans le cuire. Ce travail demande beaucoup d'attention, il faut sans cesse remuer la farine avec une palette de bois, pour l'empêcher de coller au fond de la platine et de se colorer, pour qu'elle puisse rester toujours blanche. Lors de la dernière phase de cuisson, la semoule est amalgamée en une grande galette. Une fois cette pâte séchée, elle est pétrie puis aplatie et étalée sur une plaque appelée comal et posée sur un feu pour la cuire. La cassave est cuite sur les deux faces, la cuisson est rapide et pas trop forte afin que les galettes restent moelleuses. Leur forte teneur en amidon fait qu'en quelques minutes elles deviennent solides. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cassave.

Gasba de Numidie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331abf8-taghanimt-

Gasba de Numidie

La gasba ou tighanimt est un instrument de musique à vent rustique répandu en Numidie ou le Pays Chaoui (Tunisie occidentale et Algérie orientale) mais aussi dans les régions autrefois peuplées par les Numides tels que le Ziban au sud des Aures, ainsi que dans les autres grandes régions zénètes : en Oranie (Algérie) et au Rif (Maroc). C'est une flûte de roseau oblique à embouchure libre. L'artisan utilise une tige de taghanimt (roseau) des plus solides et souple. Les Aurès sont réputées pour la qualité de leurs roseaux. La gasba est une flûte oblique et à ce titre, elle se joue en posant la flûte sur le côté de la bouche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gasba

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Haut-fourneau au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d954e-haut-fourneau-au-xixeme-siecle

Haut-fourneau au XIXème siècle

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.112 ; manuel scolaire, édition de 1904 : UN HAUT FOURNEAU. - Les hauts fourneaux sont des espèces de tours solides qu'on remplit par en haut de minerai de fer. Une fois que le haut fourneau est allumé, on le remplit jour et nuit sans interruption pour avoir la plus grande chaleur possible jusqu'à ce que les murs usés se fendent et éclatent. A mesure que le fer se fond, il tombe en dessous, dans un réservoir.

Le pendule du lustre de Pise. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b008c7-le-pendule-du-lustre-de-pise

Le pendule du lustre de Pise

Plafond et lustre de Pise, Vincenzo Possenti, 1586. Galilée commence par démontrer plusieurs théorèmes sur le centre de gravité de certains solides dans son "Theoremata circa centrum gravitatis solidum" et entreprend en 1586 de reconstituer la balance hydrostatique d'Archimède ou Bilancetta. En même temps, il poursuit ses études sur les oscillations du pendule pesant et invente le pulsomètre. Cet appareil permettait d'aider à la mesure du pouls et fournissait un étalon de temps, qui n'existait pas à l'époque. Il débute aussi ses études sur la chute des corps.

Les solides d'Einstein. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b2537e-les-solides-d-einstein-

Les solides d'Einstein

Schéma des solides d'Einstein : en physique statistique et en physique du solide, le modèle d’Einstein est un modèle permettant de décrire la contribution des vibrations du réseau à la capacité calorifique d’un solide cristallin.

Liaison ponctuelle 3D vectorielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c73741-liaison-ponctuelle-3d-vectorielle

Liaison ponctuelle 3D vectorielle

Schéma d'une liaison ponctuelle sphère/plan dans l'espace : la liaison ponctuelle décrit un contact entre deux solides qui se réduit à un point. Par obstacle, ce contact interdit le rapprochement des deux corps, et autorise la transmission d'une force dans la direction normale (perpendiculaire) au plan tangent commun aux deux surfaces en contact. On définit ainsi son seul degré de liaison. C’est la liaison génératrice de toutes les autres, puisqu’une liaison peut toujours être décrite par plusieurs liaisons ponctuelles, qu'il s'agisse d'un ensemble discret ou continu de points.

Nagara indiennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331ae35-nagara

Nagara indiennes

Les nagara (monde arabe) ou tyanko (Népal) sont une paire de timbales indiennes rencontrée jusqu'au Tadjikistan. Le tasha en est une version sur trépied à une seule timbale, dont le tas iranien est sans doute l'origine, mais qui est joué avec des petits fouets. Parfois construites en terre cuite, les plus grandes, jusqu'à un mètre de diamètre, sont en cuivre, avec des peaux de chèvre liées à l'aide de cordes ou de lanières de cuir, tout autour. On en joue assis ou debout (avec une lanière), avec deux grosses et solides baguettes, les timbales étant soit côte à côte, soit l'une horizontale et l'autre verticale (les peaux perpendiculaires). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nagara_%28instrument%29

Nids d'abeille partiels. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e062c7-nids-d-abeille-partiels

Nids d'abeille partiels

En géométrie, les polyèdres obliques infinis sont une définition étendue des polyèdres, créés par des faces polygonales régulières, et des figures de sommet non planaires. Beaucoup sont directement reliés aux nids d'abeille convexes uniformes, étant la surface polygonale d'un nid d'abeille avec certaines cellules enlevées. En tant que solides, ils sont appelés nids d'abeille partiels et aussi éponges. Ces polyèdres sont aussi appelés pavages hyperboliques parce qu'ils peuvent être regardés comme reliés aux pavages de l'espace hyperbolique qui ont aussi un défaut angulaire négatif.

