Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Chimie | Dessins et plans | Gravure | Éléments (chimie) | Chimie -- Appareils et matériel | Métaux | Physique | Verrerie de laboratoire | Chimie -- Laboratoires | Chimie -- Étude et enseignement | Eau | Chimie -- Laboratoires -- Appareils et matériel | Molécules | Noir de carbone | Mouillage (chimie des surfaces) | Carrières (exploitations minières) | Géographie | Lordat (Ariège) | Fours | ...
Alpha-pinène. Source : http://data.abuledu.org/URI/513313f9-alpha-pinene

Alpha-pinène

L'alpha-pinène (α-pinène) est un monoterpène bicyclique. Il a pour isomère le bêta-pinène. Il est connu pour ses propriétés antiseptiques. Il peut aussi être prescrit en cas d'hypersécrétion bronchique. La molécule d'α-pinène ressemble à celle du camphre sans atome d'oxygène. Même si l’essence de pin se trouve dans la nature, on la prépare par l’action d’un acide sur l’α-pinène, ce qui le transforme en α-terpinéol (C10H18O), constituant majoritaire de l’essence de pin et la molécule responsable de l’odeur du genièvre. Il est présent dans de nombreuses plantes, comme la menthe, la lavande, la sauge et le gingembre. On la trouve également dans l'essence de térébenthine.

Balles de ping pong en celluloïd. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d95bf1-balles-de-ping-pong-en-celluloid

Balles de ping pong en celluloïd

Balles de ping pong en celluloïd. Le celluloïd est le nom donné à une matière composée essentiellement de nitrate de cellulose et de camphre. Elle est considérée comme la toute première matière plastique artificielle dont l'origine remonte à 1856. Sa composition a été petit à petit améliorée pour la rendre finalement facile à modeler et à produire. Son invention revient le plus souvent aux frères Hyatt en 1870. Le celluloïd est très inflammable et n'est quasiment plus utilisé aujourd'hui.

Col de cygne. Source : http://data.abuledu.org/URI/518e4422-col-de-cygne

Col de cygne

Ballon à « col de cygne » de Louis Pasteur (1822-1895) : dans un nombre appréciable de cas, l'air qui a traversé les sinuosités, sans avoir été ni chauffé, ni filtré ni lavé, ne provoque pas l'apparition d'êtres vivants sur les substances qui se trouvent au fond du flacon, alors qu'il la provoque sur une goutte placée à l'entrée du circuit. La seule explication de l'inaltération du fond est que des germes ont été arrêtés par les sinuosités et se sont déposés sur le verre. Cette expérience avait été suggérée à Pasteur par le chimiste Balard.

Cristaux de neige et de glace. Source : http://data.abuledu.org/URI/591ab3c8-cristaux-de-neige-et-de-glace

Cristaux de neige et de glace

Détail (Figure 1) de la page 7 des ''Leçons élémentaires de chimie'' (1897), de Bussard et Dubois - Diverses formes des cristaux de neige et de glace.

Cristaux de Pyrite de la mine de talc de Trimouns. Source : http://data.abuledu.org/URI/520cf3ec-cristaux-de-pyrite-de-la-mine-de-talc-de-trimouns

Cristaux de Pyrite de la mine de talc de Trimouns

Cristaux de Pyrite de la mine de talc de Trimouns à Luzenac dans l'Ariège.

Dépassivation et repassivation de l'inox. Source : http://data.abuledu.org/URI/51213884-depassivation-et-repassivation-de-l-inox

Dépassivation et repassivation de l'inox

Dépassivation (rupture de la couche d'oxyde) et repassivation d'un acier inoxydable : les atomes de chrome dans l'acier réagissent avec le dioxygène de l'air et forment une couche protectrice d'oxyde de chrome. La passivation ou passivité représente un état des métaux ou des alliages dans lequel leur vitesse de corrosion est notablement ralentie par la présence d'un film passif naturel ou artificiel, par rapport à ce qu'elle serait en l'absence de ce film. Dans la plupart des cas (aluminium, acier, acier inoxydable, titane…), ce film passif apparait spontanément par oxydation, parce que l'oxyde formé sur la surface est insoluble et constitue un obstacle qui ralentit les processus ultérieurs. Dans un milieu aqueux, la formation de ce film est liée à un domaine de potentiel électrochimique ainsi qu'à un domaine de pH dans lesquels l'oxyde est stable. De ce fait, on s'attache à ce que le film passif se forme à l'air avant la mise en service de la pièce.

