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Dessins et plans, Cube, Carré, Géométrie des nombres, Gnomonique, Abu Bakr Muhammad ibn al-Hasan al- Karaji (....-1019 ?)
Démonstration géométrique de la formule donnant le carré d'un nombre triangulaire, égal à la somme des premiers cubes parfaits : le carré du nième nombre triangulaire est égal à la somme des n premiers cubes. L'illustration géométrique permet de se convaincre de la véracité de ses propositions. L'aire de la zone orange de la figure est appelée nombre gnomonique. Elle est constituée de deux rectangles de base 4 et de côté le nombre triangulaire d'indice 4, c'est-à-dire 10. Ces deux rectangles se recoupent sur un carré de côté 4, on en déduit que l'aire orange est égale à 5 x 4 x 4 - 4 x 4, ou encore 43. Ce raisonnement est valable sur chaque nombre gnomonique, l'aire du carré de côté le nombre triangulaire d'indice 4 est égal la somme des 4 premiers cubes. De cette démonstration d'Al-Karaji, on déduit la première proposition.
En géométrie des solides, un hexaèdre est un polyèdre à six faces. Il existe un hexaèdre régulier : le cube. Le terme hexaèdre vient du grec heksaedros et du bas latin hexahedrum, ce qui justifie la présence de la lettre h dans la traduction anglaise "hexahedron".
Dessins et plans, Cube, Mécanique, Efforts (mécanique), Contraintes (mécanique), Milieux continus, Mécanique des, Tenseurs, Calcul des
Désignation des faces d'un cube utilisée notamment en mécanique des milieux continus. Le tenseur des contraintes est une représentation utilisée en mécanique des milieux continus pour caractériser l'état de contrainte, c'est-à-dire les efforts intérieurs mis en jeu entre les portions déformées du milieu. Le terme a été introduit par Cauchy vers 1822. Comme les efforts intérieurs sont définis pour chaque surface coupant le milieu (on parle d'ailleurs également d'efforts surfaciques), le tenseur est défini localement, en chaque point du solide. L'état de contrainte du solide est donc représenté par un champ tensoriel. On parle aussi de ce fait de champ de contrainte.
Dessins et plans, Géométrie, Cube, Jeux mathématiques, Origami, Pliages en papier, Racines numériques, Racines d'un nombre
Doubler le volume d'un cube : PB/PA = racine cubique de 2. Comment construire la racine cubique de 2 par pliage d'origami : construction par Peter Messer, Problème 1054, Crux Mathematicorum, Vol. 12, No. 10, 1986, pp. 284-285.
Barres de tungstène avec des cristaux évaporés, partiellement oxydés. D'une pureté de 99,98% en comparaison avec un cube de 1 cm³ de tungstène pur (99,999%). Le tungstène est un élément chimique du tableau périodique de symbole W (de l'allemand Wolfram) et de numéro atomique 74. Son nom provient du suédois « tung » (lourd) et « sten » (pierre) et signifie donc « pierre lourde ».
Différentes parties d'une queue de billard ; de gauche à droite : talon, fût, tourillon, flèche, virolle, procédé. On joue à l’aide d’une queue, généralement en bois (frêne ou érable suivant le jeu), qui peut être monobloc ou en plusieurs parties, plus des accessoires permettant de l’allonger. Elle est composée d’un fût, souvent protégé par un talon en caoutchouc pour éviter de l’endommager, et d’une flèche reliés par un tourillon dans le cas de branches démontables. À l’extrémité de la flèche se trouve une virole (généralement en laiton) sur laquelle est collé ou vissé un procédé. C’est une ellipse de cuir d’un diamètre adapté à la virole, compris entre 8 et 13 mm en fonction de la taille des billes, du mode de jeu et/ou des préférences du joueur. Le joueur applique sur le procédé de la craie, plus communement appelé du « bleu ». C'est une poudre conditionnée en cube qui augmente l'adhérence du procédé lorsqu'il entre en contact avec la bille de choc. Sans l'utilisation de la craie, la manipulation des effets serait impossible.
Cristaux de niobium à haute pureté (99.995 % = 4N5), formés par électrolyse, à coté d'un cube d'1 cm3 de haute pureté(99.95 % = 3N5) de niobium anodisé, pour comparaison. Le niobium est un élément chimique, de symbole Nb et de numéro atomique 41. C'est un métal de transition gris, rare, mou et ductile.
Il s'agit d'un casse-tête géométrique à trois dimensions composé de 26 petits cubes (il n'y a pas de cube central) qui, à première vue, paraissent pouvoir se déplacer sur toutes les faces et ont l’air libres de toute attache sans tomber pour autant. Un système d’axes, dont le mécanisme a été breveté par son auteur, Ernő Rubik, se cache au centre du cube.
Deux cubes de Rubyk, celui de gauche avec le calendrier en latin et celui de droite en anglais.
Fragments purs (99,97 %+) de fer, raffinés par électrolyse, à coté d'un cube d'1 cm3 de fer de haute pureté (99,9999 % = 6N), pour comparaison.