Otaries d'Alaska. Source : http://data.abuledu.org/URI/5372a60e-otaries-d-alaska

Otaries d'Alaska

Otaries d'Alaska, île de Middleton. Le lion de mer de Steller ou otarie de Steller (Eumetopias jubatus) est la plus grande des espèces d'otaries et peut vivre jusqu'à 51,5 ans. Les mâles sont quatre fois plus lourds que les femelles et les plus gros peuvent atteindre 1 tonne pour une longueur de 3 m. Une femelle pèse environ 270 kg pour 2,20 m de longueur. Malgré leur poids, ils sont d'excellents nageurs. Le lion de mer de Steller possède une fourrure brune, plus foncée pour les femelles, et des mâchoires si solides qu'elles sont capables de broyer leurs proies : calmars, harengs, saumons, capelans et autres poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lion_de_mer_de_Steller

Ruban de la Médaille des Mines. Source : http://data.abuledu.org/URI/50707c0f-ruban-de-la-medaille-des-mines

Ruban de la Médaille des Mines

Ruban de la Médaille des Mines (France) créée par décret no 953-333 du 14 avril 1953, elle est décernée par arrêté du Préfet de Région, depuis 1970 "pour services rendus pour la recherche et l'extraction de minéraux solides".

Structure cristalline d'un lingot. Source : http://data.abuledu.org/URI/513e3fcb-structure-cristalline-d-un-lingot

Structure cristalline d'un lingot

Morphologie cristalline typique d'un lingot : structure colonnaire à l'extérieur, puis structure dendritique, et structure équiaxe au cœur, avec une retassure sur le dessus — le profil du moule est normalement trapézoïdal, afin de pouvoir démouler le lingot. Un lingot résulte d'une coulée dans un moule globalement parallélépipédique ; en général, il s'agit d'une pyramide tronquée à base rectangulaire afin de pouvoir démouler le lingot. Le refroidissement se fait par l'extérieur ; en conséquence, il se crée un gradient de température : le cœur du liquide est plus chaud que les bords. La solidification commence donc par les bords et se termine par le centre. Il en résulte en général une structure typique en trois « couches » : structure dite « colonnaire » au bord, suivie d'une structure dendritique, puis au cœur d'une structure équiaxe. Le métal diminuant de volume lors de la solidification, le haut du lingot, qui est à l'air libre, présente en général un creux appelé « retassure ». Si le métal a été mal dégazé, il va présenter en surface des « criques » (sorte de sillons ressemblant à des fissures) et des pores à l'intérieur. Cependant, cette structure n'est pas systématique ; cela dépend grandement de la vitesse de solidification, de la direction de solidification (on peut volontairement isoler certaines parties du moule pour avoir une solidification dirigée) et de l'ajout éventuel de floculant.

Structure du chlorure de sodium. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a29d55-structure-du-chlorure-de-sodium

Structure du chlorure de sodium

Structure cristalline cubique à faces centrées du chlorure de sodium (NaCl) : mise en valeur des polyèdres de coordination au sein de la maille. La structure NaCl correspond à deux sous réseaux cubiques à face centrée d'ions, décalés de la moitié du côté de la maille selon l'une des directions des côtés de la maille. La plupart des solides sont des cristaux. Les atomes d'un cristal sont disposés dans l'espace de manière régulière et ordonnée. Les distances interatomiques restent constantes, on parle d'ordre à grande distance

Structure moléculaire d'un liquide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cd9d1e-structure-moleculaire-d-un-liquide

Structure moléculaire d'un liquide

Structure moléculaire d'un liquide : La phase liquide est un état de la matière. Sous cette forme, la matière est facilement déformable mais difficilement compressible. Le liquide est une forme de fluide : les molécules sont faiblement liées, ce qui rend les liquides parfaitement déformables. Mais, à l'inverse du gaz, elles sont tout de même liées : une molécule ne peut s'éloigner beaucoup d'une autre, ce qui fait que la matière liquide a une cohésion que ne possède pas le gaz (et comme dans les solides, les molécules sont très proches les unes des autres, ce qui rend les liquides difficilement compressibles). Chaque atome est en contact avec de nombreux voisins mais aucun ordre n'apparait.

Système solaire de Képler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0aab5-systeme-solaire-de-kepler

Système solaire de Képler

Source : "Mysterium Cosmographicum" (1596). Le modèle d’Univers de Képler, fondé sur les cinq polyèdres réguliers. La théorie des solides emboîtés, qui amènera plus tard Kepler à découvrir deux nouveaux solides réguliers (voir Les polyèdres de Kepler-Poinsot), si elle nous paraît fantaisiste aujourd’hui, a permis à Kepler d’entrer en contact avec ses contemporains Galilée et Tycho Brahe, mathématicien impérial à la cour de Prague. Ce livre a surtout été apprécié en son temps car il constituait le premier plaidoyer convaincant pour la théorie copernicienne, ne se contentant pas, ainsi que Rheticus l'avait fait, de présenter les avantages du système héliocentrique du point de vue mathématique. Kepler, en effet, cherche (et croit avoir trouvé) les causes (physiques et métaphysiques) du nombre, de la disposition et des mouvements des planètes. Cette recherche des causes (physiques), que Kepler poursuivra tout au long de sa vie, constitue l'acte fondateur de l'invention d'une nouvelle science : l'astrophysique.