Dolomite et talc de Luzenac. Source : http://data.abuledu.org/URI/520cf0a2-dolomite-et-talc-de-luzenac

Dolomite et talc de Luzenac

Dolomite (en haut à gauche) et Talc (en bas au centre) de la carrière de talc de Trimouns, Luzenac, Ariège, Midi-Pyrénées (10x6.2cm).

Lecture du ménisque concave d'eau colorée. Source : http://data.abuledu.org/URI/5287afe4-lecture-du-menisque-concave-d-eau-coloree

Lecture du ménisque concave d'eau colorée

Lecture du ménisque concave d'eau colorée dans une burette.

Ménisque de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5287aee9-menisque-de-l-eau

Ménisque de l'eau

Schéma du ménisque de l'eau au niveau moléculaire. Le ménisque est la surface courbe d'un liquide ; il apparaît en réponse à la surface du contenant ou d'un autre objet. La mesure précise d'un volume de solution aqueuse à l'aide d'une burette utilise la méthode du ménisque concave.

Ménisque de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5287af7b-menisque-de-l-eau

Ménisque de l'eau

Lecture du ménisque de l'eau : A : le ménisque est orienté vers le bas, il est concave ; B : le ménisque est orienté vers le haut, il est convexe.

Métal pur de cuivre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51255200-metal-pur-de-cuivre

Métal pur de cuivre

Disque de cuivre presque pur (99,95%) : macro, diamètre de 83 mm. Le cuivre devient pâteux vers 830 °C et fond autour de 1 100 °C (voir température de fusion : 1 084,45 °C). L'affinage industriel du cuivre s'effectue par électrolyse d'anodes de cuivre brut dans une solution de sulfate de cuivre. Les ions cuivre migrent vers la cathode et les impuretés restent dans le bain. Ce procédé permet d'obtenir du métal pur à 99,95 %.

Molécule d'eau en 3D. Source : http://data.abuledu.org/URI/52756797-molecule-d-eau-en-3d

Molécule d'eau en 3D

Molécule d'eau en 3D : Représentation schématique d'une molécule d'eau avec en rouge l'atome d'oxygène et en blanc les deux atomes d'hydrogène.

Molécule de l'ammoniac en origami. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f25fca-molecule-de-l-ammoniac-en-origami

Molécule de l'ammoniac en origami

Molécule de l'ammoniac en origami, créée par Belén Garrido, pliage d'Archivaldo.

Molécule de l'eau en origami. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f25e52-molecule-de-l-eau-en-origami

Molécule de l'eau en origami

Molécule de l'eau en origami, créée par Belén Garrid : un atome d'oxygène et deux atomes d'hydrogène.

Molécule du méthane en origami. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f25f3a-molecule-du-methane-en-origami

Molécule du méthane en origami

Molécule du méthane créée par Belén Garrido, origami d'Archivaldo.

Nodule de silex éclaté. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c48d13-nodule-de-silex-eclate

Nodule de silex éclaté

Fragments et éclats de silex (Feuerstein = pierre à feu, en allemand). Ils sont coupants et cassants quand ils sont fins. Les nodules de silex sont enveloppés d'une gangue plus ou moins épaisse nommée « cortex » et composée d'impuretés (dépôts organiques, etc.) repoussées vers l'extérieur lors de la croissance du silex.

Particules de suie autour de la Terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/513afe3d-particules-de-suie-autour-de-la-terre

Particules de suie autour de la Terre

Cliché pris par la NASA en décembre 2009 montrant les particules de suie autour de la Terre. Connu sous le nom de suie, le noir de carbone entre dans l'air par combustion incomplète du charbon, du bois et du diesel. Le noir de carbone est l'un des polluants de l'air quand il est émis par les pots d'échappement (des moteurs Diesel principalement) et par la combustion domestique ; à l'horizon 2020, dans la CEE, les petits appareils de chauffage des habitations deviendront la principale source d’émission de noir de carbone et produiront à peu près la moitié des émissions totales ; cette tendance pourrait s’accentuer si la combustion de la biomasse est préconisée comme mesure de protection du climat. L'usure des pneus sur les routes libère également du noir de carbone. C'est peut-être un produit cancérogène.

Poudre de silicium. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c4878c-poudre-de-silicium

Poudre de silicium

Poudre de silicium. C'est l'élément le plus abondant dans la croûte terrestre après l'oxygène (25,7 % de sa masse), mais il est quasiment absent de la matière constituant le vivant. Il n'existe pas à l'état libre, mais sous forme de composés : sous forme de dioxyde de silicium (SiO2), la silice (dans le sable, le quartz, la cristobalite, etc.), ou d'autres silicates. Il est utilisé depuis très longtemps sous forme d'oxyde de silicium amorphe (silice ou SiO2) comme composant essentiel du verre. Il a depuis le milieu XXe siècle de nouveaux usages en électronique (transistor), pour la production de matériaux tels que les silicones ou, pour fabriquer des panneaux solaires photovoltaïques.