Gravure, Méduses, Cnidaires, Latin (langue), Savants allemands, Art nouveau (décoration), Nature (esthétique), Naturalistes, Ernst Haeckel (1834–1919), Art et nature, Art nouveau (décorations)
Planche de cubomedusae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 78 : Chirodropus palmatus,Chiropsalmus quadrigatus, Charybdea obeliscus, Charybdea murrayana, Procharybdis tetraptera, Tamoya prismatica. Le cubozoaire (Cubozoa), appelé aussi méduse-boîte est un invertébré de la classe des cnidaires qui se distingue des autres méduses par la forme de son ombrelle en forme de cube. La méduse-boîte est connue pour son venin extrêmement puissant produit aussi par certaines espèces : Chironex fleckeri, Carukia barnesi et Malo kingi qui sont parmi les créatures les plus venimeuses au monde. Les piqûres de ces espèces ainsi que quelques autres de cette classe sont extrêmement douloureuses et souvent mortelles pour les humains. À l'intérieur de l'ombrelle se trouve un volet ou « velarium » qui sert à concentrer et augmenter l'écoulement de l'eau expulsée par l'ombrelle. En conséquence, la méduse-boîte peut se déplacer plus rapidement que les autres méduses. Des vitesses jusqu'à six mètres par minute ont été enregistrées. Le système nerveux de la méduse-boîte est plus développé que celui des autres méduses. Elle possède notamment un anneau nerveux autour de la base de l'ombrelle qui coordonne ses mouvements de pulsations ; lors que d'autres méduses ont simplement un pigment oculaire, les méduses-boîtes sont uniques du fait de la possession de vrais yeux avec rétines, cornées et lentilles. Leurs yeux (en grappes) sont situés sur chacun des quatre côtés de leur ombrelle. Ceux-ci permettent de voir les points spécifiques de la lumière, plutôt que de simplement distinguer la lumière ou l'obscurité. Les méduses-boîtes ont aussi des yeux de type "inférieur", parce que les gros yeux (visuellement "forts") ne sont qu'un des quatre sous-ensembles. Au total elles ont 24 yeux. Une autre particularité intéressante est que la méduse-boîte a quelque chose dans son organisme que l'on peut considérer comme un cerveau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cubozoa
Peinture, Russes, Dix-neuvième siècle, Pédologie, Sols -- Micromorphologie, Pédologues, Peintres russes
Tableau de Wassili Wassiljewitsch Dokutschajew (en russe : Василий Васильевич Докучаев) (1846–1903), géographe russe. Il est considéré comme le père de la science des sols ou pédologie et à ce titre comme le premier pédologue. Il est peut-être un des premiers scientifiques à avoir réalisé une vaste étude des types de sols. Il est amené à étudier les sols de son pays car on s'inquiète alors des conséquences désastreuses sur l'agriculture et les sècheresses des années 1873 et 1875. Parcourant la Russie, il observe que les sols sont liés, dans leur nature et leur répartition, aux facteurs suivants : climat, roche sous-jacente, relief, temps, agents biologiques (végétation, animaux du sol). Ses idées vont passer à l'ouest car lui et ses disciples publient en français ou en allemand. L'équipe vient en 1900 à Paris, pour l'Exposition universelle. Elle présente, dans le pavillon russe, un bloc de "tchernoziom" d'un mètre cube, ce sol sur lequel Dokoutchaïev a réalisé sa thèse (1883) et qui est renommé pour sa fertilité.
Quatre modèles de cubes de Rubik : poche (2×2×2), rubik (3×3×3), revanche (4×4×4) et Professeur (5×5×5).
Photographie, Blanchissage, Savon, Nettoyage, Lavage, Savons, Toilette, Produits de, Toilette, Savon de
Le savon commercial se présente sous forme de bloc (pain, cube, formes ovalisées...), de poudre, de paillettes fines (lessives), de mousses, de gels (Gel douche) ou de solutions, comme le savon liquide.
Structure d'un cristal de chlorure de sodium : chaque ion a six voisins, ce qui forme un octaèdre. La coordinence est le nombre de plus proches atomes voisins dans la structure. Légende : en bleu Na+, en vert Cl-. Le sel est un assemblage d'ions Na^+ et Cl^- de maille cubique. Le sel est un cristal, car ses atomes forment une structure périodique et symétrique. La structure du sel peut être décrite par le contenu de sa maille. Une maille de sel est un cube qui contient : un atome de chlore aux sommets de la maille (8 sommets chacun partagé parmi 8 mailles voisines) ; trois atomes de chlore au centre des faces de la maille (6 faces chacune partagée entre 2 mailles voisines) ; un atome de sodium au centre de la maille ; trois atomes de sodium sur le milieu des arêtes de la maille (12 arêtes chacune partagée parmi 4 mailles voisines).
Thulium sublimé sous une forme dendritique pur à 99,99 % (Tm/TREM) placé à côté d'un cube d'un centimètre d'arête de thulium (99,9 %) refondu à l'arc.
Un monocristal de rhenium de haute pureté (99,999 %) produit par la méthode de la zone fondue. Pour comparaison, une bare de rhenium à 99,995 %, et un cube de 1 cm de côté du même métal à (99,99 %).
zinc, pureté 99,995 %. À gauche, un fragment cristallin de lingot. À droite, des dendrites obtenues par sublimation-condensation. Devant, un cube d'un cm de côté pour comparaison. Le zinc (prononciation /zɛ̃g/) est un élément chimique, de symbole Zn et de numéro atomique 30. Il est par certains aspects semblable au magnésium dans la mesure où son état d'oxydation courant est +2, donnant un cation de taille comparable à celle de Mg2+. C'est le 24e élément le plus abondant dans l'écorce terrestre. Il possède cinq isotopes stables.