Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Lewis Carroll (1832-1898) | Gravure | Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898) | Dix-neuvième siècle | Littérature pour la jeunesse | Fillettes | Comptines anglaises | Alice (prénom) | Canards | Grenouilles | Perroquets | Lapin | Lézards | Alice’s adventures in Wonderland | souris | Cartes à jouer | Comptines | Pères et fils | Chapeliers | Littérature de jeunesse | ...
Alice au pays des merveilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/511bfdb3-alice-au-pays-des-merveilles

Alice au pays des merveilles

Projet de frontispice d'Alice au Pays des Merveilles entourée de tous ses personnages, de Lewis Carroll (1832-1898), par Jessie Willcox Smith (1863–1935).

Alice dans une mare de larmes salées. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf865d-alice-dans-une-mare-de-larmes-salees

Alice dans une mare de larmes salées

Alice nage dans une mare de larmes salées, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Mais elle comprit bientôt qu’elle était dans une mare formée des larmes qu’elle avait pleurées, quand elle avait neuf pieds de haut. « Je voudrais bien n’avoir pas tant pleuré, » dit Alice tout en nageant de côté et d’autre pour tâcher de sortir de là. « Je vais en être punie sans doute, en me noyant dans mes propres larmes. C’est cela qui sera drôle ! Du reste, tout est drôle aujourd’hui. »

Alice en colère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf0dc2-alice-en-colere

Alice en colère

Alice en colère, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Je ne me tairai pas, » dit Alice. « Qu’on lui coupe la tête ! » hurla la Reine de toutes ses forces. Personne ne bougea. « On se moque bien de vous, » dit Alice (elle avait alors atteint toute sa grandeur naturelle). « Vous n’êtes qu’un paquet de cartes ! » Là-dessus tout le paquet sauta en l’air et retomba en tourbillonnant sur elle...

Alice et Humpty Dumpty. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ee3d30-alice-et-humpty-dumpty

Alice et Humpty Dumpty

Illustration d'Alice et Humpty Dumpty : "And he grinned almost from ear to ear", par Peter Newell, "Through the Looking-Glass and What Alice Found There", chapitre "Humpty Dumpty", 1902, page 110.

Alice et Humpty Dumpty - 02. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ee3e12-alice-et-humpty-dumpty-02

Alice et Humpty Dumpty - 02

Alice et Humpty Dumpty : "I said it very loud and clear; I went and shouted in his ear", illustration par Peter Newell, "Through the Looking-Glass and What Alice Found There", chapitre "Humpty Dumpty", page 124.

Alice et la chenille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfdced-alice-et-la-chenille

Alice et la chenille

Alice et la chenille sur un champignon, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Près d’elle poussait un large champignon, à peu près haut comme elle. Lorsqu’elle l’eut examiné par-dessous, d’un côté et de l’autre, par-devant et par-derrière, l’idée lui vint qu’elle ferait bien de regarder ce qu’il y avait dessus. Elle se dressa sur la pointe des pieds, et, glissant les yeux par-dessus le bord du champignon, ses regards rencontrèrent ceux d’une grosse chenille bleue assise au sommet, les bras croisés, fumant tranquillement une longue pipe turque sans faire la moindre attention à elle ni à quoi que ce fût.

Alice et la petite clef. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf7e7f-alice-et-la-petite-clef

Alice et la petite clef

Alice et la petite clef, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout à coup elle rencontra sur son passage une petite table à trois pieds, en verre massif, et rien dessus qu’une toute petite clef d’or. Alice pensa aussitôt que ce pouvait être celle d’une des portes ; mais hélas ! soit que les serrures fussent trop grandes, soit que la clef fût trop petite, elle ne put toujours en ouvrir aucune. Cependant, ayant fait un second tour, elle aperçut un rideau placé très-bas et qu’elle n’avait pas vu d’abord ; par derrière se trouvait encore une petite porte à peu près quinze pouces de haut...