Réaction avec et sans catalyse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdb6cc-reaction-avec-et-sans-catalyse

Réaction avec et sans catalyse

Illustration d'un changement d'énergie d'activation causée par une catalyse. Effet d'un catalyseur positif sur l'énergie d'activation d'une réaction : elle est plus faible et la vitesse de réaction augmente. Source : original créé par Bkel, en vectorisant l'image de Vinay.bhat, qui détient le copyright mais a relâché les droits.

Rutile sur chlorite. Source : http://data.abuledu.org/URI/520cf6cc-rutile-sur-chlorite-

Rutile sur chlorite

Rutile (macle en genou) et Clinochlore : Mine de talc de Trimouns à Luzenac, Ariège, Midi-Pyrénées.

Schéma d'un Chloroplaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/5214c92a-schema-d-un-chloroplaste

Schéma d'un Chloroplaste

Schème de chloroplaste d'une plante supérieure. Les chloroplastes sont des organites présents dans le cytoplasme des cellules eucaryotes photosynthètique (plantes, algues). Ils sont sensibles aux expositions des différentes ondes du spectre lumineux. Ils jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement d'une cellule végétale car ils permettent de capter la lumière à l'origine de la photosynthèse. Par l'intermédiaire de la chlorophylle qu'ils possèdent et de leurs ultrastructures, ces organites sont capables de transférer l'énergie véhiculée par les photons à des molécules chimiques (eau). Les chloroplastes jouent un rôle important dans le cycle du carbone, par la transformation du carbone atmosphérique en carbone organique. Les chloroplastes appartiennent à une famille d'organites appelés les plastes ; ceux-ci sont le fruit de l'endosymbiose d'une cyanobactérie, il y a environ 1,5 milliard d'années.

Sels de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e7704e-sels-de-mer

Sels de mer

Proportions des "sels" dans l'eau de mer, et composition chimique du sel. Source : Hannes Grobe, Alfred Wegener Institute for Polar and Marine Research, Bremerhaven, Allemagne ; SVG version par Stefan Majewsky ; traduction par Korrigan.

Talc cristallisé. Source : http://data.abuledu.org/URI/520ceffe-talc-cristallise

Talc cristallisé

Cristaux de talc, Carrière de talc de Trimouns, Ariège, Midi-Pyrénées.

Tension superficielle de gouttes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cda69f-tension-superficielle-de-gouttes

Tension superficielle de gouttes

Gouttes de trois liquides en contact avec une surface : tension superficielle et mouillage. Dans le cas où l'une des phases est solide (jaune), ce phénomène s'appelle mouillage et on appelle angle de contact l'angle entre l'interface fluide/fluide et la surface solide. Cet angle de contact est donné par la Loi de Young-Dupré. La qualité du mouillage d'un liquide sur un solide est le degré d'étalement du liquide sur ce solide. On parle de mouillage total lorsque le liquide s'étale totalement, et de mouillage partiel lorsque le liquide forme une goutte sur le solide. Le type de mouillage (total ou partiel) est déterminé par le signe du coefficient d'étalement.

Toiture en cuivre patiné. Source : http://data.abuledu.org/URI/51255437-toiture-en-cuivre-patine

Toiture en cuivre patiné

Toiture en cuivre patiné de la mairie de Minnéapolis (USA). Alors que, pour les applications électriques, on utilise du cuivre non oxydé, le cuivre utilisé en architecture est du cuivre phosphoreux désoxydé (également nommé Cu-DHP). Depuis l’antiquité, on utilise le cuivre comme matériau de couverture étanche, ce qui donne à nombre de bâtiments anciens l’aspect vert de leurs toitures et coupoles. Au début se forme de l’oxyde de cuivre, bientôt remplacé par du sulfure cuivreux et cuivrique, et enfin par du carbonate de cuivre. La patine finale de sulfate de cuivre (dénommée vert-de-gris) est très résistante à la corrosion.

