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Plantes | Peinture | Photographie | Botanique | Plantes médicinales | Botanique -- Nomenclature | Lierres | Gravure | Dessins et plans | Jardins | Araliacées | Fumaria officinalis | Fumeterre officinale | Gentianacées | Grande gentiane | Lamiacées | Jaune | Bleu | Globulaires | Globulariacées | ...
Fruits de vinettier. Source : http://data.abuledu.org/URI/505774a1-fruits-de-vinettier

Fruits de vinettier

Photographie d'une branche de vinettier avec une grappe de fruits (Berberis vulgaris) prise au jardin botanique KIT, Karlsruhe, en Allemagne. L'écorce est utilisée en homéopathie.

Fruits du lierre grimpant. Source : http://data.abuledu.org/URI/505044be-fruits-du-lierre-grimpant

Fruits du lierre grimpant

Photographie de fruits du lierre grimpant (Hedera helix, Araliacées).

Fruits du noisetier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50649fa3-fruits-du-noisetier

Fruits du noisetier

Fruits verts de noisetier (Corylus avellana). Corylus signifie « casque » en latin en référence à la forme de ses cupules (bractées) membraneuses et frangées qui entourent la noisette.

Fumeterre officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505df323-fumeterre-officinale

Fumeterre officinale

Planche botanique de la fumeterre officinale (Fumaria officinalis), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle fleurit depuis le mois d'avril jusqu'au milieu de l'été et pousse dans les champs, les terrains vagues, les décombres et sur les bords des chemins. Selon Olivier de Serres, son nom, qui signifie fumée de terre, serait dû au fait que le jus de la plante fait pleurer les yeux, comme la fumée. Elle a des vertus dépuratives sur les reins, la vésicule biliaire et le foie.

Fumeterre officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505df3d1-fumeterre-officinale

Fumeterre officinale

Photographie d'une fumeterre officinale (Fumaria officinalis, Papaveraceae) dans son milieu.

Garance. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050d061-garance

Garance

Planche botanique de la garance des teinturiers (Rubia tinctorum), Atlas des Plantes de France, 1891, qui fut largement cultivée pour la teinture rouge extraite de ses racines : les racines et les tiges souterraines contiennent de l'alizarine, qui a la propriété de donner aux tissus une belle couleur rouge. Les uniformes de l'armée française l'employaient abondamment avant la première guerre mondiale. En 1829, Charles X avait imposé au troupier français le pantalon et képi rouge garance afin de favoriser la culture française de la garance et d'avoir une couleur moins salissante (mais voyante) que le blanc. La garance a longtemps été utilisée en peinture en tant que pigment, pour la confection de la laque de garance, un rouge rosé transparent très prisé à l'huile comme à l'aquarelle.

Gargouillou de légumes. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb842-gargouillou-de-legumes

Gargouillou de légumes

Photographie de "Gargouillou de légumes". Il s'agit d'une salade réalisée avec des légumes cuits et agrémentés d'herbes et de fleurs sauvages. Recette originale de Michel Bras réalisée ici par Éric Sapet, La Petite Maison - Cucuron en Luberon (France)

Gentiane jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb018-gentiane-jaune

Gentiane jaune

Planche botanique de la Gentiane jaune ou grande gentiane (Gentiana lutea), Atlas des Plantes de France, 1891. Noms locaux : gentiane officinale, jouvansanne, quinquina d'Europe, quinquina des pauvres, lève-toi-et-marche, jansonna et quinquina indigène. Le rhizome et les racines sont utilisés en phytothérapie comme le laissent supposer ses nombreux noms vernaculaires. Il faut attendre sept à dix ans avant de pouvoir les récolter. La récolte est réalisée essentiellement dans le Massif Central par les Gençanaïres. À l'aide d'une fourche spéciale appelée « fourche du diable », ils peuvent extraire plus de 200 kg de racines par jour. C'est un travail pénible qui s'effectue de mai à octobre. Ce sont près de 1 000 à 1 500 tonnes qui sont utilisées chaque année pour satisfaire les besoins de l'artisanat et l'industrie. En volume, la gentiane est une des trois premières plantes médicinales et aromatiques utilisées en France et ses applications sont nombreuses (pharmacie et médecine humaine et vétérinaire, boissons et spiritueux, cosmétique, fabrication d'arômes et d'extraits, gastronomie…).