Alice et la souris nagent dans la mare. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf87f6-alice-et-la-souris-nagent-dans-la-mare

Alice et la souris nagent dans la mare

Alice et la souris nagent dans la mare, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Oh ! si vous la voyiez, je suis sûre que vous prendriez de l’affection pour les chats. Dinah est si douce et si gentille. » Tout en nageant nonchalamment dans la mare et parlant moitié à part soi, moitié à la Souris, Alice continua : « Elle se tient si gentiment auprès du feu à faire son rouet, à se lécher les pattes, et à se débarbouiller ; son poil est si doux à caresser ; et comme elle attrape bien les souris ! — Oh ! pardon ! » dit encore Alice, car cette fois le poil de la Souris s’était tout hérissé, et on voyait bien qu’elle était fâchée tout de bon. « Nous n’en parlerons plus si cela vous fait de la peine. »

Alice et le breuvage interdit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf806a-alice-et-le-breuvage-interdit

Alice et le breuvage interdit

Alice et le breuvage interdit, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Cette fois elle trouva sur la table une petite bouteille (qui certes n’était pas là tout à l’heure). Au cou de cette petite bouteille était attachée une étiquette en papier, avec ces mots « BUVEZ-MOI » ("DRINK ME") admirablement imprimés en grosses lettres. C’est bien facile à dire « Buvez-moi, » mais Alice était trop fine pour obéir à l’aveuglette. « Examinons d’abord, » dit-elle, « et voyons s’il y a écrit dessus « Poison » ou non. »

Alice et le chiot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfdbb0-alice-et-le-chiot

Alice et le chiot

Alice tend un bâton au chiot en se cachant derrière un chardon, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Sans trop savoir ce qu’elle faisait, elle ramassa une petite baguette et la présenta au petit chien qui bondit des quatre pattes à la fois, aboyant de joie, et se jeta sur le bâton comme pour jouer avec. Alice passa de l’autre côté d’un gros chardon pour n’être pas foulée aux pieds.

Alice et le croquet de la reine. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b6bf3b-alice-et-le-croquet-de-la-reine

Alice et le croquet de la reine

Alice au pays des merveilles, chapitre VIII, de Lewis Carroll, par John Tenniel. Début de la dispute entre les trois cartes : "Fais donc attention, Cinq, et ne m’éclabousse pas ainsi avec ta peinture." "Ce n’est pas de ma faute," dit Cinq d’un ton bourru, "c’est Sept qui m’a poussé le coude." Là-dessus Sept leva les yeux et dit : "C’est cela, Cinq ! Jetez toujours le blâme sur les autres !" Source : http://fr.wikisource.org/wiki/Alice_au_pays_des_merveilles

Alice et les animaux trempés. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8a67-alice-et-les-animaux-trempes

Alice et les animaux trempés

Alice et les animaux trempés par ses larmes, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Enfin la Souris, qui paraissait avoir un certain ascendant sur les autres, leur cria : « Asseyez-vous tous, et écoutez-moi ! Je vais bientôt vous faire sécher, je vous en réponds ! » Vite, tout le monde s’assit en rond autour de la Souris, sur qui Alice tenait les yeux fixés avec inquiétude, car elle se disait : « Je vais attraper un vilain rhume si je ne sèche pas bientôt. »

Alice fait peur au lapin blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf84fa-alice-fait-peur-au-lapin-blanc

Alice fait peur au lapin blanc

Alice fait peur au lapin blanc, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice se trouvait si malheureuse, qu’elle était disposée à demander secours au premier venu ; ainsi, quand le Lapin fut près d’elle, elle lui dit d’une voix humble et timide, « Je vous en prie, Monsieur, » Le Lapin tressaillit d’épouvante, laissa tomber les gants et l’éventail, se mit à courir à toutes jambes et disparut dans les ténèbres.

Alice fait tomber le lapin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8f07-alice-fait-tomber-le-lapin

Alice fait tomber le lapin

Alice fait tomber le lapin blanc, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Elle attendit un peu ; puis, quand elle crut que le Lapin était sous la fenêtre, elle étendit le bras tout à coup pour le saisir ; elle ne prit que du vent. Mais elle entendit un petit cri, puis le bruit d’une chute et de vitres cassées (ce qui lui fit penser que le Lapin était tombé sur les châssis de quelque serre à concombre)...