Analyse thermo-gravimétrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c6f05d-analyse-thermo-gravimetrique

Analyse thermo-gravimétrique

Schéma d'appareil utilisé pour l'analyse thermo-gravimétrique (ATG) ; le tuyau d'eau de refroidissement a été omis. L'analyse thermogravimétrique (ATG), en anglais thermogravimetric analysis (TGA), est une technique d'analyse thermique qui consiste en la mesure de la variation de masse d'un échantillon en fonction de la température. Une telle analyse suppose une bonne précision pour les trois mesures : masse, température et variation de température. Comme les courbes de variations de masse sont souvent similaires, il faut souvent réaliser des traitements de ces courbes afin de pouvoir les interpréter. La dérivée de ces courbes montre à quels points ces variations sont les plus importantes. Un appareil se compose typiquement d'une enceinte étanche permettant de contrôler l'atmosphère de l'échantillon, d'un four permettant de gérer la température, d'un module de pesée (microbalance), d'un thermocouple pour mesurer la température et d'un ordinateur permettant de contrôler l'ensemble et d'enregistrer les données.

Angle de mouillage entre liquide et solide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdb01c-angle-de-mouillage-entre-liquide-et-solide

Angle de mouillage entre liquide et solide

Légende : SL = Solide-Liquide, LG = Tension de surface Liquide-Gaz, SG = Solide-Gaz (Vapeur) : l'angle de raccordement d'un liquide sur un solide est l'angle formé par la surface du solide avec la tangente à une goutte du liquide déposée sur ce solide passant par le bord de la goutte. La forme de la goutte est déterminée par la mouillage. L'angle de raccordement n'est pas limité à un solide et un liquide. Ça pourrait être également un interface entre deux liquides ou deux vapeurs. Il est donné par la loi de Young-Dupré.

Balance électronique de laboratoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52120d8f-balance-electronique-de-laboratoire

Balance électronique de laboratoire

Balance électronique de laboratoire.

Calorimètre à glace de Lavoisier et Laplace. Source : http://data.abuledu.org/URI/52189242-calorimetre-a-glace-de-lavoisier

Calorimètre à glace de Lavoisier et Laplace

Calorimètre à glace d'Antoine Lavoisier et Pierre Laplace en 1783. Source : Antoine Lavoisier, 1789 "Eléments de Chimie". C'est un appareil destiné à mesurer la quantité de chaleur par mesure de la masse de glace fondue. Il était composé de trois compartiments cylindriques concentriques et de 2 robinets. Le procédé consistait à placer une source chaude dans un compartiment central poreux tandis que le second et dernier compartiments étaient remplis de glace fine. La chaleur dégagée par la source fondait une certaine quantité de glace du second compartiment, qui était recuillie par dessous (robinet inférieur). La couche de glace la plus externe servait, elle, à "isoler" l'expérience en captant la chaleur extérieure. L'eau produite était évacuée par un robinet latéral. Avec la chaleur latente de fusion de la glace préalablement déterminée, la mesure de la quantité de glace fondue donnait celle de la chaleur fournie par la source jusqu'à l'équilibre thermique. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Calorimètre

Charbonnière artisanale. Source : http://data.abuledu.org/URI/591aabd1-charbonniere-artisanale

Charbonnière artisanale

Meule de charbon de bois, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois), 1906, page 37.

Corrosion par la rouille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c2609e-corrosion-par-la-rouille

Corrosion par la rouille

Corrosion d'une plaque de four par la rouille. La corrosion désigne l'altération d'un matériau par réaction chimique avec un oxydant (le dioxygène et le cation H+ en majorité). Les exemples les plus connus sont les altérations chimiques des métaux à l'air ou dans l'eau, telle la rouille du fer. L'étude fondamentale des phénomènes de corrosion relève essentiellement de l'électrochimie. L'étude appliquée des phénomènes de corrosion est un domaine de la science des matériaux, qui comporte à la fois des notions de chimie et de physique (physico-chimie). La corrosion est un problème industriel important : le coût de la corrosion, qui recouvre l'ensemble des moyens de lutte contre la corrosion, le remplacement des pièces ou ouvrages corrodés et les conséquences directes et indirectes des accidents dus à la corrosion, est estimé à 2 % du produit brut mondial). Chaque seconde, ce sont quelque 5 tonnes d'acier qui sont ainsi transformées en oxydes de fer…

Cours publics de chimie. Source : http://data.abuledu.org/URI/591b7ad0-cours-publics-de-chimie

Cours publics de chimie

Cours publics de chimie par Thomas Rowlandson (1756–1827).

Cristal de cadmium pur à 99,999 %.. Source : http://data.abuledu.org/URI/50788e36-cristal-de-cadmium-pur-a-99-999-

Cristal de cadmium pur à 99,999 %.

Le cadmium est un élément chimique de symbole Cd et de numéro atomique 48.