Gentiane jaune en montagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb0ff-gentiane-jaune-en-montagne

Gentiane jaune en montagne

Photographie de gentiane jaune (Gentiana lutea) dans les Monts du Cantal ; à l'arrière-plan, le Puy Mary.

Germandrée en grappe. Source : http://data.abuledu.org/URI/507040b5-germandree-en-grappe

Germandrée en grappe

Planche botanique N°269 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Germandrée en grappe (Teucrium botrys). Elle affectionne les pelouses arides, rocailleuses, les friches, les cultures; c'est une espèce thermophile, généralement calciphile ; fleurit en été.

Giroflée des murailles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50970cbc-giroflee-des-murailles

Giroflée des murailles

Planche N°30 de l'Atlas des Plantes de France : Giroflée des murailles (Cheiranthus cheiri). Plante de la famille des Brassicacées assez commune en France, qui pousse sur les murs et dans les rocailles. Elle doit son nom de giroflée au fait que ses fleurs ont une odeur ressemblant à celle du clou de girofle. La giroflée fleurit très tôt au printemps, ce qui attire les abeilles et facilite ainsi la pollinisation des arbres fruitiers comme le pommier.

Globulaire commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070132c-globulaire-commune

Globulaire commune

Planche botanique N°273 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Globulaire commune (Globularia vulgaris). Appelée aussi globulaire piquante, c'est une plante vivace rencontrée surtout dans le sud de l'Europe et sur sol basique, souvent en moyenne montagne, dans les prés secs et les lieux caillouteux. Floraison d'avril à juin : fleurs fleues.

Globulaire commune en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/507015df-globulaire-commune-en-fleurs

Globulaire commune en fleurs

Globulaire commune en fleurs (Globularia vulgaris) nommée "Senet de pobre" en catalan : photographie prise dans le massif de Castelltallat en Catalogne.

Goodyère rampante. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063fb09-goodyere-rampante

Goodyère rampante

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La Goodyère rampante, (Goodyera repens) ou Goodyéra rampante est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae. Elle se caractérise notamment, chose très rare chez les orchidées, par un réseau de nervures non parallèles sur ses feuilles, et une forte pilosité. Fleurs blanches disposées en épi partiellement spiralé, orienté unilatéralement. Ses fleurs à odeur désagréable ont les sépales latéraux étalés et un labelle triangulaire sans éperon.

Graines de jusquiame noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/505df0f7-graines-de-jusquiame-noire

Graines de jusquiame noire

Photographie de graines de Jusquiame, "Henbane" ou "Stinking Nightshade" en anglais, (Hyoscyamus niger) dans la Forteresse de Suomenlinna (Sveaborg en suédois) près d'Helsinki, en Finlande.

Graines de lys maritime. Source : http://data.abuledu.org/URI/518a474f-graines-de-lys-maritime

Graines de lys maritime

Graines de lys maritime (Pancratium maritimum, Sea Daffodil en anglais, Narciso-das-areias en portugais) à Sintra, Portugal.

Graines de pois rouge réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/522ce31b-graines-de-pois-rouge-reunionnais

Graines de pois rouge réunionnais

Graines de pois rouge (abrus precatorius). À La Réunion, les graines sont aussi utilisées dans le kayamb ou "caïambe", instrument de musique rectangulaire fait de bambou creux, qu'on remue des mains pour avoir la "grainée" sonore de la danse maloya.

Grande aulnée. Source : http://data.abuledu.org/URI/5057863d-grande-aulnee

Grande aulnée

Photographie de fleur de grande aulnée (Inula Helenium).

Gueule-de-loup. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e034a-gueule-de-loup

Gueule-de-loup

Planche botanique de Gueule-de-loup, ou Gueule-de-lion, Muflier à grandes fleurs (Anthirrhinum majus). Sa forme singulière est à l'origine du nom Gueule-de-loup de la plante puisque, lorsque l'on pince les côtés de la fleur, celle-ci s'ouvre comme une gueule. Le Muflier atteint une hauteur de 15 à 150 cm. Il fleurit durant l'été et l'automne. Ses fleurs sont blanches, rouges, roses ou jaunes. Ses feuilles sont étroites et ont une longueur de 2 à 8 cm.