Alice grandit comme un télescope. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf81c0-alice-grandit-comme-un-telescope

Alice grandit comme un télescope

Alice grandit démeusurément, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « De plus très-curieux en plus très-curieux ! » s’écria Alice (sa surprise était si grande qu’elle ne pouvait s’exprimer correctement) : « Voilà que je m’allonge comme le plus grand télescope qui fût jamais ! Adieu mes pieds ! » (Elle venait de baisser les yeux, et ses pieds lui semblaient s’éloigner à perte de vue.)

Alice grandit encore. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8d70-alice-grandit-encore

Alice grandit encore

Alice grandit encore, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout en causant ainsi, Alice était entrée dans une petite chambre bien rangée, et, comme elle s’y attendait, sur une petite table dans l’embrasure de la fenêtre, elle vit un éventail et deux ou trois paires de gants de chevreau tout petits. Elle en prit une paire, ainsi que l’éventail, et allait quitter la chambre lorsqu’elle aperçut, près du miroir, une petite bouteille. Cette fois il n’y avait pas l’inscription BUVEZ-MOI — ce qui n’empêcha pas Alice de la déboucher et de la porter à ses lèvres. « Il m’arrive toujours quelque chose d’intéressant, » se dit-elle, « lorsque je mange ou que je bois. Je vais voir un peu l’effet de cette bouteille. J’espère bien qu’elle me fera regrandir, car je suis vraiment fatiguée de n’être qu’une petite nabote ! » C’est ce qui arriva en effet, et bien plus tôt qu’elle ne s’y attendait. Elle n’avait pas bu la moitié de la bouteille, que sa tête touchait au plafond et qu’elle fut forcée de se baisser pour ne pas se casser le cou. Elle remit bien vite la bouteille sur la table en se disant : « En voilà assez ; j’espère ne pas grandir davantage. Je ne puis déjà plus passer par la porte. Oh ! je voudrais bien n’avoir pas tant bu ! » Hélas ! il était trop tard ; elle grandissait, grandissait, et eut bientôt à se mettre à genoux sur le plancher. Mais un instant après, il n’y avait même plus assez de place pour rester dans cette position, et elle essaya de se tenir étendue par terre, un coude contre la porte et l’autre bras passé autour de sa tête. Cependant, comme elle grandissait toujours, elle fut obligée, comme dernière ressource, de laisser pendre un de ses bras par la fenêtre et d’enfoncer un pied dans la cheminée en disant : « À présent c’est tout ce que je peux faire, quoi qu’il arrive. Que vais-je devenir ? »

Alice renverse le banc des jurés. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf1089-alice-renverse-le-banc-des-jures

Alice renverse le banc des jurés

Alice renverse le banc des jurés, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Voilà ! » cria Alice, oubliant tout à fait dans le trouble du moment combien elle avait grandi depuis quelques instants, et elle se leva si brusquement qu’elle accrocha le banc des jurés avec le bord de sa robe, et le renversa, avec tous ses occupants, sur la tête de la foule qui se trouvait au-dessous, et on les vit se débattant de tous côtés, comme les poissons rouges du vase qu’elle se rappelait avoir renversé par accident la semaine précédente.

Alice sort un dé de sa poche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8bfb-alice-sort-un-de-de-sa-poche

Alice sort un dé de sa poche

Alice sort un dé de sa poche, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Mais il faut aussi qu’elle ait un prix, elle, » dit la Souris. « Comme de raison, » reprit le Dodo gravement. « Avez-vous encore quelque chose dans votre poche ? » continua-t-il en se tournant vers Alice. « Un dé ; pas autre chose, » dit Alice d’un ton chagrin. « Faites passer, » dit le Dodo. Tous se groupèrent de nouveau autour d’Alice, tandis que le Dodo lui présentait solennellement le dé en disant : « Nous vous prions d’accepter ce superbe dé. » Lorsqu’il eut fini ce petit discours, tout le monde cria « Hourra ! » Alice trouvait tout cela bien ridicule, mais les autres avaient l’air si grave, qu’elle n’osait pas rire ; aucune réponse ne lui venant à l’esprit, elle se contenta de faire la révérence, et prit le dé de son air le plus sérieux.