Cristal obtenu par cristallogenèse artificielle de bismuth métallique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50796b70-cristal-obtenu-par-cristallogenese-artificielle-de-bismuth-metallique

Cristal obtenu par cristallogenèse artificielle de bismuth métallique

Le bismuth est un élément chimique de la famille des pnictogènes, de symbole Bi et de numéro atomique 83. Longtemps confondu avec le plomb ou l'étain8, il a été identifié en 1753 par Claude Geoffroy le Jeune qui l'a séparé du plomb. L'irisation est due à une couche d'oxyde très mince.

Cristaux obtenus par cristallogénèse artificielle de bismuth métallique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50796b00-cristaux-obtenus-par-cristallogenese-artificielle-de-bismuth-metallique

Cristaux obtenus par cristallogénèse artificielle de bismuth métallique

Le bismuth est un élément chimique de la famille des pnictogènes, de symbole Bi et de numéro atomique 83. Longtemps confondu avec le plomb ou l'étain8, il a été identifié en 1753 par Claude Geoffroy le Jeune qui l'a séparé du plomb.

Croquis de four à chaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/591aad63-croquis-de-four-a-chaux

Croquis de four à chaux

Four à chaux en coupe, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906.

Décomposition de la vapeur d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/591aaeaf-decomposition-de-la-vapeur-d-eau

Décomposition de la vapeur d'eau

Décomposition de la vapeur d'eau, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906, page 148.

Deux barre de zirconium cristallisés, pures à 99,97 %. Source : http://data.abuledu.org/URI/50796e1e-deux-barre-de-zirconium-cristallises-pures-a-99-97-

Deux barre de zirconium cristallisés, pures à 99,97 %

Le zirconium est un élément chimique, de symbole Zr et de numéro atomique 40. Il a été découvert par Martin Heinrich Klaproth, qui l'a extrait du zircon en 1789 sous forme d'oxyde. En 1824, Jöns Jacob Berzelius l'a isolé sous forme de métal. En 1999 est retrouvé en Australie un fin morceau de cristal de zircon de 4,4 milliards d'années d'âge : hormis certains fragments de météorites, c'est le plus vieil objet terrestre connu10. C'est un métal de transition appartenant, avec le titane et le hafnium, à la colonne IVa de la classification périodique des éléments.

Disque de cuivre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5066fd26-disque-de-cuivre

Disque de cuivre

Disque de cuivre obtenu par coulée continue (Pureté : 99,95%, diamètre : 83 mm environ), et dépoli par traitement chimique. Le cuivre est un élément chimique de symbole Cu et de numéro atomique 29. Naturellement présent dans la croûte terrestre, il est essentiel au développement de toute forme de vie. Avec l’or, le cuivre pur est le seul métal coloré ; il présente sur ses surfaces fraîches une teinte rose saumon. Il est aussi appelé le « métal rouge ».

Disque de Vanadium. Source : http://data.abuledu.org/URI/5066fe1c-disque-de-vanadium

Disque de Vanadium

Disque de Vanadium (pureté : 99,95 %) obtenu à l'aide de la fusion par faisceau d’électron, usiné par Électro-érosion, poli, puis gravé à l'acide. Taille : 35 mm de diamètre, masse : 31,5 g environ. Le vanadium est un élément chimique, de symbole V et de numéro atomique 23. C'est un métal rare, mou et ductile que l'on trouve dans certains minerais. Il est principalement utilisé dans les alliages.

Dissipation visqueuse dans une goutte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdb1bf-dissipation-visqueuse-dans-une-goutte

Dissipation visqueuse dans une goutte

Gradient de vitesse de dissipation visqueuse dans une goutte à l'approche de la ligne de contact. Dans un liquide, la dissipation d'énergie est due à la viscosité, c'est-à-dire la résistance à un écoulement. La figure montre une goutte qui se déplace à la vitesse V . Le liquide dans la goutte a une vitesse qui dépend de sa position. A la surface de la goutte, le liquide a la vitesse de l'objet c'est-à-dire V mais proche du solide, celui-ci impose une vitesse nulle. Dans la goutte, il y a donc un gradient de vitesse permettant à celle-ci de varier de 0 à V sur une distance qui est la hauteur h de la goutte.