Gui à fruit blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050baf8-gui-a-fruit-blanc

Gui à fruit blanc

Planche botanique de gui (Viscum album), Atlas des Plantes de France, 1891 : plante traditionnelle, qui avec le houx, sert d'ornementation pour les fêtes de Noël et de fin d'année. Les francophones l'appellent aussi Bois de Sainte Croix ou Glu (sert de piège pour les oiseaux). Les Grecs associaient le gui à Hermès, grand messager de l'Olympe. En Europe du Nord, il est d'usage de s'embrasser sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie au moment des fêtes de Noël et du jour de l'an (à minuit précisément) : « Au gui l'an neuf ».

Herniaire glabre. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e633f-herniaire-glabre

Herniaire glabre

Photographie d'Herniare glabre.

Houblon grimpant. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dfaeb-houblon-grimpant

Houblon grimpant

Planche botanique n°294 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Houblon grimpant (Humulus lupulus). Le houblon grimpant est une plante herbacée vivace grimpante de la famille des Cannabaceae. Elle est parfois appelée couleuvrée ou vigne du Nord. Humulus provient du nom slave khmel' (хмель) (utilisation du houblon pour la préparation des bières dans le Caucase). Les Romains, croyant que le houblon suçait la sève des arbres sur lesquels il grimpait, l'appelèrent lupulus (« petit loup »). Le houblon sauvage semble avoir eu autrefois une certaine importance pour les forestiers. Les archives conservent en effet des témoignages d'amendes données à des personnes ayant coupé du houblon en forêt sans « licence » (sans autorisation). Hildegarde de Bingen (1098-1179) découvrit les vertus aseptisantes et conservatrices du houblon (ainsi que son amertume). Il permettait ainsi à la bière de se conserver mieux et plus longtemps. Auparavant, un mélange d'herbes et d'épices était utilisé pour fabriquer ce que l'on appelait alors la cervoise.

Idéogramme chinois du chanvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dffa8-ideogramme-chinois-du-chanvre

Idéogramme chinois du chanvre

Idéogramme chinois antique Má (le chanvre) : il représente deux plantes dans un séchoir.

Immersion du chanvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dff0e-immersion-du-chanvre

Immersion du chanvre

Immersion du chanvre (Hanfeinlegen), huile de Théodore von Hörmann, peintre autrichien du XIXe siècle.

Inflorescence de l'ombelle composée. Source : http://data.abuledu.org/URI/532bdf8b-inflorescence-de-l-ombelle-composee

Inflorescence de l'ombelle composée

Inflorescence de l'ombelle composée, caractéristique de la famille des Apiacées (Apiaceae), appelées aussi Ombellifères (Umbelliferae, nom alternatif), famille de plantes dicotylédones

Insectes butinant des chatons de saule mersault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50981ea9-insectes-butinant-des-chatons-de-saule-mersault

Insectes butinant des chatons de saule mersault

Chatons mâles de Saule Mersault (Salix caprea) fréquentés par une abeille mellifère (à gauche, Apis mellifera) et une osmie cornue (à droite, Osmia cornuta) récoltant du nectar à la base des étamines. Jardin des Plantes, Paris

Intérieur de figue. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7eac-feige-schnitt-png

Intérieur de figue

Figue vue en coupe. Son nom français est emprunté à l'occitan "figa". Les fleurs et fruits du figuier sont d'un type très particulier. La figue est un faux-fruit. Avant d'être un fruit, la figue est une inflorescence en forme d'urne appelée sycone, sorte de petit sac charnu qui enferme une inflorescence constituée de centaines de minuscules fleurs unisexués qui en tapissent l'intérieur. Ces fleurs totalement emprisonnées ne peuvent être fécondées sans intervention extérieure. En France, Louis XIV était un grand amateur de figues. La Quintinie, son jardinier, planta donc plus de sept cents figuiers de diverses variétés dans le potager du roi au Château de Versailles pour satisfaire la passion du Roi Soleil. Figue fraîche, figue sèche, en ingrédient de plat cuisiné, en ingrédient de pâtisserie, en confiture. Elle était recommandée aux athlètes pour sa valeur énergétique. " Nourriture des athlètes par excellence " dit Platon. Ce dernier raffolait des figues à tel point qu'on lui donna le nom de philosicos, c'est-à-dire "amateur de figues"... La fécondation des fleurs des figuiers femelles donnera au mois d'août et septembre les figues fruits qui peuvent être dégustées. En fait, les vrais fruits sont les innombrables petits grains qui parsèment la chair de la figue, ce que les botanistes appellent les akènes.