Humpty Dumpty d'Alice au pays des merveilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ee35a4-humpty-dumpty-d-alice-au-pays-des-merveilles

Humpty Dumpty d'Alice au pays des merveilles

Humpty Dumpty d'Alice au pays des merveilles, Library Walk à New York City, USA : "When I use a word," Humpty Dumpty said, in rather a scornful tone, "it means just what I choose it to mean—neither more nor less." "The question is," said Alice, "whether you can make words mean so many different things." "The question is," said Humpty Dumpty, "which is to be master—that's all."

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe81e-l-invitation-pour-mme-la-duchesse-d-alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice resta une ou deux minutes à regarder à la porte ; elle se demandait ce qu’il fallait faire, quand tout à coup un laquais en livrée sortit du bois en courant. (Elle le prit pour un laquais à cause de sa livrée ; sans cela, à n’en juger que par la figure, elle l’aurait pris pour un poisson.) Il frappa fortement avec son doigt à la porte. Elle fut ouverte par un autre laquais en livrée qui avait la face toute ronde et de gros yeux comme une grenouille. Alice remarqua que les deux laquais avaient les cheveux poudrés et tout frisés. Elle se sentit piquée de curiosité, et, voulant savoir ce que tout cela signifiait, elle se glissa un peu en dehors du bois afin d’écouter. Alice par John Tenniel 20.png Le Laquais-Poisson prit de dessous son bras une lettre énorme, presque aussi grande que lui, et la présenta au Laquais-Grenouille en disant d’un ton solennel : « Pour Madame la Duchesse, une invitation de la Reine à une partie de croquet. » Le Laquais-Grenouille répéta sur le même ton solennel, en changeant un peu l’ordre des mots : « De la part de la Reine une invitation pour Madame la Duchesse à une partie de croquet ; » puis tous deux se firent un profond salut et les boucles de leurs chevelures s’entremêlèrent.

La comptine du père Guillaume-2, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe127-la-comptine-du-pere-guillaume-2-par-alice

La comptine du père Guillaume-2, par Alice

La comptine du père Guillaume-2, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : "— Vous êtes vieux, je vous l’ai dit, Mais comment donc par cette porte, Vous, dont la taille est comme un muid ! Cabriolez-vous de la sorte ? — Étant jeune, mon cher enfant, J’avais chaque jointure bonne ; Je me frottais de cet onguent ; Si vous payez je vous en donne."

La comptine du père Guillaume-3, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe33c-la-comptine-du-pere-guillaume-3-par-alice

La comptine du père Guillaume-3, par Alice

La comptine du père Guillaume-3, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : "— Vous êtes vieux, et vous mangez Les os comme de la bouillie ; Et jamais rien ne me laissez. Comment faites-vous, je vous prie ? — Étant jeune, je disputais Tous les jours avec votre mère ; C’est ainsi que je me suis fait Un si puissant os maxillaire."

La comptine du père Guillaume-4, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe4bb-la-comptine-du-pere-guillaume-4-par-alice

La comptine du père Guillaume-4, par Alice

La comptine du père Guillaume-4, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : "— Vous êtes vieux, par quelle adresse Tenez-vous debout sur le nez Une anguille qui se redresse Droit comme un I quand vous sifflez ? — Cette question est trop sotte ! Cessez de babiller ainsi, Ou je vais, du bout de ma botte, Vous envoyer bien loin d’ici. »

La cuisine de la duchesse, par Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe99b-la-cuisine-de-la-duchesse-par-alice

La cuisine de la duchesse, par Alice

La cuisine de la duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : La porte donnait sur une grande cuisine qui était pleine de fumée d’un bout à l’autre. La Duchesse était assise sur un tabouret à trois pieds, au milieu de la cuisine, et dorlotait un bébé ; la cuisinière, penchée sur le feu, brassait quelque chose dans un grand chaudron qui paraissait rempli de soupe. « Bien sûr, il y a trop de poivre dans la soupe, » se dit Alice, tout empêchée par les éternuements.