Échange air et mer de dioxyde de carbone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543aba3-echange-air-et-mer-de-dioxyde-de-carbone

Échange air et mer de dioxyde de carbone

Échange air / mer de dioxyde de carbone (version traduite en fr.) : Les océans sont les principaux puits naturels de carbone, assimilé via le plancton, les coraux et les poissons, puis transformé en roche sédimentaire ou biogénique. Ils absorberaient environ 50 % du carbone émis dans l'air (sous forme de carbone dissous ou minéral). Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Puits_de_carbone

Éprouvette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50257a52-eprouvette
Éprouvette graduée. Source : http://data.abuledu.org/URI/5043b728-eprouvette-graduee

Éprouvette graduée

Photographie d'une éprouvette en verre graduée de 50 à 500.

Éprouvettes en laboratoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5043b94e-eprouvettes-en-laboratoire

Éprouvettes en laboratoire

Dessin d'une femme en blouse blanche de laboratoire manipulant un tube à essai et prenant des notes sur un carnet.

Extraction du soufre par distillation. Source : http://data.abuledu.org/URI/591ab133-extraction-du-soufre-par-distillation

Extraction du soufre par distillation

Extraction du soufre par distillation, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 93 : V) vases dans lesquels on place le minerai, B) vases de condensation, S) vase dans lequel s'écoule le soufre fondu par la tubulure.

Extraction du soufre par fusion. Source : http://data.abuledu.org/URI/591ab037-extraction-du-soufre-par-fusion

Extraction du soufre par fusion

Extraction du soufre par fusion, coupe de four, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 93.

Fabrication d'une feuille de papier. Source : http://data.abuledu.org/URI/591aafa9-fabrication-d-une-feuille-de-papier

Fabrication d'une feuille de papier

Fabrication d'une feuille de papier, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906.

Fabrication d'une feuille de papier en 1906. Source : http://data.abuledu.org/URI/53caa703-fabrication-d-une-feuille-de-papier-en-1906

Fabrication d'une feuille de papier en 1906

Fabrication du papier, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906, fig. 97. Dans un premier temps, on a utilisé un cadre de bois recouvert d’un tamis d’abord végétal et non fixé (c’est toujours le cas en Orient) puis métallique à partir de 1275 en Italie. Cet ensemble s’appelle une forme et sert à puiser la pâte dans une cuve où elle a été diluée en fonction du grammage du papier à fabriquer. Après égouttage, on peut transférer la feuille sur un feutre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Papier

Fabrication de Noir de fumée. Source : http://data.abuledu.org/URI/513af8ac-fabrication-de-noir-de-fumee

Fabrication de Noir de fumée

Fabrication industrielle du noir de fumée, image scannée dans : "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 39. « Dans l’industrie, on prépare le noir de fumée en brûlant des résines dans un espace restreint. La fumée épaisse qui se dégage passe dans une vaste chambre cylindrique tendue de toile, et dont le toit, de forme conique présente une ouverture pour la sortie des gaz dus à la combustion. Le noir de fumée se dépose sur les toiles et on le fait tomber au moyen d’un cône mobile engagé dans la toiture et dont le bord inférieur s’applique exactement contre la paroi de la chambre. »

Fabrication du noir de fumée. Source : http://data.abuledu.org/URI/591aae24-fabrication-du-noir-de-fumee

Fabrication du noir de fumée

Fabrication industrielle du noir de fumée, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 39.

Fabrication du noir de fumée en 1906. Source : http://data.abuledu.org/URI/53caa5cb-fabrication-du-noir-de-fumee-en-1906

Fabrication du noir de fumée en 1906

Fabrication du noir de fumée, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 39 : Dans l’industrie, on prépare le noir de fumée en brûlant des résines dans un espace restreint. La fumée épaisse qui se dégage passe dans une vaste chambre cylindrique tendue de toile, et dont le toit, de forme conique présente une ouverture pour la sortie des gaz dus à la combustion. Le noir de fumée se dépose sur les toiles et on le fait tomber au moyen d’un cône mobile engagé dans la toiture et dont le bord inférieur s’applique exactement contre la paroi de la chambre. (p.38-40)

Filtre à eau pasteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/591aace1-filtre-a-eau-pasteur

Filtre à eau pasteur

Filtre à eau Pasteur, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906, page 13 : A) bougie, B) écoulement de l'eau filtrée, C) garniture métallique que l'on dévisse pour nettoyer la bougie, D) vase adapté au robinet E, F) eau à filtrer.

Flacon à demi-plein. Source : http://data.abuledu.org/URI/5049f3b7-flacon-a-demi-plein

Flacon à demi-plein

Image de flacon à demi-plein, icone de la chimie.

Flacon de laboratoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5049ed65-flacon-de-laboratoire

Flacon de laboratoire

Dessin de flacon de laboratoire plein.