Jardin à la française. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8c4b-jardin-a-la-francaise

Jardin à la française

Jardin à la française avec parterres délimités par du buis taillé, à la Commanderie des vieux joncs de Alden Biesen en Belgique.

Joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f288dd-joncs-

Joncs

Jonc diffus (Juncus effusus) poussant sur les bords des plans d'eau. La paille tressée issue de cette plante appelé Igusa au Japon, est utilisée notamment comme enveloppe de couverture dans la fabrication des tatamis ou de la semelle des sandales. traditionnelles, les zoris.

Joubarbe des toits. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e6958-joubarbe-des-toits

Joubarbe des toits

Planche botanique de joubarbe des toits (Sempervivum tectorum), Atlas des Plantes de France, 1891 : aussi appelée "barbe de Jupiter" c'est une plante succulente thermophile. Selon une ancienne croyance, la joubarbe plantée sur le toit des chaumières protège celle-ci contre la foudre, cet attribut spécifique au dieu Jupiter. (wikipedia)

Joubarbe des toits. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e6a02-joubarbe-des-toits

Joubarbe des toits

Photographie de joubarbe des toits (Sempervivum tectorum) sur un toit de tuiles.

Julienne des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7967-julienne-des-dames

Julienne des dames

Planche botanique N°29 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : La julienne des dames (Hesperis matronalis). C'est une plante à fleurs pourpres, parfois blanches, de la famille des Brassicaceae . Elle est connue aussi sous les noms de girarde, giroflée des dames, violette de Damas, cassolette beurrée, aragone. Les feuilles sont oblongues ou lancéolées, dentées, couvertes de pois courts qui les rendent rugueuses. Les fleurs de 15–20 mm de diamètre sont de couleur lilas, blanches ou panachées, odorantes. Les sépales sont à peu près de même longueur que le pédicelle. La floraison a lieu de mai à juillet. La julienne des dames croît spontanément dans les lieux frais et ombragés, fourrés et forêts ripicoles, lisières forestières, chemins, coupes. C'est une plante mellifère, médicinale considérée comme stimulante, antiscorbutique, diurétique, sudorifique, expectorante, rubéfiante et ornementale. Le terme Hesperis vient du grec hesperos "soir", en raison de l'agréable parfum que diffusent ses fleurs en fin de journée. Le terme matronalis signifie en latin "dames'

Jusquiame noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/505deeeb-jusquiame-noire

Jusquiame noire

Planche botanique de la Jusquiame noire (Hyoscyamus niger), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante toxique, contenant divers alcaloïdes tels que l'atropine, l'hyoscyamine et la scopolamine, mais moins dangereuse que le datura ou la belladone, qui contiennent les mêmes alcaloïdes mais en plus grandes proportions. La graine de Jusquiame est connue pour apaiser la rage de dents, elle s'appelle herbe de Sainte Apolline. Le terme de "jusquiame" est un emprunt au bas latin jusquiamos, hyoscyamos, et du grec ὑοσκύαμος (uoskuamos) de même sens, morphologiquement « fève de porc ». Il s'agit d'une allusion à l'épisode de l'Odyssée durant lequel la magicienne Circé transforma en pourceaux les compagnons d'Ulysse en leur faisant pour cela boire un philtre contenant de la jusquiame. Mais Ulysse était immunisé grâce à un antidote - végétal - dont Hermès lui avait fait présent. Certains interprètent cet épisode comme une métaphore opposant la bestialité (le pourceau) à la raison. Les solanacées "vireuses", dont fait partie la jusquiame, sont fréquemment évoquées dans les histoires de métamorphoses d'homme en animal : lycanthropie par exemple. Elles peuvent en effet générer des hallucinations particulièrement puissantes, y compris celle d'avoir pris la forme d'un animal, au point d'en adopter le comportement.