Le chapelier d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ceff72-le-chapelier-d-alice

Le chapelier d'Alice

Le chapelier d'Alice, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Pendant tout ce temps-là, la Reine n’avait pas cessé de fixer les yeux sur le Chapelier, et, comme le Loir traversait la salle, elle dit à un des officiers du tribunal : « Apportez-moi la liste des chanteurs du dernier concert. » Sur quoi le malheureux Chapelier se mit à trembler si fortement qu’il en perdit ses deux souliers...

Le chapelier d'Alice prend la fuite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf02b5-le-chapelier-d-alice-prend-la-fuite

Le chapelier d'Alice prend la fuite

Le chapelier d'Alice prend la fuite, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « J’aimerais bien aller finir de prendre mon thé, » dit le Chapelier, en lançant un regard inquiet sur la Reine, qui lisait la liste des chanteurs. « Vous pouvez vous retirer, » dit le Roi ; et le Chapelier se hâta de quitter la cour, sans même prendre le temps de mettre ses souliers. « Et coupez-lui la tête dehors, » ajouta la Reine, s’adressant à un des huissiers ; mais le Chapelier était déjà bien loin avant que l’huissier arrivât à la porte.

Le homard d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/517fdbef-le-homard-d-alice

Le homard d'Alice

Illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820-1914), du roman de Lewis Carroll (1832-1898), Alice au pays des merveilles.

Le lapin d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/54068351-le-lapin-d-alice

Le lapin d'Alice

Le lapin d'Alice au Pays des Merveilles.

Le lézard d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfda5d-le-lezard-d-alice

Le lézard d'Alice

Le lézard projeté hors de la cheminée par le coup de pied d'Alice enfermée, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Elle retira son pied aussi bas que possible, et ne bougea plus jusqu’à ce qu’elle entendît le bruit d’un petit animal (elle ne pouvait deviner de quelle espèce) qui grattait et cherchait à descendre dans la cheminée, juste au-dessus d’elle ; alors se disant : « Voilà Jacques sans doute, » elle lança un bon coup de pied, et attendit pour voir ce qui allait arriver. La première chose qu’elle entendit fut un cri général de : « Tiens, voilà Jacques en l’air ! » Puis la voix du Lapin, qui criait : « Attrapez-le, vous là-bas, près de la haie ! » Puis un long silence ; ensuite un mélange confus de voix : « Soutenez-lui la tête. — De l’eau-de-vie maintenant. — Ne le faites pas engouer. — Qu’est-ce donc, vieux camarade ? — Que t’est-il arrivé ? Raconte-nous ça ! » Enfin une petite voix faible et flûtée se fit entendre. (« C’est la voix de Jacques, » pensa Alice.) « Je n’en sais vraiment rien. Merci, c’est assez ; je me sens mieux maintenant ; mais je suis encore trop bouleversé pour vous conter la chose. Tout ce que je sais, c’est que j’ai été poussé comme par un ressort, et que je suis parti en l’air comme une fusée. »

Le roi et la reine inspectent les tartes d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf7cd8-le-roi-et-la-reine-inspectent-les-tartes-d-alice

Le roi et la reine inspectent les tartes d'Alice

Le roi et la reine inspectent les tartes d'Alice, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles. Parodie de tribunal anglais.

Statue d'Alice au Pays des Merveilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d6b38-statue-d-alice-au-pays-des-merveilles

Statue d'Alice au Pays des Merveilles

Alice assise sur un champignon avec le lapin et le chapelier, 1959, sculpture de Jose de Creeft (1884-1986), dans Central Park, NYC. (Margaret Delacorte Memorial).