Formes d'une goutte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cda85c-formes-d-une-goutte

Formes d'une goutte

Illustration de la longueur capillaire d'une goutte posée sur un liquide, sphérique ou aplatie selon sa taille, comparée à sa longueur capillaire. Il existe une très grande diversité de forme de goutte (sphérique, en larme, etc.). Ce sont les forces en présence (poids, tension de surface, inertie pour une goutte en mouvement) qui en déterminent la forme. Une goutte statique sur un solide peut être décrite de la même manière qu’une goutte dans l’air. Ainsi, si elle est suffisamment petite, la seule force qui détermine sa forme est la tension de surface. Par contre, l’angle de contact avec lequel la goutte repose sur le solide dépend des conditions de mouillage. Cet angle de contact et les conditions de mouillage sont décrits thermodynamiquement par le modèle de Young qui met en relation les tensions de surface et l'angle de contact à l’équilibre ( heta_mathrm{C}) du système goutte-substrat. L’angle de contact à l'équilibre en soi est physiquement difficile à mesurer. Une façon d'acquérir l'angle de contact à l'équilibre, est à travers sa relation (son lien) avec les angles de contact avançant ( heta_mathrm{A}) et reculant ( heta_mathrm{R}) qui quant à eux peuvent être mesurés facilement. Au final, la goutte aura donc une forme de calotte sphérique.

Fragements purs (99,9 %) de cobalt. Source : http://data.abuledu.org/URI/50788c4b-fragements-purs-99-9-de-cobalt

Fragements purs (99,9 %) de cobalt

Le cobalt est un élément chimique, de symbole Co, de numéro atomique 27 et de masse atomique 59. Il est utilisé en métallurgie (33 %) pour les superalliages (22 %) et les alliages durs (11 %). Une part importante (22 %) est utilisée dans la fabrication d'accumulateurs, secteur en pleine évolution et une autre (7 %) dans la fabrication d'aimants. Le cobalt est également utilisé dans des secteurs non-métallurgiques comme la catalyse (11 %), les pigments (9 %), les pneus, les colles, les savons... La production mondiale de cobalt en 2006 était de 55 000 tonnes8. La chimie du cobalt en solution aqueuse et la formation de complexes est particulièrement riche.

Fragments de manganèse pur à 99,99 %,. Source : http://data.abuledu.org/URI/50788e83-fragments-de-manganese-pur-a-99-99-

Fragments de manganèse pur à 99,99 %,

Le manganèse est un élément chimique, de symbole Mn et de numéro atomique 25. Le nom dérive de Magnesia, une partie de la province grecque de Thessalie, dont dérive également le mot grec pour aimant, magnes. Le mot manganèse est l'abréviation de manganesium, l'ancien nom pour l'élément. Ce nom découle des propriétés magnétiques de la pyrolusite, un minéral qui était déjà connu dans l'Antiquité.

Laboratoire de parfum. Source : http://data.abuledu.org/URI/502931ed-laboratoire-de-parfum

Laboratoire de parfum

Photo du laboratoire de parfum de l'usine Fragonard à Èze, France.

Le Jardin du roi en 1636. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e5d5-le-jardin-du-roi-en-1636

Le Jardin du roi en 1636

"Vue cavalière du Jardin du Roi", aquarelle de Frédéric Scalberge (1542-1640) : Source : Bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle. Publiée en frontispice de la "Description du Jardin royal des Plantes médicinales" par Guy de La Brosse, médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin des Plantes. Créé en 1635, le Jardin du roi présente dès le début le dessin général de l'actuel jardin. Il sera à la Révolution rebaptisé Jardin des plantes de Paris. C’est l’un des plus anciens organismes scientifiques officiels français puisqu’il a ouvert un siècle après le Collège royal (1530) mais avant l’Académie des sciences (1666) et l’Observatoire de Paris (1672). C’est dès 1633 que Guy de la Brosse (1586-1641), par son insistance auprès de Louis XIII dont il est le médecin, et grâce au soutien de Jean Héroard (1550-1628), et de Richelieu (1585-1642), obtient la création d’un jardin botanique à vocation médicale à Paris. Le roi acquiert un terrain dans ce que l'on appelle alors le faubourg St-Victor et de la Brosse commence les premiers travaux et ensemencements. Mais l’Édit qui l’instaure n’est publié qu’en 1635 et le jardin n’est officiellement inauguré qu’en 1640 sous le nom de Jardin royal des plantes médicinales. Le projet suscite de nombreuses oppositions notamment de la part de la faculté de médecine de l’Université de Paris qui y voit un concurrent à son propre enseignement, d’autant que les cours sont ouverts à tous et donnés non en latin, mais en français. Ce n’est pas la seule nouveauté : certains sujets, comme la circulation du sang, y sont enseignés alors qu’ils sont encore critiqués par la faculté. Des enseignants viennent de l’Université de Montpellier, grande rivale de l’Université de Paris. Pour apaiser un peu les tensions, Louis XIII décide d’autoriser l’enseignement mais ne permet pas au Jardin d’y dispenser de diplômes, et le Jardin ne comptera, à la Révolution, que trois postes de professeurs : botanique, anatomie et chimie.