La création des arbres et des plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5929f023-la-creation-des-arbres-et-des-plantes

La création des arbres et des plantes

La création des arbres et des plantes, Genesis, Paul Nash.

Laitue sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50579006-laitue-sauvage

Laitue sauvage

Planche botanique de la laitue sauvage (Lactuca virosa), Atlas des Plantes de France, 1891. La laitue vireuse compte parmi les plantes sédatives, analgésiques, antispasmodiques et psychotropes les plus illustres qui soient connues depuis l'antiquité. Le latex recueilli par incision sur la plante a des propriétés hypnotiques et narcotiques. Il fut longtemps soupçonné d'entrer dans la composition des onguents de sorcières.

Laurier d'Apollon. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f2625-laurier-d-apollon

Laurier d'Apollon

Planche botanique N°282 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Laurier d'Apollon ou laurier sauce (Laurus nobilis). Le laurier est un arbuste mesurant de 2 à 6 m et jusqu'à 15 m de haut, à tige droite et grise dans sa partie basse, verte en haut. Les feuilles de forme lancéolées, alternes, coriaces, à bord ondulé, sont vert foncé sur leur face supérieure et plus clair à la face inférieure. Elles dégagent une odeur aromatique quand on les froisse. Les feuilles, les fleurs et les racines renferment une huile essentielle. La feuille de laurier-sauce s'emploie en Europe généralement séchée (condiment rentrant dans la composition du bouquet garni) et s'infuse ou cuit dans la sauce. En Saintonge, la feuille très utilisée en cuisine pour tous les courts-bouillons, matelotes ou ragoûts est employée fraîche, comme en Inde, où elle est saisie dans le ghee, conférant un goût unique et un parfum extraordinaire.

Lavande de mer en fleurs dans les marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/507026a9-lavande-de-mer-en-fleurs-dans-les-marais

Lavande de mer en fleurs dans les marais

Lavande de mer en fleurs dans les marais de Southampton, Angleterre.

Lavande de mer, ou Lilas de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/507024d3-lavande-de-mer-ou-lilas-de-mer

Lavande de mer, ou Lilas de mer

Planche botanique N°272 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Lavande de mer (Limonium vulgare, Statice limonium), pousse dans les prés salés vasicoles de bas-niveau topographique.

Le cycle des six saisons de l'arbre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdbd0b-le-cycle-des-six-saisons-de-l-arbre

Le cycle des six saisons de l'arbre

Les quatre saisons du calendrier : printemps, été, automne et hiver, auxquelles se rajoutent deux saisons intermédiaires dans les régions au climat tempéré, l'avant-printemps et l'arrière-été.

Le livre des Profits champêtres - livre 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/53065a82-profits-champetres-2

Le livre des Profits champêtres - livre 1

Pietro de Crescenzi (1230-1320?), Livre des prouffitz champestres et ruraulx -1 : Le premier livre parle des lieux habitables, des cours, des maisons, et des choses nécessaires pour la construction.

Lierre grimpant. Source : http://data.abuledu.org/URI/505040b0-lierre-grimpant

Lierre grimpant

Planche botanique de lierre rampant ou grimpant (Hedera Helix), Planche des Plantes de France, 1891 ; parfois surnommé à tort « bourreau des arbres » ou « herbe de saint-Jean », c'est une liane à feuilles persistantes en hiver, qui pousse de façon spontanée. "Il fleurit de fin septembre à octobre, c'est-à-dire après que presque toutes les floraisons d'autres plantes soient terminées, et après la chute des feuilles, le pollen pouvant mieux se disperser ainsi - et les fleurs peut-être plus visibles. C'est ainsi une source critique de nourriture pour les abeilles et autres insectes à une période où il y a peu de fleurs et où l'hiver arrive, et donc ensuite de fruits pour les oiseaux, en février, à une période où de même peu de fruits sont disponibles. Ainsi le lierre semble plutôt être une merveille de la nature ; loin d'être un parasite, c'est à l'inverse un organisme qui paraît doté très grand mutualisme, ce qui pourrait aussi expliquer son succès et le fait qu'il soit aussi répandu sur tout le territoire". (wikipedia)

Lierre terrestre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071cbd3-lierre-terrestre

Lierre terrestre

Planche botanique N°261 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Lierre terrestre (Glechoma hederacea). Toute la plante émet une odeur balsamique agréable, et a un goût aromatique rappelant la menthe avec une pointe d'amertume ou d'âcreté pour les feuilles et tiges ; la fleur est plus suave. C'est une plante mellifère dont le goût peut relever les salades ou les soupes. Les fleurs servent parfois pour décorer les gâteaux. Sa floraison précoce en mars-avril et durant jusqu'à l'automne, en fait l'une des premières fleurs de l'année et d'autant plus précieuse pour les insectes se nourrissant de nectar et notamment les bourdons. Elle a longtemps servi à clarifier, aromatiser et préserver la bière, avant l'utilisation du houblon. L'un de ses noms communs liés à la fabrication de la bière en anglais, est « gill », qui vient du français « guiller » (dit de la bière en fermentation). Elle a également été longtemps considérée comme une panacée : La « couronne de terre » est toute bénéfique. Placée sous la couche des jeunes mères, avec d'autres herbes, elle leur redonne des forces après le travail de l'enfantement d'après la tradition.

Lilas en fleurs dans un jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d64136-lilas-en-fleurs-dans-un-jardin

Lilas en fleurs dans un jardin

Lilas en fleurs dans un jardin au printemps.

Lilas, planche botanique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d63f9f-lilas-planche-botanique

Lilas, planche botanique

Planche botanique du lilas (Syringa vulgaris), L. Deutschlands Flora in Abbildungen, Johann Georg Sturm (Peintre Jacob Sturm), 1786.

Limodore à feuilles avortées. Source : http://data.abuledu.org/URI/50640395-limodore-a-feuilles-avortees

Limodore à feuilles avortées

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La limodore à feuilles avortées, (Limodorum abortivum), est une orchidée terrestre européenne. C'est une plante saprophyte comme la néottie nid d'oiseau (autre Orchidacée vivant sans chlorophylle). Plante de mi-ombre, sur substrat frais, de préférence calcaire, broussailles et prébois thermophiles.

Lys maritime. Source : http://data.abuledu.org/URI/518a460f-lys-maritime

Lys maritime

Lys maritime (Pancratium maritimum), 6 août 2004, à Capbreton, dans les Landes.

Massettes des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6d0d-massettes-des-marais

Massettes des marais

Croquis de massettes des marais (Typha latifolia). Les massettes sont des plantes de milieux humides qui possèdent un rhizome. Elles ont une inflorescence typique : dense et en forme de quenouille, dans laquelle les fleurs femelles et mâles sont clairement séparées (monoécie), les fleurs mâles étant placées au-dessus des fleurs femelles au bout d'une tige florifère. Les feuilles sont plates (ou légèrement triangulaires) et croissent à la base de la plante. Elles forment une gaine qui entoure la tige.

Melon dans un jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5372785a-melon-dans-un-jardin

Melon dans un jardin

Melon (Cucumis melo) dans un jardin.

Mercuriale vivace. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1c10-mercuriale-vivace

Mercuriale vivace

Planche botanique N°286 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Marcuriale vivace (Mercurialis perennis) ou Mercuriale pérenne, Chou de chien ou Cynocrambe. C'est une plante herbacée des lieux plutôt frais sur sols alcalino-calcaires de la famille des Euphorbiaceae. Son nom en latin vient de Mercure, le dieu qui découvrit les propriétés médicinales des mercuriales et Perennis pour pérenne. Elle se développe à l'ombre des arbres à feuilles caduques des régions tempérées d'Europe. Elle forme grâce à son rhizome souterrain de vastes colonies en sous-bois (plante sociale). L'ensemble de la plante est un purgatif énergique, elle est vénéneuse pour les bêtes.

Millet des bois ou mélampyre des prés. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e2435-millet-des-bois-ou-melampyre-des-pres

Millet des bois ou mélampyre des prés

Planche botanique de Mélampyre des prés (Melampyrum pratense), Atlas des Plantes de France, 1891. Autrefois également appelé Millet des bois, Cochelet, Sarriette jaune c'est une plante herbacée annuelle de la famille des Orobanchacées (anciennement Scrophulariacées) qui pousse dans les sous-bois, dans les clairières de mi-ombre, ou dans les taches de lumières au sol dans une forêt localement moins dense.