Les états de la matière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a29977-les-etats-de-la-matiere

Les états de la matière

Graphique des relation des états de la matière légendé en français : enthalpie d'un système. Les quatre états : plasma, gaz, liquide, solide. Les transformations : solidification / fusion ; sublimation / condensation ; ionisation / désionisation ; liquéfaction / vaporisation.

Lithographie. Source : http://data.abuledu.org/URI/511cc32c-lithographie

Lithographie

Exemple de lithographie d'une ancienne carte de Munich : la pierre en négatif et le papier en positif. Inventée par Aloys Senefelder (1771-1834) en 1796 en Allemagne, la lithographie (du grec lithos, « pierre » et graphein, « écrire ») est une technique d’impression à plat qui permet la création et la reproduction à de multiples exemplaires d’un tracé exécuté à l’encre ou au crayon sur une pierre calcaire. Après avoir essayé de devenir acteur, il s’essaya à l’écriture dramatique avec un certain succès. Des déboires avec plusieurs éditeurs le persuadèrent d'imprimer lui-même ses textes, mais il ne disposait pas des fonds nécessaires à l'achat d'une presse, de caractères et de papier. Senefelder chercha un procédé moins coûteux qui lui permettrait d'imprimer ses œuvres sans avoir recours aux techniques traditionnelles de l'imprimerie. Il expérimenta différents procédés, découvrant ainsi la stéréographie. Après une longue période d'essais et d'erreurs, il eut l'idée d'utiliser la pierre qui lui servait à préparer ses couleurs au lieu des plaques de cuivre et de zinc qui ne lui avaient donné que des résultats médiocres. Cependant le procédé qui consiste à remplacer la plaque de métal par une plaque de pierre n'avait en soi rien de nouveau puisque Senefelder reconnaît avoir vu des plaques d'ardoises dans la boutique d'un imprimeur. La véritable découverte de Senefelder relève de la chimie. Ayant un jour, faute d'encre et de papier, utilisé une pierre pour y écrire une liste en se servant du mélange de cire, de suif, de noir de fumée et d'eau dont il se servait pour ses plaques de métal, il eut l'idée de plonger la pierre dans un bain fait d'une mesure d'eau-forte pour dix mesures d'eau. Au bout de cinq minutes, les parties écrites étaient restées intactes et faisaient maintenant saillie de l'épaisseur d'une carte à jouer. Les ayant encrées de façon satisfaisante au bout d'un certain nombre d'essais et d'erreurs, il réalisa un tirage dont la qualité le persuada de continuer à développer ce procédé.

Lutécium sublimé et sous une modification dendritique pur à 99,995 %. Source : http://data.abuledu.org/URI/50788ec0-lutecium-sublime-et-sous-une-modification-dendritique-pur-a-99-995-

Lutécium sublimé et sous une modification dendritique pur à 99,995 %

Le lutécium (ou lutétium5) est un élément chimique du tableau périodique de symbole Lu et de numéro atomique 71. Le lutécium est une terre rare de la série des lanthanides. Son nom lui a été attribué par l'auteur de sa découverte en l'honneur de la ville de Paris, Lutèce pour les Gaulois.

Maquette de laboratoire de chimie. Source : http://data.abuledu.org/URI/591b79e4-maquette-de-laboratoire-de-chimie

Maquette de laboratoire de chimie

Maquette de laboratoire de chimie, Liebigmuseum.

Maquette de laboratoire de chimie. Source : http://data.abuledu.org/URI/591b7a3f-maquette-de-laboratoire-de-chimie

Maquette de laboratoire de chimie

Maquette de laboratoire de chimie, Liebigmuseum.

Marie Curie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f013ac-marie-curie

Marie Curie

Marie Curie, est une physicienne et chimiste française d'origine polonaise. Pierre Curie — son époux — et Marie Curie reçoivent une moitié du prix Nobel de physique de 1903 (l'autre moitié est remise à Henri Becquerel) pour leurs recherches sur les radiations. En 1911, elle obtient le prix Nobel de chimie pour ses travaux sur le polonium et le radium.